Le 31 août 2021 à 01:55:37 :
Le 31 août 2021 à 01:53:47 :
Le 31 août 2021 à 01:45:44 :
Le 31 août 2021 à 01:42:53 :
Sans vouloir encourager le troll, on peut quand même reconnaître que les sites web s'éloignent de plus en plus des notions de performance au profit de fonctionnalités qui sont souvent assez anecdotiques. Et les frameworks JS participent de cette tendance.C'est quand même terrible que sur un téléphone un peu ancien tu peines à charger beaucoup de sites...
Je ne suis pas d'accord.
C'est pas le langage qui créé la demande de fonctionnalité, c'est l'inverse.
Et heureusement qu'on a choisi d'implémenter ça côté client, sinon on dépenserait le double pour faire tourner nos applis.
Je suis bien d'accord que la demande de certaines fonctionnalités dirigent la conception du "langage" (du framework en fait). Mais à vouloir toujours rajouter des fonctionnalités, on se retrouve avec des monstres qui paraissent propres au premier abord, mais qui en fait sont un gouffre à perf.
C'est d'ailleurs bizarre que le web suive cette tendance alors que c'est plutôt l'inverse dans le reste du monde du développement.
ouais, et donc la faute à qui ? aux clients demandeurs ou aux technos ?
c'est la demande qui est complexe et qui fait qu'on est obligés d'avoir recours à des technologies front de plus en plus lourdes. rien d'autre.
et c'est bien pour ça que le web actuel ne fonctionnerait absolument pas sans ces technos, n'en déplaise aux puristes qui sont totalement dépassés par les événements.
Le "client demandeur" c'est un mythe. VueJS a été fait parce qu'un mec trouvait Angular trop compliqué. Angular a été créé au départ pour gérer les JSON, mais c'est très vite devenu juste le framework utilisé par Google.
Le 31 août 2021 à 01:45:44 :
Le 31 août 2021 à 01:42:53 :
Sans vouloir encourager le troll, on peut quand même reconnaître que les sites web s'éloignent de plus en plus des notions de performance au profit de fonctionnalités qui sont souvent assez anecdotiques. Et les frameworks JS participent de cette tendance.C'est quand même terrible que sur un téléphone un peu ancien tu peines à charger beaucoup de sites...
Je ne suis pas d'accord.
C'est pas le langage qui créé la demande de fonctionnalité, c'est l'inverse.
Et heureusement qu'on a choisi d'implémenter ça côté client, sinon on dépenserait le double pour faire tourner nos applis.
Je suis bien d'accord que la demande de certaines fonctionnalités dirigent la conception du "langage" (du framework en fait). Mais à vouloir toujours rajouter des fonctionnalités, on se retrouve avec des monstres qui paraissent propres au premier abord, mais qui en fait sont un gouffre à perf.
C'est d'ailleurs bizarre que le web suive cette tendance alors que c'est plutôt l'inverse dans le reste du monde du développement.
Sans vouloir encourager le troll, on peut quand même reconnaître que les sites web s'éloignent de plus en plus des notions de performance au profit de fonctionnalités qui sont souvent assez anecdotiques. Et les frameworks JS participent de cette tendance.
C'est quand même terrible que sur un téléphone un peu ancien tu peines à charger beaucoup de sites...
Les gens qui trouvent que PHP c'est truc qui existera plus dans 20 ans...
Dans le domaine de l'assurance/banque, tout tourne encore sur du mainframe, avec des langages comme COBOL, JCL, REXX. C'est même très courant d'avoir des assembleurs à décommissionner. Il y a des bouts de code qui ont plus de 50 ans.
PHP a encore de très beaux jours devant lui.
Le 28 janvier 2021 à 23:20:39 FafaChaud a écrit :
Le 28 janvier 2021 à 23:17:28 [[_Yana_]] a écrit :
cela ne se fera pas du jour au lendemain et l'économie passera d'elle-même à un autre mode de croissance
Bah vas y explique nous lequel. T'es le seul à être en mode fantasme là, tu contredis rien.
