Dans son ouvrage à paraître mi-mars, et auquel Le Figaro a eu accès, l'ancienne soutien du candidat nationaliste revient sur les dysfonctionnements internes à Reconquête, et le mépris dont elle juge avoir été victime durant la campagne.
L'épigraphe donne le ton. En tête de son ouvrage, Jacline qui? Réponse à Éric Zemmour (Éditions Bouquins), préfacé par Michel Onfray, Jacline Mouraud a choisi une citation de Cléobule de Lindos : «Considère comme un ennemi public quiconque hait le peuple.» Éric Zemmour appréciera. Car la conclusion de l'auteur est sans appel : «Reconquête est devenu un énorme foutoir, il n'y a pas d'autre mot.». L'ex-figure de proue des «gilets jaunes», membre du comité politique du candidat pendant la campagne présidentielle, publie, mi-mars, un livre incendiaire, que Le Figaro a pu consulter, et dans lequel elle revient sur son expérience à Reconquête, et sur les dysfonctionnements internes au mouvement. Dans un récit mêlant éléments privés, positionnement antivax, scènes de vie de campagne et appréciations personnelles, Jacline Mouraud livre sa version de la campagne zemmouriste.
Le 10 janvier, dans le prolongement de la conférence de presse d’Élisabeth Borne, la rédaction de LCI choisissait de reconvertir l’émission « Un œil sur le monde » en une édition spéciale de presque deux heures, entièrement consacrée à la réforme des retraites. Et quasi entièrement accaparée par... ses partisans ! « Un œil sur le monde » ou sur le microcosme de LCI ?
« Il y a déjà énormément, énormément de réactions et on va les commenter [...] avec notre plateau ici : les analystes stars de LCI ! La dream team de l’analyse est avec nous ce soir ! » Tremblez ! Fidèle à son ADN, LCI a effectivement mis le paquet : Adrien Gindre, rédacteur en chef du service politique de TF1/LCI, Arlette Chabot et Jean-Michel Aphatie, qu’on ne présente plus, Pascal Perri, grand propagandiste par temps de réformes, et enfin Valérie Nataf, éditorialiste maison, elle aussi. Un plateau 100% éditocrates donc, chapeauté par Julien Arnaud. Au cours de l’émission, la rédaction opérera trois changements... pour que rien ne change :
https://www.acrimed.org/Retraites-LCI-pulverise-le-pluralisme
Selon le gouvernement, 1,8 million de retraités seraient concernés par le minimum de pension à 1200 euros prévu dans la réforme. L’argument est trompeur. Le site Rapports de force a interrogé l’économiste Michaël Zemmour à ce sujet.
Rapports de force : Pour le gouvernement, communiquer sur 1200 euros de retraite minimum est plus séduisant qu’annoncer des augmentations de quelques dizaines d’euros. Ces 1200 euros sont-ils totalement théoriques ? Et si oui, pourquoi ?
Michaël Zemmour : Les 1200 euros ne sont pas totalement théoriques, mais ce n’est pas un élément du texte de loi. Ils font référence à un vieil objectif qui est de dire qu’une personne qui a travaillé toute sa vie au Smic à temps plein devrait pouvoir avoir une pension de l’ordre de 85 % du Smic. C’était un objectif fixé dans la loi depuis 2003. De cet objectif a été tiré un slogan : « Pension minimale de 1200 euros ».
C’est un slogan a minima très trompeur ou, en tout cas, qui ne peut pas être compris correctement. En pratique, à ma connaissance, on ne sait pas qui touchera 1200 euros. Ce que l’on sait, c’est que les seules personnes qui vont atteindre 1200 euros sont les personnes qui touchent aujourd’hui 1100 euros. Toutes celles qui sont en dessous n’atteindront pas ce niveau-là, quelle que soit la forme de leur carrière.
Le 7 janvier 1923, des troupes françaises et belges franchissaient la frontière allemande, avant d’occuper la Ruhr pendant plus de deux ans. Les dirigeants de l’impérialisme français, sorti victorieux de la Première Guerre mondiale, voulaient « faire payer l’Allemagne »… et sa population.
