Messages de StanZemmourr

Agression à la serpette d’une sexagénaire : sept ans de prison ferme

Multirécidiviste, Yacine Neghouche, 31 ans, a déjà passé huit ans derrière les barreaux malgré son jeune âge. Le 26 septembre 2020 à Montbéliard, il a agressé sauvagement une femme, alors âgée de 68 ans, pour lui dérober son véhicule. Un an et demi après les faits, elle reste traumatisée.

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la lame mesurait 22 cm, le manche 42. Une pluie de coups s’est aussitôt abattue.

Jetée et traînée au sol, elle a tenté de résister durant de longues minutes, de s’accrocher à sa clé de contact, mais elle a fini par céder lorsqu’il a menacé de lui fracasser le crâne.

Puis il s’est mis au volant et a détalé tandis que, les mains et les jambes en sang et en état de choc, elle s’est rendue tant bien que mal dans le magasin le plus proche pour chercher de l’aide.

Pour cette agression qui aurait dû être jugée aux Assises, mais a été correctionnalisée à la demande de la victime, Yacine Neghouche a été condamné à sept ans de prison ferme et à 6 000 euros de dommages et intérêts.

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Personnalité « de type psychopathe »

Le prévenu, dont le casier judiciaire était lesté de quatorze mentions (vols avec violence, viols, agressions avec arme…)

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L’article dans son intégralité sur L’Est Républicain

L’Est Républicain édition du 04 déc. 2013 (non exhaustif)
« C’était un rapport consenti »

Besançon. « Vous mesurez bien 1,67 m, comme l’a dit l’enquêteur », interroge le président Ardiet. « Oui mais à l’époque des faits, je faisais moins ». Yacine Neghouche a 22 ans, un air extrêmement juvénile et n’aurait donc pas terminé sa croissance. Les faits pourtant ne remontent qu’au 11 février 2012. Il est 21 h 15 lorsqu’une adolescente de 15 ans intercepte une voiture de police en patrouille dans son quartier à Montbéliard. Elle hoquette, sanglote, elle vient de se faire violer.

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Ma Commune édition du 4 déc. 2013
Le violeur d’une jeune fille de 16 ans condamné à six ans de prison

La victime a été violée par un homme masqué qui la menaçait avec un tournevis. Yacine Neghouche, déjà condamné pour des agressions sexuelles, a été dentifié grâce à des prélèvements génétiques.

Après avoir nié les faits, l’accusé a finalement admis avoir eu une relation sexuelle avec la jeune fille ce soir là, affirmant qu’elle était consentante.

https://www.estrepublicain.fr/faits-divers-justice/2022/03/17/agression-a-la-serpette-sept-ans-de-prison-ferme

Mercredi, après l’interpellation de trois hommes dans le quartier Dervallières à Nantes, plus de 2 kilos de drogue ainsi que des munitions et une arme ont été saisis dans le… local du club du coin, où s’étaient réfugiés des dealers présumés.

En patrouillant dans le quartier HLM de Dervallières, situé à l’ouest de Nantes, les policiers ne s’attendaient pas forcément à terminer dans un club de foot. Mais, mercredi soir aux alentours de 19 h 35, une transaction de stupéfiants entre deux personnes aurait attiré leur attention au cours d’une ronde de surveillance. Un dealer présumé aurait alors pris la fuite en direction du local de l’ACS Dervallières, qui évolue en Départemental 3.

(…) Certaines auraient été dissimulées dans un faux plafond, d’autres dans des trophées trônant sur le bureau d’un dirigeant. Au total, 1,5 kg d’héroïne a été saisi, en plus de deux savonnettes de résine de cannabis, de huit cocottes – ou pochons – de cocaïne et du matériel de revente. Les forces de l’ordre ont aussi trouvé un fusil et des munitions de différents calibres.

« Il y a toujours eu des intrusions […] mais jamais en pleine journée »
Abou Sow, président de l’ACS Dervallières

Propriété de la Ville de Nantes, ce local est partagé entre l’ACSD et un autre club de foot local, le FC Boboto (Départemental 5). « On ne l’a presque pas utilisé cette année, notamment à cause des restrictions sanitaires, explique Abou Sow. Après, il y a toujours eu des intrusions et des dégradations, un peu de squat, mais jamais en pleine journée et à vue d’oeil comme ça. On voit très bien que des gens sont là. Il y a déjà eu des vols et des dépôts de plainte, on a essayé de faire remonter l’information et alerter. » En vain.

(…) Selon lui, le problème est bien plus large, dans un « quartier gangrené », considéré comme une « plaque tournante » de la drogue, avec des « gamins en manque de repères et délaissés »

https://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Quand-les-locaux-d-un-club-de-foot-nantais-deviennent-une-planque-de-drogue/1322775

Strictement aucun lien avec l'immigration...

Cela fait une quinzaine de jours que la basilique de Koekelberg est la cible d’actes de vandalisme. Les jets de pierre se sont multipliés et ont endommagé le somptueux édifice bruxellois. La directrice des lieux, elle-même visée, dénonce une situation devenue “intenable”. “Dingue ce vandalisme gratuit qui peut blesser ou tuer carrément!”

