Le 05 novembre 2024 à 13:13:42 :
pas lu et non pour répondre à ta question
Y'a quand même une fascination malsaine de leur part
Le 05 novembre 2024 à 13:10:30 :
palu mais c'est vrai que c'est curieux.
C'est suspect
Beaucoup de ces incels, malgré leur discours haineux envers les relations interraciales, consomment paradoxalement un contenu pornographique centré sur ce qu’ils prétendent mépriser. En particulier, les vidéos de type "blacked" des scènes interraciales mettant en avant des hommes noirs et des femmes blanches attirent leur attention, même s’ils dénoncent de telles relations dans la réalité. Ce double discours révèle à quel point leurs propres fantasmes entrent en contradiction avec leurs idéologies affichées. Ils se nourrissent d’un contenu qu’ils qualifient de "dégradant" pour les femmes blanches, alors même qu'ils en sont eux-mêmes avides, entretenant une fascination malsaine pour ces scénarios.
En critiquant ces femmes, ils projettent en fait leurs propres fantasmes refoulés, transformant leur jalousie en rage. Pour eux, il est inconcevable que ces femmes puissent librement choisir des partenaires qui ne correspondent pas à leur vision raciste et réductrice du monde. Leur obsession pour ces scènes interraciales montre à quel point ils se sentent menacés par l’idée que d’autres hommes, perçus comme "rivaux," pourraient représenter une alternative attrayante pour les femmes blanches. Mais derrière cette colère, il y a une fascination trouble, un besoin presque compulsif de revivre ces scénarios qu’ils dénoncent publiquement.
L'ironie de cette situation réside dans leur projection : ils accusent les femmes blanches de "fantasmer" sur des stéréotypes qu'ils entretiennent eux-mêmes. Ils parlent sans cesse de la prétendue attirance des femmes pour la "virilité" des hommes noirs, comme si c’était une vérité universelle, alors qu’en réalité, cette fixation révèle surtout leur propre insécurité. Le fait qu'ils se réfèrent sans cesse à la taille des attributs physiques des hommes noirs montre bien que c’est eux, et non les femmes, qui nourrissent cette obsession.
Ce comportement renforce leur frustration, car ils se retrouvent piégés dans un cycle de haine et d'attirance contradictoire. En consommant ce type de contenu, ils alimentent leurs propres insécurités tout en exacerbant leur jalousie et leur colère. C’est comme s’ils étaient à la fois repoussés et hypnotisés par ces scénarios, incapables de reconnaître que leur propre consommation de ce contenu témoigne d’une fascination qu’ils tentent de nier publiquement. Ils transforment alors cette tension interne en haine dirigée contre les femmes blanches, qu’ils accusent de se conformer à ces fantasmes qu’ils projettent eux-mêmes.
Ainsi, derrière leur discours raciste et misogyne, se cache une grande confusion personnelle. Leur obsession pour ce qu’ils considèrent comme "interdit" reflète une incapacité à accepter leurs propres désirs refoulés. En prétendant protéger les femmes blanches de "l'influence" des minorités, ils trahissent en réalité une vision du monde tordue et déformée par leurs propres fantasmes inavoués, emprisonnés dans une spirale où se mêlent frustration, jalousie et projection.
Pour ces incels racistes, l'idée que des femmes blanches puissent avoir des relations avec des hommes issus de minorités, en particulier noirs ou arabes, est perçue comme une trahison insupportable. Cette obsession tourne souvent autour d’une jalousie exacerbée, nourrie par le sentiment d’être "éclipsés" par ceux qu'ils considèrent comme des "étrangers." Ne pouvant attirer ces femmes et se sentant rejetés, ils basculent dans un discours violent et dégradant, traitant ces femmes de "traîtresses" ou de "putes" pour avoir osé s'écarter de ce qu'ils estiment être "leur" communauté.
