Encore des problèmes avec Internet, bien ma connexion de 1889?
Je rentrai seul à la maison, et la trouvai bien silencieuse à mon arrivée. Même Murphy semblait troublé. Je pris soudain conscience que je devrai passer deux jours seul, et cette pensée me déplut fortement. Mais comment pouvais-je y remédier?
Je pourrais appeler Camille, ma cousine. J'étais curieux de savoir pourquoi elle avait réagi si étrangement la dernière fois que l'on s'était vus.
Elle répondit immédiatement à mon appel, ce qui ne manqua pas de me surprendre.
"Si je veux venir? Et pourquoi ça?" demanda-t'elle avec un ton qu'elle voulut détaché, mais qui sonnait terriblement faux.
Je la jouais franchement, et lui dis que je n'avais personne chez moi, aussi avais-je tout de suite pensé à elle pour passer de bons moments.
Le fait que je sois seul sembla la rasséréner, et elle accepta ma proposition. Je remontai dans ma voiture et pris la route pour aller jusqu'à chez elle.
La radio débitai son flot ininterrompu d'informations et de banalités, étalant la vie privée de célébrités, ou crachant sur des films que les critiques n'avaient visiblement même pas regardés.
Arrivé chez elle, je la trouvai attendant sur le pas de sa porte d'entrée, visiblement assise ici depuis un moment. Son empressement à me voir me semblait anormal.
"Heyyy! Tu vas bien?" me lança-t'elle.
Et, tout en lui faisant la bise, je remarquai qu'elle n'avait pas mis de soutien-gorge, ce qui laissai ses seins -qui n'étaient pas aussi volumineux que ceux d'Anne-So ou de Julie, mais qui semblaient très fermes- se balader librement.
Nous discutâmes tout en roulant, jusqu'à ce que nous arrivions à une intersection, où elle me demanda de tourner à gauche, vers un sentier qui menait à une forêt où nous avions l'habitude d'aller jouer étant enfants. J'arrêtai la voiture à côté d'une cabane de chasseurs, "Les trois frères", qui était entièrement fermée. Je regardai Camille de travers, ne sachant que penser, lorsqu'elle me dit:
"Je voulais voir ta bite la dernière fois, et je l'ai vue. Et même si tu es gay, elle m'a plu. Laisse moi m'en occuper."
Et, tout en disant cela, elle baissa mon pantalon et masturbai énergiquement mon pénis, qui ne tarda pas à se dresser. Lorsqu'elle le jugea assez dur, elle l'emboucha avec force. Sa langue agile passai et repassai sur mon gland gonflé, n'en oubliant aucune partie. De son autre main, elle malaxai mes testicules, les frottant l'une contre l'autre, puis contre sa paume, leur donnant parfois un coup de langue. J'éjaculai violemment dans sa bouche, et, à ma grande surprise, elle avala jusqu'à la dernière goutte de ma semence en produisant d'agréables bruits de succions. Et elle continua de me masturber, tandis que mon pénis reprenait son état normal.
La séparation se fit dans un calme qui - j'en suis persuadé - n'était qu'apparent, pour nous tous. Cependant, aucun de nous ne fit un étalage d'émotions, et je retournai à ma voiture tandis qu'elles partaient de leur côté.
Je repris la route, mis du Soundgarden, et roulai jusqu'à la maison de mon meilleur ami, que je n'avais pas revu depuis le jour de tempête où tant de choses s'étaient passées. Je me garai dans sa rue, un peu plus loin que sa maison. Le ciel était lourd et l'air ambiant pesant. "Encore un orage... mais je serais seul cette fois."
J'allai frapper à la porte, lorsque j'entendis des petits cris étouffés. Ne comprenant pas immédiatement d'où ils venaient, je fis le tour de la maison. Tandis que je m'approchais de la chambre de Yohan, ils se faisaient plus forts. N'osant aller plus loin, je restai figé, sentant l'excitation monter en moi : ces cris étaient ceux d'une jeune femme. Sa jeune femme. Je regardai autour de moi, et remarquai que j'étais bel et bien seul dans le quartier, il semblait n'y avoir presque que des résidences secondaires. Je me plaçai donc sous la fenêtre, et y risquai un œil pervers.
Ses seins rebondissaient plaisamment, tandis qu'elle se cambrait et m'offrait la vue de son fessier que j'avais déjà eu l'occasion d'apercevoir. Elle était sur lui, s'empalant avec force sur sa verge dressée. Sentant que la mienne l'était tout autant, je fus pris d'une nausée subite : je regardais mon meilleur ami faire l'amour à sa copine! Tiraillé entre l'envie de partir et celle, très forte, de me masturber. Le bon sens l'emportant malgré tout, et je tournai les talons, me disant qu'il eût été amusant de frapper à la porte pour voir leur réaction...
