Le 01 mai 2023 à 00:47:43 :
Le 01 mai 2023 à 00:39:24 :
Le 01 mai 2023 à 00:35:15 :
tu raconte n'importe quoi l'op https://fr.wikipedia.org/wiki/Dictature_militaire_d%27Augusto_Pinochet#Politique_%C3%A9conomiqueÀ partir de 1973-1975, pour relancer l'économie chilienne, la junte avait fait appel aux Chicago Boys63, des économistes chiliens formés en bonne part aux idées de l'école de Chicago de Milton Friedman. Durant les premières années, l'inflation est très élevée (375 % en 1974 ; l'inflation était déjà de cet ordre avant le coup), puis est relativement maîtrisée et les industries sont re-privatisées (à l'exception des mines de cuivre). On assiste à un fort accroissement du chômage, qui passe de 4,8 % en 1973 à 31 % en 1983, et une récession. Les salaires réels baissent très fortement et les inégalités s’accroissent significativement65. Dans le même temps, la dette explose, passant de 5,6 milliards de dollars en 1977 à 15,6 milliards en 1981
En juin 1982[...]Le chômage s’éleva à 28,5 %71 et le gouvernement ne trouva aucune formule pour contrôler la situation. L’inflation atteignit 20 % et le PNB chuta de 14,3 % en 198264. Il s'agit de la pire récession au Chili depuis les années 193072. Les coupes drastiques dans les budgets sociaux et le programme de privatisations massives provoquent une hausse importante des inégalités. De nombreux employés du secteur public perdent leur emploi
Ainsi, entre 1974 et 1989, les revenus des 10 % des ménages chiliens les plus riches ont augmenté 28 fois plus vite que les 10 % des ménages chiliens les plus pauvres76. À la fin de la dictature, en 1990, la pauvreté touche 39 % des chiliens
https://www.contrepoints.org/2011/07/13/34629-diagnostic-pauvrete-2-le-chili
Pinochet a confié l’économie aux chicago boys car c’étaient les seuls compétents pour redressé le Chili (les autres économistes étaient pratiquement tous marxistes). Et c’est seulement en 75 que Pinochet leur a confié l’économie (parce que la situation continuait à se dégrader). Pinochet ne comprenait pas l’économie, son choix n’était pas guidé par une idéologie mais seulement par le bon sens.
Ils ont tellement bien redressé le Chili que le chomage, les inégalités, la dette, la pauvreté, l'analphabétisme, la mortalité infantile, la recession économique, le déficit de la balance économique et j'en passe ont explosé wouaw
Issu de l'article que personne ne va lire :
La plus grande erreur des Chicago Boys a été, durant la première portion de leur mandat, de maintenir un régime de taux de change fixe. Cela a rendu le pays vulnérable lors de la crise de 1982 et a fait en sorte que le Chili a été le pays le plus affecté par la crise en raison de sa devise surévaluée. L’ampleur de cette crise et son impact sur l’économie du Chili auraient bien pu miner la suite des choses et renverser l’implantation des réformes.
La deuxième erreur a été la trop rapide privatisation des entreprises d’État. En les vendant plus graduellement, des meilleurs prix auraient pu être obtenus et celles-ci auraient probablement été achetées par les fonds de pension chiliens plutôt que par les riches collaborateurs de Pinochet.
La troisième erreur a été de ne pas réformer le système de santé publique et le système d’éducation publique, tous deux inefficaces et victimes de sous-investissement. Le gouvernement de Pinochet les a nettement négligés, ce qui a grandement nui au sort des plus pauvres. Le gouvernement Ailwyn a corrigé le tir lorsqu’il a pris le pouvoir en 1990. Il a augmenté un peu les impôts pour financer des programmes sociaux qui ont contribué à améliorer le sort des pauvres dans les années 1990s. Il faut cependant, reconnaître que si le Chili a eu les moyens de faire ces dépenses sans s’endetter ou créer de la monnaie, c’est grâce à l’énorme création de richesse que les réformes libérales ont permis de générer.
ça fait beaucoup là non ?
surtout au regard des conséquences que je viens d'énumérerLes réformes ont été orientées de façon à réduire les dépenses du gouvernement pour retourner à l’équilibre budgétaire et stabiliser l’inflation. L’élément central du programme a été d’ouvrir l’économie chilienne au reste du monde en abaissant les barrières protectionnistes. Selon la Banque Mondiale, le Chili était en 1990 le pays le plus libre-échangiste au monde. Les tarifs sont passés de 105% en moyenne en 1973 à 15% en 1989 et 6% aujourd’hui.
