Mais non je n'ai pas de vie je suis une entité métaphysique entièrement dévouée au forum ))">
bipdelo aucune idée
Je retournai me coucher avec une érection incontrôlable mais, étrangement, je plongeai immédiatement dans le sommeil. Un sommeil qui, au réveil, me laissa sans souvenir d'un quelconque rêve. Il était sept heures - l'habitude avait la peau dure. La maison était parfaitement silencieuse, et même la nature semblait avoir calmé ses ardeurs. Un épais brouillard planait sur le quartier, mais au dessus je pouvais apercevoir les chauds rayons du soleil qui illuminaient le sommet des montagnes. En temps normal, j'aurais été content, cependant cela voulait dire que ma sœur ne reviendrait pas dans ma chambre...
Je fus perturbé par cette pensée. Me mettais-je à avoir des sentiments pour ma propre sœur? Je décidai d'arrêter de penser ainsi, peu importe les efforts qu'il fallait m'imposer pour cela, et de me concentrer sur ma relation avec Anne-So. Je devais considérer la journée d'hier comme une exception, où Julie et moi n'étions pas dans notre état habituel - ce qui était en partie vrai.
Et, tout en ruminant ces pensées, je descendais à la cuisine. Murphy se roulait sur le dos, attendant que je lui caresse le ventre. "En voilà un qui n'a pas de problème", pensai-je.
Je préparais de quoi faire plusieurs cafés et, estimant que les filles ne seraient pas levées avant une bonne heure, je partis courir avec le chien. La température s'était considérablement élevée avec l'arrivée du soleil, et il faisait bon bouger un peu. D'autres personnes matinales avaient la même idée que moi, et l'agitation - toute relative - des rues et des sentiers piétons tranchait avec la désolation qui régnait la veille. Quelques jeunes demoiselles couraient en petite tenue moulante, et je ne pouvais m'empêcher de penser que cela aurait été sujet à moult critique sur un forum que je fréquentais. J'eus même le plaisir de croiser une amie dont le fessier semblait avoir une volonté propre tant il se balançait au fil des mouvements. Je rentrai à la maison pleinement satisfait et détendu, et entrepris de prendre une douche.
L'eau chaude me fit un bien fou, et je restai plongé dans mes pensées, lorsqu'un mouvement à la périphérie de mon champ de vision me fit réagir. Faisant comme si je n'avais rien vu, je portai cependant mon regard dans la direction du mouvement, et je compris que quelqu'un avait ouvert la porte - et m'observait. C'était Anne-Sophie. Ayant conscience de sa présence, je mis mon corps en valeur tandis que je me lavais, et je n'oubliai pas de frotter énergiquement mon pénis. Lorsque je coupai l'eau, la porte se ferma. Sans doute avait-elle vu ce qu'elle voulait - à mon insu, pensait-elle. Mais moi aussi, j'avais eu ce que je voulais...
Me voilà menacé par un chaton rubis Je m'exécute, ô chat!
Je pris une couverture dans mon placard (peut être avait-elle réellement froid?) et sortis, non sans peine, de ma chambre plongée dans la pénombre. Il en était de même dans le couloir, et, tâtonnant tout en évitant de chuter lourdement comme le dernier des incapables, je cherchai la porte voisine. Elle était toujours fermée, aussi l'ouvris-je lentement. Elle grinça légèrement. J'aperçus à la vive lueur d'un éclair le corps d'Anne-Sophie, grelotant hors du lit. Je fus déçu de voir qu'elle m'avait appelé pour la raison qu'elle avait avancée. Je m'approchai, en chuchotant : "Ca va aller?"
Elle ne me répondit pas, et je dus m'approcher pour constater qu'elle s'était presque entièrement déshabillée, seuls son soutien-gorge et sa culotte la couvraient, et un nouvel éclair me laissa admirer sa beauté, trop brièvement à mon goût. N'osant pas m'affirmer, comme rendu humble par l'apparition de cette sublime créature nocturne, je me contentai de passer la couverture sur ses épaules et de m'asseoir à ses côtés. Le lit plia un peu sous mon poids.
