Sur les 19 présumés terroristes ayant embarqué dans 3 aéroports différents, pas un seul n'est repérable sur les images de vidéosurveillance. Ni à l’enregistrement, ni dans la zone de transit, ni à l’embarquement, ni dans les escalators, ni nulle part ailleurs.
Aucun des agents de surveillance ou de fouille des 4 vols ne se souvient avoir vu ne serait-ce que l'un d'entre eux.
Les boîtes noires, éléments qui auraient permis d’entendre les voix des terroristes prenant le contrôle des avions, parlant arabe, s’invectivant par leurs prénoms etc, ce qui aurait permis de les identifier, ont malencontreusement toutes subi des problèmes divers.
Il existe 2 types de boîtes noires, quasi indestructibles dans chaque avion, 1 enregistrant les voix du cockpit, l’autre stockant les informations techniques du vol. Concernant la première catégorie :
- La boîte du vol 11 ne fut jamais retrouvée.
- La boîte du vol 175 ne fut jamais retrouvée.
- La boîte du vol 77 fut retrouvée, mais « trop endommagée pour être utilisable ».
- La boîte du vol 93 fut retrouvée, et est utilisable. Son contenu ne fut cependant inexplicablement jamais publié. Des familles de victime ont formulé une requête en décembre 2001 pour que le contenu soit publié. Le FBI refusa la demande.
Concernant la deuxième catégorie :
- La boîte du vol 11 ne fut jamais retrouvée.
- La boîte du vol 175 ne fut jamais retrouvée. (On en est à 4 boîtes noires orange fluo, quasiment indestructibles qui ne sont pas retrouvées alors que les débris ont été si méticuleusement analysés et triés que des dizaines de montres, de billets de banque et des seaux de pièces de monnaie ont été récupérés)
- Les boîtes des vol 77 et 93 furent retrouvées et utilisées. Cependant, un problème majeur se pose.
Chaque boîte noire de ce type possède une immatriculation permettant de la relier à son avion. Dans tous les accidents de vol des 20 années précédant le 9/11, le rapport d’enquête mentionne scrupuleusement le matricule de la boîte et de l’avion.
Pour une raison inconnue, dans le rapport des vols 77 et 93, ces immatriculations sont absentes.
Plusieurs «freedom of information act request» (une requête d’information) ont été formulées au NTSB, à l’administration de l’aviation fédérale et au FBI pour obtenir des explications, mais toutes ces requêtes furent inexplicablement rejetées. En conséquence, rien ne permet d’affirmer que les informations retirées des boîtes noires viennent bien des deux vols en question.
En résumé, sur 8 boîtes noires quasi indestructibles, 4 ne furent jamais retrouvées. 1 est inutilisable. 1 ne fut jamais publiée. 2 furent publiées, mais sans l’immatriculation. Une série de coïncidences qui dépasse l'entendement.
Dès 1999, les services de renseignement britanniques mettent en garde les Etats-Unis : Al-Qaida a l'intention d'utiliser « des avions de ligne de façon non conventionnelle, peut-être comme des bombes volantes » (Sunday Times, 9/06/02). Ils surenchérissent le 16 juillet 2001 : Al-Qaida se trouve en « phase préparatoire ultime » d'un gigantesque projet terroriste (London Times, 14/06/02).
Fin juillet 2001, le ministre des Affaires étrangères afghan (sous le régime Taliban !) informe les Etats-Unis qu'Al-Qaida projette « une énorme attaque sur le sol américain » et que cette attaque est imminente (The Independent, 7/09/02).
Courant août, les services de renseignement américains reçoivent des informations éloquentes de la part de leurs homologues marocains et jordaniens : Al-Qaida prépare « des opérations de grande envergure à New York dans l'été ou l'automne 2001 » avec les tours jumelles pour cibles selon les premiers (AFP, 22/11/01 ; International Herald Tribune, 21/05/02), une attaque majeure utilisant des avions de ligne se prépare sur le sol américain selon les seconds (International Herald Tribune, 21/05/02).
