Messages de Jean-Wikipedia

Contrairement aux autres fauves, plutôt solitaires, les lions vivent dans des troupes, qui sont des unités sociales permanentes, composées de femelles apparentées entre elles, de mâles non apparentés aux femelles et de leur progéniture. La dimension du territoire et le nombre de proies déterminent la dimension du groupe qui varie de 3 à 30 individus. Il y a habituellement dans le groupe un à sept mâles adultes et d'une à dix-huit femelles. Le territoire d'une troupe couvre 20 à 500 km2. Dans le parc national du Serengeti en Tanzanie, la densité des lions peut atteindre un individu par kilomètre carré. Dans l'ancien cratère du Ngorongoro, le nombre maximum d'individus est 1,6 à 2,4 au km². Les frontières de leur territoire sont délimitées par leurs selles et leur urine, qui indiquent qu'il y a défense de pénétrer dans la zone. Ils grattent également la terre avec leurs pattes avant et arrière, déposant une substance sécrétée par des glandes situées dans leurs coussinets42.

Les jeunes mâles restent environ deux à trois ans dans le groupe, jusqu'à ce qu'ils aient atteint leur maturité sexuelle. Ils sont ensuite chassés par le lion dominant. Les femelles par contre passent généralement toute leur vie dans le groupe de naissance et s'y reproduisent. Ceci permet d'éviter la consanguinité.

Quand les jeunes mâles ont été chassés du groupe par leurs pères, ils deviennent nomades et forment ensemble une « coalition », parfois rejoints par d'autres jeunes mâles. Le lien entre les mâles est très fort. Les jeunes mâles parcourent ensemble des distances très importantes, ne respectent pas les frontières des territoires, mais ne fondent pas leur propre territoire. Puisque les mâles ont très peu de succès à la chasse, comparativement aux femelles, les jeunes nomades se nourrissent surtout de charognes[réf. nécessaire].

De telles coalitions de jeunes mâles vont essayer de prendre la tête d'une troupe en évinçant les mâles résidents. Toutefois, cela n'est pas toujours une réussite. De telles luttes sont généralement sanglantes, et il n'est pas rare qu'elles s'achèvent mortellement. Si les vieux mâles du groupe perdent la lutte, ils sont chassés et mènent ensuite une vie de solitaires. Souvent, ils meurent des conséquences de leurs blessures. Si les nouveaux venus gagnent, ils en viennent fréquemment à l'infanticide, c'est-à-dire qu'ils tuent les petits de leurs prédécesseurs. Ce comportement permet aux femelles de retrouver rapidement un œstrus et donc d'être à nouveau aptes à la reproduction. Les mâles peuvent ainsi s'accoupler plus tôt et assurer leur propre descendance. Ce comportement est adaptatif : en effet, la compétition est rude entre les coalitions de mâles et de jeunes mâles viendront bientôt essayer de les détrôner pour prendre à leur tour la tête du groupe. Les mâles n'ont donc pas de temps à perdre et ils doivent tenir à la tête du groupe jusqu'à ce que les lionceaux soient assez grands pour être épargnés. Les mâles restent rarement plus de trois ou quatre ans à la tête du groupe, et n'ont donc pas le temps d'attendre que les portées des prédécesseurs soient devenues adultes pour se reproduire. Il arrive fréquemment que les femelles attaquent le mâle assassin43.

En général, les lions ne pratiquent pas de toilettes mutuelles complètes, seul le dos du nez est nettoyé ; mais, lors de salissures grossières, par exemple par le sang des proies, il peut arriver qu'un membre effectue des soins de fourrure.

Bien que l'emballage de Big Rigs affirme que l'objectif principal du jeu est de conduire un camion contenant un chargement illégal tout en évitant les forces de police locales, il n'y a aucun véhicule ou signe de la police et, plus généralement, il n'y a aucun objectif présenté dans le jeu2. Le gameplay se concentre plutôt sur la course que doit faire le joueur face à un adversaire conduisant lui aussi un camion ; toutefois il s'avère que le camion de l'adversaire ne démarre pas ou s'arrête avant la ligne d'arrivée, ne laissant pas d'autre choix au joueur que de gagner toutes les courses du jeu3.

De plus, il n'y a aucune limite de temps, et aucun obstacle permettant de ralentir ou de susciter l'attention du joueur, faisant perdre considérablement l'intérêt du jeu. Les lois de la physique peuvent également être violées dans Big Rigs, ainsi, le camion contrôlé par le joueur peut rouler en dehors des pistes et escalader des montagnes sans perdre de vitesse, et peut rouler en marche arrière plus vite qu'en marche normale, le compteur affichant des valeurs négatives tendant vers moins l'infini. Le manque de détection d'objets permet au camion de passer à travers son adversaire, mais aussi à travers les bâtiments, pylônes et même les ponts ; cela permet aussi au joueur de sortir de la zone jouable de la course4.

