N'empêche le film Matrix ça pourrait tellement être la réalité
Babarouge
2021-05-06 13:18:37
Le truc de la matrice est tellement probable, on est comme des hamsters dans une roue à toujours générer plus d'énergie, mais pour qui au final? Qui/quoi se nourrit de cette énergie? La plupart d'entre nous travaillons toute la vie pour des peanuts
Donc on serait en fait "cultivés" par une IA à l'extérieur de la matrice, et tout ce qu'on fait dans la matrice génère de l'énergie qui alimente les batteries de cette IA
J'sais pas vous mais ça me paraît hyper probable
Babarouge
2021-05-06 13:19:24
D'ailleurs je pense que le film est basé sur la théorie des Annunaki
GlarthirNWO
2021-05-06 13:19:52
Super intéressante comme réflexion l'auteur, je suis sur le culhttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/23/2/1591098807-ahi-gauche.png
VeniVinci18
2021-05-06 13:22:06
Rien de bien nouveau.
« Que vois-je de cette fenêtre, sinon des chapeaux et des manteaux, qui peuvent couvrir des spectres ou des hommes feints qui ne se remuent que par ressorts? Mais je juge que ce sont de vrais hommes, par la seule puissance de juger qui est en mon esprit, ce que je croyais voir de mes yeux ».
"Ce célèbre fragment des Méditations de Descartes conclut un passage comportant trois enseignements qui n’ont en commun que leur immense portée philosophique. Descartes formule implicitement une critique du langage : c’est parce que nous disons que nous voyons des hommes que nous nous imaginons les voir . C’est la langage qui nous trompe .De simples silhouettes entr’aperçues sont identifiées hâtivement à la suite d’une assocation d’idées purement nominales: manteaux + chapeaux= hommes. Descartes procède également à une critique du préjugé courant qui nous fait croire que nous voyons un homme alors qu’en réalité nous jugeons que, derrière ces apparences indécises, il y a effectivement, probablement, un homme. Derrière toute perception se cache un jugement inaperçu. Dernier enseignement du passage: la réalité effective d’un homme ne se déduit pas avec une certitude absolue de son apparition. A l’époque de Descartes, seuls les automates de Vaucanson pouvait venir appuyer cette thèse discutable. Aujourd’hui non seulement la science fiction (cf , Blade Runner de Philip K. Dick) mais aussi la science tout court sait fabriquer des robots dont l’intelligence rivalise à certains égards avec celle des hommes. Mieux: c’est l’apparence même des derniers robots qui sème aujourd’hui le trouble.Certains parviennent à donner le change et à donner – un moment? – l’illusion que nous voyons un vrai homme. Reste le toucher pour lever le doute."
Bulls
2021-05-06 13:23:19
Le 06 mai 2021 à 13:18:37 :
Le truc de la matrice est tellement probable, on est comme des hamsters dans une roue à toujours générer plus d'énergie, mais pour qui au final? Qui/quoi se nourrit de cette énergie? La plupart d'entre nous travaillons toute la vie pour des peanuts
Donc on serait en fait "cultivés" par une IA à l'extérieur de la matrice, et tout ce qu'on fait dans la matrice génère de l'énergie qui alimente les batteries de cette IA
J'sais pas vous mais ça me paraît hyper probable
Ils ont produit quoi ces glandeurs d'homme préhistorik pendant 2 milliard d'années ??
Babarouge
2021-05-06 13:25:10
Le 06 mai 2021 à 13:23:19 :
Le 06 mai 2021 à 13:18:37 :
Le truc de la matrice est tellement probable, on est comme des hamsters dans une roue à toujours générer plus d'énergie, mais pour qui au final? Qui/quoi se nourrit de cette énergie? La plupart d'entre nous travaillons toute la vie pour des peanuts
Donc on serait en fait "cultivés" par une IA à l'extérieur de la matrice, et tout ce qu'on fait dans la matrice génère de l'énergie qui alimente les batteries de cette IA
J'sais pas vous mais ça me paraît hyper probable
Ils ont produit quoi ces glandeurs d'homme préhistorik pendant 2 milliard d'années ??
Tout ce que les hommes font génère de l'énergie, le sexe, les pulsions sexuelles génèrent énormément d'énergie et ça existe depuis toujours
GlarthirNWO
2021-05-06 13:25:40
Le 06 mai 2021 à 13:22:06 :
Rien de bien nouveau.
« Que vois-je de cette fenêtre, sinon des chapeaux et des manteaux, qui peuvent couvrir des spectres ou des hommes feints qui ne se remuent que par ressorts? Mais je juge que ce sont de vrais hommes, par la seule puissance de juger qui est en mon esprit, ce que je croyais voir de mes yeux ».
"Ce célèbre fragment des Méditations de Descartes conclut un passage comportant trois enseignements qui n’ont en commun que leur immense portée philosophique. Descartes formule implicitement une critique du langage : c’est parce que nous disons que nous voyons des hommes que nous nous imaginons les voir . C’est la langage qui nous trompe .De simples silhouettes entr’aperçues sont identifiées hâtivement à la suite d’une assocation d’idées purement nominales: manteaux + chapeaux= hommes. Descartes procède également à une critique du préjugé courant qui nous fait croire que nous voyons un homme alors qu’en réalité nous jugeons que, derrière ces apparences indécises, il y a effectivement, probablement, un homme. Derrière toute perception se cache un jugement inaperçu. Dernier enseignement du passage: la réalité effective d’un homme ne se déduit pas avec une certitude absolue de son apparition. A l’époque de Descartes, seuls les automates de Vaucanson pouvait venir appuyer cette thèse discutable. Aujourd’hui non seulement la science fiction (cf , Blade Runner de Philip K. Dick) mais aussi la science tout court sait fabriquer des robots dont l’intelligence rivalise à certains égards avec celle des hommes. Mieux: c’est l’apparence même des derniers robots qui sème aujourd’hui le trouble.Certains parviennent à donner le change et à donner – un moment? – l’illusion que nous voyons un vrai homme. Reste le toucher pour lever le doute."
Merci le moteur de recherche, tu peux disposaxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/23/2/1591098807-ahi-gauche.png