Affaire Maëlys - Lelandais : le commissariat de Grenoble "brûle", les scellés de l'enquête partent en fumée.
L'état accuse un "groupe féministe" jamais identifié.
Le 29 octobre 2024 à 08:04:13 :
Le 29 octobre 2024 à 07:57:58 :
Zemmour : "Epstein ? J'ai pas suivi"
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/03/1/1673900558-71nw6dpcm1l-sx450.jpg mélange pas tout non plus
"Revenons à l'immigration Christine"
Le 29 octobre 2024 à 08:00:36 :
Tout va bienNe parler pas trop fort de ces histoires mes bons kheys apparemment on finit par mystérieusement se suicider
Serge Monast (projet blue beam) : Mort subite. Sa fille kidnappée.
Barry Jennings (WTC 7) : Maladie mortelle foudroyante juste avant la parution du rapport d'enquête. Témoignage enterré.
Juge de l'affaire Epstein : tentative d'assassinat. Le suspect se suicide le jour-même.
Ça semble être légion
Le 29 octobre 2024 à 07:58:43 :
Et Dutroux dans tout ça il finira par sortir de prison ?
Sans doute pas
Le 29 octobre 2024 à 07:58:24 :
Tout ça a deja été debunker : ils ont dit que c’etait des coïncidenceshttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/38/5/1663951771-indespite.png
Ah si ç'a été debunké alors
Zemmour : "Epstein ? J'ai pas suivi"
L'enquête est formelle : Jeffrey Epstein était dépressif, et pour preuve, il avait déjà fait une tentative de suicide dans sa cellule.
Malheureusement, celle-ci ne sera jamais vérifiée : les vidéos de surveillance ont été effacées "par erreur", le technicien ayant sauvegardé les rushs du mauvais étage
Le 29 octobre 2024 à 07:51:02 :
Le 29 octobre 2024 à 07:40:17 :
François ReyskensDébut juillet 1995, les parents de Julie Lejeune et Mélissa Russo, disparues depuis deux semaines, reçoivent un appel téléphonique d’un courtier en assurances, sorte de père adoptif d’un jeune cocaïnomane répondant au nom de François Reyskens.
Ce jeune homme, explique le courtier, déclare avoir rencontré les petites Julie et Mélissa dans un bar aux Pays-Bas.
Aussitôt, Carine Russo, la mère de Mélissa, alerte la gendarmerie de Seraing et un rendez-vous est pris avec le jeune François Reyskens pour le 26 juillet.François Reyskens meurt, écrasé par un train, deux heures avant ce rendez-vous.
L’enquête conclut au suicide.
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/03/1/1673900558-71nw6dpcm1l-sx450.jpg « C'est plutôt étrange que, juste à ce moment-là, il finisse sous un train. S'agit-il vraiment d'un accident ? », s'interroge le père de ce dernier.
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/03/1/1673900558-71nw6dpcm1l-sx450.jpg donne aucune source surtout
Ça vient de l'enquête de Douglas de Coninck dans son livre 30 témoins morts
Affaire Zandvoort : 80 familles Françaises reconnaissent leurs enfants sur les photos des victimes.
La juge d'instruction Française rendra un non lieu : Les familles se sont officiellement toutes sans exception trompées et ont confondu leurs enfants à cause d'une "concentration extraordinaire de sosies".
Affaire classée.
José Steppe
Au début des années 80, José Steppe habite le quartier de Marc Dutroux, à Goutroux.
Ancien jeune communiste, Steppe vire à l’extrême droite.
En avril 1997, il contacte un journaliste. Affirmant détenir des informations sur l’affaire Dutroux, il parle de remettre au journaliste des copies de cassettes vidéo sur lesquelles on peut voir Dutroux et d’autres en train de violer des enfants.
« Il était inquiet », dit un témoin anonyme ; « Un jour, tu me trouveras avec une balle dans la tête », lui aurait dit José Steppe ; il lui aurait encore dit que ces cassettes vidéo, c’était « de la dynamite » ; qu’on pouvait y reconnaître des notables de Charleroi, des politiciens connus. Steppe « ne voulait pas donner la cassette à la police, parce qu’il y avait là, disait-il, trop de gens corrompus qui les feraient certainement disparaître ».