Qu'est-ce que j'en sais ? Je ne joue pas à prédire l'avenir. En revanche, je connais l'histoire économique. Et c'est toujours ce qu'il s'est passé : l'économie s'adapte spontanément grâce au jeu de l'offre et de la demande. Je ne vois pas pourquoi ce serait différent.
Quand le mildiou (entre autre) a détruit les cultures de pommes de terre en Irlande à partir du milieu du 19ème, on a bien vu l'adaptation du marché. Baisse de la population de moitié : 1 millions de morts et 3 millions d'émigrés.
Quand toute les zones tropicales terrestres deviendront inhabitables à cause de l'augmentation de la chaleur de l'humidité et qu'on aura 1 milliard d'émigrés climatiques, tu penses que l'économie s'adaptera spontanément ?
Le 28 juillet 2018 à 23:36:59 braspetit a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:34:11 Tiferod a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:30:25 braspetit a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:27:48 Tiferod a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:24:47 coltranejohn a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:18:58 Tiferod a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:10:37 coltranejohn a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:07:31 Tiferod a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:00:47 coltranejohn a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 22:55:47 Tiferod a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 22:48:02 coltranejohn a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 22:44:18 Tiferod a écrit :
Et on sait qu'une baisse des prix est toujours dangereuse car elle sape la confiance et les ménages repoussent leurs achats afin d'acheter moins cher plus tard
Arrêtons avec ce fantasme de l'économie classique, la plupart des gens ne réfléchissent pas comme ça. La déflation sectorielle n'est pas un problème en soi (on pourrait peut-être discuter si elle est généralisée, mais même là, si c'est faible ce n'est pas un problème).
C'est assez caricatural de tout mettre sur les taux d’intérêts, mais encore une fois, c'est la réponse des économistes classiques sur le sujet, qui refuse de changer de prisme. Surtout en ce qui concerne la création monétaire et sa créatrice, la dette.Peut-être que les économistes classiques refusent de changer de prisme parce que justement ce n'est pas une caricature
Effectivement, en achetant tes brioches le samedi tu ne vas pas attendre le mois suivant espérant gagner 2 centimes, mais là on parle d'indicateurs macro-économiquesDans le monde réel, il n'y a pas de différence entre une inflation de 1% et une déflation de 1%. La quasi totalité des individus ne prennent pas de décisions à partir de ces données là.
Et croire que l'inflation du secteur de l'immobilier est due à des taux d'intérêts... Marginalement oui, mais le secteur immobilier a toujours été et restera (tant que des mesures politiques comme un encadrement des prix ne seront pas mises en place) une bulle, quelques soient les taux d'intérêt.Le problème c'est que tu me parles de déflation sectorielle, qui peut effectivement ne peut être dangereuse si contenue à quelques produits d'un secteur particulier, peu dangereuse à condition que la demande augmente suite à cette baisse de prix.
La on parle d'une déflation immobilière.Edit : libre à toi de croire que la déflation immobilière n'est pas dangereuse
Mais n'importe qui reporterait son achat si on peut gagner 10% du prix en un an d'attente.10% de déflation sur le secteur de l'immobilier ? Quand est-ce que tu as vu ça ? A part pendant la crise de 2008 bien sûr (mais ce n'était pas sa cause dans tous les cas).
10% c'est extrème je te l'accorde.
Mais on parle ici d'une remontée brutale des taux (ne serait ce que de 200pb).
Beaucoup de ménages reporteraient leur achat pour gagner 4% sur le prix (scénario plus réaliste en lien avec le krach obligataire de 200pb, krach réaliste et possible à court terme par ailleurs).Même si beaucoup de ménages reportaient leurs achats, l'impact serait minime. La situation n'a clairement rien à voir avec celle des USA en 2007, où beaucoup d'américains étaient dans un système de refinancement, à la limite du Ponzi.
Edit : Et dans tous les cas, la BCE est loin de remonter ses taux d'intérêts.
Fin du QE fin décembre, puis première remontée des taux à l'été 2019
Dans 1 an çà commencehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501187858-risitassebestreup.png Oui, mais ce sera pas 2% d'un coup comme en fait l'hypothèse l'article qui a été link. C'est pas la BCE qui va se précipiter, ça on peut en être sûr.
