Le 17 juin 2024 à 14:50:42 :
Attention l'op, tu n'es pas à l'abri de la dépression, elle frappe les plus démunis surtout ceux qui ont le malheur de poser les mauvaises questions aux mauvaises personnes au mauvais endroit au mauvais moment, pas de chance
On n'est pas à l'abri non plus d'une malfonction technique soudaine d'un avion ou d'une voiture comme mr prigozhin
"Tu viens au week-end diabolique?"
https://fr.wikipedia.org/wiki/Viols_d%27enfants_:_la_fin_du_silence_%3F#Les_t%C3%A9moignage
Les témoignages et dessins des enfants, entrecoupés de pleurs, révèlent des rites pédo-sataniques : hommes et femmes en robe blanche ou rouge à bords dorés, arborant sur leur poitrine le symbole d'un triangle dans un cercle, tenant parfois des crucifix, iront jusqu'à décapiter des enfants devant eux et à placer leurs têtes sur des piques, autour d'une grande statue centrale. De nombreuses personnes auraient été présentes. Une salle où les hommes violeraient les petites filles et une autre où des femmes violeraient des petits garçons est alors décrite. Les enfants auraient également subis des séances d'hypnose au pendule"
Réaction de l'avocat du père des enfants : "Ils sont influencés par les BD comme tintin"
Le 17 juin 2024 à 14:43:27 :
Le 17 juin 2024 à 14:01:17 :
Le 22 janvier 1984, les policiers débarquent allée des Violettes, au domicile de Claude et Monique Dunand. Ils découvrent, dans la cave du pavillon, une jeune femme entravée sur une croix, torturée. C'est une autre jeune fille, séquestrée au même endroit pendant plusieurs mois, qui a donné l'alerte après avoir réussi à s'enfuir. Toutes les deux sont brûlées au fer, victimes d'éventrations que les «clients» de Claude Dunand leur infligeaient. Car, dans la cave, on venait consommer de la torture, avec les tarifs affichés sur la porte.A l'intérieur du pavillon, les policiers saisissent deux carnets, qui contiennent la liste des adeptes.
On n'en saura pas plus. Les carnets "disparaissent" du palais de justice d'Auxerre. L'affaire est classée.
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/03/1/1673900558-71nw6dpcm1l-sx450.jpg Ayaaaaaa même Wikipédia annonce que c'est louche cette affaire
"L'un des clients identifiés, Christian Grima, est condamné à six mois de prison ferme. Les autres clients du réseau ne seront pas inquiétés, les Dunand ne révélant jamais leurs noms et les carnets d'adresses ayant « étrangement » disparu.
Plusieurs décès vont frapper les accusés et les victimes.
Tout d'abord, Monique Dunand décède accidentellement en faisant une chute dans les escaliers en 1997.
Ensuite, la troisième victime, Isabelle, décède en octobre 1998, apparemment empoisonnée. Elle n'avait pu se rendre au procès d'octobre 1991 à la suite d'un étrange accident de voiture.
Christian Grima tue sa femme Brigitte Charot, fille d'un industriel local, à la carabine de chasse avant de retourner l'arme contre lui le 9 juin 1999. Il décède à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre le 23 juin 1999. La presse locale mentionne alors son implication dans l'affaire Dunand.
Les différentes sources indiquent que Dunand aurait été l'homme de main d'un réseau criminel qu'il appelait l'Organisation dont certains membres et clients appartenaient à un milieu social aisé. Dans l'interview qu'il donne le 30 avril 2002 , Dunand évoque des chefs d'entreprise, et même un « homme politique nationalement connu » parmi ses clients."
Wikipedia est-il tombé sous l'influence de rédacteurs conspirationnistes d'extrême-droite ?
Assistante sociale, Gina Pardaens-Bernaer avait rejoint l'ONG Morkhoven, au moment de la découverte du réseau pédocriminel Zandvoort, en juillet 1998. Elle travaillait au dossier Schadwald, du nom d'un petit garçon disparu d'Allemagne à l'âge de 11 ans et dont la recherche avait mené Marcel Vervloesem au réseau. Elle découvrait rapidement l'implication des services secrets allemands, par le beau-père de l'enfant, Rainer Wolf.
