Le 24 juin 2024 à 16:44:09 :
Elles votent pour ca
Pas faux. Du coup, peut-être qu'elles vont changer d'avis et swipe LEFT sur les maghrebix de Tinder
Pourquoi n'arrivez-vous pas à comprendre qu'il n'y a rien à comprendre à part de vouloir dégager toute la racaille de cité et les profiteurs de clandestins?
Vivement le 7 juillet!
TAHIA BARDELLA!
Le 24 juin 2024 à 16:25:50 :
Quand vous votez pour Bardella, par exemple, quand vous vous rendrez compte que l’immigration n’était pas un si gros problème. Économiquement, c’est quoi qui vous plaît ?
Aucune autre raison, c'est la seule et unique raison.
Je ne veux plus voir de racaille au centre ville et je veux que la police ait ordre de leur inculquer les valeurs de la République à coup de tonfa dans les genoux.
Le 24 juin 2024 à 16:36:59 :
Dans le doute faut expulser les deux
On est d'accord
Vendredi matin, le tribunal d’Arras a condamné un homme de 39 ans pour des violences commises sur trois jeunes femmes qu’il venait livrer le 26 mai, tour Saint-Jean, à Arras.
« Il les a tabassées ! Les trois ! » Mohammed Zakenoune, avocat d’une des trois victimes de violences, n’a pas pris de pincettes pour qualifier les faits reprochés à N. O., un Arrageois de 39 ans logeant désormais à Rouvroy. Les faits, évoqués déjà dans nos colonnes, remontent au 26 mai. Il est 2 heures environ quand un rendez-vous est fixé entre N. O., livreur pour Night Apéro, et trois jeunes femmes de 22, 17 et 15 ans, au niveau des tours Saint-Jean à Arras.
« C’est une affaire aberrante, je suis stupéfait par la stupidité du comportement du prévenu, qui s’est attaqué à trois jeunes filles, qui sont présentes aujourd’hui, on peut saluer leur courage », plaide Antoine Le Gentil, avocat d’une victime. Me Zakenoune garde en tête le visage tuméfié de sa cliente, comparable à Éléphant Man. Une agression « gratuite et extrêmement violente », rappelle-t-il.
Dix-huit mois de prison, dont douze avec sursis probatoire de deux ans. Peine qui prévoit des obligations de travail, formation, de soins, d’indemniser les victimes et de fixer sa résidence. Il aura interdiction de contacter les victimes et sera convoqué devant le juge d’application des peines pour éventuellement faire aménager sa peine et éviter la prison.
Le jeune homme, un Marocain en situation irrégulière sur le territoire et sous le coup d’une OQTF (une obligation de quitter le territoire), a expliqué ces dernières heures aux policiers qu’il reprochait à la victime, un Français d’origine maghrébine qu’il connaît depuis plusieurs mois, qu’elle ne parle pas bien l’arabe selon lui. Cette discussion aurait dégénéré entre les deux hommes. Le mis en cause aurait alors sorti une arme et menacé la victime de lui tirer dessus si elle ne s’excusait pas.
La victime qui refusait de s’excuser aurait alors tenté de lui prendre son arme. C’est à ce moment-là que le jeune Marocain lui aurait tiré dessus. La victime n’a pas été blessée. Elle n’a qu’une petite brûlure à la cuisse. Les policiers pensent que l’arme pourrait en fait être factice ou chargée à blanc.
Pour le moment, les investigations se poursuivent et les policiers n’écartent aucune piste. Au moment des faits, l’agresseur avait un sac rempli, entre autres, de résine de cannabis, de pochons de poudre blanche et de 350 €. C’est pourquoi la police envisage plus sérieusement la piste du trafic de drogue et non pas celle évoquée par le mise en cause d’un différend autour de la langue. Le mis en cause est toujours en garde à vue ce dimanche soir.