Le gouvernement du conservateur Raymond Poincaré voulait obtenir ainsi le paiement des réparations financières imposées à l’Allemagne par le traité de Versailles, qui avait sanctionné la fin du conflit mondial entre les principales puissances pour un repartage des colonies et des zones d’influence.
L’impérialisme français nourrissait aussi le projet d’affaiblir durablement son concurrent allemand, « en séparant de la Prusse les Pays rhénans pour les placer sous un régime spécial du point de vue militaire », comme le dit le ministre Louis Loucheur. Il exprimait alors la volonté des capitalistes français de mettre la main sur les industries de Rhénanie. Mais l’esprit revanchard à courte vue des politiciens français et la rapacité de leur impérialisme allaient provoquer en Allemagne une crise sociale et politique remettant la révolution à l’ordre du jour.
https://journal.lutte-ouvriere.org/2023/02/08/1923-loccupation-de-la-ruhr_494161.html
Victimes collatérales des sanctions imposées à leur État et de clichés sur leur nationalité, les Iraniens installés en France se démènent pour avoir droit à un compte bancaire. 70 d’entre eux témoignent des discriminations qu’ils vivent ici.
« Je crois que ça ne va pas être possible. » Le banquier est formel, un coup d’œil sur le passeport de Hadi a suffi pour le décider. « Parce que je suis un terroriste ? », rétorque l’Iranien, offensé. C’est la quatrième agence qui lui refuse l’ouverture d’un compte bancaire. Après trois semaines de recherche, c’est toujours la même histoire : soit il n’arrive pas à décrocher un rendez-vous, soit les banques lui proposent une rencontre dans un laps de temps décourageant. Avec son visa long séjour, l’homme a pu commencer à travailler en intérim. Mais l’ouverture d’un compte s’impose comme l’étape ultime pour percevoir son salaire et vivre normalement.
« Il me semblait que les banques étaient hésitantes quand il s’agissait d’ouvrir un compte aux étrangers. Mais mes amis d’autres nationalités ont fini par réussir », s’émeut par téléphone Hamid. Il est retourné en Iran après un an d’études à Chambéry (73). L’ancien étudiant en ingénierie se dit « convaincu » de la raison du comportement des établissements bancaires :
Les salariés d’Altrad Endel, n°1 de la maintenance des centrales nucléaires, étaient mobilisés le 7 février. Ils demandent de meilleurs salaires, et alertent aussi contre le dangereux « dépeçage » de leur groupe.
Les drapeaux rouges de la CGT flottent devant l’imposante bâtisse aux dorures orientales. Le siège du groupe Altrad Endel, multinationale des « services à l’industrie », a des airs de caverne d’Ali Baba. Sauf que le PDG et milliardaire Mohed Altrad ne semble pas prêt à partager son trésor. « Momo, sois généreux, écarte un peu les doigts ! » lance un syndicaliste, mégaphone à la main. Mardi 7 février, ils sont une cinquantaine de salariés d’Altrad Endel, filiale spécialisée dans la maintenance nucléaire, mobilisés à Montpellier. Et plus de 1 000 à travers la France.
« Nous demandons une revalorisation de nos salaires digne de ce nom, explique Jean-Philippe Boucher, venu spécialement de Chinon. Pour le moment, le compte n’y est pas. » En fin d’année, la direction du groupe a proposé des augmentations individuelles de 2 %, en deçà de l’inflation, et bien loin des 6 % réclamés par les employés.
https://reporterre.net/Nucleaire-les-grevistes-denoncent-le-chaos-de-la-sous-traitance
La déception est de taille sur les bancs de la gauche. Lors de l’examen d’une proposition de loi visant à rétablir le repas à un euro pour les étudiants, l’Assemblée nationale a rejeté ce texte porté par l’élue Fatiha Keloua Hachi dans le cadre de la « niche » socialiste, jeudi 9 février.
Une défaite d’autant plus dure à diriger que ce dispositif a échoué d’une seule voix. Cette proposition avait effectivement reçu le soutien de tous les bancs de la gauche, mais aussi du groupe RN, ce qui mettait en difficulté la majorité relative des macronistes, qui souhaitent réserver ce coup de pouce aux étudiants les plus précaires.