Selon Martine Motteux-Abeloos, vice-rectrice de l’église, les faits ont été commis par de jeunes adolescents venus en trottinette ou des adultes en voiture. Mardi, une brique est passée à 50 centimètres de sa tête alors qu’elle se trouvait dans son bureau. “Cette situation devient intenable et les collègues commencent à avoir peur sérieusement. Dingue ce vandalisme gratuit qui peut blesser ou tuer carrément. Jamais cru que l’on pourrait craindre pour sa vie dans la Basilique”, déplore-t-elle sur Facebook, en y joignant les photos des dégâts.

“Ces gamins vandales opèrent de jour comme de nuit, nul n’est à l’abri. La sécurité?? Tout ce vandalisme gratuit dépasse largement les possibilités d’intervention de la police. Il faudra bientôt faire appel aux services de sécurité privés”, prolonge-t-elle.

https://www.7sur7.be/belgique/la-basilique-de-koekelberg-assaillie-par-des-jets-de-paves-il-est-passe-a-quelques-centimetres-de-ma-tete~a01c5a03/

En quelques jours, elle serait devenue le souffre-douleur de deux collégiennes de Canet. Sandrine, 15 ans, scolarisée dans le même établissement de la Côte radieuse, a été victime d’un déchaînement de violences, “de haine” dénonce son père, survenu le mercredi 9 mars dernier à la sortie des cours. L’agression a même été diffusée sur les réseaux sociaux. Depuis, la jeune fille est menacée de mort. Ses parents ont déposé plainte.

L’œil droit au beurre noir, des coups de ceinture et de sac sur tout le corps, Sandrine (prénom d’emprunt) est sous le choc. Scolarisée au collège de la Côte radieuse de Canet-en-Rousillon, la jeune élève de troisième aurait été brutalement agressée mercredi 9 mars dernier, à la sortie des cours. “Ma fille a été victime d’une attaque en règle organisée depuis le lundi par deux adolescentes du même établissement”, dénonce furieux Mike D. Il en veut pour preuve les bruits qui couraient depuis le début de la semaine et arrivent aux oreilles de Sandrine le jour J, deux heures avant les faits.

(…) Furibond, le père passe les grilles de l’établissement et demande à être reçu par la principale “qui non seulement accepte de me rencontrer, mais convoque Sandrine et doit nous raccompagner pour notre sécurité jusqu’à mon camion.” (…)

“Elle était en études où elle a été menacée, prévenue qu’elle serait attendue à la sortie et fracassée, massacrée”, poursuit-il. Effrayée, l’ado en aurait aussitôt parlé à la surveillante qui intervient pour calmer le jeu. À la sonnerie de midi, l’adulte sort d’ailleurs la première afin de vérifier que tout va bien. Or, elle aurait aperçu un attroupement, se serait approchée et l’aurait dispersé. Pensant que la voie est libre, elle laisse partir Sandrine. Or, “une fille qui se cachait derrière des copains a surgi devant ma petite, une autre l’a rejointe et, à plusieurs, elles ont roué Sandrine de coups. Quelqu’un a filmé le passage à tabac et l’a envoyé sur snapchat”, tempête Mike D.

Le soir même, des messages pleuvent sur le compte snapchat de Sandrine. “Fait (sic) revenir l’histoire une seule fois, j’te ramène les cousins du mav (Moulin-à-Vent) et du chando (Champ-de-Mars) et c’est pas que de la ceinture et du sol que tu vas manger”, revendique par texto une des agresseuses présumées. Un autre SMS la menace de mort. “On va t’égorger”. Le ton est aussi ahurissant, sidérant que le motif est futile. “Ces filles prennent la mienne pour leur souffre-douleur pour une affaire de garçon. Elles sont jalouses de Sandrine qui a d’excellentes notes et qui est copine avec cet adolescent qui plaît aux autres. Sandrine a obtenu 19,25 sur 20 à son brevet blanc”, s’adoucit Mike D. Il se dit halluciné par “l’impitoyable comportement” des attaquantes. Et la disproportion d’une affaire plus digne du bac à sable que de ces extrêmes violences scolaires.

(…) Pour Mike D. c’en est trop. “Ma fille ne veut plus aller en classe, elle panique de peur qu’elles la tuent et moi je suis un papa à bout à cause de ce déchaînement de haine contre ma petite”, s’émeut-il, inquiet des terribles migraines de Sandrine depuis l’agression.

(…) “Mon enfant s’est fait tabasser à terre, j’ai envie d’exploser, j’implore la justice d’agir, la police municipale de surveiller cet établissement qui tourne mal, devient dangereux entre le deal, les attouchements, les vols, les rackets et j’en passe. Même la directrice adjointe m’a dit qu’elle craignait que cette histoire se termine en bain de sang“, s’emporte le parent.

https://www.lindependant.fr/2022/03/15/canet-en-roussillon-par-jalousie-deux-collegiennes-ont-roue-ma-fille-de-coups-ont-diffuse-la-video-sur-snapchat-et-la-menacent-de-mort-10171270.php

Poursuivi pour deux viols commis à Morlaix, un Guinéen de 23 ans a été condamné par la cour d’assises du Finistère, ce jeudi 17 mars, à dix ans de réclusion criminelle.

