Le 23 janvier 2022 à 20:37:04 :
supprime, personne va feed ça
mettre des points et trop de virgules quand on fait des fautes et qu'on n'a aucun style ne sauve pas les meubles
Cope.
Le 23 janvier 2022 à 20:30:23 :
Tu t'es donné tant de mal pour raconter des balivernes de collégiens
Descartes, Augustin et Thomas d'Aquin rigolent
Les apologistes du christianisme mentionneront Thomas d’Aquin et la scolastique comme les points forts du développement non seulement médiéval, mais intellectuel européen, même si Thomas d’Aquin a fait reculer le progrès scientifique et technologique européen de plusieurs centaines d’années. La scolastique était un objet de la risée et de moquerie à la Renaissance.
Les religieux mentionnent la «contribution» chrétienne de l’université, oubliant les nombreuses institutions d’enseignement supérieur qui ont existé et même prospéré dans le monde antique. Les premières universités enseignaient la scolastique, donc elles étaient la ligne de front dans la guerre chrétienne contre les valeurs païennes de la curiosité intellectuelle, de l’amour du progrès en soi et de la rationalité empirique.
Dans l’esprit religieux chrétien, la science et la technologie sont d’origine chrétienne parce que les hommes faisant des découvertes et des inventions pendant la Révolution scientifique étaient symboliquement des Chrétiens, comme Galilée et Newton. Cet argument est aussi absurde que de soutenir que l’invention grecque de la logique, de la rhétorique et des mathématiques résultent des croyances théologiques païennes grecques parce qu’Aristote et d’autres scientifiques et philosophes de l’antiquité étaient des païens. Non, ces hommes étaient des «chrétiens» parce que les aveux publics d’athéisme étaient dangereux à une époque où même la spéculation théologique la plus anodine pouvait porter atteinte à la réputation et détruire des carrières. Il faut rendre un hommage appuyé au courage et à l’honnêteté de ces hommes qui ont été capables d’abandonner la confiance du christianisme dans une foi aveugle, souvent face à la censure publique, et d’avoir consciemment ré adopté les valeurs épistémiques païennes qui ont produit le «miracle grec» 2000 ans avant la Révolution scientifique.
Le christianisme est un culte violent, destructeur et meurtrier. C’est dangereux pour les raisons suivantes :
1) la religion favorise la survie des malades, des faibles et des imbéciles aux dépends d’une bonne hygiène raciale. Cela réduit considérablement le QI de la population et le potentiel pour l’aboutissement civilisationnel
2) le culte s’appuie sur la foi aveugle au lieu de la persuasion rationnelle, ce qui a entraîné de longues périodes de chaos généralisé et d’effusion de sang, en particulier au cours de la christianisation de l’Europe. Ces dangers ont même été remarqués par les auteurs païens contemporains, qui ont immédiatement reconnu la menace qu’un christianisme triomphant poserait à la survie de la culture occidentale
Le christianisme n’a jamais «civilisé» ou «domestiqué» les Européens. Au contraire, les Européens ont été forcés de subir une existence néolithique lorsque les chrétiens étaient à l’apogée de leur pouvoir et de leur influence. L’Église a envoyé des hommes de génie dans les monastères ou les a consacré à la prêtrise. Ceci les a empêchés de transmettre leurs gènes, un important effet dysgénique qui a réduit le QI européen collectif. Seule la science païenne et la raison de l’antiquité classique pouvaient rédomestiquer les Européens après 500 ans d’obscurité intellectuelle totale.
L’Église a défendu avec succès l’Europe de l’invasion, soutiennent certains apologistes, mais rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. La confiscation des biens de l’Église par Charles Martel afin de défendre l’Europe des intrus musulmans s’est heurtée à une opposition ecclésiastique significative. Si l’Église avait réussi à retenir les fonds nécessaires, toute l’Europe aurait été réduite à une province du califat Omeyyade. Néanmoins, Martel a été incapable de poursuivre les Sarrasins à travers les Pyrénées et à les déloger de leur fief andalou. Les musulmans ont poursuivi leur occupation de la péninsule ibérique pendant 800 ans, jusqu’à leur expulsion finale par Ferdinand et Isabelle à la fin du 15ème siècle. Le sud-ouest de la France et l’Italie ont été périodiquement attaqués et parfois dominés par des envahisseurs musulmans. L’émirat de la Sicile a duré plus de deux siècles. Même après la conquête normande, une présence musulmane est restée sur l’île. Les musulmans de Sicile ont finalement été expulsés au milieu du XIIIe siècle. Les croisades pour reprendre la Terre Sainte aux Sarrasins (1095-1291), une série d’opérations militaires à grande échelle sous la direction conjointe de la papauté et de l’aristocratie féodale, ont échoué à atteindre leur objectif principal. En 1204, les croisés chrétiens ont mis à sac Constantinople dans une orgie de viols, de pillages et de meurtres. Les croisés ont causé tant de dégâts que les Byzantins ont été incapables de résister à leurs conquérants ottomans en 1453.
