Selon vous ?
Non tranquille . . . on a vu pire quoi
Entre le 6 et le 7 septembre 2001 à la Bourse de Chicago, la principale bourse d'options en Amérique du Nord, 4744 options de vente d’actions United Airlines sont achetées contre seulement 396 options d’achat, ce qui représente 25 fois la moyenne des transactions habituellement opérées sur cette compagnie aérienne. Le 10 septembre, la veille des attentats, ce sont 4516 options de vente d’actions American Airlines qui sont acquises contre 748 options d’achat, près de 11 fois la moyenne quotidienne enregistrée les mois précédents
Le scénario fut identique pour bon nombre de sociétés qui occupaient des bureaux dans ou à proximité des Tours Jumelles, parmi lesquelles les compagnies financières Merrill Lynch, Bank of America et Morgan Stanley. 2157 options de vente de Morgan Stanley, le principal occupant du World Trade Center, ont été achetées à la Bourse de Chicago dans les 3 jours précédant les attentats, alors que le volume ordinaire pour ces options se montait à seulement 27 contrats par jour avant le 6 septembre. 12.215 options de vente de Merrill Lynch ont été achetées dans les 4 jours précédant les attentats contre une moyenne quotidienne de 252 auparavant
A contrario, le secteur de la Défense fut le théâtre de vives spéculations à la hausse se traduisant par une soudaine augmentation du volume d’options d’achat souscrites. En guise d’exemple, le fabricant d’armes américain Raytheon dont l’action grimpa après le 11-Septembre vit les souscriptions d’options d’achat sur son titre multipliées par six la veille des attentats
Après le 11 Septembre, le plongeon des titres des sociétés touchées par les attentats a permis aux initiés d’engranger des bénéfices colossaux
La banque centrale Allemande après avoir enquêté conclue qu'il y a "indéniablement" des délits d'initiés.
Cependant, conclusion de l'enquête du FBI : Les acheteurs et vendeurs n'étant pas liés à al-Qaida, il n'existe aucun délit d'initié, et ces transactions ne sont qu'une coïncidence extraordinaire
Alors qu'aucun débris identifiable de l'avion ne fut retrouvé sur les lieux du crash du vol UA93 à Shanksville, Pennsylvanie (Pittsburghlive, 11/09/02), le nombre de documents d'identités ayant survécu au crash est impressionnant : le passeport du supposé pirate Saeed Alghamdi, le permis de conduire de Floride du supposé pirate Ahmed Alnami, sa carte de membre de l’Association des Auberges de jeunesse d’Arabie Saoudite, une page contenant le visa pour les Etats-Unis du passeport du supposé pirate Ziad Jarrah, une carte de visite professionnelle de l’oncle de Ziad Jarrah.
Le cas du passeport de Satam Al-Suqami retrouvé au pied du World Trade Center est particulièrement emblématique. Selon le récit officiel, ce document a traversé le crash sans être endommagé pour être ensuite retrouvé par "un passant non identifié" qui a eu la présence d'esprit de le donner à un inspecteur de police, tout ceci avant que les tours ne s'écroulent (Commission, audience du 26/01/04), soit entre 8h46 et 9h59, malgré la panique qui régnait et la présence de milliers de papiers dans les rues. Dans un documentaire intitulé "F.B.I" diffusé en mars 2010 sur France 5, l'agent du FBI Dan Coleman nous en apprend "un peu plus" sur ce passant non identifié : à peine avait-il remis le passeport à l'inspecteur de police qu'il « s’était enfui »
Le présumé pirate Abdulaziz Alomari habitait Vero Beach en Floride en 2001 (document du FBI, p.11). Quant à son prétendu homonyme qui est pilote de ligne pour Saudi Airlines (FOX News, 14/09/01 ; Boston Globe, 15/09/01 ; New York Times, 16/09/01 ; Independent, 17/09/01 ; BBC News, 23/09/01), il vécut également à Vero Beach en 2001 pour y prendre des cours de pilotage (FOX News, 14/09/01 ; New York Times, 16/09/01 ; CNN, 14/09/01). Selon la thèse officielle des homonymies, deux saoudiens portant le même nom auraient donc tous deux vécus dans une petite ville de 17.000 habitants en Floride, et ce à la même période et sans se connaître. Quelle est la probabilité d’un tel concours de circonstance ?