"Je tremble comme quand je suis rentrée chez vous, tout à l'heure, lâcha-t-elle dans un soupir. Je suis désolée de te déranger en pleine nuit. Et merci de m'avoir montée dans la chambre.
-Je n'allais pas te laisser dormir sur la chaise, répondis-je bêtement avec un sourire gêné.
-Pendant un instant, blottie contre toi, j'oubliai que tu é... é... étais gay, sanglota-t-elle. Depuis que je connais ta sœur, je te vois presque chaque semaine... Je t'ai vu grandir et devenir l'homme que tu es aujourd'hui, et.. et... Et je n'ai jamais pensé à te dire ce que je pensais de toi, et maintenant il.. il est trop... tr... trop tard."
Mon cœur s'emballa, un frisson me parcourut l'échine. Mon esprit s'embruma l'espace d'un instant, tiraillé entre deux désirs trop puissants et une révélation à la quelle je n'étais pas prêt. J'avais devant moi l'occasion de concrétiser un de mes plus grands fantasmes, de repousser ce mensonge ridicule qui m'apparaissait désormais comme un poids duquel il me fallait me libérer. Je me maudissais intérieurement d'avoir succombé à mes désirs pour ma sœur en fouillant dans sa chambre, tout en me rappelant que cela m'avait conduit aux douces sensations que cette dernière m'avait procurées. Que faire? Que faire???
Elle était presque nue, à mes côtés, dans une chambre suffisamment loin pour que Julie n'entende absolument rien.
Je pris soudain une décision. Je retirai la couverture de ses épaules et passai mon bras autour. Je caressai délicatement sa peau, sentant tout son corps trembler - de froid ou d'émotion?
L'obscurité aidant, je déposai un baiser dans son cou, puis sur sa bouche. Un baiser passionné, langoureux. Puis je me levai, et, tout en sortant de la chambre, je posai mon index sur ma bouche, lui intimant le silence.
En quittant cette chambre, je me dis que je l'avais laissée avec un message, que j'espérais qu'elle comprendrait : espère.
Allez, pour me faire excuser du retard, et maintenant que j'ai décuvé, la sweet
Je cherchai en vain le sommeil, qu'il m'était impossible de trouver puisque je ne pouvais m'empêcher de penser, penser encore et encore à la situation à laquelle j'étais confronté. Avec du recul, j'aurais pu me dire qu'il valait mieux prendre les choses comme elles venaient, mais je n'avais pas ce recul. J'avais peur d'avoir commencé à ruiner ma réputation sans avoir de garantie du résultat. Je me résignai à allumer mon ordinateur, et me mis à regarder Reservoir Dogs. Je reçus soudain un message sur Facebook. Qui pouvait vouloir me parler à deux heures?
"J'ai froid..."
Je dus relire plusieurs fois le nom de la personne qui m'avait envoyée ce message, ne pouvant y croire. Je ne pus m'empêcher de lâcher un petit rire : c'était Anne-Sophie. Je me décidai à entrer dans son petit jeu et lui répondis.
"Tu veux peut être que je monte le chauffage? ;) "
J'attendais avec un certain amusement l'apparition du "Vu : 02:11"
Ce dernier ne tarda pas à arriver, avec une réponse inattendue de la part d'Anne-So:
"Non j'ai vraiment très froid tu peux venir?"
Le seul indicateur de son état d'esprit était l'absence de smiley, c'était pourquoi je n'aimais pas discuter sans entendre la voix de la personne.
Pesant de nouveau le pour et le contre, je ne savais si je devais aller la voir ou non. Elle ne pouvait se douter que ma tendance sexuelle était un mensonge, aussi pouvais-je y aller sans risque. Je me levai, n'enfilant qu'un simple T-shirt qui moulait mes muscles. Quitte à faire bonne impression...
