Les anciens des conventions REP s'en sortent pas mal visiblement (banque d'affaire, ressources humaines, audit, affaires internationales ...)
Le Monde: Il y a vingt ans, la première « promotion ZEP » : « Pour moi, Sciences Po est arrivé comme un cheveu sur la soupe ».
https://www.lemonde.fr/societe/article/2021/06/01/il-y-a-vingt-ans-la-premiere-promotion-zep-pour-moi-sciences-po-est-arrive-comme-un-cheveu-sur-la-soupe_6082279_3224.html
Il y a vingt ans, la première « promotion ZEP » : « Pour moi, Sciences Po est arrivé comme un cheveu sur la soupe »
En 2001, Richard Descoings crée une nouvelle voie d’entrée pour imposer plus de diversité sociale dans l’école. Quatre anciens élèves racontent.
Par Soazig Le Nevé
« Remise en cause de l’égalité républicaine », « méritocratie en péril », « sélection au rabais »… Rarement réforme éducative aura autant enflammé le débat. Au printemps 2001, la procédure des conventions éducation prioritaire (CEP) élaborée par le directeur de Sciences Po de l’époque, Richard Descoings, et trois anciens élèves (Cyril Delhay, Madani Cheurfa et Vincent Tiberj) envahit les journaux et l’arène politique. La voie spécifique que la prestigieuse école veut réserver à des élèves issus d’une zone d’éducation prioritaire (ZEP) brise le tabou du concours à la française, dont Sciences Po était l’étendard.
Décidé à « démanteler le trafic de la démagogie », le syndicat étudiant de droite Union nationale interuniversitaire saisit les tribunaux administratifs, en vain. Le 17 juillet 2001, une loi, approuvée par le Conseil d’Etat, conforte Sciences Po et lui laisse la main pour mener une expérience inédite avec sept lycées partenaires. Vingt ans plus tard, ils sont au nombre de 166.
Dans cette ambiance électrique, Ana Stephan se présente à son oral d’admission le 10 septembre 2001. Ses professeurs du lycée Guy-de-Maupassant à Colombes (Hauts-de-Seine) ont présélectionné la jeune fille, brillante élève arrivée de Roumanie à l’âge de 8 ans sans parler un mot de français, pour lui donner une chance d’intégrer l’école de la rue Saint-Guillaume où seuls 0,5 % des nouveaux entrants ont des parents ouvriers, 2 % employés et 2,5 % commerçants ou artisans.
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Il y a vingt ans, la première « promotion ZEP » : « Pour moi, Sciences Po est arrivé comme un cheveu sur la soupe »
En 2001, Richard Descoings crée une nouvelle voie d’entrée pour imposer plus de diversité sociale dans l’école. Quatre anciens élèves racontent.
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Publié aujourd’hui à 01h13, mis à jour à 10h00
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Le directeur de l'Institut d'études politiques (IEP) de Paris, Richard Descoings, pose, le 27 février 2001, devant l'entrée se son établissement.
Le directeur de l'Institut d'études politiques (IEP) de Paris, Richard Descoings, pose, le 27 février 2001, devant l'entrée se son établissement. FRANCOIS GUILLOT / AFP
« Remise en cause de l’égalité républicaine », « méritocratie en péril », « sélection au rabais »… Rarement réforme éducative aura autant enflammé le débat. Au printemps 2001, la procédure des conventions éducation prioritaire (CEP) élaborée par le directeur de Sciences Po de l’époque, Richard Descoings, et trois anciens élèves (Cyril Delhay, Madani Cheurfa et Vincent Tiberj) envahit les journaux et l’arène politique. La voie spécifique que la prestigieuse école veut réserver à des élèves issus d’une zone d’éducation prioritaire (ZEP) brise le tabou du concours à la française, dont Sciences Po était l’étendard.
Décidé à « démanteler le trafic de la démagogie », le syndicat étudiant de droite Union nationale interuniversitaire saisit les tribunaux administratifs, en vain. Le 17 juillet 2001, une loi, approuvée par le Conseil d’Etat, conforte Sciences Po et lui laisse la main pour mener une expérience inédite avec sept lycées partenaires. Vingt ans plus tard, ils sont au nombre de 166.