Le 6 août 2001, une note d’alerte de la CIA adressée au Président Bush et intitulée « Ben Laden Déterminé à Frapper aux Etats-Unis » prévient très clairement de l’imminence d’une attaque sur le sol américain et donne des indications pour le moins explicites sur le mode opératoire et les cibles visées. Extraits : « un groupe de fidèles de Ben Laden [est] aux Etats-Unis où il planifie des attentats », « des détournements d'avions ou d’autres types d’attentats se préparent, avec notamment pour cible des bâtiments fédéraux à New York », « Ben Laden a dit à ses fidèles qu’il voulait user de représailles sur Washington »
Au total, ce sont au moins 12 pays, dont la France (Le Monde, 16/04/07), qui alertent les Etats-Unis d’une attaque imminente sur leur territoire. Or, la Commission d’enquête passera ces nombreux avertissements étrangers sous silence, tout comme elle passera sous silence le scandale « Able Danger », l’opération « Bojinka », les mystérieuses mises en garde de ne pas prendre l’avion ce jour-là, et niera l'existence de délits d'initiés boursiers survenus la veille des attentats
Pourtant, quelques jours après les évènements, le directeur du FBI, Robert Mueller, déclare : « Il n'y avait à ma connaissance aucun signal d'alerte [sur] ce genre d'opération sur notre sol » (CNN, 18/09/01).
Le 16 Mai 2002, la secrétaire d’Etat Condoleezza Rice affirme devant la presse : « Personne n’aurait pu prévoir qu’ils allaient utiliser un avion […] comme missile » (New York Times, 19/05/02).
Le 13 juin 2024 à 16:01:04 :
Stop prendre des informations sélectives d internet pour tirer des conclusion, go faire un vrai travail de recherche et s y impliqué vraiment, non ? C est pas le cul vissé sur un siège qu on résout les grands mystères du monde ou de son époque.
Comment faire le travail de recherche ? Les débris de ground zero ont été vendus à une société Chinoise immédiatement après les attaques, empêchant toute analyse complémentaire par rapport à celles du NIST
Le présumé pirate Abdulaziz Alomari habitait Vero Beach en Floride en 2001 (document du FBI, p.11). Quant à son prétendu homonyme qui est pilote de ligne pour Saudi Airlines (FOX News, 14/09/01 ; Boston Globe, 15/09/01 ; New York Times, 16/09/01 ; Independent, 17/09/01 ; BBC News, 23/09/01), il vécut également à Vero Beach en 2001 pour y prendre des cours de pilotage (FOX News, 14/09/01 ; New York Times, 16/09/01 ; CNN, 14/09/01). Selon la thèse officielle des homonymies, deux saoudiens portant le même nom auraient donc tous deux vécus dans une petite ville de 17.000 habitants en Floride, et ce à la même période et sans se connaître. Quelle est la probabilité d’un tel concours de circonstance ?
Le prétendu homonyme de Waleed Alshehri a confirmé avoir vécu à Daytona Beach (Floride) durant l'été 2000. Il y prit des cours de pilotage et est lui aussi devenu pilote de ligne chez Saudi Arlines (Asharq Al-Awasat, 22/09/01 ; BBC News, 23/09/01 ; Daily Trust, 24/09/01). Quant au présumé pirate Waleed Alshehri, il vivait également en Floride, et parmi les villes de Floride où il aurait selon le FBI vécu figure ... Daytona Beach ! (site officiel du FBI, 27/09/01).
Alors qu'aucun débris identifiable de l'avion ne fut retrouvé sur les lieux du crash du vol UA93 à Shanksville, Pennsylvanie (Pittsburghlive, 11/09/02), le nombre de documents d'identités ayant survécu au crash est impressionnant : le passeport du supposé pirate Saeed Alghamdi, le permis de conduire de Floride du supposé pirate Ahmed Alnami, sa carte de membre de l’Association des Auberges de jeunesse d’Arabie Saoudite, une page contenant le visa pour les Etats-Unis du passeport du supposé pirate Ziad Jarrah, une carte de visite professionnelle de l’oncle de Ziad Jarrah.
