Ouais mais même quand BrotherFic nous faisait attendre y'avait toujours plusieurs personnes pour upper, alors que là vous n'êtes que trois
Difficilement, je repris conscience. Je tentai d'ouvrir les yeux, mais la douleur m'en dissuada. Quelqu'un me tira par les bras, ce qui fit couler un léger filet de sang sur mon visage. Le noir total. Puis, de nouveau, j'entrouvris les yeux, et une vive lumière me blessa la rétine. Il me semblait impossible de reprendre pleinement connaissance. Une douleur lancinante parcourait mon corps tout entier, et j'étais transi de froid.
Je sentis qu'on m'installa sur ce que je reconnus comme le canapé du salon. Je réalisai soudain, dans un éclair de lucidité, que ce "on" était ma sœur. Cette pensée me réchauffa, ainsi que le fit la couverture dont elle me couvrit. Je plongeai de nouveau dans le néant absolu de l'inconscient.
Lorsque je me réveillai, je n'avais plus qu'une vague douleur aux omoplates, là où la traîtresse branche m'avait percuté. Je voulus me résigner à ouvrir les yeux, lorsque je sentis une main passer sur mon corps. Celle de ma sœur. Je décidai alors de feindre l'inconscience, afin de voir ce qui allait se passer...
Allez c'est dimanche, je vous fais un truc un peu long
Tandis que j'achetai lesdits préservatifs, une jolie demoiselle me frôla, et alla se placer au distributeur adjacent au mien. Elle était bien proportionnée, bien qu'un peu trop maigre à mon goût. Cependant son contact,et le fait qu'elle aussi achète des préservatifs, stimula mon imagination. Une pensée me vint. Elle, couchée sur le dos, soufflant sous les coups de butoir de quelque homme, puis ouvrant sa bouche pour en accueillir un second. Finalement, elle jouissait sous deux jets chauds et laiteux.
Je me repris et filai en vitesse.
Je rentrai tranquillement à pied, sifflotant sous la pluie - et sous l'air amusé de quelques badauds qui avaient eux aussi le courage d'affronter les éléments.Je changeai subitement d'itinéraire afin de me diriger vers l'allée où habitait un de mes plus anciens amis. Les courses pourraient bien attendre une heure ou deux.
Arrivé devant son porche, je sonnai. Un instant plus tard, il m'ouvrait la porte et me faisait entrer dans sa maison où régnait une douce chaleur et un calme appréciable.
"T'es malade khey, y'a des jours où faut pas sortir et je crois que t'as choisi le bon! me lança-t-il en riant.
-Qu'est ce que tu veux, faut bien remplir les placards! lui rétorquai-je."
Tandis qu'il m'emmenait dans sa cuisine, j'aperçus en passant devant sa chambre à la porte entrouverte, une jolie paire de fesses. Alors sa copine était chez lui... Il avait bon goût, pour ce que je pus en voir.
Installés à table, nous nous mîmes à discuter de l'avancement de sa formation militaire. Il était très satisfait de ce qu'il y apprenait, et montrait ouvertement son mépris à ceux qui disaient qu'être soldat et avoir une attache sentimentale était impossible.
J'hésitait à lui parler de cette nuit mais, jugeant qu'il ne pourrait comprendre, je m'en abstins. Je lui affirmai cependant:
"Tu sais, si jamais quelqu'un te dit que je suis gay, joue le jeu, j'ai lancé ça y'a un moment et ça m'amuse pour l'instant.
-T'aurais pu me sortir l'excuse du pari raté, ça n'aurait rien changé! "
Au fur-et-à-mesure de nos discussions, nous vidions quelques bières, mais, lorsque je le vis sortir une bouteille de Ricard, je l'arrêtai:
"Le temps se dégrade tu sais, je veux rentrer tant que c'est possible. Et puis il y a ta chérie, je voudrais pas vous déranger!" lui lançai-je avec un clin d'œil.
Une empoignade amicale plus tard, je me retrouvai de nouveau sous la pluie battante, sur le chemin du retour. Désormais les rues, déjà peu peuplées, avaient été désertées. Le bulletin d'alerte s'était-il aggravé? Et, au moment même où je formulai cette pensée, une violente bourrasque me frappa le visage. Me rendant compte de la sombre teinte du ciel, je me mis à courir. La maison n'était plus qu'à une centaine de mètre. Déjà j'apercevais le garage, derrière le gros chêne sous lequel j'avais une fois - et pas la dernière - embrassé ma cousine.
