Ca sera extreme gauche contre extreme droite
Non
« Ça sera une guerre de religion »
côté Muslim l’énorme majorité sont pacifiques, côté chrétiens, les français sont des petits golems hyliques donc y’aura même pas de camp chrétien
La seule guerre possible c’est si un camp représente une menace pour la république (j’ai bien dit la république pas l’ordre républicain), et ça sera l’armée régulière vs le camp en question, donc un massacre
Chapitre 1
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Chapitre 2
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Chapitre 3
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Chapitre 4
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Le 23 mai 2021 à 18:57:49 :
Le nouveau chapitre
Je le lirais plus tard dans la soirée
Dans le prochain chapitre, premier combat de pokemon, histoire que je m'habitue à l'écriture
Et introduction de la politique avec l'arrivée d'un certain personnage
Le 29/04/2021
Je n’ai pas eu le temps d’écrire depuis mon arrivée à Ogoesse. Il ne me reste qu’une poignée de jours avant de combattre le champion. J’ai eu largement l’occasion de m’entrainer, mais je ne pense pas être tout à fait prêt. Je devrais combattre un pokemon de type eau, et je suis à des années lumières d’avoir une stratégie sérieuse. Gruikui gagne en force et en endurance. Il mange de plus en plus et commence à se tenir sur ses pattes arrières, j’aurais très bientôt un grotichon sur les bras. Je continue à passer mes journées dans les hautes herbes et à la caserne de la ville. Il doit gagner en vitesse et la température de ses flammes n’est pas encore assez stable. Il commence cependant à maitriser son corps avec une précision assez impressionnante. Ce spécimen est proprement incroyable. S’il est besoin de le rappeler, l’immense majorité des pokemons de types feux produisent via des glandes, une huile dont la température d’auto combustion avoisine les 300 degrés Celsius. Le but de l’entrainement est d’apprendre à Gruikui la façon dont il doit gérer la quantité d’huile dont il dispose et à maitriser sa température corporelle. J’ai bon espoir de pouvoir developper un large éventail de capacités d’ici le combat.
Le matin de mon départ d’Arabelle, j’ai eu la bonne surprise de trouver un oeuf de pokemon dans ma chambre. Celui-ci est largement plus gros que tous ceux que j’ai eu l’occasion d’inspecter. Il est parcouru de larges taches bleues marines et violettes et s’est récemment mit à bouger. Il risque d’éclore d’un jour à l’autre. Il n’y pas vraiment de doute sur l’expéditeur, puisque le cadeau était accompagné d’une lettre qui reprenait à peu de choses prêt mon discours sur l’amitié entre humains et pokemons. L’inconnu de la rivière à signé « N ». Ce soir, pour fêter le début de la ligue pokémon, la municipalité, financée par la production de l’émission, donne un bal dans l’hôtel de ville. J’aurais certainement l’occasion de rencontrer le gratin de la région, à en croire le message qu’à envoyé le gros Benbibi au professeur. Mais la journée vient à peine de commencer, et il me reste beaucoup à faire avant de penser à ce genre de choses.
« -C’est drôle, on dirait qu’il nous crache dessus, cria le colonel Amana en souriant
-Il faut ce qu’il faut pour gagner. Je suis assez fier de cette attaque, répondit Ludwig en hurlant à son tour. »
Tandis que le colonel lançait des cibles de plus en plus rapidement, Gruikui, dans un bruit assourdissant, lançait par petits jets des projectiles enflammés. Ludwig juste à côté de son pokemon, se servait d’un thermomètre laser pour mesurer la température de son compagnon.
« -STOP, stop assez gruikui, on arrête tout. Le thermomètre affiche 348 degrés. C’est bien mon vieux t’as du coffre mais tu gaspilles ton énergie! Respire, détends toi, expliqua Ludwig en mimant un massage des épaules
-Tiens bois ça mon cochon ! »
Amana lança une bouteille d’un épais liquide blanc que Ludwig attrapa au vol et donna à son pokemon
« -Jus de racine-énergie, archi calorique! »
L’officier, spécialisé dans l’entrainement des pokemons de combats avait été attribué comme coach personnel à Ludwig par le ministère de la défense. Rencontré à l’arrivée du challenger dans la caserne, il lui avait expliqué l’importance capitale de la gestion de la température de son pokemon.
« -On a assez travaillé sur le spécial, le petit doit se reposer, toi et moi on va faire un peu de théorie sur le type feu, ça te va? Demanda Amana en sortant un épais livre rouge de son sac de sport
-Bien sûr, on y va. »
Ludwig finit de nouer ses bandes autour de ses poings, enfila ses gants et commença à lancer une série de crochets dans le sac de frappe qui pendait face à lui.