Le prétendu homonyme de Waleed Alshehri a confirmé avoir vécu à Daytona Beach (Floride) durant l'été 2000. Il y prit des cours de pilotage et est lui aussi devenu pilote de ligne chez Saudi Arlines (Asharq Al-Awasat, 22/09/01 ; BBC News, 23/09/01 ; Daily Trust, 24/09/01). Quant au présumé pirate Waleed Alshehri, il vivait également en Floride, et parmi les villes de Floride où il aurait selon le FBI vécu figure ... Daytona Beach ! (site officiel du FBI, 27/09/01).
L'information selon laquelle jusqu'à 6 pirates se seraient entraînés sur des bases militaires américaines dans les années 90 fit l'objet de nombreux articles dans les médias américains quelques jours après les attentats (Newsweek, 15/09/01 ; Los Angeles Times, 15/09/01 ; New York Times, 16/09/01 ; Washington Post, 16/09/01). Juste après ces révélations, le Pentagone orchestra une contre-offensive par le biais d'un communiqué de presse stipulant de manière peu probante que le recoupement des dates de naissance des étudiants avec celles des pirates « indique qu'il ne s'agit probablement pas des mêmes personnes » (Washington Post, 16/09/01). L'argument d'homonymie fut donc une nouvelle fois invoqué. Or, comment les autorités américaines ont-elles bien pu faire de tels recoupements alors que la nationalité et la date de naissance de 4 des 6 pirates en question étaient alors inconnues et sont toujours présentées comme tel sur le site du FBI ? Malgré l'acharnement de quelques journalistes, le Pentagone refusa de révéler les dates de naissance, pays d'origine et toute autre information sur les supposés homonymes, une position qui rend impossible toute vérification. A propos de l'attitude du Pentagone, le Grand Reporter Eric Laurent a recueilli les confidences d'un officier de haut rang de la DIA (les services secrets militaires) : « Je pense que l'explication de ce silence est très simple. Reconnaître que les terroristes auraient été entraînés [...] sur des bases militaires américaines révèlerait que ces hommes entretenaient des liens avec des gouvernements arabes alliés des Etats Unis. [...] Dés lors, finie la vérité officielle d'une opération seulement commanditée depuis les montagnes reculées d'Afghanistan » (E. Laurent, sept. 2005, p.88).
Dès 1999, les services de renseignement britanniques mettent en garde les Etats-Unis : Al-Qaida a l'intention d'utiliser « des avions de ligne de façon non conventionnelle, peut-être comme des bombes volantes » (Sunday Times, 9/06/02). Ils surenchérissent le 16 juillet 2001 : Al-Qaida se trouve en « phase préparatoire ultime » d'un gigantesque projet terroriste (London Times, 14/06/02).
Fin juillet 2001, le ministre des Affaires étrangères afghan (sous le régime Taliban !) informe les Etats-Unis qu'Al-Qaida projette « une énorme attaque sur le sol américain » et que cette attaque est imminente (The Independent, 7/09/02).
Courant août, les services de renseignement américains reçoivent des informations éloquentes de la part de leurs homologues marocains et jordaniens : Al-Qaida prépare « des opérations de grande envergure à New York dans l'été ou l'automne 2001 » avec les tours jumelles pour cibles selon les premiers (AFP, 22/11/01 ; International Herald Tribune, 21/05/02), une attaque majeure utilisant des avions de ligne se prépare sur le sol américain selon les seconds (International Herald Tribune, 21/05/02).