Hum non pas du tout
Elle sembla même se blottir contre moi, à moitié endormie. Je la posai dans la chambre d'ami, mais je n'osai plus la toucher ensuite. J'étais subitement confronté à un dilemme dont l'importance me semblait décisive : devais-je prendre le risque de ruiner ma couverture d'homosexuel en "tentant" le tout pour le tout, ou bien prendre mon mal en patience afin que le final n'en soit que meilleur?
Ne pouvant me résigner à tout perdre sur un coup de tête, je me contentai de la glisser sous les couvertures, encore vêtue de la magnifique robe. Cependant, je ne pus m'empêcher de déposer un baiser près de ses lèvres, avec tendresse. Il me sembla qu'un sourire presque imperceptible se dessina sur ses lèvres, bien qu'il soit plus probable que je l'aie imaginé. Je sortis en catimini et fermai la porte, au moment même où la lumière se coupait de nouveau. Retenant un cri d'exaspération, je retournai voir le panneau, mais malgré mes manipulations, le courant ne revint pas. L'orage au dehors n'avait pas faibli, et son grondement profond tranchait singulièrement avec le calme qui régnait dans la maison. M'éclairant avec mon portable, je m'assurai que toutes les portes étaient fermées et que Murphy avait encore de l'eau dans sa gamelle, avant de monter me coucher. L'alcool avait réussi à supprimer la phobie de l'orage chez ma sœur, si bien que je me retrouvai seul dans mon lit qui me paraissait désormais trop grand pour moi seul.
Je repensai à la délicieuse fille qui se tenait à quelques mètres de moi, séparée de mes désirs par un simple mur. Je connaissais Anne-Sophie depuis mon enfance, ou tout du moins depuis que Julie la connaissait. Elle avait toujours porté son masque de timidité touchante, ce qui m'avait toujours étonné chez une fille qui avait pourtant toutes les raisons pour avoir confiance en elle. Elle était intelligente, toujours réconfortante mais réservée. Ses atouts s'étaient présentés plus tôt que ceux de ma sœur et, bien que je ne lui en ai jamais parlé, j'avais toujours éprouvé pour Anne-So une attirance peu commune. Pourquoi ne lui en avais-je jamais parlé? Sans doute parce qu'avant que je ne lui expose ma prétendue homosexualité, elle n'avait jamais témoigné de sentiments amoureux envers moi. Ainsi, ce mensonge pouvait m'apporter ce que je recherchais, si tant est que je pusse le mener correctement.
Entre deux fêtes de 18 ans et une partie de chasse, je viens pour vous remercier Aujourd'hui et demain je ne serais vraiment pas en état d'écrire, déjà là c'est dur, mais merci à vous de me suivre!
Et Anne-So ne devient pas hot, elle est plutôt influencée par Julie... Mais vous verrez la suite
Et depuis, je n'avais jamais été aussi près de recommencer avec Camille que lorsqu'elle m'avait vu nu, en érection, il y a à peine deux jours. J'avais eu entretemps quelques relations, mais ma sœur n'en avait rien su, ce qui expliquait qu'elle n'avait pas bronché à l'idée que j'étais gay. En réfléchissant à cela, je me dis que peut être je devais "calmer le jeu", et éviter de ruiner ma double identité sur un coup de tête.
Ces souvenirs étaient revenus à la surface en un instant, à la simple évocation de cette soirée. J'espérais ne rien avoir laissé paraître sur mon visage, et je repris la discussion. L'éclairage de la pièce mettait en valeur les décolletés des jeunes femmes, et leurs coiffures soignées soulignaient les courbes fines de leurs visages. J'étais sous le charme. Nous entamions la seconde bouteille lorsque l'éclairage se coupa. Un silence de mort régna un instant, avant qu'un éclair n'illumine la pièce, suivi de la détonation puissante du tonnerre. Julie sursauta. Ainsi, l'orage était revenu, plus décidé que jamais à se déchaîner librement.
"Ne bougez-pas, je vais relever le disjoncteur" leur dis-je.