José Steppe souffre d’asthme, et, pour soulager les crises qui l’accablent, il se sert d’un respirateur.
Le 25 avril 1997, quelques jours avant sa rencontre avec le journaliste avec qui il avait pris contact, une femme d’ouvrage de l’hôtel dans lequel il réside découvre son corps dans un couloir, son masque à oxygène recouvre toujours son visage.
Au fond de la bouteille de l’inhalateur, on découvre du Rohypnol (un sédatif, notamment utilisé par Dutroux lors de ses enlèvements).
Jean-Jacques Feront
Le 4 mai 1995, la section Jeunesse de la P.J. de Bruxelles reçoit une lettre anonyme contenant des informations sur un pédophile qui vend des photos et des vidéos à caractère sexuel de sa fille de 10 ans.
Ces informations s’avèreront fondées.
Le 11 juillet de la même année, le même informateur déclare avoir vu des photos de Mélissa Russo, proposée avec d’autres enfants à la vente ou à la location par un germanophone dont les initiales figurent sur une chevalière qu’il porte : « K.B. ». Les inspecteurs Speltens et Colson déclarent que cet informateur est fiable, et qu'il a déjà fait ses preuves.
Ils réquisitionnent des spécialistes de la filature, envoient une note au commissariat général dans laquelle ils exposent leur projet. Ils demandent également, pour le 23 septembre 1995, deux sémaphones (« bipeurs », en français) et deux voitures de service.
Et le temps passe...
Les parquets de Louvain et de Liège se renvoient la responsabilité dans ce dossier comme une patate chaude.
Le commissaire Lamoque dit aux parents de Julie et de Mélissa qu’il n’a jamais compris pourquoi on avait décidé en haut lieu que cela ne pouvait se faire.
On retrouve dans ce volet de l’affaire, une intervention de la substitute Paule Somers, ici comme dans le volet sur les témoins X, pour ne pas dire la vérité.
Pour les enquêteurs, « K.B. » évoque tout de suite Klaus Bahr, qui contrôle une grande partie du marché belge du porno dans les années 90.
Klaus Bahr est également décédé depuis lors.
Quand Marc Dutroux est arrêté, onze mois plus tard, et que deux enfants sont libérées de sa cave à Marcinelle (localité que Jean-Jacques Feront avait désignée), les enquêteurs s’arrachent les cheveux, ils expriment leur incompréhension à leur supérieur.
Le 1er mars 2001, Jean-Jacques Feront décède à la suite de deux crises cardiaques consécutives.
Le commissaire Speltens dira devant la Commission parlementaire d’enquête : « Si la magistrature [...] avait laissé la P.J. monter un guet-apens autour de Feront, les gamines auraient peut-être été retrouvées. On ne veut pas aller jusqu’au bout dans cette enquête ».
Bruno Tagliaferro et sa femme Fabienne Jaupart
Bruno est un ferrailleur, et possiblement un magouilleur. Son épouse, Fabienne Jaupart, est convaincue que son mari est détenteur d'un secret qui met leurs vies en péril.
Elle pense que son époux s’est rendu compte qu’il avait, à son insu, été chargé, du démontage et de la revente des pièces de la Citroën AX qui aurait servi à l’enlèvement de Julie Lejeune et de Mélissa Russo.
Bruno Tagliaferro meurt le 4 novembre 1995. Le légiste conclut à un arrêt cardiaque.
Un laboratoire du F.B.I. (consulté par le juge Jean-Marc Connerotte) conclut à un empoisonnement, mais un expert liégeois (désigné ultérieurement par le juge Jacques Langlois) estimera que la production de cyanure par un cadavre en décomposition peut être un phénomène naturel. Malgré les taux de cyanure retrouvés dans le corps de Tagliaferro bien supérieurs à des doses pouvant être « auto-produites », le juge Langlois privilégiera la « mort naturelle » comme explication du décès du ferrailleur de Keumiée.
Quant à son épouse, Fabienne Jaupart, elle est retrouvée morte le 18 décembre 1998. Elle se serait aspergée de méthanol, aurait remis la bouteille sur le meuble à côté de son lit et se serait ensuite mis le feu, non sans avoir pris soin de mettre les pommes de terre à cuire sur le réchaud et de faire tourner le lave-vaisselle.