Lire aussi Richard Descoings, chantre de la démocratisation de Sciences Po
Dans cette ambiance électrique, Ana Stephan se présente à son oral d’admission le 10 septembre 2001. Ses professeurs du lycée Guy-de-Maupassant à Colombes (Hauts-de-Seine) ont présélectionné la jeune fille, brillante élève arrivée de Roumanie à l’âge de 8 ans sans parler un mot de français, pour lui donner une chance d’intégrer l’école de la rue Saint-Guillaume où seuls 0,5 % des nouveaux entrants ont des parents ouvriers, 2 % employés et 2,5 % commerçants ou artisans.
A la fin de l’échange, Richard Descoings soumet à la candidate un article du Parisien paru la veille sur le sujet. « Il m’a dit : “Mademoiselle, vous vous rendez compte que Le Parisien annonce déjà votre victoire ? A-t-il raison d’être si confiant ?”J’étais totalement déstabilisée, j’ai pensé qu’il ne fallait pas paraître trop présomptueuse, relate Ana Stephan. J’ai répondu qu’il valait mieux être prudent et que cet article ne l’était peut-être pas suffisamment. » Le rouge lui monte aux joues lorsque son examinateur lui rétorque qu’être toujours prudent est la meilleure façon de ne jamais rien faire. « Ce n’est qu’a posteriori que j’ai compris le sens de sa phrase : si Richard Descoings n’avait pas impulsé l’ouverture aux lycées ZEP, celle-ci n’aurait jamais eu lieu », analyse Ana.
« Un côté braconnier »
Pour Aurélia Makos, en terminale au lycée Saint-Exupéry de Fameck (Moselle), « Sciences Po est arrivé comme un cheveu sur la soupe » en l’an 2000. « Il y a eu une réunion d’information, on ne savait pas trop ce que c’était », se rappelle-t-elle. Les émissaires de l’école font face à quelques jeunes qui, au mieux, n’en ont qu’une idée très vague. « Il y avait un côté braconnier, on pouvait se retrouver à présenter les conventions éducation prioritaire juste après une information sur une bourse du Rotary…, sourit Vincent Tiberj, qui travaille aujourd’hui à Sciences Po Bordeaux. Notre mission n’était pas vraiment officielle puisque les CEP ont été créées dans un coin, sans le conseil d’administration et sans la communauté enseignante. »
Poussée par sa professeure de sciences économiques et sociales, Aurélia se pique au jeu de l’atelier de préparation du mercredi après-midi, pour tenter d’accéder à l’épreuve orale d’admission qui repose sur la présentation d’une revue de presse. « J’ai passé trois mois à ne faire que cela, sous les yeux de ma mère. Dans ma chambre, dans le salon, il y avait des coupures de presse partout ! », raconte-t-elle.
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Il y a vingt ans, la première « promotion ZEP » : « Pour moi, Sciences Po est arrivé comme un cheveu sur la soupe »
En 2001, Richard Descoings crée une nouvelle voie d’entrée pour imposer plus de diversité sociale dans l’école. Quatre anciens élèves racontent.
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Le directeur de l'Institut d'études politiques (IEP) de Paris, Richard Descoings, pose, le 27 février 2001, devant l'entrée se son établissement.
Le directeur de l'Institut d'études politiques (IEP) de Paris, Richard Descoings, pose, le 27 février 2001, devant l'entrée se son établissement. FRANCOIS GUILLOT / AFP
« Remise en cause de l’égalité républicaine », « méritocratie en péril », « sélection au rabais »… Rarement réforme éducative aura autant enflammé le débat. Au printemps 2001, la procédure des conventions éducation prioritaire (CEP) élaborée par le directeur de Sciences Po de l’époque, Richard Descoings, et trois anciens élèves (Cyril Delhay, Madani Cheurfa et Vincent Tiberj) envahit les journaux et l’arène politique. La voie spécifique que la prestigieuse école veut réserver à des élèves issus d’une zone d’éducation prioritaire (ZEP) brise le tabou du concours à la française, dont Sciences Po était l’étendard.