Elle commençait alors à avoir des problèmes de perturbations de téléphone, de fax et d'ordinateur. Elle recevait des appels répétitifs de personnes qui raccrochaient après un long silence. Belgacom, alors monopole d'état en matière de téléphonie, ne prétendait pas réussir à trouver l’origine des interférences, ni des appels anonymes. Leur enquête les avait mené à découvrir qu'une deuxième ligne aurait été ouverte sur son téléphone sans qu'elle ne l'ait jamais commandé et qu'il y aurait eut "un petit fil détaché".
C'est Gina Pardaens-Bernaer qui fit une copie d'un des cédéroms de Zandvoort et l'envoya à l'organisation "CIDE", qui à son tour la communiqua à Interpol. Elle avait découvert un film snuff où figurait le viol et le meurtre d'une petite fille et dans lequel elle avait reconnu un ancien associé de Michel Nihoul, célèbre dans le dossier Dutroux. Des hommes l'arrêtaient dans un train et lui dirent d'arrêter ses recherches. Depuis, elle se déplaçait en voiture, mais elle fut rapidement suivie. Elle notait les plaques d’immatriculation, parmi lesquelles d'une Mercedes grise qui s’avérera être celle de l’ancien chauffeur du bar Dolo: le quartier général de Michel Nihoul à Bruxelles, où il rencontrait tous les policiers qui rataient chaque enquêtes relatives à l'exploitation sexuelles d'enfants.
Elle avait collaboré au programme télévisé Faits divers de la RTBF, avec le journaliste Dessart. Ils furent tout deux interrogés par la police judiciaire au sujet de l’affaire Schadwald. Les officiers semblaient d'avantage intéressés à leurs connexions avec le Werkgroep Morkhoven, qu'à la disparition de l'enfant. L'audition lui avait paru hautement remarquable, intimidante et clairement dirigée afin de lui faire révéler sur ses sources, avait-elle dit au journal De Morgen .
Le harcèlement téléphonique augmentait. Elle recevait des menaces de mort, de personnes dont les voix étaient déformées par un appareillage électronique. Suite de deux de ces appels, son fils, alors qu'il était sur sa bicyclette, fut renversé par une voiture dont le conducteur s'enfuit sans s'arrêter.
Quatre mois étaient passés depuis que Gina Pardaens-Bernaer collaborait avec le Werkgroep Morkhoven, quand le 14 novembre 1998 au soir, elle appelait Jan Boeykens, président de l’association. La communication était si brouillée qu'ils avaient des difficultés à s'attendre l'un l'autre, mais il parvint à apprendre qu'elle avait été objet d'une nouvelle série de menaces de mort:- Avec ce que j'ai découvert, dit-elle, soit la Belgique explose, soit je suis assassinée
La nuit même, à l'aube du 15 novembre, sa voiture fut retrouvée écrasée sous un pont, sans qu'aucune trace de freinage n'ait pu être relevé, aurait pu démontré qu'ils avaient été sabotés. L'état de la voiture se passe de commentaire.
La Belgique n'a pas explosé. Le meurtre ne fut objet d'aucune enquête policière. Peu après, le bureau de son avocat, Maître Arnould, était cambriolé et des dossiers étaient volés.
Michel Piro
Exploitant de bars-restaurants dans la clientèle desquels on retrouve Marc Dutroux, Bernard Weinstein, Michel Lelièvre et Michel Nihoul, il contacte, à trois reprises, la famille de Jean-Denis Lejeune (le père de Julie Lejeune) et lui demande une entrevue à laquelle il souhaite que soit convié le procureur Michel Bourlet. Son intention est également d’organiser un souper avec les parents de Julie et de Mélissa, au cours duquel il souhaite faire des révélations sur le sort des deux petites liégeoises.
Plusieurs témoins le diront ; parmi ceux-ci, un indicateur de la B.S.R. de Charleroi affirme que « Piro aurait dit quelques jours avant son décès qu’il allait « balancer » tout ce qu’il savait sur le dossier Julie et Mélissa lors du repas qu’il organisait ». Selon son fils, il aurait dit que « des têtes allaient sauter ».