L’enquête conclut bien évidemment au suicide.
Une ancienne connaissance de Dutroux (Claude Thirault) affirme qu'il parlait, fin 1995, d’un certain Tagliaferro à liquider contre un paiement de 50 000 francs belges. « Lui et sa femme », précisait-il.
Le juge Connerotte considérait qu’il avait suffisamment d’informations pour accorder une protection policière à la veuve de Bruno Tagliaferro. Après son dessaisissement et la nomination du juge Langlois, la protection policière sera levée.
Michel Piro
Exploitant de bars-restaurants dans la clientèle desquels on retrouve Marc Dutroux, Bernard Weinstein, Michel Lelièvre et Michel Nihoul, il contacte, à trois reprises, la famille de Jean-Denis Lejeune (le père de Julie Lejeune) et lui demande une entrevue à laquelle il souhaite que soit convié le procureur Michel Bourlet. Son intention est également d’organiser un souper avec les parents de Julie et de Mélissa, au cours duquel il souhaite faire des révélations sur le sort des deux petites liégeoises.
Plusieurs témoins le diront ; parmi ceux-ci, un indicateur de la B.S.R. de Charleroi affirme que « Piro aurait dit quelques jours avant son décès qu’il allait « balancer » tout ce qu’il savait sur le dossier Julie et Mélissa lors du repas qu’il organisait ». Selon son fils, il aurait dit que « des têtes allaient sauter ».
On ne saura jamais quelles étaient ces révélations : le 5 décembre 1996, il est exécuté, à bout portant, sur un parking d’autoroute, tandis que son épouse est sortie pendant quelques instants du véhicule pour se rendre aux toilettes.
François Reyskens
Début juillet 1995, les parents de Julie Lejeune et Mélissa Russo, disparues depuis deux semaines, reçoivent un appel téléphonique d’un courtier en assurances, sorte de père adoptif d’un jeune cocaïnomane répondant au nom de François Reyskens.
Ce jeune homme, explique le courtier, déclare avoir rencontré les petites Julie et Mélissa dans un bar aux Pays-Bas.
Aussitôt, Carine Russo, la mère de Mélissa, alerte la gendarmerie de Seraing et un rendez-vous est pris avec le jeune François Reyskens pour le 26 juillet.
François Reyskens meurt, écrasé par un train, deux heures avant ce rendez-vous.
L’enquête conclut au suicide.
« C'est plutôt étrange que, juste à ce moment-là, il finisse sous un train. S'agit-il vraiment d'un accident ? », s'interroge le père de ce dernier.
Gina Pardaens-Bernaer, néerlandaise, enquête sur le dossier du réseau pédophile de Zandvoort. Se sentait menacée, recevait des harcèlements téléphoniques et était suivie par une voiture. Son téléphone est saboté et sa ligne mauvaise. Elle appelle le président d'une association un soir de novembre 1998 et lui dit qu'elle dispose de révélations.
"Avec ce que j'ai découvert, dit-elle, soit la Belgique explose, soit je suis assassinée"
Retrouvée morte la nuit-même encastrée sous un pont sans traces de freinage, aucune enquête n'est menée et le bureau de son avocat est cambriolé dans la foulée
Le 22 janvier 1984, les policiers débarquent allée des Violettes, au domicile de Claude et Monique Dunand. Ils découvrent, dans la cave du pavillon, une jeune femme entravée sur une croix, torturée. C'est une autre jeune fille, séquestrée au même endroit pendant plusieurs mois, qui a donné l'alerte après avoir réussi à s'enfuir. Toutes les deux sont brûlées au fer, victimes d'éventrations que les «clients» de Claude Dunand leur infligeaient. Car, dans la cave, on venait consommer de la torture, avec les tarifs affichés sur la porte.
A l'intérieur du pavillon, les policiers saisissent deux carnets, qui contiennent la liste des adeptes.
On n'en saura pas plus. Les carnets "disparaissent" du palais de justice d'Auxerre. L'affaire est classée.
Affaire dutroux : 30 témoins décèdent, 17 avant d'avoir pu témoigner
Sept meurtres, dix suicides, cinq accidents de la circulation, et huit cas de mort 'naturelle'
Déclaration du ministère de la justice : "Que voulez-vous, des gens meurent, c'est comme ça"