« -Composition de l’huile animale des mammifères du type feu, je veux les acides
-Palmitique, stéraique, oléique linéique
-Les quantités c’est pour les mastouffes?
-Dans l’ordre, répondit Ludwig entre deux directs, 67%, 20%,6%,5%
-Travaille les jambes, maintenant température de combustion minimale dans les conditions usuelles?
-280 degrés celsius
-Quand je dis top trente secondes de genoux, température de fumée?
-210
-210 quoi? Kilomètres? Ampères?
-Degrés celsius! Ludwig commençait à perdre son souffle
-TOP! »
A la sortie de la douche, tandis que le jeune lieutenant se changeait, Amana le rejoint dans les vestiaires.
« -On va tenter quelque chose de nouveau avec Gruikui pour la gestion de la température. Tu as déjà essayé la méditation?
-Jamais. C’est plutôt pour les pokemons psy ça non? Demanda Ludwig
-C’est ce qu’on pensait par ici jusqu’à très récemment, mais on s’est rendu compte que ça marchait pour la concentration chez toutes les espèces animales, en particulier chez les pokemons les moins disciplinés comme les types feu
-Donc on va asseoir Gruikui en lotus ? Ricana le jeune dresseur
-Ca serait intéressant mais non, on va plutôt tenter une méthode active, via la respiration, on en profitera pour travailler son souffle. »
Ludwig lança la pokeball et fit sortir son gruikui. Amana l’invita à s’allonger et à respirer selon un rythme particulier, souvent coupé par des sessions d’apnées.
Les vingts minutes de méditations terminées, Amana claqua dans ses mains.
« -Ça, tous les jours, même quand tu es sur les routes. Si tu es en casernes, tu n’as qu’a m’appeler, je débarque dans la journée à dos de guerriaigle!
-C’est quand même terrible cette interdiction de voyager autrement qu’à pieds, marmonna Ludwig en aidant gruikui à faire ses étirements.
-Il faut bien, la tradition veut que vous le fassiez pour vous faire au pays, et vous pousser à rencontrer les habitants. Tu as déjà eu l’occasion de dormir chez l’un d’eux j’imagine?
-Oui, en général ils ont une assez bonne image de nous autres militaires. J’ai toujours une chambre disponible quand je traverse un village ou un hameau.
-Tant mieux, tu devras les défendre un jour. J’ai entendu dire qu’il y aura du beau monde ce soir, j’y serais en tous cas, lança le coach en souriant
-Je n’ai jamais eu l’occasion de participer à ce genre d’événements. Je n’ai aucune idée du dress-code… »
Amana sourit et mit sa main sur l’épaule de Ludwig qui s’était assis en tailleur entre temps.
« -Quand j’avais ton âge, on m’avait refilé une tenue spéciale pour l’occasion, et j’étais aussi sensé la porter lors des apparitions officielles ultérieures, et autres défilés.
-A quoi ressemble t-elle?
-Tu verras bien, le ministère aime bien faire les choses à la dernière minute. Mais ce que je peux te dire c’est que j’avais une sacrée classe dedans.
-Il faudra bien, selon Bianca tous les champions d’arènes seront là, et beaucoup de personnes connues, acteurs, politiciens…
-Ne stress pas trop, pour toi la vraie épreuve c’est dans une semaine.
-Je sais bien… Dis moi, tu penses que…le maréchal Goya sera là?
-Hm. »
Amana posa son menton mal rasé sur la paume de ses mains. Après quelques secondes de silence, il reprit:
« -J’en doute honnêtement. Il a complètement disparu des radars depuis la signature du traité de Safrania il y a une dizaine d’année. Après la fin de la guerre, il s’est totalement effacé. Il a perdu un vieux compagnon à la bataille de Rivamar. Ça l’a, parait-il, totalement détruit. Depuis il fait le tour de la région et les paparazzis expliquent une fois tous les six mois qu’il va bientôt faire son retour médiatique.
-Mais enfin, la soirée de ce soir est spéciale, c’est le premier lancement de la compétition depuis des années, et la première fois qu’elle prendra une telle ampleur publique.
-Oui, j’ai eu du mal à croire que le gouvernement à accepté de laisser la télé diffuser les combats. Une très mauvaise idée si tu veux mon avis.
-Oui, je suis d’accord…
-Mais je doute que le maréchal se dérange. A vrai dire, il parait qu’il a même arrêté de communiquer avec l’exécutif depuis la paix de Safrania. Les rumeurs les plus folles prétendent qu’il aurait perdu la foi dans le régime.