On ne saura jamais quelles étaient ces révélations : le 5 décembre 1996, il est exécuté, à bout portant, sur un parking d’autoroute, tandis que son épouse est sortie pendant quelques instants du véhicule pour se rendre aux toilettes.
Il en savait long sur le milieu de la prostitution enfantine de la région de Charleroi.
L’enquête sur l’assassinat de Michel Piro conclut au meurtre passionnel. Sa femme, Véronique Laurent, sera condamnée à 15 années de réclusion en tant que commanditaire du meurtre alors que les deux exécutants seront blanchis par un tribunal français qui considèrera que ce dossier n’a aucune consistance.
La rumeur dira que Michel Piro voulait révéler que Julie et Mélissa avaient été « prêtées » à un bar fin 1995.
Une de ces pistes sérieuses que le juge Langlois écartera, non sans avoir veillé auparavant à la baptiser « piste périphérique ». Pendant quatre ans, le dossier Piro fera l’objet, à Neufchâteau, d’une correspondance envenimée entre le procureur Bourlet, qui demandera que soit poursuivie l’enquête sur l’entourage de Michel Piro, et le juge d’instruction Langlois, qui refusera d’enquêter.
José Steppe
Au début des années 80, José Steppe habite le quartier de Marc Dutroux, à Goutroux.
Ancien jeune communiste, Steppe vire à l’extrême droite.
En avril 1997, il contacte un journaliste. Affirmant détenir des informations sur l’affaire Dutroux, il parle de remettre au journaliste des copies de cassettes vidéo sur lesquelles on peut voir Dutroux et d’autres en train de violer des enfants.
« Il était inquiet », dit un témoin anonyme ; « Un jour, tu me trouveras avec une balle dans la tête », lui aurait dit José Steppe ; il lui aurait encore dit que ces cassettes vidéo, c’était « de la dynamite » ; qu’on pouvait y reconnaître des notables de Charleroi, des politiciens connus. Steppe « ne voulait pas donner la cassette à la police, parce qu’il y avait là, disait-il, trop de gens corrompus qui les feraient certainement disparaître ».
José Steppe souffre d’asthme, et, pour soulager les crises qui l’accablent, il se sert d’un respirateur.
Le 25 avril 1997, quelques jours avant sa rencontre avec le journaliste avec qui il avait pris contact, une femme d’ouvrage de l’hôtel dans lequel il réside découvre son corps dans un couloir, son masque à oxygène recouvre toujours son visage.
Au fond de la bouteille de l’inhalateur, on découvre du Rohypnol (un sédatif, notamment utilisé par Dutroux lors de ses enlèvements).
François Reyskens
Début juillet 1995, les parents de Julie Lejeune et Mélissa Russo, disparues depuis deux semaines, reçoivent un appel téléphonique d’un courtier en assurances, sorte de père adoptif d’un jeune cocaïnomane répondant au nom de François Reyskens.
Ce jeune homme, explique le courtier, déclare avoir rencontré les petites Julie et Mélissa dans un bar aux Pays-Bas.
Aussitôt, Carine Russo, la mère de Mélissa, alerte la gendarmerie de Seraing et un rendez-vous est pris avec le jeune François Reyskens pour le 26 juillet.
François Reyskens meurt, écrasé par un train, deux heures avant ce rendez-vous.
L’enquête conclut au suicide.
« C'est plutôt étrange que, juste à ce moment-là, il finisse sous un train. S'agit-il vraiment d'un accident ? », s'interroge le père de ce dernier.
Bruno Tagliaferro et sa femme Fabienne Jaupart
Bruno est un ferrailleur, et possiblement un magouilleur. Son épouse, Fabienne Jaupart, est convaincue que son mari est détenteur d'un secret qui met leurs vies en péril.
Elle pense que son époux s’est rendu compte qu’il avait, à son insu, été chargé, du démontage et de la revente des pièces de la Citroën AX qui aurait servi à l’enlèvement de Julie Lejeune et de Mélissa Russo.
Bruno Tagliaferro meurt le 4 novembre 1995. Le légiste conclut à un arrêt cardiaque.