Le cas du passeport de Satam Al-Suqami retrouvé au pied du World Trade Center est particulièrement emblématique. Selon le récit officiel, ce document a traversé le crash sans être endommagé pour être ensuite retrouvé par "un passant non identifié" qui a eu la présence d'esprit de le donner à un inspecteur de police, tout ceci avant que les tours ne s'écroulent (Commission, audience du 26/01/04), soit entre 8h46 et 9h59, malgré la panique qui régnait et la présence de milliers de papiers dans les rues. Dans un documentaire intitulé "F.B.I" diffusé en mars 2010 sur France 5, l'agent du FBI Dan Coleman nous en apprend "un peu plus" sur ce passant non identifié : à peine avait-il remis le passeport à l'inspecteur de police qu'il « s’était enfui »
Entre le 6 et le 7 septembre 2001 à la Bourse de Chicago, la principale bourse d'options en Amérique du Nord, 4744 options de vente d’actions United Airlines sont achetées contre seulement 396 options d’achat, ce qui représente 25 fois la moyenne des transactions habituellement opérées sur cette compagnie aérienne. Le 10 septembre, la veille des attentats, ce sont 4516 options de vente d’actions American Airlines qui sont acquises contre 748 options d’achat, près de 11 fois la moyenne quotidienne enregistrée les mois précédents
Le scénario fut identique pour bon nombre de sociétés qui occupaient des bureaux dans ou à proximité des Tours Jumelles, parmi lesquelles les compagnies financières Merrill Lynch, Bank of America et Morgan Stanley. 2157 options de vente de Morgan Stanley, le principal occupant du World Trade Center, ont été achetées à la Bourse de Chicago dans les 3 jours précédant les attentats, alors que le volume ordinaire pour ces options se montait à seulement 27 contrats par jour avant le 6 septembre. 12.215 options de vente de Merrill Lynch ont été achetées dans les 4 jours précédant les attentats contre une moyenne quotidienne de 252 auparavant
A contrario, le secteur de la Défense fut le théâtre de vives spéculations à la hausse se traduisant par une soudaine augmentation du volume d’options d’achat souscrites. En guise d’exemple, le fabricant d’armes américain Raytheon dont l’action grimpa après le 11-Septembre vit les souscriptions d’options d’achat sur son titre multipliées par six la veille des attentats
Après le 11 Septembre, le plongeon des titres des sociétés touchées par les attentats a permis aux initiés d’engranger des bénéfices colossaux
La banque centrale Allemande après avoir enquêté conclue qu'il y a "indéniablement" des délits d'initiés.
Cependant, conclusion de l'enquête du FBI : Les acheteurs et vendeurs n'étant pas liés à al-Qaida, il n'existe aucun délit d'initié, et ces transactions ne sont qu'une coïncidence extraordinaire
5 individus sont arrêtés le 11/09/2001 après avoir été aperçus en train de danser et célébrer devant les tours en flamme depuis un parking. Lors de leur arrestation, ils déclarent : "nous ne sommes pas votre problème. Les palestiniens sont le problème". Les cinq se sont révélés être des nationaux israéliens dont quatre présents illégalement sur le sol Américain. Travaillant pour une société dont les activités ne furent jamais élucidées et dont le patron a fui en Israël. Les cinq hommes refusèrent de passer au détecteur de mensonge sauf un qui échoua.
Aucune mention de cet incident ne figure dans le rapport officiel.
Le rapport de la commission d'enquête ne mentionne pas une seule fois la tour 7, qui s'est pourtant effondrée sans raison apparente, alors que ces événements sont au coeur de la polémique.
Le rapport ne mentionna non plus jamais le scandale Able Danger, pas plus qu'il ne mentionna les exercices du NORAD.
La "vidéo de Jalalabad" utilisée par les US comme pièce à conviction et censée montrer Ben Laden planifiant les attentats, est vivement critiquée pour de nombreux éléments troublants.
L'homme sur la vidéo ne ressemble pas à Ben Laden, et écrit de la main droite (OBL étant gaucher). La traduction officielle fournie par les Américains est de plus massivement défaillante, les passages clé devenant subitement inaudibles ou volontairement mal traduits, comme démontré dans un documentaire publié par la chaîne Allemande Das Erste en décembre 2001
Ben Laden nia plusieurs fois être derrière les attentats, pour finir par "avouer" 3 ans plus tard dans un audio dont l'authenticité ne fut jamais établie
Le 06 juin 2024 à 19:11:51 :
Le 06 juin 2024 à 19:10:22 30temoined a écrit :
Le 06 juin 2024 à 19:09:31 :
je m'attendais à un topic intéressant mais en fait c'est juste l'OP qui déroule ses pavésDonne-nous ton avis kheyou ? Le 11 septembre est-il un jour majeur de notre histoire ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/36/1473263957-risitas33.png oui car le monde s'est rendu compte que les Etats-Unis, seule superpuissance depuis la chute de l'URSS, n'était pas intouchable
l'Occident s'est fait à l'idée d'un monde multipolaire à partir de 2001
En effet les états-unis ne sont pas intouchables kheyou
Malgré qu'ils possèdent la défense aérienne la plus sophistiquée de la planète et les deux plus grandes flottes d'avions de combat du globe (l'US air force suivie de l'US navy) ils n'ont pas réussi en plus d'1h à intercepter 4 énormes avions détournés qui se promenaient tranquillement à proximité des sites les plus sensibles et défendus du pays
Trois princes Saoudiens rencontrent des cadres d'Al Qaida quelques temps avant le 11 septembre, sous la supervision du maréchal Mir, haut gradé de l'aviation Pakistanaise.