Le 6 août 2001, une note d’alerte de la CIA adressée au Président Bush et intitulée « Ben Laden Déterminé à Frapper aux Etats-Unis » prévient très clairement de l’imminence d’une attaque sur le sol américain et donne des indications pour le moins explicites sur le mode opératoire et les cibles visées. Extraits : « un groupe de fidèles de Ben Laden [est] aux Etats-Unis où il planifie des attentats », « des détournements d'avions ou d’autres types d’attentats se préparent, avec notamment pour cible des bâtiments fédéraux à New York », « Ben Laden a dit à ses fidèles qu’il voulait user de représailles sur Washington »
Au total, ce sont au moins 12 pays, dont la France (Le Monde, 16/04/07), qui alertent les Etats-Unis d’une attaque imminente sur leur territoire. Or, la Commission d’enquête passera ces nombreux avertissements étrangers sous silence, tout comme elle passera sous silence le scandale « Able Danger », l’opération « Bojinka », les mystérieuses mises en garde de ne pas prendre l’avion ce jour-là, et niera l'existence de délits d'initiés boursiers survenus la veille des attentats
Pourtant, quelques jours après les évènements, le directeur du FBI, Robert Mueller, déclare : « Il n'y avait à ma connaissance aucun signal d'alerte [sur] ce genre d'opération sur notre sol » (CNN, 18/09/01).
Le 16 Mai 2002, la secrétaire d’Etat Condoleezza Rice affirme devant la presse : « Personne n’aurait pu prévoir qu’ils allaient utiliser un avion […] comme missile » (New York Times, 19/05/02).
Le San Francisco Chronicle rapporta que le maire de San Francisco, qui devait se rendre à New York le matin du 11 Septembre, fut prévenu la veille des attentats de ne pas prendre l'avion ce jour là (San Francisco Chronicle, 12/09/01). Le célèbre écrivain Salman Rushdie reçut également une mise en garde lui demandant d'éviter les compagnies aériennes américaines et canadiennes. Selon l'écrivain, l'alerte provenait directement de la FAA, l'agence gouvernementale chargée des réglementations et des contrôles de l'aviation civile aux Etats-Unis (London Times, 27/09/01 ; Daily Mail, 7/10/01). Par ailleurs, Newsweek écrivit que le 10 septembre 2001, la veille des attentats, « un groupe de hauts responsables du Pentagone annulèrent brusquement leurs vols prévus pour le lendemain, apparemment pour des raisons de sécurité » (Newsweek, 24/09/01).
On a pas du tout eu une recrudescence d'attentats et d'amalgames racistes après ca.
Les boîtes noires, éléments qui auraient permis d’entendre les voix des terroristes prenant le contrôle des avions, parlant arabe, s’invectivant par leurs prénoms etc, ce qui aurait permis de les identifier, ont malencontreusement toutes subi des problèmes divers.
Il existe 2 types de boîtes noires, quasi indestructibles dans chaque avion, 1 enregistrant les voix du cockpit, l’autre stockant les informations techniques du vol. Concernant la première catégorie :
- La boîte du vol 11 ne fut jamais retrouvée.
- La boîte du vol 175 ne fut jamais retrouvée.
- La boîte du vol 77 fut retrouvée, mais « trop endommagée pour être utilisable ».
- La boîte du vol 93 fut retrouvée, et est utilisable. Son contenu ne fut cependant inexplicablement jamais publié. Des familles de victime ont formulé une requête en décembre 2001 pour que le contenu soit publié. Le FBI refusa la demande.
Concernant la deuxième catégorie :
- La boîte du vol 11 ne fut jamais retrouvée.
- La boîte du vol 175 ne fut jamais retrouvée. (On en est à 4 boîtes noires orange fluo, quasiment indestructibles qui ne sont pas retrouvées alors que les débris ont été si méticuleusement analysés et triés que des dizaines de montres, de billets de banque et des seaux de pièces de monnaie ont été récupérés)
- Les boîtes des vol 77 et 93 furent retrouvées et utilisées. Cependant, un problème majeur se pose.
Chaque boîte noire de ce type possède une immatriculation permettant de la relier à son avion. Dans tous les accidents de vol des 20 années précédant le 9/11, le rapport d’enquête mentionne scrupuleusement le matricule de la boîte et de l’avion.
Pour une raison inconnue, dans le rapport des vols 77 et 93, ces immatriculations sont absentes.