Comment l'Italie elle s'en sort si ses taux montent ? Ils sont déjà à 2.7% sur le dix ans.
Si c'est vraiment insoutenable, ils vont vouloir restructurer et ça va pas plaire à Juncker, je suis bien d'accord. Mais la majorité de la dette italienne est nationale, donc ce ne serait pas un si gros problème que ça.
Ça fait juste exploser la zone Euro.
On en est là, de plus le gentil Mario Draghi risque de laisser la place au super-faucon Jens Weidmann qui est contre les QE et qui voulait sortir les grecques de la zone Euro en 2011 et 2014.
Si c'est lui qui est nommé à la place de Mario, c'est fini.
Même lui n'est pas assez fou pour tenter ça avec l'Italie. Si l'Italie insiste pour restructurer, surtout de façon nationale, l'Europe sera obligé d'accepter. C'est pour ça que les résultats des élections ont fait peur à la crique de Bruxelles.
Le 28 juillet 2018 à 23:30:25 braspetit a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:27:48 Tiferod a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:24:47 coltranejohn a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:18:58 Tiferod a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:10:37 coltranejohn a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:07:31 Tiferod a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:00:47 coltranejohn a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 22:55:47 Tiferod a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 22:48:02 coltranejohn a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 22:44:18 Tiferod a écrit :
Et on sait qu'une baisse des prix est toujours dangereuse car elle sape la confiance et les ménages repoussent leurs achats afin d'acheter moins cher plus tard
Arrêtons avec ce fantasme de l'économie classique, la plupart des gens ne réfléchissent pas comme ça. La déflation sectorielle n'est pas un problème en soi (on pourrait peut-être discuter si elle est généralisée, mais même là, si c'est faible ce n'est pas un problème).
C'est assez caricatural de tout mettre sur les taux d’intérêts, mais encore une fois, c'est la réponse des économistes classiques sur le sujet, qui refuse de changer de prisme. Surtout en ce qui concerne la création monétaire et sa créatrice, la dette.Peut-être que les économistes classiques refusent de changer de prisme parce que justement ce n'est pas une caricature
Effectivement, en achetant tes brioches le samedi tu ne vas pas attendre le mois suivant espérant gagner 2 centimes, mais là on parle d'indicateurs macro-économiquesDans le monde réel, il n'y a pas de différence entre une inflation de 1% et une déflation de 1%. La quasi totalité des individus ne prennent pas de décisions à partir de ces données là.
Et croire que l'inflation du secteur de l'immobilier est due à des taux d'intérêts... Marginalement oui, mais le secteur immobilier a toujours été et restera (tant que des mesures politiques comme un encadrement des prix ne seront pas mises en place) une bulle, quelques soient les taux d'intérêt.Le problème c'est que tu me parles de déflation sectorielle, qui peut effectivement ne peut être dangereuse si contenue à quelques produits d'un secteur particulier, peu dangereuse à condition que la demande augmente suite à cette baisse de prix.
La on parle d'une déflation immobilière.Edit : libre à toi de croire que la déflation immobilière n'est pas dangereuse
Mais n'importe qui reporterait son achat si on peut gagner 10% du prix en un an d'attente.10% de déflation sur le secteur de l'immobilier ? Quand est-ce que tu as vu ça ? A part pendant la crise de 2008 bien sûr (mais ce n'était pas sa cause dans tous les cas).
10% c'est extrème je te l'accorde.
Mais on parle ici d'une remontée brutale des taux (ne serait ce que de 200pb).
Beaucoup de ménages reporteraient leur achat pour gagner 4% sur le prix (scénario plus réaliste en lien avec le krach obligataire de 200pb, krach réaliste et possible à court terme par ailleurs).Même si beaucoup de ménages reportaient leurs achats, l'impact serait minime. La situation n'a clairement rien à voir avec celle des USA en 2007, où beaucoup d'américains étaient dans un système de refinancement, à la limite du Ponzi.
Edit : Et dans tous les cas, la BCE est loin de remonter ses taux d'intérêts.