A tâtons, je parcourais la maison, m'aidant de la lueur faible de mon portable afin d'éviter de m'étaler par terre. Ayant trouvé le panneau, je l'ouvrai et, parcourant les boutons grâce au pâle halo de lumière, j'enclenchais l'alimentation générale qui s'était coupée. Subitement, la pièce baigna dans une blancheur immaculée. Je remis tout en place et entrepris de retourner dans la cuisine, lorsque j'entendis les voix de Julie et Anne-So, qui chuchotaient. Elles parlaient sans aucun doute de moi. Je souris à cette pensée, et entrai avec nonchalance dans la pièce. Nous passâmes au dîner, qui se déroula dans la droite lignée de l'apéritif : dans la bonne humeur. Je remarquai cependant un détail : pendant mon absence, Anne-So avait défait un bouton de sa robe, qui libérait légèrement sa belle paire de seins. Cela m'était clairement destiné.
A la fin du repas, nous effectuèrent les corvées d'usage, puis nous nous posâmes sur le canapé, sirotant un cocktail sucré à l'alcool de litchi. Ce même alcool aidant, l'ambiance était plus que détendue, et je me retrouvai très vite entre deux filles qui s'endormaient. Avec précaution, je montai ma sœur dans sa chambre. Puis je redescendis, et attrapai Anne-Sophie et, la plaçant tout contre moi, je sentis son souffle sur mon torse. Elle ne broncha pas, et je la transportais délicatement jusqu'à sa chambre.
Il y a 5cm de neige chez moi, des jaloux?
Vous me pardonnerez si les dédis sont assez anecdotiques dans le récit (pour l'instant), mais je ne veux pas le surcharger et que ça casse le rythme en vous rappelant "koukou vous êtes dans une fic "
J'espère que vous comprendrez!
Et si jamais vous avez des suggestions, des conseils, pour améliorer mon style afin de tendre vers ce que vous préférez, n'hésitez pas, je suis très ouvert et c'est la première fois que j'écris autant dans ce registre alors je comprends que ce soit bancal
Il faisait froid et humide dehors, et encore plus après avoir quitté les douces flammes. Emmitouflés dans nos sacs de couchage, il m'était impossible de trouver le sommeil. Camille, en revanche, semblait dormir. J'étais seul face à mes pensées et mes angoisses du moment, à savoir que j'étais isolé dans une forêt, avec pour seul rempart face à l'impitoyable nature une toile de tente.
A l'époque, internet, les smartphones, et leurs prouesses communes, n'existaient pas encore, je n'avais donc aucun moyen de me divertir ou d'attendre le sommeil, autrement qu'en le laissant venir.
Mais ce fut autre chose qui vint : mon pénis se durcit, sans raison apparente. En touchant mon membre dressé, mes pensées dérivèrent naturellement vers des images qui ne firent qu'amplifier mon érection. "Quitte à se réchauffer..."
Je baissai mon pantalon et commençai à me masturber dans l'espace restreint du sac de couchage, ce qui produisit un bruit à réveiller les morts. M'arrêtant net, j'entendis la respiration calme de ma cousine. Elle dormait toujours. Effrayé à l'idée de la réveiller par le bruit, je décidai de ne pas me toucher. Et lentement venait le sommeil...
Un frisson me réveilla. Avais-je réellement dormi ou n'étais-je entré que dans la simple phase de semi-conscience? Peu m'importait de le savoir, car je me rendis compte que mon sac était ouvert, et que quelque chose se trouvait sur mon entrejambe. Il me fallut un instant pour me rendre compte que c'était la main de Camille qui palpait mon pénis par dessus mon pantalon. Je la regardai, étonné, mais elle posa un doigt sur ma bouche pour m'imposer le silence, et prit ma main gauche, qu'elle posa entre ses cuisses. Elle était en culotte, et, sans réfléchir, je la baissai et commençai à caresser sa fente rose. Elle fit de même avec mon pantalon, et posa sa main chaude sur mon pénis gonflé à m'en faire mal.