Le christianisme ne fournissait aucune défense adéquate de l’Europe. L’Église en a seulement fait assez pour se maintenir comme une institution viable. Au cours du processus, l’Église a affaibli l’Europe, la faisant mûre pour la conquête par les califats Omeyyade et ottoman.
Le 23 janvier 2022 à 20:10:15 :
La culture occidentale aurait été perdue pour toujours, sans la redécouverte de la science et de la philosophie païennes au cours de la Renaissance.
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png
Le christianisme n’a jamais «civilisé» ou «domestiqué» les Européens. Au contraire,
les Européens ont été forcés de subir une existence néolithique lorsque les chrétiens étaient à l’apogée de leur pouvoir et de leur influence. L’Église a envoyé des hommes de génie dans les monastères ou les a consacré à la prêtrise. Ceci les a empêchés de trans mettre leurs gènes, un important effet dysgénique qui a réduit le QI européen collectif. Seule la science païenne et la raison de l’antiquité classique pouvaient ré domestiquer les Européens après 500 ans d’obscurité intellectuelle totale.
Le 23 janvier 2022 à 20:10:06 :
Le 23 janvier 2022 à 20:08:43 :
Le 23 janvier 2022 à 20:07:37 :
Le 23 janvier 2022 à 20:05:32 :
Le 23 janvier 2022 à 20:03:02 :
Le 23 janvier 2022 à 19:58:43 OdolamX38 a écrit :
https://www.google.com/amp/s/amp.ouest-france.fr/bretagne/le-palais-56360/a-belle-ile-en-mer-le-cure-choisit-de-prier-pour-lenine-plutot-que-pour-louis-xvi-ed24c08e-7ac2-11ec-90d8-e0664ad7138ePutain mais la gueule de l’Eglise
C'est bon tu vas pas généraliser pour un déficient. Des pretres et curé valable y'en a des tas
Le philologue classique Revilo P. Oliver a autrefois décrit le christianisme comme une «syphilis spirituelle ». Le musicien Varg Vikernes a déclaré que le christianisme était un « problème à résoudre par la science médicale ». Il l’a décrit comme un « VIH/SIDA de l’âme et de l’esprit ». Seul le paradigme des maladies sexuellement transmissibles peut faire la lumière sur la vraie nature de la religion chrétienne.
Le niveau des athix : se branler sur des analogies scabreuses du chanteur de Burzum
Au moins lui il brûle des édifices religieux. Que fais-tu de bien pour ta patrie toi ?
Je gifle les putes dans ton genre quand elles s’enfuient pas à l’étranger comme les lâches dont vous descendez
En 1933, l’historien allemand Oswald Spengler écrivait : «Tous les systèmes communistes du monde en Occident sont en fait dérivés de la pensée théologique chrétienne … Le christianisme est la grand-mère du bolchevisme». Ce seul fait suffit à faire du christianisme l’une des forces les plus destructrices dans l’histoire du monde, une force si radioactive qu’elle détruit tout dans son voisinage immédiat.
Le 23 janvier 2022 à 20:07:37 :
Le 23 janvier 2022 à 20:05:32 :
Le 23 janvier 2022 à 20:03:02 :
Le 23 janvier 2022 à 19:58:43 OdolamX38 a écrit :
https://www.google.com/amp/s/amp.ouest-france.fr/bretagne/le-palais-56360/a-belle-ile-en-mer-le-cure-choisit-de-prier-pour-lenine-plutot-que-pour-louis-xvi-ed24c08e-7ac2-11ec-90d8-e0664ad7138ePutain mais la gueule de l’Eglise
C'est bon tu vas pas généraliser pour un déficient. Des pretres et curé valable y'en a des tas
Le philologue classique Revilo P. Oliver a autrefois décrit le christianisme comme une «syphilis spirituelle ». Le musicien Varg Vikernes a déclaré que le christianisme était un « problème à résoudre par la science médicale ». Il l’a décrit comme un « VIH/SIDA de l’âme et de l’esprit ». Seul le paradigme des maladies sexuellement transmissibles peut faire la lumière sur la vraie nature de la religion chrétienne.