Je m'élançai vers la porte d'entrée, quand je fus soudain plaqué contre le mur par un souffle puissant. Je chutai lourdement au sol, la tête dans une flaque. Désorienté, je tentai de me relever, mais une branche du même chêne céda sous les impitoyables coups de la nature, et vint me percuter le dos, me ramenant le visage dans l'eau froide. Péniblement, dans un dernier accès de conscience, je roulai sur le côté, et restai allongé. Je perdis lentement connaissance...
Me remettant difficilement de mes émotions, je sortis à contrecœur de ma salle de bain, et m'habillai rapidement. Je jetai un œil à l'extérieur et constatai que la pluie battait violemment la pelouse, tandis que l'orage tonnait sur la ville à quelques kilomètres de là. Les nuages semblaient s'accrocher aux sommets des montagnes voisines, les majestueuses Alpes du Sud. Et je songeai, non sans ironie, qu'au bas de cette chaîne deux collines semblaient être une magnifique paire de seins rebondis.
Feignant d'entrer dans ma chambre comme si de rien n'était, je dis à Julie :
"Je sors marcher, je passe faire les courses en même temps!"
J'enfilai une veste, pris un parapluie et sorti sous les bourrasques violentes. Jamais faire cela ne m'avait fait peur, bien au contraire. Sortir affronter les forces de la nature me donnait l'impression d'être vivant, sentir les gouttelettes battre mon visage me procurait des sensations sans pareil - bien que fades par rapport à celles que j'avais connues cette nuit.
Je parcourus un bon kilomètre avant de bifurquer à droite et d'entrer au supermarché. Je pris ce qu'il me fallait et, en sortant, je ne pus m'empêcher d'acheter quelques préservatifs. Nos parents partaient ce soir pour leur voyage de conscrits, ce qui me laissait le champ libre pour préparer une superbe soirée pour ma sœur et moi...
Allez on s'y remet
Notre maison était faite de telle manière que nous étions séparés de nos parents et avions un semblant d'autonomie, et donc d'intimité. Aussi je ne m'inquiétais pas d'être surpris dans cette délicate position.
Mon sexe se faisait de plus en plus dur, il se tendait à m'en faire mal, comme s'il ne s'était rien passé cette nuit. Ne pouvant plus me retenir, je fis lentement glisser mon boxer le long de mes cuisses, découvrant mon membre dressé comme jamais je ne l'avais vu.
La porte était suffisamment entrouverte pour laisser sortir un peu de buée, ainsi je pouvais distinguer assez clairement ma sœur sans qu'elle ne puisse se douter de ma présence. Saisissant mon courage - et mon pénis - à pleine main, je commençais à me masturber en regardant ma sœur se doucher.
Ce doux mouvement de va-et-vient correspondait parfaitement à celui qu'effectuait Julie pour se frotter, tantôt les seins, tantôt le ventre, et finalement son magnifique postérieur. Elle se cambrait, et m'offrait un spectacle inimaginable. Des gouttes d'eau perlaient de ses tétons, tandis que je sentais monter en moi une implacable et puissante jouissance.
Mon membre pulsait au rythme de mon corps tout entier, mon cœur envoyait le sang dans mon entrejambe à un débit digne des plus grands sportifs. Et alors que j'accélérais le mouvement de ma main, ma sœur se baissa afin de ramasser son shampoing.
J'éjaculai violemment dans mon boxer à la vue de son petit trou rose qui me narguait, au dessus de ses lèvres humides et charmantes. Je finis alors mon plaisir solitaire en admirant le rebondissement de son fessier sans pareil...
Allez mes frayres j'y vais
Comme tout bon frère se respectant, je rangeai le plateau et l'emmenai à la cuisine. Je remarquai alors que je ne m'étais pas habillé et que depuis ma douche je n'avais qu'un boxer (propre cette fois-ci). Il était souple et son contact contre mon pénis était tout à fait agréable. Tandis que je mettais tout au lave-vaisselle, j'entendais ma sœur faire couler l'eau de la douche afin de chauffer l'eau, et je ne pus m'empêcher de penser (une fois de plus) au formidable moment que j'avais vécu cette nuit.
Ayant fini la corvée, je me dirigeai à pas de loups vers ma chambre, et, une fois entré, mon regard fût attiré par un amas qui traînait au sol : c'étaient les sous-vêtements de ma sœur ainsi que sa nuisette. Je les pris délicatement et ne pus m'empêcher de les sentir. Le doux arôme légèrement exotique du parfum de ma sœur emplit mes narines, mélangé à l'odeur de son corps voluptueux. Une érection pointait en bas, que je ne pus retenir.
Je reposais la lingerie exactement où je l'avais prise, et j'entrepris d'ouvrir la porte de ma douche. Avec précaution, j'abaissai la poignée : elle n'était pas bloquée.
