Guy Geubels
Le 25 août 1995, Guy Geubels, adjudant à la brigade de gendarmerie de Grâce-Hollogne, va rencontrer la presse.
Il a obtenu l’autorisation de ses supérieurs d’être interviewé par une équipe de la RTBF.
Il faut dire qu’il est l’un des premiers gendarmes à avoir été en contact avec les familles des petites Julie et Mélissa.
Il est aussi, selon le témoignage des familles Lejeune et Russo, l’un des seuls à ne pas parler de pistes mafieuses mais bien de pédophilie.
L’interview n’aura pas lieu…
Guy Geubels est retrouvé mort le 25 août 1995.
Une balle dans la tête.
Son arme dans une main, le cornet du téléphone dans l’autre.
Coïncidence : le 25 août 1995 est le jour où débute officiellement l’Opération Othello, cette opération funeste de « surveillance » de Dutroux, durant une période où celui-ci détenait, en principe, Julie et Mélissa, dans sa cache An et Eefje dans la même maison, où il a pu encore commettre plusieurs actions délictueuses sans que les « surveillants » ne s’aperçoivent de rien.
L'enquête est formelle : Jeffrey Epstein était dépressif, et pour preuve, il avait déjà fait une tentative de suicide dans sa cellule.
Malheureusement, celle-ci ne sera jamais vérifiée : les vidéos de surveillance ont été effacées "par erreur", le technicien ayant sauvegardé les rushs du mauvais étage
Le 30 octobre 2024 à 09:59:59 :
Avez vous tapez les noms des témoins sur google ?
Il est difficile de trouver leurs photos
Mais le plus incroyable c'est que les pages qui en parlent disparaissent avec le temps
Il reste quelques waybackmachine (internet archive) et des centerblogs dont le service finira par fermer
https://wantedpedo-officiel.com/
« J'ai fait une bêtise » déclare Jean-Marc Houdmont, « je veux faire une déclaration ». Ils conviennent d'un rendez-vous, le jour même, à 11 heures 30, juste le temps pour Jean-Marc Houdmont de faire, en voiture, le chemin qui le sépare des bureaux de la cellule Brichet. Une heure plus tard, la Toyota Starlet de Jean-Marc Houdmont s'encastre dans une façade sur le bord de la Nationale 76. L'enquête conclut au suicide puisqu'on n'a relevé aucune trace de freinage.
Affaire Zandvoort : 80 familles Françaises reconnaissent leurs enfants sur les photos des victimes.
La juge d'instruction Française rejettera ces témoignages : Les familles se sont officiellement toutes sans exception trompées et ont confondu leurs enfants à cause d'une "concentration extraordinaire de sosies".
Verdict: Non lieu.
José Steppe
Au début des années 80, José Steppe habite le quartier de Marc Dutroux, à Goutroux.
Ancien jeune communiste, Steppe vire à l’extrême droite.
En avril 1997, il contacte un journaliste. Affirmant détenir des informations sur l’affaire Dutroux, il parle de remettre au journaliste des copies de cassettes vidéo sur lesquelles on peut voir Dutroux et d’autres en train de violer des enfants.
« Il était inquiet », dit un témoin anonyme ; « Un jour, tu me trouveras avec une balle dans la tête », lui aurait dit José Steppe ; il lui aurait encore dit que ces cassettes vidéo, c’était « de la dynamite » ; qu’on pouvait y reconnaître des notables de Charleroi, des politiciens connus. Steppe « ne voulait pas donner la cassette à la police, parce qu’il y avait là, disait-il, trop de gens corrompus qui les feraient certainement disparaître ».
José Steppe souffre d’asthme, et, pour soulager les crises qui l’accablent, il se sert d’un respirateur.
Le 25 avril 1997, quelques jours avant sa rencontre avec le journaliste avec qui il avait pris contact, une femme d’ouvrage de l’hôtel dans lequel il réside découvre son corps dans un couloir, son masque à oxygène recouvre toujours son visage.
Au fond de la bouteille de l’inhalateur, on découvre du Rohypnol (un sédatif, notamment utilisé par Dutroux lors de ses enlèvements).
Jean-Jacques Feront
Le 4 mai 1995, la section Jeunesse de la P.J. de Bruxelles reçoit une lettre anonyme contenant des informations sur un pédophile qui vend des photos et des vidéos à caractère sexuel de sa fille de 10 ans.
Ces informations s’avèreront fondées.
Le 11 juillet de la même année, le même informateur déclare avoir vu des photos de Mélissa Russo, proposée avec d’autres enfants à la vente ou à la location par un germanophone dont les initiales figurent sur une chevalière qu’il porte : « K.B. ». Les inspecteurs Speltens et Colson déclarent que cet informateur est fiable, et qu'il a déjà fait ses preuves.