Décidé à « démanteler le trafic de la démagogie », le syndicat étudiant de droite Union nationale interuniversitaire saisit les tribunaux administratifs, en vain. Le 17 juillet 2001, une loi, approuvée par le Conseil d’Etat, conforte Sciences Po et lui laisse la main pour mener une expérience inédite avec sept lycées partenaires. Vingt ans plus tard, ils sont au nombre de 166.
Lire aussi Richard Descoings, chantre de la démocratisation de Sciences Po
Dans cette ambiance électrique, Ana Stephan se présente à son oral d’admission le 10 septembre 2001. Ses professeurs du lycée Guy-de-Maupassant à Colombes (Hauts-de-Seine) ont présélectionné la jeune fille, brillante élève arrivée de Roumanie à l’âge de 8 ans sans parler un mot de français, pour lui donner une chance d’intégrer l’école de la rue Saint-Guillaume où seuls 0,5 % des nouveaux entrants ont des parents ouvriers, 2 % employés et 2,5 % commerçants ou artisans.
A la fin de l’échange, Richard Descoings soumet à la candidate un article du Parisien paru la veille sur le sujet. « Il m’a dit : “Mademoiselle, vous vous rendez compte que Le Parisien annonce déjà votre victoire ? A-t-il raison d’être si confiant ?”J’étais totalement déstabilisée, j’ai pensé qu’il ne fallait pas paraître trop présomptueuse, relate Ana Stephan. J’ai répondu qu’il valait mieux être prudent et que cet article ne l’était peut-être pas suffisamment. » Le rouge lui monte aux joues lorsque son examinateur lui rétorque qu’être toujours prudent est la meilleure façon de ne jamais rien faire. « Ce n’est qu’a posteriori que j’ai compris le sens de sa phrase : si Richard Descoings n’avait pas impulsé l’ouverture aux lycées ZEP, celle-ci n’aurait jamais eu lieu », analyse Ana.
« Un côté braconnier »
Pour Aurélia Makos, en terminale au lycée Saint-Exupéry de Fameck (Moselle), « Sciences Po est arrivé comme un cheveu sur la soupe » en l’an 2000. « Il y a eu une réunion d’information, on ne savait pas trop ce que c’était », se rappelle-t-elle. Les émissaires de l’école font face à quelques jeunes qui, au mieux, n’en ont qu’une idée très vague. « Il y avait un côté braconnier, on pouvait se retrouver à présenter les conventions éducation prioritaire juste après une information sur une bourse du Rotary…, sourit Vincent Tiberj, qui travaille aujourd’hui à Sciences Po Bordeaux. Notre mission n’était pas vraiment officielle puisque les CEP ont été créées dans un coin, sans le conseil d’administration et sans la communauté enseignante. »
Poussée par sa professeure de sciences économiques et sociales, Aurélia se pique au jeu de l’atelier de préparation du mercredi après-midi, pour tenter d’accéder à l’épreuve orale d’admission qui repose sur la présentation d’une revue de presse. « J’ai passé trois mois à ne faire que cela, sous les yeux de ma mère. Dans ma chambre, dans le salon, il y avait des coupures de presse partout ! », raconte-t-elle.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Démocratiser le recrutement sans renoncer à l’élitisme, la difficile ligne de crête des Sciences Po
En septembre, Ana Stephan, Aurélia Makos et quinze autres recrues des sept lycées partenaires intègrent la toute première « promotion ZEP ». Le jour de la prérentrée, le photographe de l’école fait poser le groupe, qui sait qu’il sera examiné à la loupe. « Pendant la prise de vue, les journalistes attendaient derrière, sur des bancs, rapporte Aurélia. L’un d’eux a fait une photo depuis sa place et a affirmé le lendemain dans son article que nous avions volontairement posé de dos pour protester contre la pression médiatique que nous subissions. C’était faux ! »
En interne, deux camps s’affrontent
Telle une passion qui ne s’éteint pas, l’affaire des conventions ZEP envenime les relations au sein de la communauté Sciences Po. Pour leur dixième anniversaire, en 2011, deux camps s’affrontent en interne. Les « pro » veulent étendre le dispositif, qui touche désormais 10 % de la promotion de première année et 85 lycées partenaires. Les « anti » veulent l’enterrer, arguant que les recrues se révèlent être « de moins bons étudiants ».