Le niveau des athix : se branler sur des analogies scabreuses du chanteur de Burzum
«Mais qu’y a-t-il de commun entre Athènes et Jérusalem, l’académie et l’Eglise, les hérétiques et les Chrétiens ?… Nous n’avons pas besoin de curiosité après Jésus-Christ, ni de recherches après l’Evangile. Quand nous croyons, nous ne voulons plus rien croire au-delà; nous croyons même qu’il n’y a plus rien à croire.».
- Tertullien
Le 23 janvier 2022 à 20:03:02 :
Le 23 janvier 2022 à 19:58:43 OdolamX38 a écrit :
https://www.google.com/amp/s/amp.ouest-france.fr/bretagne/le-palais-56360/a-belle-ile-en-mer-le-cure-choisit-de-prier-pour-lenine-plutot-que-pour-louis-xvi-ed24c08e-7ac2-11ec-90d8-e0664ad7138ePutain mais la gueule de l’Eglise
C'est bon tu vas pas généraliser pour un déficient. Des pretres et curé valable y'en a des tas
Le philologue classique Revilo P. Oliver a autrefois décrit le christianisme comme une «syphilis spirituelle ». Le musicien Varg Vikernes a déclaré que le christianisme était un « problème à résoudre par la science médicale ». Il l’a décrit comme un « VIH/SIDA de l’âme et de l’esprit ». Seul le paradigme des maladies sexuellement transmissibles peut faire la lumière sur la vraie nature de la religion chrétienne.
Le christianisme est une perversion de l’instinct de conservation. Cela en fait un destructeur de civilisations et de peuples entiers. Embrasser le christianisme n’est pas différent de se mettre une corde autour du cou et de sauter d’un grand bâtiment. C’est un suicide pour tous ceux qui se laissent bêtement influencer par ses doctrines toxiques. La culture occidentale aurait été perdue pour toujours, sans la redécouverte de la science et de la philosophie païennes au cours de la Renaissance. Malheureusement pour nous, l’Occident a encore une fois succombé à ce fléau spirituel. La cité céleste de Dieu porte maintenant un jugement sur l’Occident. Le Juif crucifié a parlé : l’Occident a été jugé et laisse à désirer !
Dans le cas de la syphilis, il y a une période de latence. Ceci est analogue à la croissance et à la propagation du christianisme à travers l’empire romain, jusqu’au règne de Constantin au début du 4ème siècle. Les symptômes de l’infection syphilitique s’aggravent, entraînant une pléthore de conséquences potentiellement létales. La dégénérescence neurologique et cardiovasculaire causée par la syphilis affaiblit le corps de l’hôte. Si l’infection se poursuit sans intervention médicale, la mort s’ensuit. De la même manière, le christianisme affaiblit puis détruit l’État par la prolifération de ses idéologies dérivées du christianisme les plus dégénérées, telles que le libéralisme, le socialisme et le féminisme.
Le racisme anti-noir apparaît en Europe dès le XVIIIe siècle avec des philosophes comme Voltaire, Hume et Hegel. La théorie de l’histoire de ce dernier est éloquente : « le nègre vit dans l’immédiateté naturelle et à son individualité sans l’idée d’un Dieu absolu et spirituel [...] en deçà du bien et du mal» (Balibutsa, 2000: 190-191)
Mais c’est à la fin XIXe siècle que triomphe le racisme à travers l’anthropologie diffusionniste et des écrits comme l’Essai sur l’inégalité des races humaines de Gobineau (1853). C’est la version hamitique de ce théoricien du racisme qui a été appliquée au Rwanda
Pour mémoire, le concept hamitique ou chamitique remonte à la Genèse, le livre le plus ancien de la Bible. Dans les chapitres 9 et 10 de ce livre, il y est en effet question de la malédiction de Cham (Ham), l’un des
trois fils de Noé, pour s’être moqué de son père qu’il avait trouvé ivre et nu, couché dans sa tente. Le patriarche aurait condamné le fils indigne à devenir « l’esclave des esclaves de ses frères» (Gn 9, 18; 10, 1).
Au Rwanda, cette consécration hamitique dura environ cinquante ans, depuis les années 1900 qui virent s’établir colons et missionnaires jusque dans les années 1950 où les premiers clivages entre la colonisation et l’élite tutsi commencent à se manifester. La deuxième phase, celle de la victimisation et du rejet du hamite-tutsi, prend alors le relais et va durer à son tour un peu moins de cinquante ans si l’on considère que la prise du pouvoir par le Front patriotique rwandais (FPR) en 1994 et la mise sur pied d’un gouvernement d’union nationale mettaient fin, du moins officiellement, au contre-mythe batu-hutu.
