Le 22 octobre 2024 à 15:45:28 :
Pourtant c'est le meilleur moment, y a rien à faire, il pleut, il fait froid.
Et ca permet de s'aérer la tête durant la période morose, en plus y a souvent moins de gens à la salle (sauf Janvier) donc c'est plutôt cool.
On préfère manger khey, on a la flemme, il fait froid, se déshabiller est un calvaire
La pluie est une horreur
Le froid une damnation
Le 22 octobre 2024 à 15:46:13 :
[15:44:31] <Teddislexique>
moi c'est plutôt niveau motivation que c'est dur, quand tu dois faire du sport en sortant du taff alors qu'il fait déjà nuitvoila ca c'est mort
le sport en hiver c'est maxi reduit perso
Le footing le matin il fait nuit
le sport le soir il fait nuit
Le 22 octobre 2024 à 15:43:23 :
Ta piscine municipale est ensevelie sous la neige chaque hiver ?https://image.noelshack.com/fichiers/2020/10/5/1583503950-ahi.png
Le 22 octobre 2024 à 15:45:01 :
go piscine le gros lar
J'ai juste pas 7 oros a claqué chaque jour pour faire longueurs kheys
Le 22 octobre 2024 à 15:43:15 :
Perso c'est le contraire et je préfère.
Le froid me donne plus d'énergie et je crame beaucoup plus.
En général je perds entre 2 et 5 kilos pendant l'hivers.
La chance moi c'est en été que je performe
Le froid me tétanise
Je fais mon footing du matin à contre coeur et avec une combi de sudation + combi néoprène pour pas avoir froid
Le 22 octobre 2024 à 15:42:16 :
Tu te cherches des excuses
Non ce sont des Facts
Le 22 octobre 2024 à 10:52:39 :
Ce fier électeur RN
J'ai voté Blanc
Le 22 octobre 2024 à 10:55:09 :
100% c'est le meme khey qui s'enfonce ces insectes dans la foret
Non ce n'est pas moi
Le 22 octobre 2024 à 10:46:49 :
Le 22 octobre 2024 à 10:32:43 :
Tu peut jouer a docteur maboul avec ton cul ?
Je pense que tu dois rarement sonnerAh putain j'ai hurlé.
Moi aussi mais de rage
Ensuite, viens l'étape administrative. C'est là que ça devient marrant. T’as un rendez-vous avec un médecin-conseil de la Sécurité sociale. Le gars, c’est un robot. Il en a vu d’autres, des cas. Moi, j’arrive avec mon dossier médical bien épais, un peu de honte dans les yeux.
Il te pose des questions du genre : Depuis combien de temps avez-vous ces symptômes ? Alors tu lui dis la vérité, ou presque : Depuis que je me suis ruinée le fondement avec des gourdins géants pour adultes.
Tu vois son sourcil qui se soulève, mais il se force à pas juger. Il tape ça sur son clavier comme s'il parlait d’un rhume. Professionnel, qu’il est.
Pertes de contrôle sphinctérien : incapacité à retenir selles et urines. Il me regarde à peine et continue, Ces dommages sont-ils irréversibles selon votre spécialiste ? Alors je lui sors le rapport du gastro. J’avais préparé mon dossier, Incontinence sévère, usage permanent de protections. Il lit ça sans broncher, ce fils de flute, comme si c’était juste une formalité. Puis il me balance la question qui tue : Est-ce que ces lésions vous empêchent de travailler ?Je lui réponds : 'Je peux pas rester assis plus de deux heures sans que ça déborde et je passe ma vie à changer de couches, qu’est-ce que tu crois ?!
Là, il hoche la tête et continue de taper. Taper. Taper.
Et là, on en arrive à la meilleure partie. La commission. Des bureaucrates assis autour d'une table, jugeant de ta misère comme s’ils étaient au tribunal. Moi, je suis là, à essayer de pas suinter sur leur chaise.
Le médecin-conseil leur fait son rapport : Monsieur xxxxx souffre d’incontinence anale et urinaire sévère suite à des pratiques sexuelles extrêmes. Les lésions sont irréversibles. Il ne peut plus exercer d’activité professionnelle en raison de son état. Et tu vois les types en face, ils prennent des notes.
Deux semaines plus tard, je reçois la réponse. Là, je me dis que c’est fini, que je vais devoir faire avec. Eh ben non. Nous avons le plaisir de vous informer que votre demande d'AAH a été acceptée. Plaisir ? Ils ont le plaisir de me filer de l’argent parce que j’ai foutu ma vie en l'air avec un dildo géant. C’est pas du foutage de gueule, ça ? 913 euros par mois. Voilà ce que ça vaut de se détruire le cul en France.
Le 22 octobre 2024 à 10:31:00 :
l'op a fini le jeu
Au début, c’était rien, un petit jeu, tu vois ? Un doigt, deux doigts, normal, presque sage. Et puis, comme une putain de drogue, t’en veux plus. Tu te dis, 'Mais c’est quoi la limite ? Jusqu’où je peux aller ?' Alors t’enfonces plus gros, toujours plus gros, pour voir, pour sentir quelque chose, n’importe quoi !
La première fois que j’ai pris ce truc de trente centimètres, j’ai eu l’impression que mes entrailles explosaient. Mais j’ai continué ! Parce que là, c’était trop tard. J’étais déjà mort à l’intérieur. Rien n’a plus de sens à ce stade. Plus c’est énorme, plus c’est sale, mieux c’est. Alors j’ai cherché des monstres. Des gourdins, des machins en plastique tellement gros que quand tu les sors de l’emballage, tu te demandes si c’est fait pour des humains ou pour des putains d’animaux
Et puis, j’ai trouvé ce jouet decinquante centimètres. C’est pas un jouet, c’est une arme de guerre ! Mais ça m’excitait juste de l’imaginer en moi, comme si c’était la seule façon de me sentir encore vivant. Je me suis empalé dessus, encore et encore, jusqu’à ce que mon cul crache du sang. T’as déjà senti tes entrailles se tordre de douleur tellement c’est profond, tellement c’est monstrueux
J’ai poussé, je l’ai enfoncé encore plus, comme un fou. Et c’est là que tout a lâché. J’ai entendu un bruit, un craquement dégueulasse, comme si mon corps hurlait : 'C’est fini, connard, t’as tout pété !' J’étais là, les jambes écartées, baignant dans mon propre sang, en train de me chier dessus sans pouvoir m’arrêter. Plus de contrôle. C’était foutu. Définitivement.