Ce ressentiment est souvent teinté de fétichisme malsain et de fantasmes tordus. Beaucoup de ces incels passent une quantité de temps surprenante à parler de la "taille des sexes" des hommes africains, s’imaginant que les femmes blanches seraient "naturellement attirées" par eux pour cette raison. Ils expriment cette idée de manière tellement répétée qu’on peut y voir un reflet de leurs propres insécurités, voire de leurs propres fantasmes inconscients. Ce discours est une manière de projeter leur jalousie, mais il en devient presque un aveu : on dirait qu’eux-mêmes fantasment sur ce qu’ils prétendent dénoncer.
Cette fixation malsaine montre aussi une obsession pour la sexualité des autres, particulièrement pour celle des femmes blanches qui échappent à leur contrôle. Ils se construisent alors des récits imaginaires où ces femmes "fantasment" sur des hommes de minorités, tout en prétendant les "mettre en garde" contre ces relations. Ce double discours révèle le paradoxe de leurs propres désirs refoulés et de leur incapacité à accepter que les femmes puissent faire des choix libres.
Leur frustration les pousse même à des idéologies extrémistes, voyant dans les relations interraciales une menace qu’ils exagèrent jusqu'à l'absurde. Ils parlent de "génocide blanc" ou de "remplacement ethnique," en s’enfermant dans des théories du complot qui alimentent leur haine et leur isolement. Leur misogynie et leur racisme se combinent alors dans une vision du monde où toute diversité est une agression contre eux et où les femmes, en particulier celles qui choisissent librement, sont des ennemies à punir.
Ces individus créent une véritable culture de l’obsession et de la jalousie, oscillant entre haine des femmes et fascination malsaine pour ce qu’ils disent détester. Leur incapacité à attirer ces femmes les amène à rationaliser leur échec en les déshumanisant. Ils projettent leurs propres frustrations et fantasmes sur les autres, transformant leurs complexes en une haine toxique qui les enferme dans un cercle vicieux de colère et d’amertume.
Pour ces incels racistes, l'idée que des femmes blanches puissent avoir des relations avec des hommes issus de minorités, en particulier noirs ou arabes, est perçue comme une trahison insupportable. Cette obsession tourne souvent autour d’une jalousie exacerbée, nourrie par le sentiment d’être "éclipsés" par ceux qu'ils considèrent comme des "étrangers." Ne pouvant attirer ces femmes et se sentant rejetés, ils basculent dans un discours violent et dégradant, traitant ces femmes de "traîtresses" ou de "putes" pour avoir osé s'écarter de ce qu'ils estiment être "leur" communauté.
Ce ressentiment est souvent teinté de fétichisme malsain et de fantasmes tordus. Beaucoup de ces incels passent une quantité de temps surprenante à parler de la "taille des sexes" des hommes africains, s’imaginant que les femmes blanches seraient "naturellement attirées" par eux pour cette raison. Ils expriment cette idée de manière tellement répétée qu’on peut y voir un reflet de leurs propres insécurités, voire de leurs propres fantasmes inconscients. Ce discours est une manière de projeter leur jalousie, mais il en devient presque un aveu : on dirait qu’eux-mêmes fantasment sur ce qu’ils prétendent dénoncer.
Cette fixation malsaine montre aussi une obsession pour la sexualité des autres, particulièrement pour celle des femmes blanches qui échappent à leur contrôle. Ils se construisent alors des récits imaginaires où ces femmes "fantasment" sur des hommes de minorités, tout en prétendant les "mettre en garde" contre ces relations. Ce double discours révèle le paradoxe de leurs propres désirs refoulés et de leur incapacité à accepter que les femmes puissent faire des choix libres.
Leur frustration les pousse même à des idéologies extrémistes, voyant dans les relations interraciales une menace qu’ils exagèrent jusqu'à l'absurde. Ils parlent de "génocide blanc" ou de "remplacement ethnique," en s’enfermant dans des théories du complot qui alimentent leur haine et leur isolement. Leur misogynie et leur racisme se combinent alors dans une vision du monde où toute diversité est une agression contre eux et où les femmes, en particulier celles qui choisissent librement, sont des ennemies à punir.
Ces individus créent une véritable culture de l’obsession et de la jalousie, oscillant entre haine des femmes et fascination malsaine pour ce qu’ils disent détester. Leur incapacité à attirer ces femmes les amène à rationaliser leur échec en les déshumanisant. Ils projettent leurs propres frustrations et fantasmes sur les autres, transformant leurs complexes en une haine toxique qui les enferme dans un cercle vicieux de colère et d’amertume.