Depuis le mardi 15 mars, la cour d’assises du Finistère jugeait un homme de 23 ans poursuivi pour avoir commis deux viols, en juillet et décembre 2018, sur la commune de Morlaix.

https://www.letelegramme.fr/bretagne/viols-a-morlaix-un-homme-condamne-a-dix-ans-de-reclusion-17-03-2022-12949093.php

Le jeudi 17 mars, la police a été appelée par des riverains du stade Auguste-Delaune à Argenteuil (Val d’Oise) aux alentours de 20h30. Effrayés par des coups de feu, les témoins rapportent avoir vu des individus armés de fusils et de barres de fer.

Les forces de l’ordre sont arrivées, découvrant alors une centaine d’individus en train de s’affronter. N’étant pas les bienvenus, les policiers ont été victimes de jets de pierres sur leur véhicule. Ils ont donc eu recours à des tirs de cougar (grenades lacrymogènes) pour disperser les jeunes.

C’est alors qu’ils ont découvert trois hommes âgés d’une vingtaine d’années, blessés aux jambes et au postérieur par des tirs de plomb. Avant que les secours ne les emmènent, leurs jours n’étant pas en danger, les policiers ont interrogé les blessés qui n’ont apporté aucune information supplémentaire à l’enquête, comme le rapporte Actu 17.

Un peu plus tard rue d’Epinay, trois suspects âgés de 16 à 18 ans ont été arrêtés. Deux d’entre eux avaient des taches de sang sur leurs vêtements. Une enquête a été ouverte et confiée aux policiers de la sûreté urbaine. La piste privilégiée serait un affrontement entre jeunes originaires des quartiers Joliot-Curie et ceux de la ZUP.

La situation à Argenteuil est assez tendue. En novembre dernier, la ville faisait parler d’elle lorsqu’une cinquantaine d’individus avaient décidé de tirer au mortier sur les policiers et le commissariat d’Argenteuil.

https://www.cnews.fr/france/2022-03-18/argenteuil-trois-blesses-par-balle-lors-dune-rixe-entre-une-centaine-dindividus

La candidate socialiste à la présidentielle Anne Hidalgo s’est rendue à la Grande mosquée de Paris vendredi matin, accompagnée de l’ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve, et y a dénoncé les «haineux qui veulent en finir avec la fraternité» et «certains candidats» prônant une «vision archaïque d’une France qui n’a jamais existé». Elle a été accueillie par Chems-Eddine Hafiz, recteur de la Grande mosquée, qui lui a décerné la médaille des «bâtisseurs des mosquées de France» en tant que maire de Paris.

Aujourd'hui, Anne Hidalgo était à la grande mosquée de Paris dont le recteur est Chems-eddine Hafiz.

De la part d'Hidalgo: des critiques à peines voilées de @ZemmourEric et @MLP_officiel

Source: https://t.co/vl5vAd9uE1 pic.twitter.com/vN4s0NlVLV
— David Dobsky (@dobsky33) March 18, 2022

Au cours d’un échange avec des représentants du culte musulman, Anne Hidalgo s’est dite «préoccupée»: «Je vois des haineux qui veulent en finir avec la fraternité», visant les candidats d’extrême droite Eric Zemmour et Marine Le Pen. «Certains candidats, à chaque difficulté, disent que le responsable c’est l’immigration et l’islam, et portent une vision qui conduit à l’affrontement», a-t-elle ajouté, critiquant une «vision archaïque et étriquée d’une France qui n’a jamais existé». La socialiste a en même temps défendu la laïcité, regrettant que certains jeunes qu’elle a rencontrés ne la tiennent pas comme fondamentale: «Par quoi vous la remplacez? Et là, c’est à chaque fois un grand silence».

Concernant la lutte contre l’islamisme, Anne Hidalgo a affirmé que son modèle était Bernard Cazeneuve, assis à ses côtés, prenant exemple sur «sa sérénité, son calme, sans chercher des boucs émissaires», quand il était ministre de l’Intérieur, au moment des attentats qui ont frappé la France à partir de 2015. «Il n’a pas hésité à dire que l’islam radical était un problème, mais a aussi dit que ce n’était pas de la religion», a-t-elle souligné, estimant que «République et foi ne sont pas en opposition».

«Je suis venue porter un discours de reconnaissance au travail que font les musulmans de France pour permettre à notre pays de vivre dans la fraternité et donner des perspectives aux Français de confession musulmane», a indiqué la candidate. Elle a regretté que la République, et en particulier l’école, ne «tiennent plus leurs promesses d’intégration», favorisant des discriminations et des inégalités qui frappent en particulier les musulmans.

https://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/anne-hidalgo-denonce-les-haineux-a-la-grande-mosquee-de-paris-20220318