Albert Einstein - 1879-1955
"Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue."
Oui enfin, même pas 5 Darwin Awards par an sur presque 30 années, c'est quoi sachant qu'au moins 100 milliards d'êtres humains ont existé
Le 21 janvier 2022 à 01:17:46 :
un gars près de chez moi est mort après avoir bu un blanc-coca en remplaçant le blanc par de l'éthanol
Sur le coup ?
Le 21 janvier 2022 à 01:02:11 :
Ayaaa j’ai vu une video sur cette histoire hierQui ne sait pas qu’il ne faut pas manger dd Limace putain
C'était un pari
Le 21 janvier 2022 à 01:00:55 :
Six personnes se sont noyées en essayant de sauver une poule qui était tombée au fond d'un puits, en Haute Egypte, dans le village de Nazlat Imara, à 360 kilomètres du Caire. Un paysan, âgé de 18 ans, a été le premier à descendre dans le puits profond de 20 mètres. Il s'est noyé, sans doute happé par un courant d'eau souterraine. Selon la police, ses frères et sœurs, dont aucun ne savait nager, sont descendus les uns après les autres dans le puits pour lui porter secours, mais tous se sont noyés. Deux vieux paysans sont venus les aider à leur tour. Mais il semble qu'ils aient eux aussi été entraînés par le même courant. Les corps des six victimes ont été retirées plus tard du puits. La poule aussi. Meilleure nageuse, elle avait survécu.
Source ? + Ah ouais six d'un coup quand même
Le calvaire de Sam Ballard a commencé en 2010 après un défi un peu stupide lors d'une soirée alcoolisée. Il a été infecté par un parasite très violent.
C'est un pari qu'il n'aurait jamais du relever et qui lui a coûté la vie. Sam Ballard, un jeune Australien de 28 ans, est mort, vendredi 2 novembre, des suites d'une longue maladie contractée de manière incroyable. Il faut remonter à 2010 et une banale soirée alcoolisée entre amis pour comprendre les causes de son funeste destin. Comme l'explique le site News, le malheureux était en train de s'amuser avec sa bande de copains lorsqu'il a aperçu une limace dans son jardin. Constatant son émerveillement face au petit animal visqueux, les jeunes gens ont eu la saugrenue idée de le mettre au défi de manger ce plat peu ragoûtant. Poussé par l'euphorie générale et l'orgueil en suspens, Sam s'est exécuté. Il a avalé la limace sans sourciller, histoire d'amuser la galerie et de faire montre de son courage passager.
Mais ce qui l'attendait était bien moins drôle. S'il a pu continuer sa soirée sans encombres, la victime a contracté de violents maux, quelques jours plus tard. Il a été pris de douleurs intenses au niveau des jambes, au point de se rendre rapidement chez le médecin. Verdict ? Sam Ballard a été infecté par un parasite très agressif provenant des excréments du rat, ce qui a provoqué une grave méningite. La santé du jeune Australien s'est alors subitement dégradé. Il a été plongé dans le coma, pendant quatorze longs mois.
A son réveil, il présentait de graves lésions cérébrales et est devenu paraplégique. Il traversera alors les huit années suivantes dans une épreuve irréversible, qui débouchera sur son décès, après un ultime mot d'amour adressé à sa maman, qui s'est endettée pour financer ses lourds traitements. Sam Ballard était en outre un espoir du rugby australien, à qui l'on prédisait un rayonnant avenir dans le sport. De son côté, Jimmy Galvin, l'un des plus proches amis de la victime, s'est dit extrêmement désolé de n'avoir pu empêché Sam de manger la limace contaminée.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Soleyman_el-Halaby
À l'âge de 23 ans, Soleyman el-Halaby assassine, en Égypte, le général de l'armée française Jean-Baptiste Kléber, qui venait de remplacer Napoléon à la tête de la courte aventure de conquête de l'Égypte. El-Halaby s'est fait passer pour un mendiant pour pouvoir approcher Kléber et il lui a donné des coups de stylet.
Le dramaturge égyptien Alfred Farag (en) a écrit, en 1965, un ouvrage qui relate l'assassinat du général Kléber par Sulayman al-Halabi1.
Sentence
En raison de cet acte, le conseil de guerre le condamne à mort, ainsi que ses complices, avec exécution le jour des obsèques de Kléber (17 juin). Les complices ont la tête tranchée au cimeterre avant que leurs corps ne soient brûlés sous les yeux de Soleyman. Celui-ci est condamné au supplice du pal, dont l'exécution est décrite en ces termes par Claude Desprez, un érudit du xixe siècle2 :
« L'homme fut condamné, par le conseil de guerre français, à avoir les poings brûlés puis à être empalé vif. Le bourreau Barthèlemy coucha sur le ventre Soliman, tira un couteau de sa poche, lui fit au fondement une large incision, en approcha le bout de son pal et l'enfonça à coups de maillet. Puis il lia les bras et les jambes du patient, l'éleva en l'air et fixa le pal dans un trou préparé. Soliman vécut encore durant quatre heures, et il eût vécu plus si, durant l'absence de Barthèlemy un soldat ne lui eut donné à boire : à l'instant même il expira. »
Le médecin français Dominique-Jean Larrey, rapporte en 18033 :
« Le courage et le sang froid avec lequel Sulayman se laissa brûler la main droite et empaler étonnent l’homme sensible, et prouvent combien la ferme volonté de l’individu influe sur les sensations physiques. Il vécut environ quatre heures, au milieu des plus cruelles souffrances, sans faire entendre une seule plainte. La brûlure de la main s’était portée jusqu’aux os ; et le pal, après avoir dilacéré les viscères du bas-ventre, les nerfs et les vaisseaux, avait fracturé l’os sacrum, deux vertèbres lombaires, et s’était implanté dans le canal vertébral. Je me suis convaincu de ces faits par l’inspection que je fis, quelque temps après, de son cadavre, quoique déjà desséché : j’en ai déposé le squelette au muséum d’histoire naturelle. »
Le crâne et le stylet de Soleyman al-Halabi ont longtemps été exposés au Musée de l'Homme à Paris[réf. nécessaire].
Le poignard qui servit à tuer Kléber est exposé au Musée des beaux-arts de Carcassonne. Il a été rapporté par son secrétaire André Peyrusse (1774-1854) et offert à la ville par son frère, le trésorier de Napoléon, Guillaume Peyrusse4,5.
Le 15 janvier 2022 à 02:26:56 :
Le 15 janvier 2022 à 02:21:50 :
Je parle de la première guerre mondiale bien sûrLes causes sont autres
Oui, mais c'était la raison officielle