Messages de StanZemmourr
Le 19 mars 2022 à 05:04:05 :
Adieu.
A demain.
Le ministère de l’Intérieur a renoncé à la «fermeture administrative» de la mosquée Al Madina Al Mounawara, à Cannes, a appris mardi 15 mars l’AFP auprès de la préfecture des Alpes-Maritimes, fermeture annoncée en janvier par Gérald Darmanin, notamment pour «propos antisémites». «La décision qui a été prise la semaine dernière par le ministère de l’Intérieur est de ne pas prendre de mesure de fermeture administrative, à la lumière des éléments fournis par les nouveaux responsables de la mosquée», a souligné la préfecture.
(…) «C’est de la sagesse et de la justice», a réagi auprès de l’AFP le nouveau recteur de la mosquée, Ahmed Guessoum, en poste depuis huit mois, qui attend d’être «officiellement informé de cette décision». Cette procédure de fermeture administrative avait été officiellement ouverte en raison de «propos haineux envers la France» et de propos «incitant à la haine envers les homosexuels ou transsexuels» tenus par l’ancien recteur sur la page Facebook de la mosquée, avait alors détaillé la préfecture, parlant aussi d’«une haine antisémite explicite». Dans le cadre de la procédure contradictoire ouverte, le nouveau recteur de la mosquée, Ahmed Guessoum, qui a remplacé le précédent imam, Mustapha Dali, parti à la retraite, avait transmis des informations à la préfecture.
Le jeune homme de 20 ans originaire du Maghreb Islamique a été relaxé ce mardi par le tribunal d’Evry (Essonne) des délits d’outrage et menaces de mort à l’encontre du ministre de l’Education nationale. Il a en revanche été reconnu coupable d’atteinte à l’intimité de la vie privée d’autrui, pour s’être moqué d’un enfant handicapé.
(…)
Fin septembre, Rayanne tourne trois vidéos, partagées sur les réseaux sociaux, dans lesquelles il filme un mineur handicapé, en donnant son prénom, et sans avoir eu l’autorisation des parents. Rayanne officiait alors en tant que bénévole pour une association dans un collège du Val-de-Marne. Dans les vidéos, il lui intime de répéter des insultes, des mots en arabe, de le frapper et de se gratter les fesses.
(…)
À la sortie de l’audience, Rayanne, loin d’exprimer le moindre regret, fanfaronnait d’avoir obtenu le huis clos. En octobre 2021, il avait déjà été condamné à effectuer un stage de citoyenneté après s’être filmé à Ablon-sur-Seine (Val-de-Marne) en train de voler un sac d’intervention dans un camion de pompier et pour avoir, dans une autre vidéo, menacé des policiers.
Le 19 mars 2022 à 04:45:36 :
C'est calme pourtant la tronche en général
C'est le quartier de l'hôpital
C'est la faute à pas de chance...strictement aucun lien avec l'immigration d'ailleurs.
Les cucks espagnols se laissent envahir sans broncher...
Ils sortent les tanks à quel moment?
Que faisait Abdelaziz en liberté?
Que faisait Abdelaziz en France?
Dans le flux des personnes recensées par les autorités, 30% sont des migrants d’autres nationalités, dont beaucoup d’Algériens.
Déjà plus de 5000 arrivées en France de migrants d’Ukraine depuis le début de l’attaque russe le 25 février. Un nombre «en augmentation rapide», affirme le premier ministre Jean Castex. Ils étaient «plus de 500», encadrés par des associations pour la seule journée de lundi, arrivés par bus, en provenance de Berlin notamment, mais aussi par train ou par avion. Il y a aussi tous ceux qui arrivent par leurs propres moyens dans les autres villes, aidés par leurs familles installées en France.
Sont-ils tous des Ukrainiens? Dans ce flux en expansion, 30 % environ sont des migrants qui se trouvaient en Ukraine au moment du déclenchement du conflit, selon nos informations. En clair: quasiment un réfugié sur trois n’est pas Ukrainien.
Les dernières arrivées intègrent plus de 7,5 % d’Algériens, 3,5 % d’Ivoiriens, 3,5 % de Marocains, 2,5 % d’Indiens, 2,5 % de Kirghizes, 2 % de Congolais, 1,5 % de Camerounais, 1 % de Pakistanais, mais aussi des Nigériens, des Chinois, des Guinéens, des Angolais.
Des migrants pakistanais profitent de la guerre en Ukraine pour entrer illégalement dans l’Union européenne
Le European Times a rapporté qu’en raison de la guerre et de l’exil de millions de réfugiés ukrainiens, les frontières de l’Ukraine sont extrêmement poreuses, ce qui permet aux migrants d’en profiter car ils “prévoient de demander l’asile ou d’arriver en tant que migrants illégaux dans des pays européens comme l’Allemagne.”
Les voisins de l’Ukraine, notamment la Pologne, sont déjà confrontés à un afflux massif de réfugiés en provenance d’Ukraine, avec 2,5 millions de personnes ayant déjà fui le pays. Cependant, des pays européens comme la France et l’Allemagne s’inquiètent de l’afflux d’éléments “indésirables” en provenance de pays comme le Pakistan.