Fin du QE fin décembre, puis première remontée des taux à l'été 2019
Dans 1 an çà commencehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501187858-risitassebestreup.png Oui, mais ce sera pas 2% d'un coup comme en fait l'hypothèse l'article qui a été link. C'est pas la BCE qui va se précipiter, ça on peut en être sûr.
Comment l'Italie elle s'en sort si ses taux montent ? Ils sont déjà à 2.7% sur le dix ans.
Si c'est vraiment insoutenable, ils vont vouloir restructurer et ça va pas plaire à Juncker, je suis bien d'accord. Mais la majorité de la dette italienne est nationale, donc ce ne serait pas un si gros problème que ça.
Le 28 juillet 2018 à 23:24:47 coltranejohn a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:18:58 Tiferod a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:10:37 coltranejohn a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:07:31 Tiferod a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 23:00:47 coltranejohn a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 22:55:47 Tiferod a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 22:48:02 coltranejohn a écrit :
Le 28 juillet 2018 à 22:44:18 Tiferod a écrit :
Et on sait qu'une baisse des prix est toujours dangereuse car elle sape la confiance et les ménages repoussent leurs achats afin d'acheter moins cher plus tard
Arrêtons avec ce fantasme de l'économie classique, la plupart des gens ne réfléchissent pas comme ça. La déflation sectorielle n'est pas un problème en soi (on pourrait peut-être discuter si elle est généralisée, mais même là, si c'est faible ce n'est pas un problème).
C'est assez caricatural de tout mettre sur les taux d’intérêts, mais encore une fois, c'est la réponse des économistes classiques sur le sujet, qui refuse de changer de prisme. Surtout en ce qui concerne la création monétaire et sa créatrice, la dette.Peut-être que les économistes classiques refusent de changer de prisme parce que justement ce n'est pas une caricature
Effectivement, en achetant tes brioches le samedi tu ne vas pas attendre le mois suivant espérant gagner 2 centimes, mais là on parle d'indicateurs macro-économiquesDans le monde réel, il n'y a pas de différence entre une inflation de 1% et une déflation de 1%. La quasi totalité des individus ne prennent pas de décisions à partir de ces données là.
Et croire que l'inflation du secteur de l'immobilier est due à des taux d'intérêts... Marginalement oui, mais le secteur immobilier a toujours été et restera (tant que des mesures politiques comme un encadrement des prix ne seront pas mises en place) une bulle, quelques soient les taux d'intérêt.Le problème c'est que tu me parles de déflation sectorielle, qui peut effectivement ne peut être dangereuse si contenue à quelques produits d'un secteur particulier, peu dangereuse à condition que la demande augmente suite à cette baisse de prix.
La on parle d'une déflation immobilière.Edit : libre à toi de croire que la déflation immobilière n'est pas dangereuse
Mais n'importe qui reporterait son achat si on peut gagner 10% du prix en un an d'attente.10% de déflation sur le secteur de l'immobilier ? Quand est-ce que tu as vu ça ? A part pendant la crise de 2008 bien sûr (mais ce n'était pas sa cause dans tous les cas).
10% c'est extrème je te l'accorde.
Mais on parle ici d'une remontée brutale des taux (ne serait ce que de 200pb).
Beaucoup de ménages reporteraient leur achat pour gagner 4% sur le prix (scénario plus réaliste en lien avec le krach obligataire de 200pb, krach réaliste et possible à court terme par ailleurs).Même si beaucoup de ménages reportaient leurs achats, l'impact serait minime. La situation n'a clairement rien à voir avec celle des USA en 2007, où beaucoup d'américains étaient dans un système de refinancement, à la limite du Ponzi.
Edit : Et dans tous les cas, la BCE est loin de remonter ses taux d'intérêts.
Fin du QE fin décembre, puis première remontée des taux à l'été 2019
Dans 1 an çà commencehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501187858-risitassebestreup.png
Oui, mais ce sera pas 2% d'un coup comme en fait l'hypothèse l'article qui a été link. C'est pas la BCE qui va se précipiter, ça on peut en être sûr.