-J’ai eu l’occasion, de parler avec un paquet de nos concitoyens entre ici et Arabelle. Il ne serait pas le seul. »
Le colonel poussa un profond soupir qui le fit vieillir d’une quinzaine d’années.
« -Ludwig, assez papoté. File manger et reviens ici pour treize heure trente. Tu te souviens de la température de fumée de l’huile de gruikui?
-Oui pourquoi?
-Parce que j’ai une idée à te proposer pour gagner ton prochain combat d’arène! »
Tous les trois couchés sur l’herbe, les jeunes dresseurs regardaient les étoiles en silence, en écoutant calmement le bruit de la rivière qui courait en bas de la pente où ils avaient décidé de passer le reste de la nuit.
Ludwig, qui pensait qu’une petite virée nocturne hors de la ville leur ferait du bien à tous, constatait avec amertume que ses angoisses n’avaient pas disparus.
Ils n’avaient pas encore un seul badge, et déjà des ennemis. Qu’il le veuille ou non, cet homme allait être responsable de son image publique. Les téléspectateurs, il s’en doutait, n’auront de lui que la vision que l’émission donnera. Emission dont il ignorait jusqu'à l’existence il y a quelques heures à peine. Diriger des hommes, partir en opérations extérieures, disposer du droit de capturer et d’élever des pokemons de catégories interdites aux civils, la vie de militaire réservait certaine surprises qu’il avait été prêt à accepter jusqu’alors. Mais voir son image salie par un producteur obèse et aussi méprisable que méprisant, il n’avait jamais signé pour ça.
Il se tourna et constata que ses camarades étaient préoccupés par des questions plus terre-à-terre. Tcheren, qui avait manifestement beaucoup trop bu, était à genoux devant la rivière, le dos recourbé, semblant prêt à vomir, tandis que Bianca s’était totalement endormie. Les déglutitions de Tcheren furent soudain interrompus par un bruit assez fort pour troubler le calme de la nuit et le paisible cours de la rivière.
Un froufrou de plumes rouges et blanches fit plusieurs fois le tour du trio, en réveillant au passage Bianca, avant de remonter la courte pente herbeuse et de se poser sur une épaule inconnue. Avant même que Ludwig n’ose se demander depuis combien de temps on les observait, l’inconnu dévala la pente en un prodigieux bond, avant de s’accroupir près de leur camarade ivre.
Tcheren, qui s’était retourné entre temps, se vit proposer une bouteille thermos fumante.
« -Infusion de baies Kika, incroyablement efficace contre la gueule de bois. »
Tandis que Tcheren buvait laborieusement le thé, le jeune homme se redressa. Il était très grand. Plus d’un mètre quatre vingt dix, à vue d’oeil. Son visage ovale et pale renvoyait l’impression d’une sereine certitude, impression amplifiée par ses yeux en amandes dont l’iris vert pâle semblait pouvoir traverser le plus épais des mur, tant son regard était intense. Couronné d’une casquette noire et blanche, qui tenait en place une cascade de cheveux du même vert pâle que ses yeux, attachés en une longue queue de cheval, le jeune homme se tenait désormais debout, dévoilant une tenue si commune qu’elle en paraissait presque extraordinaire.
Il y avait quelque chose dans l’air altier de l’inconnu, qui rendait son simple Chino beige, sa simple chemise blanche, son simple henley noir et ses simples tennis vertes incohérents, presque inappropriés.
Le jeune homme caressait avec douceur, le furaiglon qui s’était perché sur son épaule. Ce dernier, piaillait avec joie dans l’oreille de celui qui semblait être son dresseur.
« -Je vois. Furaiglon vous à vu au restaurant, il m’a tout raconté. Vous avez eu raison. Ces types sont des escrocs.
-Evidemment qu’on a eu raison! S’indigna Bianca. L’armée, ça n’est pas une télé-réalité.
-Le plus gros, Benbibi, expliqua le jeune homme, celui là est une ordure de la pire espèce. Il a détruit le nid d’une colonie de vostournos pour un tournage pas plus tard que la semaine dernière. Les bébés sont morts et leur mère est introuvable. Le grand maigre se vautre dans la cocaïne des qu’il en a l’occasion. Enfin ça c’est quand il ne détourne pas les propos des agriculteurs qui manifestent en ce moment entre Arabelle et Ogoesse pour le compte du gouvernement.
-Ils respiraient le vice, ces deux là, acquiesça Bianca.
