Je tiens à corroborer avec assurance que, de par ma propre expérience en tant qu'individu affichant une apparence avantageuse, les contours de ma personnalité timorée m'ont contraint à demeurer vierge jusqu'à un stade avancé de mon existence.
C'est précisément pour cette raison que je fus en mesure de transcender mon état de virginité qu'à l'approche de mes quinze années révolues.
Estimes-tu sincèrement qu'une jeune femme fervente de la culture k-pop ou passionnée de mangas, une demoiselle dont les émotions jaillissent telles des vagues effervescentes à la vue d'un individu à la fois androgyne au mieux, et au pire, exhibant des attributs de féminité, puisse être captivée par l'envisagement d'un homme d'une virilité avérée ?
Possèdes-tu ne serait-ce qu'une parcelle du discernement requis pour appréhender cette situation ?
J'ai moi-même entrepris l'examen du baccalauréat en qualité de candidat libre, renonçant à l'établissement scolaire à cette époque en raison de la disparité intellectuelle que je percevais parmi mes pairs de classe. Ayant déjà franchi le seuil de l'initiation sexuelle, mon environnement éducatif devenait désormais dénué de pertinence.
Les années qui ont suivi se sont essentiellement caractérisées par des périples à travers la France, orchestrés pour rencontrer et fréquemment entretenir des rapports charnels avec des amis virtuels noués grâce aux plateformes de Skype et Minecraft. Ah, que le temps passe vite. À deux semaines seulement de l'épreuve du baccalauréat, mon père eut l'obligeance de me remettre l'ouvrage intitulé "Tout pour le bac". Alors que je le parcourais distraitement tout en me délectant de quelques inflorescences de cannabis, mon esprit juvénile parvint curieusement à absorber toute la matière scolaire prescrite, de manière à pouvoir la réciter scrupuleusement au moment opportun et, ainsi, obtenir mon diplôme de baccalauréat.
J'ai expérimenté des pratiques intimes poussées avec une ancienne compagne, incluant des interactions anales plus intensives.
C'est grâce à sa sœur, dont le mode de vie décadent était caractérisé par une affinité pour la MDMA et des rassemblements débridés en compagnie d'amis, que ma partenaire avait été initiée à l'idée que la satisfaction anale procurait des plaisirs uniques et que son épanouissement sexuel en dépendait. Influencée par les récits de sa sœur, dont le discernement était en question, elle décida d'explorer cette voie.
Il est incontestable que cette entreprise s'est rapidement heurtée à des impréparations regrettables, conduisant à des désagréments tels que ma virilité fut malheureusement souillée par des résidus fécaux. Cette expérience a donc été de courte durée et s'est achevée prématurément.
Je concède une évaluation de seulement 2 sur 20 pour leurs traits attendrissants.
En revanche, il m'est impossible de réprimer qu'une sensation de compassion m'envahisse en contemplant une race canine à ce point altérée dans sa physionomie.
Jadis majestueux loups, ces êtres sont désormais métamorphosés en des formes contrefaites, empreintes d'une odeur désagréable et engagés dans une lutte pour loger leur langue dans leur cavité buccale, sans parler de leur incapacité à respirer aisément.
Ces créatures affligées suscitent mon apitoiement, et je ne peux m'empêcher de considérer qu'elles sont le produit de l'ingérence humaine se hissant au rang d'une divinité autoproclamée.
Elle est d'avis que les hommes de teint clair, en général, ne détiennent point le savoir-faire dans l'art de la danse.
En contraste, je m'enorgueillis de conjecturer que les hommes blancs empreints d'une éducation raffinée dédaigneraient assurément lui soumettre l'offrande d'une valse au sein même des salons de notre seigneurie.
Ils inclineraient davantage à quérir la compagnie de la première paysanne venue, ces dernières arborant indubitablement une distinction supérieure.