Le chercheur Vincent Tiberj est chargé d’une évaluation qu’il remet quelques mois plus tard en concluant que les CEP ont « fait la preuve de leur utilité ». « Les étudiants qui sont passés par cette voie d’entrée ont certes eu plus de difficultés que leurs camarades de classe lors de leur passage à Sciences Po mais, au final, ils ont, pour la très grande majorité, obtenu leur diplôme et occupent désormais des postes classiques pour des anciens », écrit-il. Certes « pas parfaites », les conventions « restent l’un des rares moyens de maintenir une certaine diversité au sein des élites », soutient Vincent Tiberj.
pour celui qui comptait parmi les meilleurs du lycée. « D’un coup, j’ai senti que j’étais dans les derniers. J’étais mal à l’aise : beaucoup d’élèves hors CEP se vantaient de ne pas avoir besoin de travailler car Sciences Po, c’était de la “masturbation intellectuelle”… Et moi qui travaillais énormément pour des notes médiocres ! »
Trois ans plus tard, Jonathan Kanagasabai vivra la même expérience. « Premier cours d’histoire, mon pire souvenir. Un galop d’essai pour lequel j’avais énormément révisé. J’ai eu 8/20, la note la plus basse de la classe. C’était presque une humiliation », se souvient-il. Originaire de Chelles (Seine-et-Marne), élevé par une mère caissière, le jeune homme s’en remet à son mentor, le président de la Fondation Francis Bouygues, Jean-François Guillemin. Grâce à lui, Jonathan reprend confiance. En fin d’année, toujours en histoire, c’est « le meilleur souvenir » : « la revanche du 19/20 ».
Des mauvaises notes, tous les anciens des CEP en ont plein leur mémoire. Plus que d’autres, ils ont douté et se sont accrochés. Leur insertion professionnelle dans l’audit puis l’enseignement pour Ana, les ressources humaines pour Aurélia, la banque d’affaires pour Jonathan a été immédiate. Brendon poursuit ses études en doctorat à l’université de Montréal, où il fait des recherches sur le Moyen-Orient. Une « passion intellectuelle » qui remonte à la revue de presse sur le nucléaire iranien qu’il avait préparée pour son oral d’admission à Sciences Po.
Le 22 mai 2021 à 02:04:26 :
Le 22 mai 2021 à 02:02:44 VeniVinci18 a écrit :
En 2019, 6,7 millions d' immigrés vivent en France, soit 9,9 % de la population totale. 2,5 millions d'immigrés, soit 37 % d'entre eux, ont acquis la nationalité française.La population étrangère vivant en France s'élève à 4,9 millions de personnes, soit 7,4 % de la population totale. Elle se compose de 4,2 millions d'immigrés n'ayant pas acquis la nationalité française et de 0,7 million de personnes nées en France de nationalité étrangère.
1,7 million de personnes sont nées de nationalité française à l'étranger. Avec les personnes immigrées (6,7 millions), au total, 8,4 millions de personnes vivant en France sont nées à l'étranger, soit 12,6 % de la population.
Immigré :
selon la définition adoptée par le Haut Conseil à l’Intégration, un immigré est une personne née étrangère à l’étranger et résidant en France. Les personnes nées françaises à l’étranger et vivant en France ne sont donc pas comptabilisées. À l’inverse, certains immigrés ont pu devenir français, les autres restant étrangers. Les populations étrangère et immigrée ne se confondent pas totalement : un immigré n’est pas nécessairement étranger et réciproquement, certains étrangers sont nés en France (essentiellement des mineurs). La qualité d’immigré est permanente : un individu continue à appartenir à la population immigrée même s’il devient français par acquisition. C’est le pays de naissance, et non la nationalité à la naissance, qui définit l'origine géographique d’un immigré.