-Vous vous êtes bien comportés, bravo. J’en connais beaucoup qui auraient laissé les feux des projecteurs leur monter à la tête. Que dis-tu Furaiglon? Oui absolument. Il dit que vous êtes de bons officiers, et je crois qu’il a tout à fait raison. Un sens aigu du devoir pas vrai?
-Un dégout pour les gros lards arrivistes surtout, lança Tcheren qui reprenait des couleurs. Ces types ne comprennent pas les enjeux du service. La guerre c’était il y a à peine dix ans. On y a tous perdu, et eux voient l’armée comme leur vache à lait. »
Le jeune homme hocha la tête, l’air satisfait.
« -Et qu’est-ce que c’est l’armée pour toi? Et pour vous deux? »
Se fut Tcheren qui répondit le plus vite, sans réfléchir une seule seconde.
« -L’armée, tout d’abord, c’est servir Unys, son histoire, ses fondateurs et son peuple. C’est le devoir de tous les habitants de cette régions de participer à son bon fonctionnement, moi, non, nous c’est par l’armée qu’on y arrive. »
Bianca acquiesça en silence, Ludwig se contenta d’observer la scène.
« -Pas trop mal, mais toi, pourquoi tu es rentré dans les rangs? Je ne parle pas au patriote, je parle à l’individu. »
Tcheren demeura sans réponse. Le jeune inconnu se tourna vers Bianca qui resta aussi silencieuse.
« -Ludwig? Quelque chose à dire?
-Eh bien… »
Ludwig respira un grand coup. Puis expliqua d’une traite:
-Les pokemons. Évidemment . J’ai toujours été fasciné par eux. J’aime leur compagnie, nous aimons tous les trois leurs compagnies. Depuis que je suis gosse, j’ai toujours voulu être militaire, parce que le statut de civil ne permet d’avoir accès qu’a un nombre restreint de créatures, et de ne pouvoir élever que celles du type normal et de la catégorie A. J’ai toute l’affection du monde pour les ponchiens, pour les miradars et les nanméouis, mais le monde est vaste. Je veux créer des liens avec des créatures plus extraordinaires les unes que les autres. C’est aussi pourquoi je veux devenir maréchal. Pour avoir l’autorisation de tisser des liens avec les plus incroyables Pokemons d’unys, et du monde.
-Tisser des liens? Demanda l’inconnu. Que dois-je entendre par là? Devenir le meilleur des combattants? Terrasser le plus puissant dresseur du pays?
-Il le faudra, parce que c’est ainsi que les choses sont faites. Mais non. Je veux être leur… ami? Peut-on parler d’amitié avec des animaux? Oui, j’en suis convaincu. Je veux être leur ami. Je veux les connaitre, les étudier pour préserver leurs habitats, leur assurer de continuer d’exister. Je déplore l’usage martial de ces bêtes, comme je déplore les pertes humaines de la guerre. Mais c’est la seule voie qui me permette de réaliser mon rêve. Je ne veux pas devenir le meilleur dresseur, mais je le dois, si je veux m’ouvrir à tous les horizons qui m’attirent.
-Tu me plais, dit en souriant l’inconnu. Ton amour pour les pokemons est sincère Ludwig, et tu es sur la bonne voie. Garde ton coeur aussi pur, tu finiras par arriver aux justes conclusions. Vous deux, profitez de ce voyage pour trouver votre voie. Je suis convaincu qu’un ami comme Ludwig sauras vous aider à la déterminer. »
Il serra les mains une à une, en s’attardant sur celle de Ludwig.
« -Nous nous reverrons, parce que tu as ce qu’il faut pour m’aider dans ma mission. Ensemble, nous irons très loin Ludwig.»
Il afficha un large sourire et disparu dans l’ombre de la nuit, loin derrière la lumière des réverbères.
Tcheren et Bianca se regardèrent stupéfaits, puis se tournèrent vers Ludwig qui contemplait les lumivoles et les mucioles danser au dessus de l’eau.
« -Il sort d’où celui là? Est-ce que ce gars parlait avec son furaiglon? Demanda Tcheren
-Et surtout, tu le connais? Surenchérit Bianca
-Ni d’Eve ni d’adam, murmura Ludwig.
-Alors comment est-ce qu’il sait comment tu t'appelles ? »
Le 23 mai 2021 à 15:01:13 :
Le 23 mai 2021 à 14:59:57 :
Je pète ma bière.https://image.noelshack.com/fichiers/2017/20/1495181295-risitasvieux2.png pas compris
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Huit morts six blessés