Les trois princes décèdent peu de temps après le 9/11. Fahd bin Salman meurt d'une crise cardiaque à 43 ans. Son cousin meurt dans un accident de la route en allant à ses obsèques. Le troisième, Fahd bin Turki meurt "de soif" après s'être apparemment "perdu" dans le désert
Le maréchal Mir quant à lui décède dans un crash d'avion aux circonstances non élucidées
Le 06 juin 2024 à 19:09:31 :
je m'attendais à un topic intéressant mais en fait c'est juste l'OP qui déroule ses pavés
Donne-nous ton avis kheyou ? Le 11 septembre est-il un jour majeur de notre histoire ?
L’un des éléments les plus connus du 11 septembre est la présence très gênante de « squibs », ou débris éjectés par les fenêtres en-dessous du niveau de l’effondrement. Les squibs sont une signature typique de démolition contrôlée, résultant simplement de la détonation des explosifs.
De nombreux squibs sont visibles lors de l’effondrement des tours nord et sud, certains plusieurs dizaines d’étages en-dessous du point d’effondrement. La seule tentative de justification fut de dire qu’il s’agissait d’air comprimé par l’effondrement s’échappant par les vitres.
C’est impossible : Primo, l’air est invisible, or on voit bien des panaches de fumée et de débris s’échapper des squibs. Secundo, certains squibs surgissent 30, 40 étages en-dessous du niveau d’effondrement, et sur un seul côté (voir images).
Une vidéo en gros plan montre même l’un des squibs surgir de nulle part avant même que l’effondrement de commence.
Plus de 20 ans après les faits, aucune explication n’existe.
De multiples témoins, dont plusieurs pompiers rapportent qu’environ une heure après l’impact sur la tour nord, une gigantesque explosion a ravagé le lobby de la tour. L’un des pompiers témoigne que plusieurs explosions ont eu lieu, suite à quoi ils sont entrés, et une nouvelle explosion a littéralement fait s’effondrer le lobby.
Plusieurs civils témoignent qu’une fois arrivés au lobby, une énorme explosion les a « envoyé volé » ou enseveli les obligeant à sortir en rampant. Michelle Scotte, l’une des employés de la tour, témoigne qu’il n’y avait plus de lobby, celui-ci ayant été dévasté, au point qu’elle croit qu’une bombe a explosé.
John Schroeder, pompier, témoigne qu’il montait les escaliers vers le 24ème étage de la tour nord quand « subitement, l’immeuble a été pulvérisé, on a été envoyés sur les murs ». Une fois redescendu, il voit le lobby dévasté, toutes ses vitres (pourtant très épaisses) brisées.
Dans une vidéo disponible, on entend des pompiers s’exclamer « il y a une bombe dans le bâtiment, évacuez ! »
Le New York Times recense plus de 100 policiers et pompiers témoins d'explosions entre l'impact de l'avion et l'effondrement.
Cette (ces?) explosion n’a jamais reçu la moindre explication. Le rapport d'enquête ira jusqu'à affirmer qu'il n'existe "aucun élément" montrant que des explosions aient eu lieu. Affaire classée.
La tour 7, selon la version officielle, constitue le premier effondrement d’un immeuble en acier dû à des incendies dans l’histoire de l’humanité. Par conséquent, personne n’aurait pu prévoir que cette immeuble allait s’effondrer.
Indira Singh, pourtant, témoigne qu’à 12 ou 13h (plusieurs heures avant l’effondrement!), les pompiers lui ont ordonné de s’éloigner, disant que « la tour 7 va s’effondrer ou va être démolie ». M. Sweeney, pompier, témoigne : « On était là, attendant que le WTC 7 s’effondre ».
Pire, le live de CNN, environ 1h avant l’effondrement, annonça que la tour s’était déjà effondrée.
La reporter de la BBC, à 17h, annonça également que la tour 7 s’était effondrée, alors qu’elle est visible en arrière-plan.
Vers 17h, 20 minutes avant l’effondrement de la tour, une très forte explosion est audible sur le live de CNN. L’un des pompiers est entendu dire : « Gardez un œil sur cette immeuble, il va s’effondrer ». Un policier, à un autre moment, dit « l’immeuble va être explosé ».
Ces apparentes prémonitions de l’effondrement de la tour 7, pourtant totalement imprévisible car une première dans l’histoire, et sachant que la tour ne subissait que de maigres incendies à quelques étages, n’ont jamais été expliquées.