Un laboratoire du F.B.I. (consulté par le juge Jean-Marc Connerotte) conclut à un empoisonnement, mais un expert liégeois (désigné ultérieurement par le juge Jacques Langlois) estimera que la production de cyanure par un cadavre en décomposition peut être un phénomène naturel. Malgré les taux de cyanure retrouvés dans le corps de Tagliaferro bien supérieurs à des doses pouvant être « auto-produites », le juge Langlois privilégiera la « mort naturelle » comme explication du décès du ferrailleur de Keumiée.
Quant à son épouse, Fabienne Jaupart, elle est retrouvée morte le 18 décembre 1998. Elle se serait aspergée de méthanol, aurait remis la bouteille sur le meuble à côté de son lit et se serait ensuite mis le feu, non sans avoir pris soin de mettre les pommes de terre à cuire sur le réchaud et de faire tourner le lave-vaisselle.
L’enquête conclut bien évidemment au suicide.
Une ancienne connaissance de Dutroux (Claude Thirault) affirme qu'il parlait, fin 1995, d’un certain Tagliaferro à liquider contre un paiement de 50 000 francs belges. « Lui et sa femme », précisait-il.
Le juge Connerotte considérait qu’il avait suffisamment d’informations pour accorder une protection policière à la veuve de Bruno Tagliaferro. Après son dessaisissement et la nomination du juge Langlois, la protection policière sera levée.
Zemmour : "Epstein ? Je suis pas au courant"
« J'ai fait une bêtise » déclare Jean-Marc Houdmont, « je veux faire une déclaration ». Ils conviennent d'un rendez-vous, le jour même, à 11 heures 30, juste le temps pour Jean-Marc Houdmont de faire, en voiture, le chemin qui le sépare des bureaux de la cellule Brichet. Une heure plus tard, la Toyota Starlet de Jean-Marc Houdmont s'encastre dans une façade sur le bord de la Nationale 76. L'enquête conclut au suicide puisqu'on n'a relevé aucune trace de freinage.
Gina Pardaens-Bernaer, néerlandaise, enquête sur le dossier du réseau pédophile de Zandvoort. Elle appelle le président d'une association un soir de novembre 1998 et lui dit qu'elle dispose de révélations explosives.
Retrouvée morte la nuit-même encastrée sous un pont sans traces de freinage, aucune enquête n'est menée et le bureau de son avocat est cambriolé dans la foulée
Le 17 juin 2024 à 14:22:04 :
Le pire dans l'histoire, c'est les fameuses listes de noms qui disparaissent
Les rongeurs qui dévorent les documents ça arrive khey
Le 17 juin 2024 à 14:20:40 :
Affaire très trouble qui mériterait qu'un bon FICeur d'ici s'en inspire pour nous pondre un polardnonobstant ceux qui ont réalisé le "suicide" de ce pauvre homme sont soit des amateurs, soit des gens qui savaient qu'ils ne seraient pas inquiété
parce que DEUX balles dans la tête d'un ANGLE DIFFERENT, QUATRE douille, et le pistolet POSE SUR LES GENOUX, et les documents compromettant DISPARUE, ça fait BEAUCOUP d'indice pour des tueurs à gage pro
De quoi tu parles le complotiste ?
Le 17 juin 2024 à 14:09:34 :
Le 17 juin 2024 à 14:02:59 :
Le 17 juin 2024 à 14:02:29 :
Oui fin faut arrêter de voir des complots partout, l’affaire l’a traumatisé il était fragile mentalement et s’est suicidé point à la ligne.On n'est pas à l'abri d'une dépression foudroyante kheyou
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/03/1/1673900558-71nw6dpcm1l-sx450.jpg Ce sont les pires celles-là
Eh oui Epstein tu connais ?
Les experts sont formels il était dépressif. Il aurait même fait une tentative de suicide en prison peu avant sa mort. Malheureusement la vidéo de surveillance a été effacée "par erreur", le technicien ayant sauvegardé les rush du mauvais étage
-Anna Konjevoda', témoin détenant des informations sur certains complices de Dutroux. Repêchée dans la Meuse. Battue et étranglée avant d'être jetée à l'eau.
-Michel Piro, proxénète propriétaire d'une boîte de nuit. Abattu sur un parking d'autoroute, deux jours avant de rencontrer des parents de petites victimes de Dutroux.