C'est bien de sortir du texte de son cul, mais ça vaut pas une capture d'écran, apporte de vraies preuves la prochaine fois s'il te plaît
Tu ne sais même pas cliquer sur un lien, tout s'explique
En 2019, 6,7 millions d' immigrés vivent en France, soit 9,9 % de la population totale. 2,5 millions d'immigrés, soit 37 % d'entre eux, ont acquis la nationalité française.
La population étrangère vivant en France s'élève à 4,9 millions de personnes, soit 7,4 % de la population totale. Elle se compose de 4,2 millions d'immigrés n'ayant pas acquis la nationalité française et de 0,7 million de personnes nées en France de nationalité étrangère.
1,7 million de personnes sont nées de nationalité française à l'étranger. Avec les personnes immigrées (6,7 millions), au total, 8,4 millions de personnes vivant en France sont nées à l'étranger, soit 12,6 % de la population.
Immigré :
selon la définition adoptée par le Haut Conseil à l’Intégration, un immigré est une personne née étrangère à l’étranger et résidant en France. Les personnes nées françaises à l’étranger et vivant en France ne sont donc pas comptabilisées. À l’inverse, certains immigrés ont pu devenir français, les autres restant étrangers. Les populations étrangère et immigrée ne se confondent pas totalement : un immigré n’est pas nécessairement étranger et réciproquement, certains étrangers sont nés en France (essentiellement des mineurs). La qualité d’immigré est permanente : un individu continue à appartenir à la population immigrée même s’il devient français par acquisition. C’est le pays de naissance, et non la nationalité à la naissance, qui définit l'origine géographique d’un immigré.
Le 22 mai 2021 à 01:57:29 :
Le 22 mai 2021 à 01:49:03 Jeunequille a écrit :
Le 22 mai 2021 à 01:47:50 :
Le 22 mai 2021 à 01:47:11 Jeunequille a écrit :
Le 22 mai 2021 à 01:46:41 :
Euh... Tu dis n'importe quoi mec, d'après les statistiques c'est 64.8% de la population totale hein, merci d'arrêter de propager de fausses informationsSource ?
Je te retourne la question
https://www.insee.fr/fr/statistiques/3633212 INSEE et toi ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/20/6/1621641435-screenshot-20210522-015203733-2.jpg
Faut lire mec
Non là ta source est trop évidemment bidon.
Recommence, en un peu plus fin stp.
Charente Libre: "Donnez du Doliprane": elle meurt du Covid à 19 ans après plusieurs appels au Samu.
https://www.charentelibre.fr/2021/05/20/donnez-du-doliprane-elle-meurt-du-covid-a-19-ans-apres-plusieurs-appels-au-samu,3745660.php
La PARM du Samu devait être complotiste
Charente Libre: "Donnez du Doliprane": elle meurt du Covid à 19 ans après plusieurs appels au Samu.
https://www.charentelibre.fr/2021/05/20/donnez-du-doliprane-elle-meurt-du-covid-a-19-ans-apres-plusieurs-appels-au-samu,3745660.php
La PARM du Samu devait être complotiste
Rien de bien nouveau.
« Que vois-je de cette fenêtre, sinon des chapeaux et des manteaux, qui peuvent couvrir des spectres ou des hommes feints qui ne se remuent que par ressorts? Mais je juge que ce sont de vrais hommes, par la seule puissance de juger qui est en mon esprit, ce que je croyais voir de mes yeux ».
Voter pour un parti de gouvernement (Larem, LR), pour soutenir un système dans lequel on a trouvé sa place, ça a du sens.
Voter pour Le Pen ou Mélenchon, juste pour faire semblant de s'opposer alors qu'on sait que ces guignols sont incompétents / de toute façon n'arriveront pas au pouvoir / s'ils y arrivaient se décrédibiliseraient en 2 mois ... ça n'a pas de sens.
C'est la foire à la saucisse, les lycéens contestent des dizaines d'années de travail et de recherche sans rien bosser, les femmes de ménage se prennent pour des épidémiologistes, les retraités de la métallurgie font l'exégèse des arrêts du Conseil d'Etat sur les RS.