Nous nous masturbâmes sensuellement, avec attention - et maladresse, poussant occasionnellement de petits gémissements étouffés. Elle mouillait légèrement, tandis que sur mon sexe gouttaient quelques perles. Nous jouîmes en même temps, et restâmes un long moment avec nos mains sur la partie la plus intime de l'autre, à nous caresser avec affection.
Julie ne vire pas vraiment chaudasse, puisque tout ce qu'elle fait son frère est sensé l'ignorer, mais je prends note de ton avis
La pluie continuait de battre le sol à un rythme effréné tandis qu'au loin de puissantes barres de feu zébraient le ciel. Qu'il faisait bon être à l'intérieur! J'avais dressé une table élégante et sobre, sur une belle nappe blanche étaient placés les verres et les hors-d'œuvre de ma confection. Assis sur le fauteuil du salon, je regardais Murphy dormir paisiblement, une patte bougeant de temps à autre durant son sommeil. Il était huit heures et quart, et les filles n'étaient toujours pas descendues, faisant honneur à la réputation féminine. Lorsqu'elles descendirent enfin, je me rendis compte que l'attente était amplement récompensée. Ce fut Julie qui descendit la première, dans une magnifique robe longue noire et pailletée qui moulait admirablement ses formes - bien que le décolleté fut trop peu marqué. Suivait Anne-So, plus timidement, presque craintivement, qui portait également une robe longue d'un mauve profond qui prenait des teintes bleutées à la lumière. Ses formes n'étaient pas en reste non plus et ressortaient à la perfection. Elle me lança un regard furtif empreint de ce que je crus être de l'appréhension.
Ses beaux yeux couleur noisette avaient calmé mes ardeurs, et je dis presque avec respect:
"Si nous commencions cette soirée?"
Toutes deux acquiescèrent avec un léger sourire. Le pétillant se révéla doux en bouche, avec une touche fruitée agréable, et l'ambiance sembla se détendre d'un cran. Nous commençâmes à parler de notre enfance que nous avions en quelque sorte passée ensemble. Les souvenirs remontaient, certains joyeux, d'autres plus anodins. Nous revenaient les visages de Martin Gigantin, le grand black, ami de nos parents, qui nous avait donné Murphy; de Thibaut Disizsparta, qui venait souvent à la maison nous garder. Des hommes qui avaient marqué, à différents degrés, notre vie.
Revenaient aussi les douces soirées autour d'un feu de camp avec Camille et mon ami Maxime. Tout cela, nous l'avions vécu ensemble.
Puis vint le moment où nous évoquâmes une soirée spécifique. Vers nos 13 ans, nous étions partis bivouaquer alors que nous étions en colonie en Haute-Savoie. L'heure d'aller se coucher était venue, et nous nous étions glissés dans nos sacs de couchage respectifs, répartis en binômes sous des tentes. J'étais avec ma cousine...
[JV]Deathknight coucou petit kikoolol avec un pseudo tellement inspiré qu'on le croirait prit par un enfant Tu essaies de jouer le critique mais si tu avais un tant soi peu d'intelligence tu te demanderais s'il est possible de copier un style d'écriture aussi facilement, et tu te rendrais compte que c'est pas vraiment possible.
De plus si tu trouves vraiment que j'ai aucun talent, je t'en prie, reprends la fic avec ton incroyable talent qui sera, je n'en doute pas, supérieur au mien.
M'a soulé ce con
Ce sont peut être des chtis expatriés dans le sud, qui sait...
Arrivait l'heure du dîner, que j'avais - en toute modestie - bien préparé. Une odeur que ma sœur jugea "d'alléchante" s'échappait du four, et trois verres d'un pétillant, remplis équitablement, trônaient sur la table.
Les filles arrivèrent soudain et s'esclaffèrent:
"Pourquoi ne ferait-on pas une petite soirée 'chic' ? On se met tous sur notre trente-et-un, et hop!"
