https://mym.fans/feed.php?media=6170180&idg=a1f0abbb9870878c2f17ee8ac70ba0f2
On dirait un clip de campagne de la France Insoumise
Xavier, Tours, français de souche, routier, tatoué « Propriété de Reine Fatima » en bas du dos, obèse
Selon une source parisienne, Reine Fatima ne serait pas maghrébine mais plutôt portugaise
Voici son compte Vends-ta-culotte
https://www.vends-ta-culotte.com/user/145051/goddessfatima
https://mobile.twitter.com/FatimaRokia/status/1367057789105950723
https://mobile.twitter.com/FatimaRokia/status/1367121712307965954
La pause midi d'un DRH moyen d'une banque d'affaires
C’est eux qui vous refusent en stage sachez-le
Non sérieusement lui ce n’est pas « Pupute » (qui le soumis principal de Reine Fatima), mais Bob, un soumis occasionnel :
Pupute = le gros = le routier (Xavier W****e de Tours)
Bob = le maigrichon cagoulé = le plombier
Mais ils sont loin de Porcinet, le soumis de Maîtresse Medusa, pour ceux qui connaissent
https://twitter.com/XavierWacongne/status/1261316697551704064/video/1
ça me fume, "ta vraiment un bon cul de chienne" on dirait un vieux porno fr
Taper dans le même trou que son père
La concurrence père / fils
Les combats de regard à table pendant que belle maman est en sueur en se disant qu’elle se tape les deux
Y’a du bon Brazzers dans ce genre là en Algérie
Ma mère infusait des herbes napolitaines dans une petite tasse de porcelaine. Mon père lisait les caractères noirs de Valeurs actuelles ; la chronique d'André Bercoff, plus précisément, sur le malaise des banlieues.
J'entrai dans le salon à pas feutrés. Mon père leva la tête. Par-dessus la monture de ses lunettes il me jeta un regard inquisiteur. Je ne pu soutenir le bleu de ses yeux dont la plissure inquiète accompagnait, quand nous eûmes été plus jeunes, une pluie de coups. L'horloge en pied murmurait par ses entrailles un son régulier pareil à celui d'un métronome.
Je tonnai d'une voix d'airain qu'une annonce devait leur être faite. Ma mère trempa ses lèvres dans le thé comme pour se donner le courage. Mon père inspira lourdement par son nez droit. « Je t'écoute ». Une chaleur électrique du ventre irradia mon tronc. « J'aime les femmes en chair ». Je prononçai ces mots graves alors que le poids coupable quittât mon cœur serré.
Mon père bondit et colla presque son visage au mien. « Tu aimes les BBW ? » interrogea-t-il. À cet odieux spectacle ma mère sanglota. Ses larmes féminines coulèrent dans la tasse. « Oui. Je les aime, père. Comme je vous aimais quand vous ne fussiez pas fâché. Le temps ensommeille les corps. Père, vous ne m'effrayez plus. Adieu ». Je bondis hors du salon, les bras au vent, la redingote bâillante. Nous étions libres de nos passions.