Il a été noté qu’environ 130 étudiants pakistanais ont été évacués d’Ukraine et se sont retrouvés temporairement en Roumanie. Bien que la plupart aient été rapatriés par avion le 10 mars, trois d’entre eux ont disparu de leur hôtel en Roumanie et ont été retrouvés en Allemagne, où ils ont atteint le pays par voie terrestre.
Le Pakistan estime qu’au moins 40.000 de leurs ressortissants tentent de rejoindre illégalement l’Europe via l’Iran et la Turquie.
https://greekcitytimes.com/2022/03/16/ukraine-crisis-pakistanis-eu/
Un homme agressé au couteau à la gare routière de Rennes
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L’agression s’est déroulée vers 9h45 ce mercredi 16 mars à la gare routière de Rennes. Un homme de 25 ans a porté un coup de couteau à un voyageur.
En 2021, un jeune homme de 20 ans originaire du Maghreb avait violé une mineure qui était venue chercher refuge chez lui. Après la prison ferme, il sera expulsé du territoire pendant dix ans.
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Lors de la fixation de la peine, le tribunal d’Arbon s’en est tenu à la demande du ministère public. Ce qui a augmenté la culpabilité du prévenu, c’est la situation de vulnérabilité de la victime. Mineure et enceinte, elle cherchait un endroit où passer la nuit. Lors de l’ouverture du procès – qui s’est tenu à huis clos pour protéger la victime – le tribunal a ainsi rappelé que la victime avait «un grand besoin de protection dont l’accusé avait profité sans vergogne». Il a assouvi son désir sexuel contre la volonté clairement exprimée par la victime de ne pas tolérer de rapports sexuels, et ce, sans utiliser de contraception.
S’ajoute à cela le fait que le prévenu avait des antécédents judiciaires et qu’il a commis des délits pendant l’enquête en cours.
Brahim Rikouah est jugé à partir de ce lundi matin par la cour d’assises de l’Isère. L’homme de 60 ans est accusé d’avoir tué Denise Jardin chez elle, à La Tronche, en juillet 2019. L’Iséroise de 93 ans l’aurait surpris en train de cambrioler sa maison. Brahim Rikouah encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Quand les policiers grenoblois se sont présentés, le 25 juillet 2019, devant la maison de Denise Jardin, rue Doyen-Gosse, à La Tronche, ils ont découvert un mot collé sur la porte au ruban adhésif : « Je suis partie en vacance pour trois semaine (sic) ». Les fonctionnaires de police avaient été alertés par un ami de l’Iséroise de 93 ans qui lui rendait visite tous les jours et que ce petit mot laissé sur la porte avait intrigué. Dans la chambre de la maison, qui avait visiblement été fouillée, le corps sans vie de Denise Jardin avait été découvert.
Dans la nuit de jeudi à vendredi 11 mars 2021, deux militants du parti Reconquête ont été agressés au couteau, à Montévrain. Il était près d’une heure du matin quand les deux militants ont été pris à partie. Ces deux habitants de la commune, âgés d’une trentaine et d’une cinquantaine d’années, collent alors des affiches d’Eric Zemmour sur les panneaux réglementaires.
Derrière eux, deux mineurs les interpellent. Très vite, l’un d’eux sort un couteau et tente de poignarder l’un des militants qui parvient à esquiver le coup, non sans se blesser en tombant. Le second aura moins de chance, atteint au niveau des côtes.
Les deux victimes parviennent à s’enfuir et se rendent au commissariat où ils sont pris en charge par les pompiers puis conduits à l’hôpital de Jossigny. Rétablis, les deux militants sont toutefois « encore sous le choc ».
Grâce aux caméras de vidéosurveillance, l’un des deux agresseurs est identifié et interpellé chez lui, dès le lendemain matin. Le second également, en fin de journée. Aucun des deux n’appartiendrait à un parti politique. Déférés au tribunal et présentés devant un juge d’instruction, ils ont été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire.
Les récents assauts violents sur la clôture de Melilla qui ont eu lieu début mars n’ont pas seulement bouleversé les Forces et organes de sécurité de l’État (FCSE) ; Une fois sur le territoire espagnol, des dizaines d’agents ont dû procéder à l’exécution de plus de 800 demandes d’asile ordonnées par l’exécutif actuel.
“Ils n’ont même pas respecté la quarantaine”, soulignent les agents à La Gaceta de la Iberosfera. Les Centres de Séjour Temporaire pour Immigrés (CETI) sont débordés : avec une capacité de 782 places, selon le rapport sur la situation sanitaire du centre publié au Journal Officiel de la Ville Autonome de Melilla (BOME) le 25 août 2020, l’occupation du CETI de Melilla a dépassé 900 immigrants illégaux. Cette circonstance a motivé le gouvernement actuel à forcer les agents à effectuer un « asile express ».