Le bruit de l'eau chaude de l'intérieur - et des bourrasques froides de l'extérieur - masquaient les bruits de mes actes. Lentement, j'entrouvris la porte. Une bouffée d'air chaud et humide me sauta au visage. La pièce était emplie de condensation, et, derrière ce rideau immatériel, je distinguai les formes généreuses de ma sœur...
Je gueulais sur ceux qui voulaient créer une suite mais ça c'était avant de voir que l'auteur ne valait plus grand chose depuis qu'il nous a lâchés
Merci à Sandy d'avoir donné un nouveau souffle à la fic Et m'en voulez pas si je commets quelques incohérences, je ne me rappelle plus tous les détails sur l'arrière-plan.
Allez, la sweet
Tandis que je faisais chauffer l'eau pour le café, je remarquai que le temps était exécrable, et que le martèlement de la pluie n'avait pas cessé depuis le début de l'orage. Bien au contraire, il s'était même accentué. Je regardai la météo sur mon portable et ce que je vis rempli mon esprit de joie : un avis de tempête était lancé, pour plusieurs jours! Ma sœur détestant les orages, cela me promettait de douces et chaleureuses nuits... Mais j'évitai de trop y penser, afin de ne pas être déçu si jamais rien ne se passait.
Je dressai un plateau complet- avec les cafés, jus d'orange et quelques viennoiseries à préparer au four- et me rendis dans ma chambre. Il était 6h, et ma sœur était resplendissante, dans sa légère nuisette blanche. Elle était recroquevillée dans le lit, dos à la fenêtre afin de ne pas voir le déchaînement des éléments qui avait lieu dehors.
Je posai le plateau au bord du lit en prenant garde de ne rien renverser, et glissai au passage un œil dans le décolleté de Julie, apercevant ses deux seins si bien sculptés collés l'un contre l'autre. Je ne pus retenir un frisson, qu'elle ne sembla cependant pas remarquer.
"Le ptit déjeuner est servi, ma chère."
Elle esquissa un sourire et déposa un baiser sur ma joue, avant de répondre:
"Merci de m'avoir laissée dormir avec toi, j'espère que je ne t'ai pas dérangée?
-Bien sûr que non, j'ai très bien dormi! Et toi, cet orage ne t'a pas gênée?
-Non, ta présence m'a vraiment soulagée, dit-elle en baillant. Me permets-tu d'aller prendre une douche après?
-Si tu veux, mais pour l'instant elle est encore mouillée, j'en ai pris une. En attendant que ça sèche un peu, si on passait à table?"
Elle me sourit à pleine dents, ravissante, et me fis signe de m'asseoir. Comment refuser? J'allumais ma télé, et nous regardâmes le bulletin météo qui annonçait les mauvaises nouvelles que j'avais vues peu avant. Julie trembla, et ses seins suivirent le mouvement de son corps gracieux. Je passai mon bras autour de son épaule, en prenant garde de ne pas renverser mon café brûlant juste au dessus de mon sexe.
Plus la fin du petit déjeuner venait, et plus la douche de ma sœur approchait...
Il n'était que 5h du matin, mais il était courant que je me lève tôt afin d'aller faire un footing, aussi cela ne parut pas choquer ma sœur outre mesure puisqu'elle ne fit aucune remarque en me voyant partir pour la douche.
Je me déshabillai, le boxer marqué par quelques jets de ma récente éjaculation, et entrai dans la cabine.
L'eau chaude me fit un bien fou, et je me laissai aller à des pensées agréables. Je me disais que ce que je venais de vivre était jusque-là un rêve inavoué, un tabou que seul mon imagination avait vu. Et, alors que je croyais la situation désespérée à cause de ma prétendue homosexualité, voilà que ma sœur m'avait prouvé, sans autre argument que sa douce main, que tout était encore possible.
L'eau coulait le long de mon corps, sur mon sexe encore dur, et je revivais intérieurement cette douce sensation que ma sœur venait de me faire connaître.
Cependant, une pensée particulière assombrit les autres : demain matin, il faudrait que j'affronte son regard, à elle qui pensait que je ne savais rien de ce qui s'était déroulé dans le secret d'un lit douillet. Que pourrais-je faire ou dire?
Et après tout, le moment n'était pas venu. J'allais profiter du jet d'eau chaude jusqu'à être détendu autant qu'il m'était possible.
Une fois ma douche finie, je sortis le plus doucement possible, et déposai délicatement un baiser sur la joue de cette incroyable fille qui dormait maintenant paisiblement, puis je m'attelai à préparer le petit déjeuner...
Dites ce que vous en pensez
BrotherFic + 10000
La qualité n'était pas la même qu'avec toi mec, mais pour ça faudrait que tu reviennes...