Blackziggy très touchant merci, si jamais je réussis à finir un de mes projets tu seras le premier au courant
Potato mais tellement
Je finis par me lever, en évitant de la réveiller. Je trouvai ma sœur assise sur le canapé, au téléphone. Tout en écoutant d'une oreille distraite la météo qui annonçait un temps mitigé, je préparai le petite déjeuner - ce qui était devenu une routine. Dehors, Murphy se roulait dans l'herbe humide comme un chiot. Julie me dit alors :
"Anne-So et moi on est invitées chez un ami pour une soirée, on part ce matin de la gare routière avec d'autres personnes pour arriver vers quinze ou seize heures, le temps d'aider à la mise en place. Tu sauras te débrouiller tout seul?"
Ne relevant pas la pique, je me trouvais pourtant bien triste : j'allais être privé de l'agréable compagnie de ces deux filles pendant au moins deux jours. Cachant au mieux ma déception, je répondis:
"Alors on prend le café et je vous emmène à la gare, je dois aller voir un ami."
Sauf qu'intérieurement, je pensais "Le premier gars qui vous regarde je lui arrache les yeux et je les lui fais bouffer par l'arrière."
Cependant, Anne-So ne semblait pas vouloir se réveiller. Avec un regard étrange, Julie me dit:
"Va donc la tirer du sommeil, on va être en retard. Je commence à prendre ce dont on a besoin en attendant."
Ne pouvant résister à l'envie de voir ma belle au réveil, je ne protestai pas et m'exécutai. Elle ne dormait plus, en fin de compte, et se tenait, assise, sur le bord de mon lit.
"Bien dormi? lui demandai-je.
-Je suis désolée, je sais pas ce qui m'a pris."
Puis, se rendant compte qu'elle était très peu vêtue devant moi, elle rougit et sortit en précipitation de ma chambre, ce qui n'eût pour effet que de me permettre de voir ses fesses et sa poitrine rebondir au rythme de sa course. Une pulsation se fit sentir dans mon entrejambe, mais je la réprimai aussitôt : cela ne servait à rien de me mettre dans un état d'excitation alors que les objets de mes désirs s'en allaient dans une heure.
Après avoir déjeuné, les deux filles passèrent une bonne demi-heure dans la salle de bain, justifiant ainsi la réputation féminine. Cependant, cette demi-heure ne fut pas perdu, car j'eus l'occasion de jeter un coup d'œil dans l'encadrement de la porte, apercevant le corps nu de ma sœur, changeant de sous-vêtements après la douche. "Toujours aussi belle, pensai-je."
Une fois sur la route, je remarquai qu'à chaque fois que je regardai dans le rétroviseur intérieur, je pouvais lire de l'embarras et de la tristesse dans le regard des filles. Cela m'emplit de joie. Sans doute ne feraient-elles rien durant cette soirée...
Alors je ne te retiens pas, fous le camp
Et préviens moi quand tu commenceras à reprendre des fics, que je puisse te lapider sans aucun argument
Vous avez du bol j'avais pas prévu de venir ce soir mais finalement je suis venu faire un tour Le sexe c'est bien, mais c'est encore mieux à dose raisonnable
Elle commençait à pleurer doucement, ce qu'elle n'avait pourtant pas fait de la journée. Je me dis que ce relâchement en ma présence était un bon signe pour moi, et je l'enlaçai sans attendre, sa tête posé contre mon torse. Puis elle sembla finalement s'endormir serrée contre moi et, ne sachant que faire, je laissai mon instinct me guider et l'allongeai à mes côtés, la tenant toujours dans mes bras. Au fur-et-à mesure que je sombrai également dans le sommeil, ma main glissa sur sa poitrine, que je pressai doucement, à moitié conscient de mes actes. Elle était ferme mais elle plia légèrement sous mes doigts. Je crus entendre Anne-So pousser un petit gémissement, mais sans-doute l'avais-je inventé. Mon inconscient décida de passer ma main dans son décolleté, et le doux contact de la peau de son sein avec la mienne me procura un bien être sans égal. Une érection montait, tandis que je le malaxai lentement. J'étais si bien...
Je me réveillai subitement, sans aucun problème. Dehors, il faisait jour. J'étais en pleine forme. Anne-So était toujours blottie contre moi, ses fesses collées à mon bas-ventre. Je me rendis soudain compte que mon pénis était gonflé à l'extrême, et que jamais je n'avais rien autant désiré que cette jeune femme à mes côtés. Ce n'était pas une pulsion sexuelle, c'était un sentiment profond d'amour. Je souhaitais que ce moment ne prenne jamais fin, je voulais profiter de chaque seconde avec cette fille pour l'éternité. Elle soufflait légèrement, semblant dormir paisiblement. Je passai lentement une main dans ses cheveux, puis descendis sur ses seins, que je tâtai de nouveau avec un plaisir non dissimulé. J'approchai mon visage du sien, lui déposai un baiser dans le cou et lui dis :
"Je t'aime.
-Moi aussi..."
Je restai sans voix, interloqué. Croyant qu'elle était réveillée, je n'osai plus parler. Je me rendis pourtant compte qu'elle dormait toujours. Ne sachant comment réagir, je décidai de rester avec elle jusqu'à ce qu'elle se réveille. Après tout, la journée ne faisait que commencer, je pouvais bien rester un peu avec la femme de ma vie...