Ils mélangent tout et dans la masse de ceux qui les feedent, 90 % rigolent mais 10 % peut-être les croient car ils n'ont pas vraiment accès à des infos sérieuses donc impossible pour eux de faire la différence.
Toi aussi, réinvente la science sans bosser, devant ton bol de chocapic
Le 06 mai 2021 à 10:21:05 :
Le 06 mai 2021 à 10:17:44 :
Le 06 mai 2021 à 10:07:36 :
Le 06 mai 2021 à 10:04:47 :
Le 06 mai 2021 à 09:59:05 :
Le 06 mai 2021 à 09:46:03 :
Le 06 mai 2021 à 09:43:09 :
Les gens qui crachent sur les religions abrahamiques pour accepter docilement les mensonges de l'état républicain sont les pires des ignorantsceci
C'est ce qu'on appelle le déterminisme, personne ne choisit réellement sa place dans la société ; si tu viens d'une famille de croyants, tu auras de grandes chances de l'être aussi, et inversement
Mais la théorie de la préhistoire reste plus crédible que celle des religions monothéistes qui se basent sur des principes qui dépassent notre réalité et les lois de la physique
On peut croire en la théorie de l'évolution mais se questionner sur la véracité de la préhistoire et surtout des "traces" qu'on en trouve aujourd'hui est légitime
Quand on voit l'état des tableaux qui ont 1000 ans et qu'on nous dise que des "peintures" (c'est plutôt du charbon, du sang, ou des matières très simples à avoir et surtout qu'on trouve facilement) qui ont des dizaines de milliers d'années sont intactes sur de la roche
Je sais pas si vous avez déjà peint des trucs sur de la roche, mais ça reste pas très longtemps
Si tu veux vraiment te questionner, tu vas étudier un peu plus sérieusement le sujet que de simplement lire le topic complotix du desco du jour
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/17/3/1619638919-risitas-mort-rip.png C'est bien le problème : pour des gens sans formation ni culture générale il n'y a pas moyen de hiérarchiser les sources ni de percevoir les incohérences des sources éclatées.
Et donc ça feed l'op et tous les crétins comme lui qui font des vidéos YouTube sur des sujets auxquels ils ne connaissent rien.Ces gens nous ramènent au Moyen-Âge : entre les ignorants comme l'op qui racontent n'importe quoi pour le plaisir de se faire remarquer, et les débiles qui les croient par inculture et biais de confirmation
Le complotisme c'est un moyen de garder les masses populaires dans leur misère intellectuelle.
"gens sans formation ni culture générale" "sources" "crétins" "Moyen-Âge" "biais de confirmation" "masse populaire" "misère intellectuelle"
Bordel,, le bingo du zététicien à ce niveau de caricature dis-moi que c'est un troll.
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/52/1/1608588646-10c8ec67-71a1-4eb1-8b09-f2c6cff64bb6.png
C'est de la faute de personne si tu coches toutes les cases hein.
Ernest Renan : "Q'est-ce qu'une nation ?"
« Une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n’en font qu’une, constituent cette âme, ce principe spirituel. L’une est dans le passé, l’autre dans le présent. L’une est la possession en commun d’un riche legs de souvenirs ; l’autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis. »
Ce texte est devenu l'emblème d'une conception française contractuelle de la nation, basée sur la volonté d'une population de former une nation, par opposition à une conception allemande contemporaine censée être beaucoup plus essentialiste (fondée sur la culture, la langue, la religion comme la race). Les Discours à la nation allemande (1807) de Johann Gottlieb Fichte sont souvent pris en exemple de la conception allemande malgré le fait que les deux auteurs s'expriment à 75 ans d'intervalle.
Le 06 mai 2021 à 00:03:04 :
C'est DINGUE quand même, 1 heure que je cherche et PERSONNE ne dit comment on tue le foetus
On arrache le foetus du ventre de la mère et il y a du sang partout, et le foetus émet un son qui veut dire "s'il te plaît maman, laisse moi vivre ".
Puis on présente le foetus agonisant devant le visage de la mère, qui en général lui crache quelque chose du genre "crève saloperie, mon corps mon choix !"