De plus, le level design, les mécaniques de jeu et l'interface sont très mauvais. Ainsi le joueur peut passer à côté de lampadaires n'éclairant pas la route mais le ravin se trouvant sur le côté ; de la même manière les chiffres qu'indique le compteur de tours dépassent leur zone d'affichage, les checkpoints peuvent être passés dans n'importe quel ordre et n'importe quel sens, permettant au joueur de finir la course en sens inverse. Lorsque le joueur franchit la ligne d'arrivée, un trophée à 3 bras apparait à l'écran, avec la mention écrite en majuscules, et en mauvais anglais, YOU'RE WINNER!, signifiant « T'ES GAGNANT ! », à la place d'une phrase plus correcte comme « Tu as gagné ! »2,5

Accueil
Big Rigs: Over the Road Racing est négativement accueilli par l'ensemble de la presse spécialisée6, les testeurs déplorant le manque de détection de collision, les bugs fréquents, et le manque de fonctionnalités2. Le jeu remporte également une moyenne générale de 3,83 % sur GameRankings et de 8/100 par Metacritic, faisant de lui le « pire jeu vidéo de tous les temps » jamais accueilli sur le site7,8. Le jeu est ainsi souvent cité par les testeurs comme le pire jeu créé, n'ayant aucun intérêt et visiblement non terminé.

Jeuxvideo.com lui délivre d'ailleurs une note de 1/20 expliquant que le jeu « fait presque pitié : il est sans intérêt, très court, moche et buggé. À essayer seulement pour rigoler un bon coup et voir ce qu'est un vrai mauvais jeu1. » En dépit des critiques, le jeu s'est tout de même assez bien vendu avec 20 000 exemplaires au total9.

En 2014, Canard PC cite le jeu dans son dossier « Les Nanars du jeu vidéo »10.

Bugs
Certains vidéastes américains tels que Cinemassacre11 (connu sous le nom Angry Video Game Nerd), et français (Laupok) ont déclaré ce "jeu" comme le plus buggé de toute l'Histoire du jeu vidéo. Un des bugs les plus impressionnants est le dépassement de la vitesse limite, qui se produit si on recule un peu et qu'on maintient gauche et droite en même temps. L'aiguille du compteur de vitesse va alors faire des tours complets et les images défiler très rapidement. Cela oblige alors à redémarrer le jeu12.

Le 13 mars 2021 à 10:32:39 ElderKettle a écrit :
Lewandovski

Robert Lewandowski est le fils de Krzysztof Lewandowski et Iwona Lewandowska3. Il découvre le football à Leszno, village situé non loin de Varsovie, avec son père, ancien joueur du Hutnik Varsovie et qui s'occupe à cette période de la formation au Partyzant Leszno4. En 1997, ses parents l'inscrivent au Varsovia Varsovie, centre de sports interscolaires4. Il s'entraîne alors sur un terrain vétuste situé tout près du stade Kazimierz Sosnkowski4, enceinte du Polonia Varsovie.

En début d'année 2005, Robert Lewandowski quitte le Varsovia pour rejoindre le Delta Varsovie4, club de niveau régional. Il y joue quelques matches et marque quatre buts en quatrième division5. Peu avant le début de la saison 2005-2006, il s'engage avec le Legia Varsovie, grand club de la ville et du pays, et intègre son équipe réserve. En troisième division, il éprouve quelques difficultés à s'imposer et ne marque que deux buts6 au sein d'une équipe qui se morfond dans le bas du classement7, et qui finit par l'écarter du groupe8. Sa mère, joueuse de volley-ball en première division plusieurs années auparavant, voyant son fils en mauvaise posture, fait alors jouer ses relations pour lui trouver un nouveau club4.

Aux États-Unis, des médecins utilisent la plateforme pour informer les adolescents sur la santé et lutter contre les rumeurs et la désinformation sur des sujets controversés comme la vaccination et la santé reproductive des femmes, rencontrant parfois un succès important83.

Lors de la pandémie de Covid-19 en Inde, un grand nombre de vidéos TikTok niant la dangerosité du coronavirus SARS-CoV-2 pour les musulmans et appelant à refuser les mesures sanitaires comme le port du masque sont identifiées par l'entreprise Voyager Infosec. Cela pousse le ministère des technologies de l'information à demander à TikTok de supprimer les informations de ce genre et d'en identifier les auteurs, demande également adressée à Facebook où des contenus similaires circulent. TikTok répond en disant travailler de manière active avec le gouvernement pour lutter contre la désinformation, tout en favorisant les contenus « crédibles » sur la Covid-19 sur sa plateforme84. En juillet 2020, TikTok annonce avoir supprimé 29 000 vidéos contenant des « fausses informations » sur la Covid-19 en Europe85, dont 3 000 dont le contenu visé appartenait au domaine médical. Afin d'informer ses utilisateurs sur la pandémie, l'application affiche une bannière donnant accès à des renseignements86.

