Certes, le sujet, ta pensée exprime une sphère de possibilités aprioriques, cependant je n'arrive pas à déterminer dans quelles synthèses le sens de l'alter ego se forme en moi
Personne ici n'arrive à te percevoir en tant que sujet absolu comme je le suis moi-même
As-tu bien pris la peine, non seulement de porter des jugements, mais surtout de les fonder ?
Ton programme phénoménologique manque de radicalité, aussi je dois te demander de t'éclipser dans l'attente d'un vrai projet de philosophie transcendantale
Je te porte des marques d'empathie, néanmoins
Pierre Thévenas63 parle à propos des trois ouvrages, Idées directrices pour une phénoménologie et une philosophie phénoménologique pures, Méditations cartésiennes et La Crise des sciences européennes et la phénoménologie transcendantale : de « trilogie de la phénoménologie transcendantale ». L'idée de transcendantal recouvre chez Husserl un domaine plus large que dans son sens classique. Il y a du « transcendantal » toutes les fois où il est question de l'ultime source de la connaissance à savoir : « l'auto-méditation du sujet connaissant »64. « Cette expression concerne la « vie de la conscience » au sein de laquelle se met en place le monde « pré-donné » y compris l'être du philosophe comme homme de ce monde [...] et qui précède toute mondanéité comme sa condition de possibilité », que la réduction a pour objet de suspendre, note Eugen Fink65. « L'idée d'une phénoménologie transcendantale, d'un idéalisme transcendantal passant par le chemin de la réduction phénoménologique trouve sa première expression publique dans les Cinq conférences qui portent le titre de L'idée de la phénoménologie », écrit Paul Ricœur66.
Renaud Barbaras34 écrit : « les Ideen I tentent d'expliciter le passage de l'épochè (ou Réduction phénoménologique) au transcendantal, c'est-à-dire de montrer que le résidu de l'épochè est bien la conscience ». Avec la « subjectivité transcendantale, on dépasse le traditionnel problème de la transcendance, c'est-à-dire du lien entre la conscience et son objetN 6, que Husserl qualifie de faux problème. Si problème il y a, cela viendrait d’abord de la méconnaissance de la vraie nature de la subjectivité, qui est transcendantale et non mondaine67. Pour lui, tout objet pensable reste selon les principes de la constitution transcendantale une formation de sens de la subjectivité pure.
Certes, le sujet, ta pensée exprime une sphère de possibilités aprioriques, cependant je n'arrive pas à déterminer dans quelles synthèses le sens de l'alter ego se forme en moi
Personne ici n'arrive à te percevoir en tant que sujet absolu comme je le suis moi-même
As-tu bien pris la peine, non seulement de porter des jugements, mais surtout de les fonder ?
Ton programme phénoménologique manque de radicalité, aussi je dois te demander de t'éclipser dans l'attente d'un vrai projet de philosophie transcendantale
Je te porte des marques d'empathie, néanmoins
Après les Ideen I qui en donnait une première formulation, c'est dans son livre Leçons pour une phénoménologie de la conscience intime du temps49 que Husserl expose l'essentiel de sa compréhension de l'essence du temps. Husserl y délaisse le temps objectif pour s'intéresser au temps apparaissant à la temporalité vécue. Dans la « constitution » du temps objectif Husserl va distinguer trois niveaux qu'il fait dériver les uns des autres en vertu d'un rapport de fondation écrit Renaud Barbaras50. Comme le note Rudolf Bernet51, la question relative à l'essence du temps est immédiatement détournée vers la question de son origine, elle-même axée sur « les formations primitives de la conscience du temps », dont il se propose de comprendre les modalités de constitution. Mettre en évidence cette constitution consiste à remonter du temps immanent, apparaissant, à son mode d'apparition, c'est-à-dire aux vécus spécifiques en lesquels se constitue l'apparaître du temps52,N 4. De cette approche il ressort plusieurs découvertes fondamentales à savoir :
« Le temps n'est pas simplement un objet de la conscience, parmi les autres, mais la conscience est elle-même intrinsèquement structurée de façon temporelle; voire même que le temps joue un rôle primordial dans l'auto-constitution du « flux absolu de la conscience » » écrit Alexander Schnell53.
L'analyse phénoménologique fait percevoir l'unité de la conscience qui embrasse à la fois le présent et le passé, note Gérard Granel54. Par le jeu de la rétention le « maintenant » est systématiquement accompagné de la conscience du « tout-juste-passé ».
Husserl introduit la notion de « tempo-objet », qui ne sont pas de l'ordre du perçu mais qui ont pour fonction de manifester l'unité d'une durée (une mélodie par exemple), à partir de laquelle il va tirer sa compréhension de ce qu'il appelle la « conscience constitutive du temps »55.