Trop occupé en ce moment les gars je suis désolé Mais c'est pas parce que je ne poste rien ici pendant deux jours qu'il faut dramatiser, calmos amigos!
Nous arrivâmes à la maison troublés par cet évènement pour le moins inattendu. Et malgré la douleur qui envahissait mon visage, j'étais assailli par un sentiment de bien-être, dû au fait que j'avais pu protéger Julie et Anne-So. Bien sûr, je devais une récompense à Murphy, aussi lui offris-je un steak, qu'il s'empressa d'emporter. Les filles semblaient plus calmes que le matin même, et me regardaient avec une admiration teintée de respect. Si j'avais été un salaud fini, j'aurais tiré parti de leur état. Cependant, moi aussi je les respectais trop pour cela.
Nous étions dans le salon, passant d'un fauteuil à l'autre, nous levant et nous rasseyant, ne sachant que faire pour être à l'aise. Pour achever ce triste tableau, la pluie revint, battant le sol avec acharnement. Je lâchai enfin :
"Je n'ai pas faim ce midi, faites ce que vous voulez."
Il sembla qu'elles non plus ne voulaient pas manger, car finalement nous passâmes ce midi devant la télé. L'après-midi passait tranquillement. Plus le temps passait, et plus j'encaissai le contrecoup des évènements du matin. La fatigue me gagnait, et ce fut avec une extrême lassitude que je quittai les filles pour rejoindre mon lit, qui m'accueillit avec son grincement familier. Je ne tardai pas à tomber dans le sommeil qui suit un choc émotionnel, un sommeil d'un noir absolu. Puis, une lumière vive. Je me levai, essoufflé : une obscurité sinistre régnait dans la maison.
Avec peine, je me levai, et tendis l'oreille : aucun bruit ne filtrai d'aucune chambre. Je descendis au salon, et vis que l'écran de la télé n'affichait que de la neige, avec ce bruit si particulier de crépitement. Ne comprenant pas ce qui se passait, je cherchai désespérément un point auquel me raccrocher. J'entendis alors un jappement de Murphy, et m'en servis pour retrouver mon fidèle compagnon. Il couina de nouveau, et je frissonnai : le bruit venait de dehors, et la baie vitrée était ouverte. Il pleuvait toujours dehors, et un épais brouillard avait recouvert le jardin. Je sortis prudemment, le froid mordant me piquant l'épiderme.
Un nouveau jappement de Murphy. Les ivrognes avaient-ils décidé de revenir se venger? J'avançai péniblement, tremblant comme si mon corps avait sa volonté propre. J'aperçus soudain une tâche sombre dans l'herbe : c'était du sang. Je chutai, prenant conscience de ce qui semblait se jouer autour de moi. En relevant la tête, je trouvai une touffe de poils collés. Commençant à sangloter, je me remis debout et, quelques mètres plus loin, émergeant du brouillard, se trouvait le cadavre de mon chien, ensanglanté et mutilé. A côté de sa gueule gisait un tesson de bouteille, que je reconnus sans peine.
"T'es foutu!"
Je me réveillai en sursaut, trempé. Une main se posa sur mon épaule, ce qui me fit tourner la tête : c'était Anne-Sophie, assise à côté de moi.
"Je t'ai entendu gémir, alors je me suis levée pour venir voir ce que tu avais. Ne dis rien, je sais de quoi tu as rêvé. Chhhht, je suis là... Merci de ce que tu as fait aujourd'hui..." me dit-elle, en me prenant dans ses bras.
Je sortis de la douche, m'habillai en vitesse et descendis à la cuisine. J'eus l'agréable surprise de découvrir une table dressée, les cafés que j'avais préparés étaient servis, et une bonne odeur de croissants chauds sortait du four. Les deux filles étaient sur la terrasse, s'esclaffant sans cesse. Leurs formes étaient mises en valeur par le soleil matinal. Je m'approchai d'elles et passai un bras autour de l'épaule de chacune. Elles ne bronchèrent pas, et Julie me dit:
"On t'attendait pour prendre le petit déj, on se met en terrasse?"
Nous nous installâmes et ce ne fut qu'une fois assis que je remarquai la manière dont étaient vêtues les demoiselles : toutes deux portaient une tenue de sport moulante. Une pensée me vint immédiatement : elles me provoquaient. Cependant la vue était très réjouissante, et je passai outre cet acte barbare. Anne-Sophie ne semblait pas autant à l'aise que Julie à exposer ainsi son corps, et - cela devenait un réflexe - sa timidité m'attendrit.
"Ca te dit qu'on aille faire un peu de sport après? me lança Julie.
-Pourquoi pas, " répondis-je à moitié absorbé par la vue que m'offraient les filles.
Tant pis pour ma douche de ce matin, j'étais prêt à consentir à en reprendre une pour la simple compagnie de ma sœur et de son amie. Lorsque nous eûmes fini de manger, nous sortîmes nous promener, n'oubliant pas notre fidèle Murphy, que la promenade de ce matin n'avait nullement épuisé. Nous nous dirigeâmes vers la ville, et, en passant devant une boîte de nuit, j'aperçus un groupe de jeunes éméchés qui semblaient ne pas nous quitter des yeux...