En mai 2020, le gouvernement français annonce un partenariat avec la plateforme pour y diffuser des messages de prévention et d'information dans le cadre d'une campagne générale contre les violences faites aux enfants87.

En juin 2020, la plateforme annonce avoir signé le Code de bonnes pratiques de l’Union européenne sur les discours haineux et la désinformation88.

L'utilisation de chansons par des utilisateurs peut mener à des succès commerciaux pour les musiciens qui en sont les auteurs. Ainsi, en octobre 2020, une vidéo devenue virale d'un utilisateur écoutant la chanson Dreams du groupe Fleetwood Mac permet à cette chanson de se hisser à la 21e place du palmarès Billboard, plus de 40 ans après sa sortie89.

En novembre 2020, TikTok signe un partenariat avec Sony afin de donner la possibilité aux utilisateurs d'utiliser les musiques de milliers d'artistes90.

Le cancer du col utérin (CCU) est un cancer invasif qui se développe à partir de l'épithélium malpighien du col de l'utérus. Le cancer du col de l'utérus ne se développe que très lentement mais dans une immense majorité des cas après une infection persistante par un papillomavirus humain oncogène (HPV)2,3, un virus sexuellement transmissible. Ce virus ayant un tropisme pour les épithéliums malpighiens. Parmi les plus de 200 types d'HPV connus seul 12 sont oncogènes (16, 18, 31, 33, 35, 45, 52, 58, 39, 51, 56, 59) 4.

En 2018, en France, 1177 femmes sont mortes de ce cancer5. Pourtant, le cancer du col de l’utérus est le seul cancer pour lequel il existe : un examen de dépistage, le frottis du col de l’utérus et/ou la recherche directe du papillomavirus qui permet à la fois de dépister les lésions précancéreuses et les cancers à un stade permettant plus facilement la guérison et un vaccin contre le principal facteur de risque, le papillomavirus comme le soulignait le Plan Cancer 2014-2019 français 6. Le cancer du col est l’un des rares cancers pour lequel le stade précurseur (lésion précancéreuse) persiste de nombreuses années avant d’évoluer vers un authentique cancer invasif,ce qui offre un temps amplement suffisant pour le détecter et le traiter.

Associée au frottis et: ou test-HPV, la vaccination constitue une arme très efficace pour permettre une élimination du cancer du col de l’utérus6.

Plusieurs facteurs de risques sont identifiés :

Les papillomavirus humains (notamment HPV16 et HPV18) jouent un rôle épidémiologique7,30,31 majeur (et peut-être croissant) dans la maladie : ils sont présents dans 80 % des cancers du col de l’utérus et des lésions in situ de haut grade. La découverte du rôle de ces virus dans ce cancer valut à Harald zur Hausen le Prix Nobel de médecine 2008.
En novembre 2010, la revue Lancet Oncology a publié les résultats d'une étude montrant que huit types de papillomavirus sont responsables de 90 % des cas de cancer du col de l'utérus32.
La pilule (contraception par œstroprogestatifs) induit une majoration modérée du risque de développer un cancer du col utérin33 (augmentation du risque inférieure à 1 %).
Le VIH/SIDA : le cancer du col chez une patiente séropositive pour le VIH.
Le tabagisme: plusieurs études ont montré que fumer augmente très significativement le risque de plusieurs cancers34, dont certains types de cancers du col35,36 ; 18 % des adenocarcinomes du col et 43 % des carcinome squameux se déclarent chez des fumeurs (pour 22 % des cas-contrôles étant fumeurs). Mais fumer n'a pas le même effet selon le type de cancer considéré : le tabac augmente le risque de carcinome squameux tout en diminuant légèrement celui de développer un adénocarcinome du col (de même si l'on se limite aux cancers associés au HPV), ce qui confirme que les co-facteurs étiologiques varient selon le type de cancer37 ; les composés toxiques libérés par le tabac pourraient diminuer l'immunité des parois utérines et favoriser l'infection par les papillomavirus humains puis la néoplasie38.
L'exposition au diethylstilbestrol in utero a été identifiée comme un cofacteur de risque39.
À l'inverse, l'utilisation d'un stérilet dispositif intra-utérin ou DIU) durant la vie diminuerait de moitié le risque de développer un cancer du col de l'utérus (carcinome épidermoïde, adénosquameux ou adénocarcinome). Plusieurs hypothèses explicatives, non exclusives, ont été avancées. Notamment, des lésions induites par la mise en place, le port et/ou le retrait d'un DIU pourraient induire une réaction inflammatoire à bas bruit et/ou une réaction immunitaire cellulaire qui enrayerait le processus de cancérisation40 ;