Selon le président du parti d'extrême droite Reconquête, la réforme des retraites est nécessaire. "Le système de répartition ne peut plus tenir parce que nous faisons beaucoup moins d'enfants par an", estime-t-il.
Éric Zemmour voit d'un bon oeil la réforme des retraites de l'exécutif. S'il était député et n'avait pas perdu au premier tour des élections législatives, l'ancien polémiste se prononcerait favorablement sur ce texte.
"Je la voterais", indique-t-il sur BFMTV-RMC, avant de réclamer la paternité de ce projet: "C'est ma réforme". Lors de la présidentielle 2022, "j'avais dit 64 ans et un index pour les seniors", justifie-t-il, alors que le gouvernement défend ces deux mesures.
“Si seulement une institution, une organisation, quelle qu’elle soit, pouvait nous sortir de là !” Cet appel au secours est lancé par Jeremías Martínez, un paysan hondurien de 67 ans qui a peur pour sa vie. Il ne fait pas confiance aux autorités de son pays, si bien qu’il compte sur une aide extérieure. La porte de sa maison reste ouverte tandis qu’il raconte son histoire, il dit que c’est pour recevoir la fraîcheur du soir, mais aussi pour voir si quelqu’un approche. Bientôt, il fera nuit noire dans sa campagne, et il craint que quelqu’un ne vienne mettre à exécution les menaces de mort proférées à son endroit.
Jeremías vit avec sa femme, Lidia, dans le village de La Concepción, dans la région du Bajo Aguán, sur la côte nord du Honduras. Il a fait trois ans et trois mois de prison pour s’être opposé aux activités d’une compagnie minière d’exploitation de fer dans la montagne de Botaderos, où naissent au moins 30 rivières qui arrosent la vallée d’El Aguán. Il a été libéré en février 2022, mais ne sort plus de chez lui et n’est pas retourné travailler sur ses terres. Il craint que quelqu’un ne veuille se venger.
Ivres de vengeance, les Balkany ont envoyé à plusieurs élus et à l’actuelle maire de Levallois-Perret des photomontages pornographiques mettant en scène le premier adjoint de la ville. « C’était pour le rappeler à l’ordre. Quand on a une vie publique, on doit faire attention », s’est justifié l'ancien maire pendant l'enquête. Les époux seront jugés pour « atteinte à la vie privée » le 4 avril.
Les États-Unis ont bombardé les gazoducs Nord Stream, affirme le journaliste d'investigation Seymour Hersh
Le bombardement des gazoducs sous-marins Nord Stream en mer Baltique était une opération secrète commandée par la Maison Blanche et menée par la CIA, selon un rapport d'un journaliste d'investigation chevronné.
Seymour Hersh, lauréat du prix Pulitzer, affirme que des plongeurs sous-marins américains, sous couvert d'un exercice militaire de l'OTAN, ont posé des mines le long des gazoducs, qui ont ensuite été déclenchées à distance.
Si la Turquie est la première victime du terrible tremblement de terre qui a frappé la région, la Syrie est aussi durement touchée. Avec des conséquences encore plus désastreuses, dues à une décennie de répression et de guerre et à des sanctions qui frappent avant tout les populations civiles.
Oubliée par la communauté internationale et les médias occidentaux après de longues années de guerre dont les conséquences continuent de se faire sentir, la Syrie s’est de façon brutale et tragique rappelée au monde au lendemain du séisme qui a frappé le sud-est de la Turquie et fait un millier de morts sur son territoire, touchant de nombreuses zones du nord dont Alep, la deuxième ville du pays martyrisée. Au total le séisme a fait plus de 6 000 morts dans les deux pays. Quelques 23 millions de personnes pourraient avoir été touchées, indique l’Organisation mondiale de la santé (OMS) mardi 7 février.