Ils réquisitionnent des spécialistes de la filature, envoient une note au commissariat général dans laquelle ils exposent leur projet. Ils demandent également, pour le 23 septembre 1995, deux sémaphones (« bipeurs », en français) et deux voitures de service.
Et le temps passe...
Les parquets de Louvain et de Liège se renvoient la responsabilité dans ce dossier comme une patate chaude.
Le commissaire Lamoque dit aux parents de Julie et de Mélissa qu’il n’a jamais compris pourquoi on avait décidé en haut lieu que cela ne pouvait se faire.
On retrouve dans ce volet de l’affaire, une intervention de la substitute Paule Somers, ici comme dans le volet sur les témoins X, pour ne pas dire la vérité.
Pour les enquêteurs, « K.B. » évoque tout de suite Klaus Bahr, qui contrôle une grande partie du marché belge du porno dans les années 90.
Klaus Bahr est également décédé depuis lors.
Quand Marc Dutroux est arrêté, onze mois plus tard, et que deux enfants sont libérées de sa cave à Marcinelle (localité que Jean-Jacques Feront avait désignée), les enquêteurs s’arrachent les cheveux, ils expriment leur incompréhension à leur supérieur.
Le 1er mars 2001, Jean-Jacques Feront décède à la suite de deux crises cardiaques consécutives.
Le commissaire Speltens dira devant la Commission parlementaire d’enquête : « Si la magistrature [...] avait laissé la P.J. monter un guet-apens autour de Feront, les gamines auraient peut-être été retrouvées. On ne veut pas aller jusqu’au bout dans cette enquête ».
Bruno Tagliaferro et sa femme Fabienne Jaupart
Bruno est un ferrailleur, et possiblement un magouilleur. Son épouse, Fabienne Jaupart, est convaincue que son mari est détenteur d'un secret qui met leurs vies en péril.
Elle pense que son époux s’est rendu compte qu’il avait, à son insu, été chargé, du démontage et de la revente des pièces de la Citroën AX qui aurait servi à l’enlèvement de Julie Lejeune et de Mélissa Russo.
Bruno Tagliaferro meurt le 4 novembre 1995. Le légiste conclut à un arrêt cardiaque.
Un laboratoire du F.B.I. (consulté par le juge Jean-Marc Connerotte) conclut à un empoisonnement, mais un expert liégeois (désigné ultérieurement par le juge Jacques Langlois) estimera que la production de cyanure par un cadavre en décomposition peut être un phénomène naturel. Malgré les taux de cyanure retrouvés dans le corps de Tagliaferro bien supérieurs à des doses pouvant être « auto-produites », le juge Langlois privilégiera la « mort naturelle » comme explication du décès du ferrailleur de Keumiée.
Quant à son épouse, Fabienne Jaupart, elle est retrouvée morte le 18 décembre 1998. Elle se serait aspergée de méthanol, aurait remis la bouteille sur le meuble à côté de son lit et se serait ensuite mis le feu, non sans avoir pris soin de mettre les pommes de terre à cuire sur le réchaud et de faire tourner le lave-vaisselle.
L’enquête conclut bien évidemment au suicide.
Une ancienne connaissance de Dutroux (Claude Thirault) affirme qu'il parlait, fin 1995, d’un certain Tagliaferro à liquider contre un paiement de 50 000 francs belges. « Lui et sa femme », précisait-il.
Le juge Connerotte considérait qu’il avait suffisamment d’informations pour accorder une protection policière à la veuve de Bruno Tagliaferro. Après son dessaisissement et la nomination du juge Langlois, la protection policière sera levée.
Le 30 octobre 2024 à 09:51:31 :
Le 30 octobre 2024 à 09:45:08 :
Gina Pardaens-Bernaer, néerlandaise, enquête sur le dossier du réseau pédophile de Zandvoort. Se sentait menacée, recevait des harcèlements téléphoniques et était suivie par une voiture. Son téléphone est saboté et sa ligne mauvaise. Elle appelle le président d'une association un soir de novembre 1998 et lui dit qu'elle dispose de révélations.