Je ne pus qu'acquiescer, trouvant cette proposition des plus attirantes.
Ainsi, je montai dans ma chambre, tandis qu'Anne-So allait dans celle de Julie afin de lui prendre une robe. En deux minutes j'étais prêt, portant un ensemble costume/pantalon d'un noir profond avec un léger effet satiné et un gilet de costume blanc et noir. Ayant les cheveux courts, je me contentai de passer une légère couche de gel dans ces derniers et, me jugeant prêt, je sortis de ma chambre. Celle de ma sœur était à l'opposé dans le couloir, à deux portes de la mienne. Voyant sa porte entrouverte, j'y jetai un œil indiscret avec milles précautions. Les filles s'y changeaient.
Cependant, cette porte ouverte tombait de manière trop opportune, et j'y devinai un piège des deux sublimes créatures. Sans doute voulaient elles me mettre dans une situation compliquée, ce qui ne manquerait pas d'arriver si elles me voyaient les épier de la sorte.
Je ne renonçai pas pour autant à mes instincts d'homme, et décidai de passer par le balcon de nos parents, qui était adjacent à celui de Julie. Une fois dehors, protégé de la pluie par le toit de la maison, je pus les observer à loisir.
Mon intuition était tombée juste, en effet régulièrement jetaient-elles des coups d'œil vers la porte. Quelle joie de les prendre à leur propre piège. Elles étaient dans leur plus simple appareil, exposant leurs corps parfaits à mes yeux, remuant leurs poitrines volumineuses et leurs fesses rebondies tandis qu'elles essayaient telle ou telle robe.
De leur entrejambe émergeait une ligne de poils fins, presque identiquement rasés chez les deux femmes. Parfois écartaient-elles les cuisses en se bousculant, montrant à mes yeux leurs lèvres roses.
Décidant de ne pas réitérer une masturbation déjà bien pratiquée aujourd'hui, je rentrai à regret et descendis à la cuisine..
Oulah laissez moi le temps de revenir les amis
Pendant un moment, je ne sentis plus rien. Je me dis alors qu'elle était partie. Mais de nouveau sa main effleura mon bas-ventre, et elle retira la couverture. Je sentais mon excitation monter, alors qu'elle ne m'avait pas encore vraiment touché. Soudain, elle m'enleva mon T-Shirt trempé et mon pantalon qui n'était guère mieux. Je tentai tant bien que mal d'éviter une érection, tandis qu'elle se mit à m'essuyer avec une serviette chaude et douce. Je me sentais traité comme un nourrisson, et cette pensée, qui d'ordinaire aurait blessé mon orgueil, me plaisait curieusement. Je n'avais qu'à laisser ma sœur faire ce qu'elle voulait de moi.
Lorsque je fus sec, elle s'en alla dans la cuisine. Quand elle revint, il me sembla qu'elle attendit, immobile, penchée sur moi. Je sentais son souffle chaud sur mon épaule. Sans doute s'assurait-elle de mon état. Me jugeant suffisamment plongé dans un sommeil profond, elle se déplaça. Sa respiration se fit sentir au niveau de mon entrejambe. Ne pouvant me retenir davantage, j'ouvrai très légèrement un œil. Elle était très légèrement vêtue, et sa lourde poitrine tendait vers mon corps tendit qu'elle se penchait de plus en plus, toujours très lentement.
Bientôt je sentis mon boxer tiré vers mes jambes avec délicatesse. Une main chaude, douce, se posa sur mon sexe encore au repos. Tout en maintenant ce dernier collé contre mon ventre, elle le frotta avec amour tandis que de son autre main elle commençait à se masturber. Je durcis sans peine, plongé dans un état de semi-conscience que je n'avais jamais vécu. Puis commencèrent les va-et-vient sensibles, appliqués. Et enfin, je sentis sa langue toucher mes bourses, et remonter le long de mon pénis jusqu'à mon gland, qu'elle lécha tendrement...
Ouais jsuis un salaud