Plusieurs «freedom of information act request» (une requête d’information) ont été formulées au NTSB, à l’administration de l’aviation fédérale et au FBI pour obtenir des explications, mais toutes ces requêtes furent inexplicablement rejetées. En conséquence, rien ne permet d’affirmer que les informations retirées des boîtes noires viennent bien des deux vols en question.
En résumé, sur 8 boîtes noires quasi indestructibles, 4 ne furent jamais retrouvées. 1 est inutilisable. 1 fut retrouvée mais son contenu classifié. 2 furent retrouvées avec leur contenu publié, mais sans l’immatriculation. Une série de coïncidences qui dépasse l'entendement.
Ca a eu des répercussions majeures sur la première moitié du 21ème siècle. Mais en 2024 la jeunesse américaine semble y être totalement indifférente
Sur les 19 présumés terroristes ayant embarqué dans 3 aéroports différents, pas un seul n'est repérable sur les images de vidéosurveillance. Ni à l’enregistrement, ni dans la zone de transit, ni à l’embarquement, ni dans les escalators, ni nulle part ailleurs.
Aucun des agents de surveillance ou de fouille des 4 vols ne se souvient avoir vu ne serait-ce que l'un d'entre eux.
Les documents des aveux de Khalid Sheikh Mohammed (obtenus sous la torture) ont été détruits sans justification par la CIA, de l’aveu du département de la justice, et ne seront donc plus jamais accessibles.
Le 06 juin 2024 à 18:58:18 :
Le San Francisco Chronicle rapporta que le maire de San Francisco, qui devait se rendre à New York le matin du 11 Septembre, fut prévenu la veille des attentats de ne pas prendre l'avion ce jour là (San Francisco Chronicle, 12/09/01). Le célèbre écrivain Salman Rushdie reçut également une mise en garde lui demandant d'éviter les compagnies aériennes américaines et canadiennes. Selon l'écrivain, l'alerte provenait directement de la FAA, l'agence gouvernementale chargée des réglementations et des contrôles de l'aviation civile aux Etats-Unis (London Times, 27/09/01 ; Daily Mail, 7/10/01). Par ailleurs, Newsweek écrivit que le 10 septembre 2001, la veille des attentats, « un groupe de hauts responsables du Pentagone annulèrent brusquement leurs vols prévus pour le lendemain, apparemment pour des raisons de sécurité » (Newsweek, 24/09/01).
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/36/1473263957-risitas33.png
Les complotax
El famoso complot mais la moitié des célébrités sont prévenues en amont. Après tout, pourquoi garder un complot secret ?
L'interdiction de procéder aux interrogatoires des prétendus comploteurs en détention, au premier rang desquels Khaled Sheikh Mohammed - « cerveau » présumé des attentats (Note confidentielle de D. Rumsfeld, J. Ashcroft et G. Tenet, 16/01/04, p.26 ; T. Kean et L. Hamilton, 2006, pp. 118-126 ; New York Times, 2/01/08). Ainsi, toutes les déclarations que le rapport final attribue à ces détenus sont exclusivement des informations de troisième main transmises à la Commission par la CIA. Comme le reconnaissent Kean et Hamilton, la Commission n'avait « aucun moyen de vérifier la fiabilité des informations [...] fournies » (T. Kean et L. Hamilton, 2006, p.119). Or, c'est sur la base des aveux de Khaled Sheikh Mohammed et des autres détenus - « les seules sources disponibles sur le complot » (T. Kean et L. Hamilton, 2006, pp. 118/119) - que la Commission a pu établir un lien entre al-Qaida, Ben Laden et les attentats du 11 Septembre (Commission sur le 11/9, rapport officiel, juil. 2004, pp.145-155).