"Avec ce que j'ai découvert, dit-elle, soit la Belgique explose, soit je suis assassinée"Retrouvée morte la nuit-même encastrée sous un pont sans traces de freinage, aucune enquête n'est menée et le bureau de son avocat est cambriolé dans la foulée
https://image.noelshack.com/fichiers/2022/52/7/1641114293-selection-vrepublique.png
Assistante sociale, Gina Pardaens-Bernaer avait rejoint l'ONG Morkhoven, au moment de la découverte du réseau pédocriminel Zandvoort, en juillet 1998. Elle travaillait au dossier Schadwald, du nom d'un petit garçon disparu d'Allemagne à l'âge de 11 ans et dont la recherche avait mené Marcel Vervloesem au réseau. Elle découvrait rapidement l'implication des services secrets allemands, par le beau-père de l'enfant, Rainer Wolf.
Elle commençait alors à avoir des problèmes de perturbations de téléphone, de fax et d'ordinateur. Elle recevait des appels répétitifs de personnes qui raccrochaient après un long silence. Belgacom, alors monopole d'état en matière de téléphonie, ne prétendait pas réussir à trouver l’origine des interférences, ni des appels anonymes. Leur enquête les avait mené à découvrir qu'une deuxième ligne aurait été ouverte sur son téléphone sans qu'elle ne l'ait jamais commandé et qu'il y aurait eut "un petit fil détaché".
C'est Gina Pardaens-Bernaer qui fit une copie d'un des cédéroms de Zandvoort et l'envoya à l'organisation "CIDE", qui à son tour la communiqua à Interpol. Elle avait découvert un film snuff où figurait le viol et le meurtre d'une petite fille et dans lequel elle avait reconnu un ancien associé de Michel Nihoul, célèbre dans le dossier Dutroux. Des hommes l'arrêtaient dans un train et lui dirent d'arrêter ses recherches. Depuis, elle se déplaçait en voiture, mais elle fut rapidement suivie. Elle notait les plaques d’immatriculation, parmi lesquelles d'une Mercedes grise qui s’avérera être celle de l’ancien chauffeur du bar Dolo: le quartier général de Michel Nihoul à Bruxelles, où il rencontrait tous les policiers qui rataient chaque enquêtes relatives à l'exploitation sexuelles d'enfants.
Elle avait collaboré au programme télévisé Faits divers de la RTBF, avec le journaliste Dessart. Ils furent tout deux interrogés par la police judiciaire au sujet de l’affaire Schadwald. Les officiers semblaient d'avantage intéressés à leurs connexions avec le Werkgroep Morkhoven, qu'à la disparition de l'enfant. L'audition lui avait paru hautement remarquable, intimidante et clairement dirigée afin de lui faire révéler sur ses sources, avait-elle dit au journal De Morgen .
Le harcèlement téléphonique augmentait. Elle recevait des menaces de mort, de personnes dont les voix étaient déformées par un appareillage électronique. Suite de deux de ces appels, son fils, alors qu'il était sur sa bicyclette, fut renversé par une voiture dont le conducteur s'enfuit sans s'arrêter.
Quatre mois étaient passés depuis que Gina Pardaens-Bernaer collaborait avec le Werkgroep Morkhoven, quand le 14 novembre 1998 au soir, elle appelait Jan Boeykens, président de l’association. La communication était si brouillée qu'ils avaient des difficultés à s'attendre l'un l'autre, mais il parvint à apprendre qu'elle avait été objet d'une nouvelle série de menaces de mort:- Avec ce que j'ai découvert, dit-elle, soit la Belgique explose, soit je suis assassinée
La nuit même, à l'aube du 15 novembre, sa voiture fut retrouvée écrasée sous un pont, sans qu'aucune trace de freinage n'ait pu être relevé, aurait pu démontré qu'ils avaient été sabotés. L'état de la voiture se passe de commentaire.
La Belgique n'a pas explosé. Le meurtre ne fut objet d'aucune enquête policière. Peu après, le bureau de son avocat, Maître Arnould, était cambriolé et des dossiers étaient volés.
Michel Piro
Exploitant de bars-restaurants dans la clientèle desquels on retrouve Marc Dutroux, Bernard Weinstein, Michel Lelièvre et Michel Nihoul, il contacte, à trois reprises, la famille de Jean-Denis Lejeune (le père de Julie Lejeune) et lui demande une entrevue à laquelle il souhaite que soit convié le procureur Michel Bourlet. Son intention est également d’organiser un souper avec les parents de Julie et de Mélissa, au cours duquel il souhaite faire des révélations sur le sort des deux petites liégeoises.
Plusieurs témoins le diront ; parmi ceux-ci, un indicateur de la B.S.R. de Charleroi affirme que « Piro aurait dit quelques jours avant son décès qu’il allait « balancer » tout ce qu’il savait sur le dossier Julie et Mélissa lors du repas qu’il organisait ». Selon son fils, il aurait dit que « des têtes allaient sauter ».