Saisissant la situation désastreuse qui frappe la population syrienne, amplifiée par cette catastrophe naturelle, des responsables ont lancé un nouvel appel à la levée des sanctions des pays occidentaux. « Face à ce malheur qui frappe la population syrienne, peut-être les gouvernements des pays occidentaux pourraient-ils lever les sanctions contre la Syrie (…) Que Dieu nous protège ! » a déclaré le 6 février à Orient XXI Nabil Antaki, médecin et humanitaire qui dirige l’association des Maristes bleus, présente à Alep depuis le début de la guerre des années 2000.
https://orientxxi.info/magazine/syrie-un-seisme-peut-en-cacher-un-autre,6207
électriques
Ils voulaient « détruire complètement la ville » de Baltimore, dont la majorité de la population est afro-américaine. Le cofondateur du groupe néonazi américain Atomwaffen et une de ses proches ont été arrêtés aux Etats-Unis, où ils sont accusés d’avoir voulu attaquer des transformateurs électriques, ont annoncé lundi les autorités judiciaires.
Brandon Russell, 27 ans, a été interpellé en Floride (sud-est) et Sarah Clendaniel, 34 ans, dans l’Etat du Maryland (est). Ils sont tous les deux poursuivis pour « complot en vue d’attaquer des infrastructures énergétiques », un chef d’accusation passible de 20 ans de prison.
Provoquer « l’effondrement de la société »
Lui est une figure de l’extrême droite américaine : il avait annoncé en 2015 la création de l' « Atomwaffen Division », un groupuscule néonazi qui prône l’action violente pour provoquer l’« effondrement de la société », selon le site de référence du Southern Poverty Law Center.
L’opération « antiterroriste » a été menée par l’armée israélienne dans le camp de réfugiés palestiniens d’Aqabat Jabr, près de la ville de Jéricho. Le Hamas a qualifié le raid mené contre des membres de sa branche armée de « massacre abominable ».
L’armée israélienne a annoncé lundi 6 février avoir tué « plusieurs assaillants armés » lors d’un raid dans le camp de réfugiés palestiniens d’Aqabat Jabr, près de la ville de Jéricho, en Cisjordanie, qualifié de « massacre abominable » par le mouvement islamiste palestinien Hamas. Le bilan est de cinq morts, a fait savoir à l’Agence France-Presse (AFP) un responsable sécuritaire israélien, quelque temps après les premières déclarations.
« Trois [Palestiniens] ont été touchés par des balles de l’occupation israélienne lors de l’attaque contre Jéricho aujourd’hui, l’un d’eux, blessé à la tête est dans un état critique, en train d’être opéré, et les deux autres, blessés aux bras, sont dans un état stable », a, de son côté, précisé le ministère de la santé palestinien dans un communiqué, au sujet des blessés.
Les protestataires, majoritairement issus de milieux pauvres et paysans, réclament de nouvelles élections, la destitution de la présidente actuelle et le renouvellement du Congrès, haï par la population. Ils demandent aussi plus de justice sociale et l’inclusion des populations amérindiennes.
C’est un soulèvement populaire historique au Pérou, désormais au bord de la guerre civile. Depuis la destitution du président populaire Pedro Castillo, le 7 décembre 2022, les Péruviens organisent des manifestations et blocages massifs dans tout le pays pour réclamer de nouvelles élections et la démission de la présidente Dina Boluarte. La répression sanglante a déjà fait 48 morts, renforçant la détermination de la population à obtenir justice et autonomie.
Le Pérou est l’un des rares pays d’Amérique Latine (avec la Colombie auparavant) a n’avoir quasiment jamais connu de gouvernement proche des aspirations populaires outre le court mandat du Général Velasco, promoteur de la réforme agraire de 1969 qui élimina les grandes haciendas des propriétaires terriens et redistribua onze millions d’hectares aux paysans jusqu’alors exploités.
Quatre enfants et une femme sont morts dimanche 5 février au large de l'île grecque de Leros, après le naufrage d'un canot pneumatique transportant des migrants venus des côtes turques voisines, ont annoncé les garde-côtes grecs.
Quarante et une personnes ont été secourues, dont six enfants et deux adultes qui ont été transportés à l'hôpital de Leros, ont ajouté les garde-côtes, qui précisent qu'une opération de sauvetage est toujours en cours pour retrouver éventuellement d'autres migrants.
