Le 12 janvier 2021 à 14:37:24 AlvarAalto a écrit :
Il mérite beaucoup plus (j'adore les chiens, donc mon avis est peut-être biaisé).
Ce sont deux peines séparées hein
Le cadavre du chien avait été retrouvé avec de nombreuses marques de torture. Accusés d’avoir pratiqué des actes de cruauté envers l’animal, deux hommes ont été condamnés à de la prison ferme, lundi, par le tribunal de Béthune, dans le Pas-de-Calais, rapporte La Voix du Nord.
C’est un promeneur qui avait découvert le corps du chien, un cane corso, transpercé par un pieu, au pied d’un terril à Liévin. L’animal avait également subi des coups de couteau. Pas moins de sept associations de protection des animaux s’étaient portées parties civiles dans cette affaire.
Alcool et cocaïne
Le couple, propriétaire du chien, et deux de leurs amis comparaissaient pour s’expliquer. Selon les témoignages de chacun, tout a commencé par une soirée empreinte d’alcool et de cocaïne. L’un des amis nie être sorti avec le chien. L’autre assure pourtant avoir emmené le cane corso sur le terril en sa compagnie.
Il assure s’être absenté un moment pour assouvir « un besoin naturel » avant de retrouver l’animal lardé de coups de couteau. Il n’a fait qu'« abréger ses souffrances » d’après ses dires.
La femme en avait peur
Les propriétaires étaient suspectés de complicité d’abandon d’animal. Ils avaient demandé à leurs amis de se débarrasser de leur chien baptisé Little Boy, car la femme en avait peur. Cette dernière affirme quelle ne pensait pas qu’ils le tueraient.
Le propriétaire a finalement été relaxé. Sa compagne a écopé d’une peine de 4 mois de prison avec sursis assortis d’une mise à l’épreuve de 24 mois. Les deux amis ont été condamnés, respectivement, à un an et neuf mois de prison ferme.
Les associations de protection des animaux dénoncent des peines trop clémentes au vu des souffrances qu’a subies l’animal. Elles déplorent aussi la relaxe du propriétaire déjà accusé de maltraitance envers son chien avant cette soirée.
Le 12 janvier 2021 à 12:22:16 FlintePirate a écrit :
Le 12 janvier 2021 à 12:21:30 Oahzar a écrit :
Le 12 janvier 2021 à 12:21:05 FlintePirate a écrit :
La torture animal c'est non.Et ceux qui torturent les animaux dans les abattoirs tu en dis quoi ?
C'est non.
Tkt pas pour moi Vegan depuis 15 ans.
C'est vrai qu'on se sent plus fatigué avec ce régime ou pas ?
Le 12 janvier 2021 à 12:21:05 FlintePirate a écrit :
La torture animal c'est non.
Et ceux qui torturent les animaux dans les abattoirs tu en dis quoi ?
Le 12 janvier 2021 à 12:18:44 sofhaosf a écrit :
C'était un fou surtout, pourquoi venir demander si il est lâche ou pas?
Parce qu'il n'assume pas ses actes en plus d'être fou
https://www.leparisien.fr/archives/le-jeune-homme-le-chat-et-la-mort-23-10-2014-4234665.php
Il y a dix jours, dans la soirée, le jeune homme de 23 ans s'est pendu dans la maison qu'il louait. Une semaine plus tôt, il avait été condamné à quatre mois de prison ferme pour avoir torturé un chat à mort, devenant la cible de réseaux sociaux révoltés.
La recherche des tortionnaires n'avait pas été bien compliquée. Le 16 mai dernier, trois hommes sont aperçus par un témoin en train de donner de violents coups de pied à un chat égaré dans un parc de Vouziers, le bourg voisin. Deux jours plus tard, une riveraine aperçoit l'animal l'arrière-train déboîté. La jeune femme reconnaît le matou d'un voisin, filme la bête blessée avec son portable et publie la vidéo sur Facebook. Le témoin de la scène, qui n'était autre que son petit frère, assure alors connaître les trois agresseurs. Parmi eux, Robin Marcheras, un boulanger de 23 ans condamné quelques mois plus tôt à deux mois de prison avec sursis pour des violences. Le lendemain, le chat succombe dans le garage de son propriétaire.
Devant les gendarmes, Robin avoue froidement les coups, explique ne pas aimer les chats et confirme l'identité de ses complices (voir ci-dessous). Le trio est convoqué le 8 octobre dernier devant le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières. Absent du procès sans justification, le boulanger écope de la plus lourde peine. Suivie par la presse locale, l'audience entraîne un déferlement de haine contre les prévenus, dont les profils Facebook sont accessibles à tous. « Il a reçu des menaces de mort, tandis que d'autres messages visaient directement sa copine », relève, dégoûté, Thomas, un ami.
Malgré la violence des attaques, le jeune homme ne s'émeut pas de ce harcèlement auprès de son entourage. « Il n'a jamais parlé de l'affaire avec sa famille ou ses copains proches. Ni du chat ni des menaces », souligne cet intime. Le week-end suivant, Robin part se fiancer à Strasbourg, d'où est originaire sa compagne. Le lundi, quelques minutes avant le geste fatal, il téléphone à l'une de ses amies. « Il n'avait pas l'air déprimé. Il m'a juste dit : Ce n'est pas moi qui ai frappé le chat. Il faut que tu écrives une lettre au juge pour m'innocenter. Et puis il a ajouté : Prends soin de toi. Ce genre de phrase, ça ne lui ressemblait pas », souffle Camille. Dans la foulée, il poste un dernier message sur Facebook : « Une envie de partir de ce monde de merde, je vais rejoindre le ciel, ça me saoule. » « Des textos du même type, sans référence à l'histoire du chat, ont été reçus par certains amis », relève une source judiciaire.
Au village, l'affaire du félin torturé est devenue l'affaire du suicide de Robin. « Les chats massacrent nos champs. Ici, on les considère comme des nuisibles. Ceux qui ont harcelé Robin ne sont pas des gens du coin. Maintenant, ils ont un mort sur la conscience », tonne ce voisin. « Il y a eu des messages hostiles sur Internet, mais très peu sur son portable », nuance un enquêteur, qui révèle que le condamné avait déjà tenté de mettre fin à ses jours plus tôt dans l'année. « Quelle qu'en soit la raison, je suis peinée qu'il ait commis ce geste. Mais c'est mon rôle de dénoncer ces violences gratuites », assume Sabrina, présidente de l'association locale de défense des animaux à l'origine de la plainte.
La colère des proches de Robin est d'autant plus intense que beaucoup croient en son innocence. « On avait quatre chats, il n'a jamais levé la main sur eux. C'était un garçon adorable, mais qui a parfois manqué d'amour. Il a certainement avoué chez les gendarmes pour faire son intéressant. Tout était bon pour attirer l'attention sur lui », assure Sylvie, surnommée Mamoune par Robin, sa logeuse durant deux ans. « C'était un adolescent dans un corps d'homme. Pas un tortionnaire », complète ce parent.
Le 11 janvier 2021 à 20:00:30 Gimilik10 a écrit :
Oui
Un taré original
Argument(s) stp ?
Le 11 janvier 2021 à 16:26:25 Vivarini a écrit :
Je me suis toujours demandé comment il avait pu s'évader d'une vieille prison de montagne.
Tu confondrais pas avec Casanova ?