Le ministère de l’Intérieur aurait pu opter pour des retours à chaud approuvés par la Cour constitutionnelle comme il l’a fait après l’invasion de Ceuta en mai de l’année dernière, mais, à cette occasion, l’exécutif a décidé de modifier les soi-disant « retours express » pour un « asile express », une mesure avec laquelle il entend laisser le CETI de Melilla libre d’occupation.
La plupart des clandestins qui ont pris d’assaut la frontière espagnole – armés de crochets et de bâtons – viennent du Soudan, suivis des Maliens et d’autres origines comme le Burkina Faso, la Guinée Conakry, le Tchad, la Côte d’Ivoire, le Cameroun ou la Libye, selon des sources du FCSE. Le fait que la plupart d’entre eux soient d’origine soudanaise confirme qu’il y a eu un changement dans les flux migratoires : les immigrés qui se sont principalement retrouvés en Libye pour atteindre l’Europe par la Méditerranée centrale, optent actuellement pour la ville autonome de Melilla compte tenu de l’indolence des gouvernement actuel en matière migratoire.
L’inaction du ministère de l’Intérieur pousse les mafias qui opèrent dans tout le Maghreb à mobiliser de plus en plus d’immigrants pour faire de l’Espagne l’une des principales voies d’entrée en Europe . En témoignent les derniers bilans du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) qui, au niveau statistique, placent notre pays comme la cible de plus de 50 % de toute l’immigration clandestine arrivant sur le territoire européen. Loin des 5 889 immigrés clandestins entrés en Italie et encore plus loin des 1 037 entrées enregistrées en Grèce, l’Espagne a reçu 56 % de l’ensemble de l’immigration clandestine arrivant en Europe.
D’autre part, les agents du FCSE en poste à Melilla préviennent également que la décision du gouvernement risque de provoquer un effet d’entraînement puisque, loin d’agir comme un mur de soutènement contre l’immigration clandestine, elle envoie un message avec lequel les milliers de Subsahariens encore en attente de l’autre côté de la frontière sont donnés pour comprendre qu’une fois en Espagne, ils seront accueillis au lieu d’être renvoyés au Maroc. “Dans moins d’un mois il y aura des places libres et ils le sauront de l’autre côté puisqu’ils sont communiqués à tout moment”, concluent des sources policières.
Le soleil étincelant, en cette matinée du 20 septembre 2019, donne à cette rentrée un air d’été indien, près du canal Saint-Martin, Paris (Xe). Comme tous les jours, Anna (le prénom a été changé), consultante en communication de 42 ans, vient de déposer sa fille de 3 ans à l’école maternelle. Cette maman solo dynamique, brune aux yeux verts, se hâte jusqu’au jardin Villemin. Elle veut faire un petit saut au compost. Elle passe sous le porche d’entrée du square, rue des Récollets, et se dirige vers le bureau des employés municipaux. Soudain, elle entend une voix l’appeler. C’est son voisin, Abdelaziz A. « Il avait des yeux comme des billes, qui partaient dans tous les sens. Ça m’a glacé le sang. J’ai su qu’il allait se passer quelque chose de grave », se remémore la jeune femme.
Abdelaziz dit à Anna qu’il l’aime. Il veut coucher avec elle. « Je lui dis que j’ai déjà quelqu’un dans ma vie. Et là, c’est parti en vrille. » Selon le récit d’Anna, cet homme de 47 ans se rue sur elle, et l’étrangle avec son bras droit. « Je n’arrivais plus à respirer, mais j’ai réussi à appeler au secours. » Anna sent alors trois impacts sur son flanc gauche. Elle pense à des coups de pied, ou de genou. En réalité, ce sont des coups de couteau. « La suite, c’est très flou », confie la quadragénaire, en ravalant sa salive.
« Si des gens ne l’avaient pas interrompu, il m’aurait tuée »
[…]
« Je sais qu’il visait la gorge, pour me finir… »
[…]
Il était gentil, cordial.
[…]
Six mois avant son agression, Anna est chez elle, lorsqu’elle entend des sirènes de police. Pendant toute la matinée, elle reste bloquée chez elle, comme tous les autres résidents de l’immeuble. Elle apprend qu’une tentative de meurtre vient d’avoir lieu dans le bâtiment. Abdelaziz en est le principal suspect. Mais il a pris la fuite. « Il y avait des traces de sang partout. Tout le périmètre était bloqué. » Elle apprendra plus tard que la victime était la voisine de palier d’Abdelaziz. Cette jeune femme, Sandra, avait contracté un mariage blanc avec le frère du suspect, mais elle voulait divorcer. Elle aussi avait failli succomber à ses blessures à l’arme blanche au thorax, à l’abdomen et au bras.
Entendue par la police quelques jours après les faits, Anna s’était abstenue de dire du mal de son voisin. « C’est dire comme j’étais naïve, soupire-t-elle. Ça m’avait fait complètement stresser. D’autant que je suis seule. Je ne me sentais pas en sécurité. »