Les anti-woke utilisent plusieurs plateformes, comme Twitter, les forums, pour diffuser leur idéologie et s’opposer à des représentations qu'ils jugent "trop inclusives." En réalité, ces actions, souvent menées par des comptes anonymes ou des "incels" liés à des mouvements d'extrême droite, montrent à quel point leur campagne est motivée par une vision étroite et hostile du monde.
À chaque sortie d'un jeu qui met en avant un personnage de couleur, LGBTQ+ ou féminin, on voit une vague de review bombing c'est-à-dire des notes massivement basses laissées sans raison valable uniquement pour nuire à la réputation du jeu. Ce fut le cas pour The Last of Us Part II, où la présence d'une protagoniste lesbienne a suffi à déclencher des milliers de commentaires haineux, sans même que les critiques aient de rapport avec la qualité du jeu. Pour eux, représenter des personnages divers, c’est du "wokisme", un prétexte pour attaquer des œuvres simplement parce qu'elles ne rentrent pas dans leur vision du monde.
Sur Twitter, la situation est similaire : les anti-woke lancent des campagnes de harcèlement contre les créateurs ou les acteurs liés à des projets "inclusifs." Ils s’organisent pour inonder les comptes de messages de haine, de menaces et de diffamation. Un exemple flagrant est celui de Moses Ingram, actrice noire de la série Obi-Wan Kenobi, qui a été bombardée de messages racistes dès l’annonce de son rôle. Tout ça simplement parce qu'elle représente une diversité qui dérange ces milieux.
L’ironie, c’est que ces actions révèlent le ridicule de leurs croyances. Ils passent un temps fou à attaquer des œuvres de fiction, se mobilisant comme s'il s'agissait d'une "bataille" contre une menace imaginaire. En réalité, leur réaction est disproportionnée et montre leur propre insécurité : voir une femme puissante ou un personnage LGBTQ+ dans une œuvre les pousse à des comportements agressifs, prouvant que leurs convictions reposent plus sur la peur et la haine que sur des valeurs ou des arguments solides.
Le 03 novembre 2024 à 16:47:49 :
Le 03 novembre 2024 à 16:46:59 :
Le 03 novembre 2024 à 16:43:35 :
Le 03 novembre 2024 à 16:39:27 :
Le 03 novembre 2024 à 16:35:35 :
"En réalité, leur réaction est disproportionnée et montre leur propre insécurité : voir une femme puissante ou un personnage LGBTQ+ dans une œuvre les pousse à des comportements agressifs, prouvant que leurs convictions reposent plus sur la peur et la haine "ripley
sarah conner
wonder women
samus
lara croft
n'ont jamais eu de probleme et son consideré comme des iconeAh oui, Ripley, Sarah Connor, Wonder Woman... des personnages féminins qui, bizarrement, cochent tous les cases de ce que vous êtes prêts à tolérer : des femmes fortes, certes, mais sexualisées, idéalement dans les standards de beauté et sans rien de trop "subversif" qui puisse troubler votre vision. Ces figures-là, ok, elles passent, parce qu'elles restent dans des schémas qui flattent vos attentes. Mais dès qu’on sort de cette zone, avec des femmes moins idéalisées ou des personnages LGBTQ+ ou issus de la diversité qui ne sont pas juste là pour faire joli, là, ça devient tout de suite du "wokisme" qui vous insupporte. C’est flagrant, au final : vous vous accrochez aux héroïnes qui ne remettent pas en cause votre vision des choses, et la moindre représentation qui sort de ce cadre vous met hors de vous. Pas besoin de creuser beaucoup pour voir que vos valeurs sont fondées sur une peur du changement, plus que sur une vraie admiration de ces personnages.
Qui ressemble le plus à une femme entre les personnages féminins d'avant et Abby de TLOU II ?