La fiabilité des aveux rapportés est d’autant plus sujette à caution que les détenus clés, dont Khaled Sheikh Mohammed, avaient été soumis à la torture du « waterboarding » lors de leurs interrogatoires par la CIA. Michael Hayden, directeur de la CIA, l’a admis devant la Commission du renseignement du Sénat américain le 5 février 2008 (Jurist, 5/02/08 ; The Australian, 7/02/08), puis un mémo rendu public par le Département de la Justice en avril 2009 révéla que Khaled Sheikh Mohammed fut torturé à 183 reprises en mars 2003 (New York Times, 20/04/09 ; Le Monde, 20/04/09). Ces révélations inspirèrent au journaliste du New York Times Philip Shenon le commentaire suivant : « Tout ceci jette un voile sur la crédibilité du rapport final de la Commission. Dans les cercles du renseignement, on n’accorde que peu de crédit aux témoignages recueillis sous la torture. Les études démontrent que les gens diront n’importe quoi si on les menace d’une douleur physique intense »
Barry Jennings et Michael Hess sont les deux seules personnes qui sont montées dans la tour 7 après son évacuation. Jennings témoigne qu’il a vu des cafés encore fumants, témoignant de l’évacuation qui venait d’avoir lieu. Alors que les deux redescendent, une « grosse explosion » retentit, dévastant les escaliers et les piégeant dans l’immeuble. Jennings casse alors une fenêtre avec un extincteur pour appeler à l’aide. Il témoigna également qu’en attendant les secours, il entendait « toutes sortes d’explosion », alors qu’il pouvait voir les tours 1 et 2 toujours debout.
Selon le narratif officiel, pourtant, les seuls explosions ayant eu lieu dans la tour 7 sont dues à la projection de débris lorsque les tours 1 et 2 se sont effondrées.
Michael Hess corrobore ce témoignage.
Le témoignage de Jennings et Hess fut inexplicablement ignoré par la commission d’enquête.
Le NIST mentionna les deux hommes, mais tronquant de façon inexplicable leur histoire (voir https://www.consensus911.org/fr/point-wtc7-8-fr/ ) Jennings décédera avant 50 ans d'une maladie foudroyante, quelques jours avant que le rapport final ne soit publié.
Le témoignage extrêmement dérangeant de Norman Mineta, secrétaire d'état aux transports, pourtant sous serment et filmé par la commission, jette le doute sur la version officielle des événements au Pentagone.
Le témoignage de Mineta fut exclu sans aucune justification du rapport d'enquête. La présence-même de Mineta dans le Pentagone ne fut pas mentionnée dans le rapport. La vidéo de son témoignage fut effacée sans justification du site de la commission.
Hani Hanjour, alors qu’il avait le Pentagone en vue et pouvait plonger dessus pour faire un maximum de dégât, aurait choisi de débrancher le pilote automatique, faire une gigantesque boucle de 330 degrés et venir coller l’avion au ras du sol (une manœuvre extrêmement compliquée et même quasiment infaisable selon les plus de 100 professionnels, pilotes civils et militaires du collectif patriots for 911 truth) le tout pour venir percuter le Pentagone sur la façade, soit l’endroit qui ferait le moins de dégât. Curieusement, sur les 6 façades, le vol percute celle qui venait d’être renforcée pour parer les attaques terroristes.
Le vol 77 est un boeing 757, d’une envergure de 37,8 mètres. Selon la version officielle, l’avion a percuté le Pentagone avec un angle entrant de 42 degrés. Le trou dans la façade devrait donc être de 48,7 mètres. Or, le trou n’est que de 27 mètres. Presque 2x moins que ce qui est prévu. Aucune explication ne fut jamais donnée.
Les stabilisateurs horizontaux (ce qu’on appelle les petites ailes, situées à l’arrière de l’avion), mesurant 15 mètres de diamètre et montés au-dessus des ailes, auraient dû impacter la façade. Mais aucune trace n’est visible. Aucune explication ne fut jamais donnée.
La queue de l’avion, culminant à 7 mètres au-dessus du fuselage, aurait dû impacter la façade. Mais aucune trace n’est visible. L’endroit projeté où l’impact se serait produit est en parfait état, les vitres ne sont même pas brisées. Aucune explication ne fut jamais donnée.
Les deux réacteurs RB 211 de l’avion, construits avec un cœur en titane quasiment indestructible, n’ont inexplicablement pas été retrouvés.
Les boîtes noires et les réacteurs quasi indestructibles des avions se volatilisent, par contre les documents d'identité des pirates de l'air sont retrouvés en bon état quasi immédiatement. Edifiant.