On ne saura jamais quelles étaient ces révélations : le 5 décembre 1996, il est exécuté, à bout portant, sur un parking d’autoroute, tandis que son épouse est sortie pendant quelques instants du véhicule pour se rendre aux toilettes.
Christian Jambert, gendarme, enquêtait sur les réseaux pédophiles Dunand et Émile Louis
Retrouvé mort deux jours avant l'audition où il devait tout balancer. Deux balles dans la tête, de deux angles différents. Quatre douilles près du corps, l'arme posée sur les genoux. Aucun légiste n'est présent, c'est un urgentiste de SOS médecin qui conclut au suicide en dix minutes sans autopsie.
Le corps du gendarme est plus tard exhumé. Le légiste privilégie l'assassinat. Le parquet demande une contre-expertise. Le nouveau légiste "n'exclue pas le suicide", expliquant qu'une balle a pu "ricocher" sur une partie du crâne.
La famille veut une nouvelle autopsie indépendante. Malheureusement, les morceaux du crâne en question ont "disparu" des scellés, impossible de vérifier les affirmations du légiste mandaté par le juge.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/mysterieuse-disparition-du-crane-du-gendarme-jambert-22-10-2008-284623.php
La sacoche du gendarme, contenant son enquête et une liste de noms du réseau, se volatilise également : https://www.leparisien.fr/faits-divers/disparues-de-l-yonne-l-introuvable-sacoche-du-gendarme-22-03-2002-2002916239.php
Verdict final : non lieu.
François Reyskens
Début juillet 1995, les parents de Julie Lejeune et Mélissa Russo, disparues depuis deux semaines, reçoivent un appel téléphonique d’un courtier en assurances, sorte de père adoptif d’un jeune cocaïnomane répondant au nom de François Reyskens.
Ce jeune homme, explique le courtier, déclare avoir rencontré les petites Julie et Mélissa dans un bar aux Pays-Bas.
Aussitôt, Carine Russo, la mère de Mélissa, alerte la gendarmerie de Seraing et un rendez-vous est pris avec le jeune François Reyskens pour le 26 juillet.
François Reyskens meurt, écrasé par un train, deux heures avant ce rendez-vous.
L’enquête conclut au suicide.
« C'est plutôt étrange que, juste à ce moment-là, il finisse sous un train. S'agit-il vraiment d'un accident ? », confie le père de ce dernier.
Gina Pardaens-Bernaer, néerlandaise, enquête sur le dossier du réseau pédophile de Zandvoort. Se sentait menacée, recevait des harcèlements téléphoniques et était suivie par une voiture. Son téléphone est saboté et sa ligne mauvaise. Elle appelle le président d'une association un soir de novembre 1998 et lui dit qu'elle dispose de révélations.
"Avec ce que j'ai découvert, dit-elle, soit la Belgique explose, soit je suis assassinée"
Retrouvée morte la nuit-même encastrée sous un pont sans traces de freinage, aucune enquête n'est menée et le bureau de son avocat est cambriolé dans la foulée
Sept meurtres, dix suicides, cinq accidents de la circulation, et huit cas de mort 'naturelle'
Déclaration du ministère de la justice : "Que voulez-vous, des gens meurent, c'est comme ça"*
Le 29 octobre 2024 à 08:17:41 :
le forumeur 30temoinedhttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/03/1/1673900558-71nw6dpcm1l-sx450.jpg Le corps de "30temoined", un membre actif du forum 18-25, a été retrouvé sans vie le matin du 29 octobre 2024, quelques heures après avoir publié des messages inquiétants concernant l’affaire Dutroux
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/03/1/1673900558-71nw6dpcm1l-sx450.jpg Dans ses derniers posts, il affirmait détenir des informations sur des meurtres maquillés en suicides, impliquant des figures clés de cette sombre affaire belge.
Selon des témoins, ses messages décrivaient avec précision une série de décès suspects, suggérant que des témoins gênants avaient été éliminés pour éviter toute révélation compromettante.
À peine ses messages publiés, plusieurs internautes avaient exprimé leur inquiétude pour sa sécurité, estimant que ces révélations pourraient le mettre en dangerhttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/03/1/1673900558-71nw6dpcm1l-sx450.jpg La police, alertée par les administrateurs du forum, a retrouvé son corps dans son appartement, laissant présumer un suicide, bien que certains utilisateurs crient au complot.
Aucune lettre d’adieu n’a été découverte sur les lieux, mais des messages cryptés dans son ordinateur laissent entrevoir qu’il se sentait menacéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/03/1/1673900558-71nw6dpcm1l-sx450.jpg Cette mort inexpliquée suscite des interrogations au sein de la communauté en ligne, beaucoup doutant de la thèse du suicide, compte tenu de la nature de ses derniers messages.