Si tu compares Abby à ces icônes, tu passes à côté de ce qui rend les personnages vraiment mémorables. Abby n'est pas là juste pour plaire ; elle est forte, complexe et a une histoire qui résonne avec beaucoup. En fait, le fait que tu te focalises sur l’apparence montre comment la culture a souvent réduit les femmes à des stéréotypes. On a besoin de personnages variés pour que tout le monde puisse se reconnaître et se voir dans ces récits.
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/44/7/1730648820-abby40cm.png Pourquoi lui donner 40cm de bras et un corps d'homme totalement irréaliste (alors qu'on est dans TLOU) ?
La taille d’Abby n’est pas un accident, c’est un choix narratif qui montre sa force physique et mentale, et ça colle parfaitement avec son histoire de survie dans un monde brutal. Ce n’est pas qu’une question d’apparence, mais de représentation de la diversité des corps et des expériences. Des personnages comme Abby ouvrent la porte à des discussions sur ce que signifie être fort et résilient, peu importe les standards de beauté. Tu sembles plus préoccupé par les stéréotypes que par l’histoire et la profondeur des personnages. On a besoin de moins de jugements superficiels et de plus de récits qui reflètent la vraie vie.
Le 03 novembre 2024 à 16:47:14 :
Cette inversion
Les gauchistes font toujours ça, ils mettent en place leur délire woke pendant des années, censurant des œuvres, exigeant des tournures artistiques, décrétant des trucs suspects ou réac... Ils tuent eux-mêmes la diversité ou la création en décrètant qu'il faut que ça soit représentatif avec toujours le même carcan.Puis ils inversent le truc une fois qu'on se met à en parler
T'es vraiment à côté de la plaque. Ce n'est pas une "inversion", c'est juste la réalité de la création artistique. La diversité et la représentation enrichissent la culture, pas l'inverse. Ce qui est suspect, c'est de vouloir que tout reste dans un carcan étroit qui ne reflète pas le monde d'aujourd'hui. La peur de voir des personnages variés ne fait que montrer ton manque d'ouverture d'esprit. Les artistes ne devraient pas être contraints par des stéréotypes obsolètes, mais libres de créer des récits qui parlent à tout le monde.
Le 03 novembre 2024 à 16:43:35 :
Le 03 novembre 2024 à 16:39:27 :
Le 03 novembre 2024 à 16:35:35 :
"En réalité, leur réaction est disproportionnée et montre leur propre insécurité : voir une femme puissante ou un personnage LGBTQ+ dans une œuvre les pousse à des comportements agressifs, prouvant que leurs convictions reposent plus sur la peur et la haine "ripley
sarah conner
wonder women
samus
lara croft
n'ont jamais eu de probleme et son consideré comme des iconeAh oui, Ripley, Sarah Connor, Wonder Woman... des personnages féminins qui, bizarrement, cochent tous les cases de ce que vous êtes prêts à tolérer : des femmes fortes, certes, mais sexualisées, idéalement dans les standards de beauté et sans rien de trop "subversif" qui puisse troubler votre vision. Ces figures-là, ok, elles passent, parce qu'elles restent dans des schémas qui flattent vos attentes. Mais dès qu’on sort de cette zone, avec des femmes moins idéalisées ou des personnages LGBTQ+ ou issus de la diversité qui ne sont pas juste là pour faire joli, là, ça devient tout de suite du "wokisme" qui vous insupporte. C’est flagrant, au final : vous vous accrochez aux héroïnes qui ne remettent pas en cause votre vision des choses, et la moindre représentation qui sort de ce cadre vous met hors de vous. Pas besoin de creuser beaucoup pour voir que vos valeurs sont fondées sur une peur du changement, plus que sur une vraie admiration de ces personnages.
Qui ressemble le plus à une femme entre les personnages féminins d'avant et Abby de TLOU II ?
Si tu compares Abby à ces icônes, tu passes à côté de ce qui rend les personnages vraiment mémorables. Abby n'est pas là juste pour plaire ; elle est forte, complexe et a une histoire qui résonne avec beaucoup. En fait, le fait que tu te focalises sur l’apparence montre comment la culture a souvent réduit les femmes à des stéréotypes. On a besoin de personnages variés pour que tout le monde puisse se reconnaître et se voir dans ces récits.
