Question "remise au pas", la France se trouve donc à l'avant-garde mondiale, et cette brillante idée, digne des stages de rééducation organisés par les Gardes Rouges durant la Révolution culturelle chinoise pour "désembourgeoiser" les intellectuels et les artistes, fait de nous des précurseurs. Même les universités américaines et leur "gender studies" n'ont pas réussi à faire aussi bien.
Lorsqu’à l'automne dernier, je reçus la notification de ce stage — et de l'espèce de chantage opéré par le CNC qui conditionne désormais toute subvention publique à la participation à la chose —, je pensai d'abord à un canular inventé par le site parodique du Gorafi. En réalité, il n'en était rien : c'était bien une initiative officielle décidée par le ministre de la Culture de l'époque — et oublié depuis — Franck Riester, et par Dominique Boutonnat, sous la pression de différentes associations "féministes" influentes dans le milieu du cinéma. En particulier le tout-puissant "Collectif 50/50", dont un des titres de gloire est d'avoir obtenu qu'un film sur deux, dans les Festivals du type Cannes, soit réalisé par une femme.
La présidente de l'Unef, Mélanie Luce avait évoqué la semaine dernière l'organisation de réunions "non-mixtes" au sein du syndicat étudiant pour "permettre aux personnes touchées par le racisme de pouvoir exprimer ce qu'elles subissent", provoquant une vive polémique. "Que des personnes discriminées pour les mêmes raisons et de la même façon sentent la nécessité de se réunir entre elles pour en discuter, ça ne me choque pas profondément", a estimé la candidate de gauche, interrogée à ce sujet.
L'opinion de la candidate socialiste à la présidence de la région Ile-de-France lui a valu une vague de condamnations à droite et à l'extrême droite et le soutien d'une partie de la gauche.
Des militants de l'Action française ont perturbé ce 25 mars l'ouverture de la séance plénière du conseil régional d'Occitanie, dans l'hôtel de Région à Toulouse. Ils ont tenté de s'introduire dans l'hémicycle avec des banderoles sur lesquelles figuraient le slogan : «Islamo-gauchistes, traîtres à la France».
La chaîne australienne ABC établira que, dès octobre 2019, des douzaines de personnes étaient hospitalisées avec des symptômes de fièvre et de toux dans la capitale régionale du Hubei. De leur côté, le New York Times et ProPublica révéleront que, pour dissimuler l’étendue de l’épidémie à ses débuts, la propagande chinoise s’est appuyée sur 3 200 directives et 1 800 mémos envoyés à des agents locaux dans tout le pays.
Sur les réseaux sociaux ou auprès de l’OMS, la Chine orchestre sa propagande pour écrire un nouveau récit et convaincre le monde que le point de départ de la pandémie se trouve aux Etats-Unis.
Le 28 mars 2021 à 23:46:05 coogi17 a écrit : Pendant ce temps la pour des honnêtes gens pour avoir un HLM dans Paris c’est minimum 10 ans d’attente et encore