Cette affaire, alliant suicides présumés et pistes de meurtres, renforce le mystère autour des zones d’ombre de l’affaire Dutroux
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/03/1/1673900558-71nw6dpcm1l-sx450.jpg
Zemmour : "le suicide de ce jeune forumeur est tragique mais ça ne doit pas nous détourner du vrai sujet : la ville de Nice qui entre tous les ans monsieur Delahousse"
Le 29 octobre 2024 à 08:12:34 :
Doucement sur les redpills de bon matin comme ça kheyhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529422413-risitaszoom.png Tu peux nous partager les sources desquelles tu tires tes pavés stp ? C'est pour les archiver et pouvoir tout relire plus tard
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png
Pour Dutroux ça vient du livre de Douglas.
Pour le reste tu peux te renseigner facilement sur les internets
-Anna Konjevoda', témoin détenant des informations sur certains complices de Dutroux. Repêchée dans la Meuse. Battue et étranglée avant d'être jetée à l'eau.
-Michel Piro, proxénète propriétaire d'une boîte de nuit. Abattu sur un parking d'autoroute, deux jours avant de rencontrer des parents de petites victimes de Dutroux.
-Brigitte Jenart, dentiste bruxellois, témoin important. Retrouvée morte chez elle. Suicidée.
-Christian Coenraedts, détenu à Bruxelles. Devait être interrogé sur ses liens avec Dutroux et son complice Bernard Weinstein. Evadé la veille de son interrogatoire, pendant un transfert. Retrouvé assassiné un mois plus tard, dans la banlieue bruxelloise.
-Bernard Weinstein, complice de Dutroux. Retrouvé près du corps de Julie et Melissa dans une propriété de Dutroux. Enterré vivant, après une absorption de Rohipnol, tranquillisant avec lequel Dutroux avait l'habitude de neutraliser ses victimes.
-José Steppe, petit truand de Charleroi. Contacte un journaliste pour lui confier des informations sur Dutroux. Meurt chez lui, juste avant la rencontre. Victime d'une crise d'asthme. Dans son appareil respiratoire, on aurait retrouvé du benzodiazépine, le même principe actif contenu dans le Rohipnol.
-Guy Geubels, gendarme. Suicidé avec son arme son service. Il ne cachait pas son désir d'élargir l'enquête sur la mort de Julie et Melissa. La mère de cette dernière, Carole Russo déplore : "à chaque fois que nous avons demandé des informations sur sa mort, la justice nous a donné des réponses différentes".
-Brune Tagliaferro, ferrailleur connu de Dutroux. Empoisonné près de Charleroi. Sa compagne Fabienne Jaupart accuse : "Bruno m'a dit qu'il en savait trop et qu'il serait bientôt mort."
-Fabienne Jaupart, amie du précédent. Retrouvée morte, à moitié carbonisée, dans son lit. Matelas imprégné de méthanol. On lui avait refusé la protection policière qu'elle avait réclamée, s'estimant menacée.
-Gina Bernaer, assistante sociale, membre de l'association Morkhoven. Se sentait menacée. Accident de voiture.
-Jean-Paul Taminiau, videur puis propriétaire d'un night-club-bordel. Détenteur de la clé d'un garage voisin d'un autre, appartenant à Dutroux. On a repêché son pied dans un canal. Le reste du corps n'a jamais été retrouvé. Sa mère est la seule à se battre pour connaître la vérité sur cette mort...
-François Reyskens, vingt-huit ans, toxicomane. Ecrasé par un train à Seraing, juste avant d'être entendu par les gendarmes sur la disparition de Melissa.
-Simon Poncelet, policier à Mons. Tué de quatre balles à bout touchant. Son père, avocat général de Tournai, déclare : "Il existe deux possibilités : un règlement de compte interne pour lequel je ne vois aucun mobile. Soit c'est lié au trafic international de voitures qui occupait toute l'énergie de mon fils".
Le 29 octobre 2024 à 08:09:13 :
Topic sous surveillance.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493313369-1473263957-risitas-suicidez-le2.png
Je ne souffre s'aucun syndrome dépressif
Le 29 octobre 2024 à 08:07:36 :
C’est sans aucun doute un suicide
Il avait rien de concret en vrai et par honte il a essayé de se suicider mais il a eu peur et a tirer deux fois à côté
Ensuite il a mal tiré ça a ricoché partout et touché son crâne mais pas encore mort
Du coup il a recommencé mais il a encore mal tiré ça a ricoché partout et a encore atterri dans le crâne
La rigidité cadavérique ne doit pas être sous estimée