Les personnes âgées abonnées aux plateaux-repas du centre d'action sociale (CCAS) de Lisieux en Normandie, sont "privées" de pain depuis la mi-décembre. La raison? L'inflation et le besoin de faire des économies sur une denrée qui serait peu consommée.
Depuis 16 ans, Christelle sillonne les rues de Lisieux en Normandie. Avec sa camionnette, elle apporte les plateaux-repas à 80 personnes âgées. Mais depuis un mois, ces plateaux-repas sont amputés d'une denrée dont le prix enfle: le pain. Une décision du conseil d'administration du Centre communal d'action sociale de la ville, en raison de l'inflation alors que le bout de pain coûte 60 centimes à l'établissement public.
Que s'est il passé place du marché en plein centre ville de Poitiers mardi 31 janvier dans la soirée ? Une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux montre de violents affrontements entre jeunes. Dans un communiqué, le mouvement des jeunes communistes de la Vienne dénonce une agression fasciste.
Toujours d'après le communiqué, les victimes étaient attablées à la terrasse d'un bar lorsqu'elles ont été prises à partie par une dizaine du groupe Poitiers Nationaliste, sortis d'une conférence organisée par la Cocarde étudiante.
L'une des victimes a du être hospitalisée et s'est vu délivrer 5 jours d'ITT. Plusieurs autres ont été légèrement blessées.
Anthony Lowe, un père de famille de 36 ans, amputé des deux jambes, a été abattu jeudi dernier à Huntington Park, en Californie.
Nouveau drame qui alimente le débat autour des violences policières aux États-Unis. Après le décès de Tyre Nichols, un Afro-Américain passé à tabac par des policiers noirs le 7 janvier dernier à Memphis, un homme noir de 36 ans a été abattu jeudi par les forces de l'ordre à Huntington Park en Californie.
Cette fois-ci, la polémique grandit outre-Atlantique car les policiers ont tiré en direction d'Anthony Lowe, amputé des deux jambes, alors qu'il fuyait, après être descendu de son fauteuil roulant.
"Je ne peux tout simplement pas comprendre pourquoi ils feraient cela à quelqu'un en fauteuil roulant. Je veux que quelqu'un m'explique quelle était la raison pour laquelle vous avez dû abattre un gars qui n'a pas de jambes", a déploré Tatiana Jackson, sœur cadette d'Anthony Lowe, au Guardian ce mardi.
Les températures hivernales ont fait une victime dans les Yvelines, ce mardi. Le corps d’un homme sans domicile fixe âgé de 38 ans a été retrouvé sans vie dans les toilettes publiques au Chesnay-Rocquencourt. Il était venu se réfugier à l’abri du froid dans ces préfabriqués de fortune mis à la disposition des chauffeurs de bus, à deux pas du centre commercial Westfield Parly 2.
C’est d’ailleurs un conducteur qui a découvert le corps en poussant la porte des WC et qui a prévenu les pompiers vers 13 heures. À leur arrivée sur place, il était trop tard. La victime était probablement décédée quelques heures plus tôt, considérant l’état de raideur cadavérique dans lequel il se trouvait. Les secours n’ont rien pu faire pour tenter de le sauver.
« Il refusait systématiquement l’aide qui lui était proposée »
Bien connu des services de la ville, cet individu était présent au Chesnay-Rocquencourt depuis le début du mois de décembre 2022. « C’est quelqu’un qui était suivi par le centre communal d’action sociale (CCAS) d’Antony (Hauts-de-Seine) et qui était très itinérant, explique-t-on à la municipalité du Chesnay-Rocquencourt. Il était hospitalisé là-bas mais était parti en sortie irrégulière le 8 décembre avant d’arriver ici. Nos services lui ont apporté plusieurs fois de la nourriture et lui ont proposé maintes et maintes fois le Samu social mais il refusait systématiquement l’aide qui lui était proposée. »
https://www.leparisien.fr/yvelines-78/le-chesnay-rocquencourt-un-sdf-retrouve-mort-de-froid-dans-les-toilettes-publiques-01-02-2023-PBVKJKFH6JDKRENKBRFT5ZSKOY.php#:~:text=Le%20corps%20d'un%20homme,centre%20commercial%20Westfield%20Parly%202.