Le 03 novembre 2024 à 16:35:35 :
"En réalité, leur réaction est disproportionnée et montre leur propre insécurité : voir une femme puissante ou un personnage LGBTQ+ dans une œuvre les pousse à des comportements agressifs, prouvant que leurs convictions reposent plus sur la peur et la haine "ripley
sarah conner
wonder women
samus
lara croft
n'ont jamais eu de probleme et son consideré comme des icone
Ah oui, Ripley, Sarah Connor, Wonder Woman... des personnages féminins qui, bizarrement, cochent tous les cases de ce que vous êtes prêts à tolérer : des femmes fortes, certes, mais sexualisées, idéalement dans les standards de beauté et sans rien de trop "subversif" qui puisse troubler votre vision. Ces figures-là, ok, elles passent, parce qu'elles restent dans des schémas qui flattent vos attentes. Mais dès qu’on sort de cette zone, avec des femmes moins idéalisées ou des personnages LGBTQ+ ou issus de la diversité qui ne sont pas juste là pour faire joli, là, ça devient tout de suite du "wokisme" qui vous insupporte. C’est flagrant, au final : vous vous accrochez aux héroïnes qui ne remettent pas en cause votre vision des choses, et la moindre représentation qui sort de ce cadre vous met hors de vous. Pas besoin de creuser beaucoup pour voir que vos valeurs sont fondées sur une peur du changement, plus que sur une vraie admiration de ces personnages.
Les anti-woke utilisent plusieurs plateformes, comme Twitter, les forums, pour diffuser leur idéologie et s’opposer à des représentations qu'ils jugent "trop inclusives." En réalité, ces actions, souvent menées par des comptes anonymes ou des "incels" liés à des mouvements d'extrême droite, montrent à quel point leur campagne est motivée par une vision étroite et hostile du monde.
À chaque sortie d'un jeu qui met en avant un personnage de couleur, LGBTQ+ ou féminin, on voit une vague de review bombing c'est-à-dire des notes massivement basses laissées sans raison valable uniquement pour nuire à la réputation du jeu. Ce fut le cas pour The Last of Us Part II, où la présence d'une protagoniste lesbienne a suffi à déclencher des milliers de commentaires haineux, sans même que les critiques aient de rapport avec la qualité du jeu. Pour eux, représenter des personnages divers, c’est du "wokisme", un prétexte pour attaquer des œuvres simplement parce qu'elles ne rentrent pas dans leur vision du monde.
Sur Twitter, la situation est similaire : les anti-woke lancent des campagnes de harcèlement contre les créateurs ou les acteurs liés à des projets "inclusifs." Ils s’organisent pour inonder les comptes de messages de haine, de menaces et de diffamation. Un exemple flagrant est celui de Moses Ingram, actrice noire de la série Obi-Wan Kenobi, qui a été bombardée de messages racistes dès l’annonce de son rôle. Tout ça simplement parce qu'elle représente une diversité qui dérange ces milieux.
L’ironie, c’est que ces actions révèlent le ridicule de leurs croyances. Ils passent un temps fou à attaquer des œuvres de fiction, se mobilisant comme s'il s'agissait d'une "bataille" contre une menace imaginaire. En réalité, leur réaction est disproportionnée et montre leur propre insécurité : voir une femme puissante ou un personnage LGBTQ+ dans une œuvre les pousse à des comportements agressifs, prouvant que leurs convictions reposent plus sur la peur et la haine que sur des valeurs ou des arguments solides.
Le 02 novembre 2024 à 15:58:21 :
yrr, vous allez pas faire le coup du capitole deux fois les chofs, on vous attend au tournant cette fois ci
insurrection
Le 02 novembre 2024 à 13:24:19 :
Le chaos pour ce peuples du démon coincé dans le mensonge inchallah
Based
Personnellement je souhaite un score élevé avec beaucoup de factions afin que ça dure sur la durée.
Vous vous rendez compte que la paix mondiale et la fin du terrorisme peuvent survenir dans 5j ?
Vous imaginez un peu si comme si le régime nazi tombé à nouveau