Il y avait aussi des mécanismes ingénieux développés à la fin du XVIIème siècle pour essayer d'augmenter le volume des tirs.
Mais concrètement, il va falloir attendre la cartouche métallique pour permettre la création de vraies armes à répétition qui sont portatives. Et enfin la poudre sans fumée pour rendre les choses beaucoup plus fiables et pouvoir réellement utiliser un système de réarmement automatique pratique.
Il y avait déjà des armes pouvant être qualifiées de "mitrailleuse" avant la Gatling. Juste que Gatling était le plus ingénieux et le plus coriace face à tous ceux qui s'opposaient à l'idée de son arme à tir rapide.
Il avait au passage développé des modèles à réarmement autonome donc sans besoin de tourner la manivelle, pouvant atteindre des cadences de tir allant jusqu'à 1200 coups par minute. Et c'est quasiment le même principe qui est toujours utilisé dans beaucoup de canons ou mitrailleuses automatique dit de "type Gatling".
[11:37:10] <legumecru65>
Le 10 juillet 2021 à 11:05:30 :
Le 10 juillet 2021 à 10:51:18 Andhrimnir_10 a écrit :
On a tendance à penser que la métallurgie de l'époque était très rudimentaire mais en réalité certains artisants réalisaient des mécanismes très complexes et minutieux, notamment les systèmes d'ouverture secrets de coffre-forts, alors que c'était il y a 500 ansLe souci c'est qu'à cette époque c'était difficile d'être rentable en faisant des armes, y'avait pas de contrat militaire, c'était quelques exemplaires vendus à des aristo et pour la plupart c'était pour la chasse
Dans tous les cas, based Vinci
Le problème est plutôt lié à la résistance des matériaux pour l'usage dans les armes en gardant le poids raisonnable. On remarque une chose dans les débuts des armes à feu, c'est le manque de considération absolu en ce qui concerne l'optimisation du poids. Pas pour rien aussi qu'à la fin du XIXème siècle on remet souvent en avant la sécurité des armes, dans le sens où dans les débuts de la production en série de manière intensive pour les guerres on a parfois du métal mal fichu. Exemple aussi du cas des premiers fusils Springfield 1903.
Il ne faut pas oublier que dans les armes à feu au passage, qu'il fallait quelque chose de solide, parfois hermétique et fiable à la fois. Autrement ce n'est qu'un pétard trop bruyant. Là où un coffre peut se permettre d'utiliser du métal plus malléable à plusieurs endroits.
Mais sinon oui il faut souligner l'intérêt des contrats militaire. Même au XVIème siècle par exemple on voit clairement un intérêt pour ce genre de technologie, il faut aussi voir par exemple dans les alentours de la guerre de Sécession, où l'échec de la carabine Colt à barillet détruisant la main du tireur en cas d'accident ou encore un peu plus tard l'échec complet de la mitrailleuse française de Reffye ainsi que les doctrines conservatrices ont énormément ralenti l'adoption d'armes automatique dans beaucoup de régions.
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/40/6/1570309649-taiga-2.png pk t trist
Psk la vi é dur....
[11:40:05] <[LeDjinn2]>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/14/1491407296-g-pa-lu.png + Martini-Henry
Encore avant il y avait les vieux Dreyse.
Le 10 juillet 2021 à 10:51:18 Andhrimnir_10 a écrit :
On a tendance à penser que la métallurgie de l'époque était très rudimentaire mais en réalité certains artisants réalisaient des mécanismes très complexes et minutieux, notamment les systèmes d'ouverture secrets de coffre-forts, alors que c'était il y a 500 ansLe souci c'est qu'à cette époque c'était difficile d'être rentable en faisant des armes, y'avait pas de contrat militaire, c'était quelques exemplaires vendus à des aristo et pour la plupart c'était pour la chasse
Dans tous les cas, based Vinci
Le problème est plutôt lié à la résistance des matériaux pour l'usage dans les armes en gardant le poids raisonnable. On remarque une chose dans les débuts des armes à feu, c'est le manque de considération absolu en ce qui concerne l'optimisation du poids. Pas pour rien aussi qu'à la fin du XIXème siècle on remet souvent en avant la sécurité des armes, dans le sens où dans les débuts de la production en série de manière intensive pour les guerres on a parfois du métal mal fichu. Exemple aussi du cas des premiers fusils Springfield 1903.