-Brigitte Jenart, dentiste bruxellois, témoin important. Retrouvée morte chez elle. Suicidée.
-Christian Coenraedts, détenu à Bruxelles. Devait être interrogé sur ses liens avec Dutroux et son complice Bernard Weinstein. Evadé la veille de son interrogatoire, pendant un transfert. Retrouvé assassiné un mois plus tard, dans la banlieue bruxelloise.
-Bernard Weinstein, complice de Dutroux. Retrouvé près du corps de Julie et Melissa dans une propriété de Dutroux. Enterré vivant, après une absorption de Rohipnol, tranquillisant avec lequel Dutroux avait l'habitude de neutraliser ses victimes.
-José Steppe, petit truand de Charleroi. Contacte un journaliste pour lui confier des informations sur Dutroux. Meurt chez lui, juste avant la rencontre. Victime d'une crise d'asthme. Dans son appareil respiratoire, on aurait retrouvé du benzodiazépine, le même principe actif contenu dans le Rohipnol.
-Guy Geubels, gendarme. Suicidé avec son arme son service. Il ne cachait pas son désir d'élargir l'enquête sur la mort de Julie et Melissa. La mère de cette dernière, Carole Russo déplore : "à chaque fois que nous avons demandé des informations sur sa mort, la justice nous a donné des réponses différentes".
-Brune Tagliaferro, ferrailleur connu de Dutroux. Empoisonné près de Charleroi. Sa compagne Fabienne Jaupart accuse : "Bruno m'a dit qu'il en savait trop et qu'il serait bientôt mort."
-Fabienne Jaupart, amie du précédent. Retrouvée morte, à moitié carbonisée, dans son lit. Matelas imprégné de méthanol. On lui avait refusé la protection policière qu'elle avait réclamée, s'estimant menacée.
-Gina Bernaer, assistante sociale, membre de l'association Morkhoven. Se sentait menacée. Accident de voiture.
-Jean-Paul Taminiau, videur puis propriétaire d'un night-club-bordel. Détenteur de la clé d'un garage voisin d'un autre, appartenant à Dutroux. On a repêché son pied dans un canal. Le reste du corps n'a jamais été retrouvé. Sa mère est la seule à se battre pour connaître la vérité sur cette mort...
-François Reyskens, vingt-huit ans, toxicomane. Ecrasé par un train à Seraing, juste avant d'être entendu par les gendarmes sur la disparition de Melissa.
-Simon Poncelet, policier à Mons. Tué de quatre balles à bout touchant. Son père, avocat général de Tournai, déclare : "Il existe deux possibilités : un règlement de compte interne pour lequel je ne vois aucun mobile. Soit c'est lié au trafic international de voitures qui occupait toute l'énergie de mon fils".
Le 17 juin 2024 à 14:05:46 :
La sacoche s'est surement jetée d'un pont après avoir vu son propriétaire se suicider de la sorte, triste histoire, aller affaire suivante
Le 17 juin 2024 à 14:02:29 :
Oui fin faut arrêter de voir des complots partout, l’affaire l’a traumatisé il était fragile mentalement et s’est suicidé point à la ligne.
On n'est pas à l'abri d'une dépression foudroyante kheyou
Le 22 janvier 1984, les policiers débarquent allée des Violettes, au domicile de Claude et Monique Dunand. Ils découvrent, dans la cave du pavillon, une jeune femme entravée sur une croix, torturée. C'est une autre jeune fille, séquestrée au même endroit pendant plusieurs mois, qui a donné l'alerte après avoir réussi à s'enfuir. Toutes les deux sont brûlées au fer, victimes d'éventrations que les «clients» de Claude Dunand leur infligeaient. Car, dans la cave, on venait consommer de la torture, avec les tarifs affichés sur la porte.
A l'intérieur du pavillon, les policiers saisissent deux carnets, qui contiennent la liste des adeptes.
On n'en saura pas plus. Les carnets "disparaissent" du palais de justice d'Auxerre. L'affaire est classée.
Affaire dutroux : 30 témoins décèdent, 17 avant d'avoir pu témoigner
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Déclaration du ministère de la justice : "Que voulez-vous, des gens meurent, c'est comme ça"