Il existe en effet, dans toutes les cultures, des mythes fondateurs dont le récit est destiné à célébrer l’origine généralement prestigieuse d’un peuple, à affirmer son identité face aux autres et à en cimenter l’unité. Au Rwanda, ce rôle a été joué par les mythes de Kigwa et Gihanga et nul ne pouvait détruire l’édifice de rwandité qu’ils avaient créé qu’à la condition expresse de procéder à leur déconstruction.
L’étude qui suit va montrer, dans un premier temps, comment fonctionnent les mythes originels comme discours symbolique de fondation d’un ordre ou d’explication de phénomènes survenus in illo tempore, dans les temps fabuleux des commencements. Ensuite, il sera question des mythes fondateurs de Kigwa et de Gihanga et de la façon L’analyse abordera enfin les mécanismes utilisés pour la déconstruction de ces mythes, d’abord par l’idéologie raciale diffusée par le colon et le missionnaire. Le résultat en fut la création de nouveaux mythes générant de nouvelles identités dites «ethniques » construites sur les ruines des mythes traditionnels d’origine et des croyances diverses qui les accompagnaient. Cette entreprise de démolition des valeurs — et cela s’est passé de la même façon dans les pays d’Afrique noire, mais plus profondément chez nous — a sapé les fondements socioculturels, politiques et économiques de notre peuple en le rendant ainsi inapte à poursuivre une évolution sociohistorique normale, à penser son avenir
ainsi que son être-au-monde de façon autonome. Cette plaie constamment rouverte par le néocolonialisme a continué à traumatiser ce même peuple longtemps après son indépendance et ses effets dévastateurs se
ressentent jusqu’aujourd’hui.
C’est ce phénomène que nous avons qualifié de génocide culturel et dont les conséquences furent la cristallisation des esprits autour d’une rivalité ethnique traumatique qui a, à son tour, favorisé l’émergence de différences artificielles et conflictuelles. Tout cela allait aboutir à l’explosion finale de la société rwandaise avec le génocide de 1994. On peut donc postuler que si les pays occidentaux qui ont dominé le Rwanda durant la colonisation et après ne peuvent être directement tenus pour responsables du génocide de 1994, ils restent cependant les auteurs du premier génocide qui a rendu le second bien plus facile : le génocide culturel1
.
Le génocide, cette violence extrême, reste un phénomène insaisissable du moins lorsqu’on tente de l’appréhender dans sa globalité. Audelà de la folie d’un État gangster qui organise l’holocauste de ses propres citoyens, il y a cette joie sadique, cette jubilation dans le crime accompagnée de raffinement dans la torture et de déferlement des passions les plus inavouables qui défient tout entendement. On remarque
en effet qu’à la perversion d’« en haut » (politique) répond avec une spontanéité étonnante une monstruosité d’« en bas» (populaire). Renonçant à toute explication rationnelle face à une aussi tragique dérive de l’esprit humain, beaucoup de chercheurs perplexes recourent à des expressions comme «une sidération de la pensée », « un trou noir», «un lieu de béance et de mystère» (Semelin, 2003: 165). Le phénomène semble relever davantage de la psychiatrie que de la politique qui, pourtant, le met en branle
D’autres explications tendent à faire intervenir des puissances occultes en convoquant des notions comme le mythe satanique ou les fantasmes du « dormeur» potentiellement monstrueux qui sommeille en chaque individu. Mais quelle que soit l’approche choisie, on s’aperçoit aussitôt qu’elle reste fatalement partielle
Parmi d’autres tentatives générées par ce vide de la pensée, il y a le recours à un bouc émissaire externe : l’Occident, père et vecteur dans le monde de l’État moderne jugé comme un préalable pour l’accouchement du monstre. Les tenants de cette opinion évoquent en même temps le temps idyllique où nos peuples encore libres vivaient en harmonie avant l’arrivée de l’homme blanc. Mais cette tendance à rendre autrui comptable de ses propres turpitudes est considérée par certains comme presque pathologique. Elle sert d’alibi trop facile pour voiler l’incapacité de l’homme noir à faire face à son destin.Tout homme adulte, toute organisation autonome ou supposée telle doivent être tenus pour responsables de leurs propres actes. Le génocide, survenu plus de quarante ans après la décolonisation, ne semble donc laisser aucune chance à ce recours aux méthodes de l’autruche
Toutefois on ne peut trouver d’explication satisfaisante à la plupart des tribulations que traverse l’Afrique actuelle en ignorant le tsunami colonialo-missionnaire qui s’est abattu sur le continent. Ce terrible accident de l’histoire a détruit les socles culturels et, partant, les équilibres et les pactes sociaux qui cimentaient les relations entre les comm unautés traditionnelles