Il ne faut pas oublier que dans les armes à feu au passage, qu'il fallait quelque chose de solide, parfois hermétique et fiable à la fois. Autrement ce n'est qu'un pétard trop bruyant. Là où un coffre peut se permettre d'utiliser du métal plus malléable à plusieurs endroits.
Mais sinon oui il faut souligner l'intérêt des contrats militaire. Même au XVIème siècle par exemple on voit clairement un intérêt pour ce genre de technologie, il faut aussi voir par exemple dans les alentours de la guerre de Sécession, où l'échec de la carabine Colt à barillet détruisant la main du tireur en cas d'accident ou encore un peu plus tard l'échec complet de la mitrailleuse française de Reffye ainsi que les doctrines conservatrices ont énormément ralenti l'adoption d'armes automatique dans beaucoup de régions.
L'idée de remettre les munitions par la culasse conceptualisée par Léonard de Vinci à la toute fin du XV / début du XVIème siècle. La culasse pouvait s'affaisser et il pensait déjà à utiliser des munitions standardisées insérables toutes faites.
Dommage que ce n'était pas possible avec la technologie de son temps, à cause des méthodes primitives de mise à feu (encore à mèche). De même l'absence de cartouches métallique pour avoir une culasse étanche (des essais avec des cartouches en fer rechargeable ont été réalisé au XVIIème siècle dans des armes de chasse de riches).
Il y a eu des essais de rechargement par la culasse dès le XIVème siècle cependant mais sans grand succès et c'était dans une vision différente (De Vinci voulait ce système pour augmenter le volume des tirs plus rapidement).
Il va falloir attendre la fin du XVIIème siècle pour voir les premières expérimentations avec les armes à rechargement par la culasse (pour le coup des armes portatives). Et leur adoption dans une armée a dû attendre le XVIIIème siècle.
Autre point étonnant, dès le milieu du XVIIème siècle, un certain Palmer réfléchissait déjà sur l'idée d'utiliser les gaz émis à la bouche du canon pour créer un mécanisme de réarmement automatique, en même temps que l'usage du recul. Comme quoi la théorie était déjà creusée longtemps avant...
C'est aussi fou aussi de se dire qu'avant et après la Gatling il y avait eu une quantité folle d'armes à manivelle pour augmenter le nombre de coups tirés au passage comme le prototype de Barnes ou de Ripley.
Finalement tout était déjà dans la tête des gens, ce n'était qu'une question de moyens technologique à l'époque.
Il va falloir que je creuse tous.
Relativement vrai.
D'ailleurs vu que je suis d'origine 100% asiatique, je sais faire les plats coréens, jap et chinois et quand je demande à des français de mon âge ce qu'ils savent faire à part des pâtes ou des trucs instantanés ou des trucs éco+...
Le problème de la cuisine française quand je m'y suis penché dessus, c'est l'usage de gros trucs comme le four et parfois assez long sans bonne conservation au frigo / devient dégueu au frigo. Et souvent si on veut diversifier c'est pas intuitif.
Alors que les trucs asiatique, on peut tous faire avec une poêle, machine à riz et des couteaux assez rapidement sans chercher à être raffiné. Puis les accompagnements coréens par exemple, on en fait pleins une fois et basta ça tient un long moment au frigo.
Le nuage de Tchernobyl s'est arrêté à la frontière, go ramasser les champignons maintenant.
Et n'oubliez pas de dénoncer les voisins, incluant les enfants.