PAZAXE EN VOLITION POUR ENT ENT ENT ENT !!!!!!!!!!!!
En rupture avec les thèses issues du positivisme et de l'empirisme Husserl s'intéresse à la manière dont chaque objet se constitue dans notre regard. Le mode de constitution des essences de choses le conduit dès le début à considérer la possibilité d'une « science éidétique », note Jean-François Lyotard56. Dans la pensée de Husserl, « l'essence n'est pas définie seulement comme « quiddité », ce que la chose est (son quid), mais comme la condition nécessaire de possibilité de certaines déterminations : c'est ce sans quoi tels contenus disparaîtraient. Tout ce qui appartient à l'essence d'un individu, un autre individu peut le posséder » écrit Renaud Babaras57. La notion d'essence est à distinguer de généralités purement inductives telles que lion, chaise, étoile selon les exemples qu'en donne Emmanuel Levinas58.
La véritable connaissance est la connaissance des « essences », c'est-à-dire de ce qui demeure invariant dans les modifications de perspectives que l'esprit a sur les choses. En effet, tout objet a ses déterminations d'après la perspective de la conscience ; l'objet vécu ne sera donc donné en totalité que par la synthèse totale des points de vue. Ainsi, pour décrire la structure des phénomènes, encore faut-il que la conscience perçoive, par l'intuition, ces essences.
Avec la « réduction éidétique », la phénoménologie devient une science des « essences », note Emmanuel Housset59. Ce n'est plus l'expérience seule qui donne la chose même, celle-ci pense Husserl, demande la mise en œuvre de connaissances a priori qui ne sont pas seulement antérieures à l'expérience mais qui sont, comme chez Kant, indépendantes de l'expérience. Cet a priori est ancré dans ce que Husserl appelle une intuition ou, « éidétique » spécifique qui nous met en présence d'essences universelles (par exemple le coq, le nombre deux, l'objet en général), de la même façon que l'intuition sensible nous met en présence d'objets individuels (comme une chose jaune particulière, une paire d'objets particuliers)N 5. « La connaissance a priori n'est plus une connaissance déterminée par son antériorité vi-à-vis de toute connaissance d'objet, mais est une connaissance de l'être même des choses » écrit Emmanuel Housset60. L'intuition de l'essence sera au même titre que l'intuition de l'individu conscience de quelque chose qui est donné en personne dans cette intuition57.
Ainsi conçue, la « science éidétique » est d'abord une « description qui vise à rendre raison de l'essence d'un phénomène à partir de la série des variations dont est susceptible son appréhension »61. Husserl aspire ensuite à construire une science des essences par quoi l'être des choses, et de toutes les choses, nous serait donné. Il découvre « les lois éidétiques qui guident toute connaissance empirique [...] Il distinguera hiérarchiquement et en partant de l'empirique 1/ les essences matérielles (celles de vêtement par exemple) étudiées par des ontologies ou sciences éidétiques matérielles-2/ les essences régionales (objet culturel) coiffant les précédentes- 3/ enfin l'essence d'objet en général »56. Or, l'intuition de l'essence est au même titre que l'intuition de l'individu conscience de quelque chose qui est donné en personne dans cette intuition57.
Jean-François Lyotard62 résume ainsi les conclusions importantes de cette première étape : « À chaque science empirique correspond une science éidétique concernant l'« eidos » régional des objets étudiés par elle, la phénoménologie elle-même est à cette étape définie comme science éidétique de la région conscience ; en d'autres termes dans toutes sciences empiriques de l'homme se trouve impliquée nécessairement une essence de la conscience »
Je suis un gros inculte en politique les kheys mais le sujet commence a m'intéresser en tant que pyj du Lycée (pas tapé )
Mais le gens anti nucléaire sont de gauche car écologiste anticapitaliste et les gens de droite sont anti vaccin covidiste car c'est anti libérale donc contre le libéralisme politique non ???
Mais du coup si ont il y a des gens pros nuc et pros vax et des gens anti vax et anti nuc en meme temps par exemple, eux ils sont quoi ils sont centriste ou un truc similaire non ???
Oui je sis mon orthographe est éclaté a mort mais là je suis en pleine nuit blanche donc je tape comme un bourrin les clés, le sommeil m'attaque ce soir !!!!
Le 16 juillet 2021 à 22:52:59 :
Faut faire le second tour maintenant, histoire de se marrer en voyant tous les gauchistes voter Le Pen pour faire barrage à Zemmour
Je ne suis pas le créateur de ce topic khey , j'ai juste up car je le trouvait assez marrant dans ces choix a voté c'est tout !!!
Le 16 juillet 2021 à 22:48:42 :
Futuriste CheminadeLe Pen perso
J'avoue khey !!!