Et ça a été un échec cuisant
Non le Chili a juste été un laboratoire du néolibéralisme pour les ricains
Débilité sans nom.
Tellement vrai que le Chili a pu accéder à l’OCDE et de supplanter l’ensemble des pays d’Amérique du Sud au niveau du développement. Ces réformes ne nécessitent pas une dictature militaire et de la répression pour être implantées. Au contraire, le retour à la démocratie et à la liberté non-économique a certainement contribué au succès du Chili de façon significative.
Le 01 mai 2023 à 00:42:20 :
Le 01 mai 2023 à 00:34:34 :
La vérité est là, le chili était au bord de la guerre civile (manifestations, greves,….) à cause de la politique sectaire et antidémocratique d’Allende.Quelques mois avant la chute d’Allende, le sénateur communiste Volodia Teitelboim pronostiquait entre 500.000 et un million de morts en cas de guerre civile. l’armée a fait le coup d’état à cause de l’infiltration de mouvements d’extrême gauche dans l’armée. Sans Pinochet, il y aurait eu une guerre civileTu racontes encore n'importe quoi l'op
La CIA a organisé de toute pièce ce coup d'État appuyé par l'US Navy par ce que Allende, qui a été élu démocratiquement, menaçait réellement et directement les intérêts politiques et économiques des États-Unis au Chilie
Et l'Oncle Sam n'en était pas à sa première tentative, il l'a fait dans tous les pays d'Amérique latine et même tous les pays du monde en fait
Ce faux argument d'el famoso péril rouge alors qu'Allende était un social-démocrate, pas du tout un bolchévique
If Chile’s “Neoliberal” Experiment Is a Failure, Why Is the Nation More Prosperous than the Rest of Latin America?
https://danieljmitchell.wordpress.com/2017/11/24/if-chiles-neoliberal-experiment-is-a-failure-why-is-the-nation-more-prosperous-than-the-rest-of-latin-america/
Le 01 mai 2023 à 00:42:20 :
Le 01 mai 2023 à 00:34:34 :
La vérité est là, le chili était au bord de la guerre civile (manifestations, greves,….) à cause de la politique sectaire et antidémocratique d’Allende.Quelques mois avant la chute d’Allende, le sénateur communiste Volodia Teitelboim pronostiquait entre 500.000 et un million de morts en cas de guerre civile. l’armée a fait le coup d’état à cause de l’infiltration de mouvements d’extrême gauche dans l’armée. Sans Pinochet, il y aurait eu une guerre civileTu racontes encore n'importe quoi l'op
La CIA a organisé de toute pièce ce coup d'État appuyé par l'US Navy par ce que Allende, qui a été élu démocratiquement, menaçait réellement et directement les intérêts politiques et économiques des États-Unis au Chilie
Et l'Oncle Sam n'en était pas à sa première tentative, il l'a fait dans tous les pays d'Amérique latine et même tous les pays du monde en fait
Ce faux argument d'el famoso péril rouge alors qu'Allende était un social-démocrate, pas du tout un bolchévique
Pas du tout Pinochet a confié le pays aux chicago boys non pas par idéologie ou par un complot de la cia mais juste par bon sens. Il a bien vu que l’économie de son pays n’allait pas et qu’il fallait changer de direction économique. Il a confié l’économie aux seuls gens capables de cela. En tant que militaire, Pinochet comme Franco savait très bien qu’il n’avait pas la capacité de gérer l’économie de son pays.
Le 01 mai 2023 à 00:35:15 :
tu raconte n'importe quoi l'op https://fr.wikipedia.org/wiki/Dictature_militaire_d%27Augusto_Pinochet#Politique_%C3%A9conomiqueÀ partir de 1973-1975, pour relancer l'économie chilienne, la junte avait fait appel aux Chicago Boys63, des économistes chiliens formés en bonne part aux idées de l'école de Chicago de Milton Friedman. Durant les premières années, l'inflation est très élevée (375 % en 1974 ; l'inflation était déjà de cet ordre avant le coup), puis est relativement maîtrisée et les industries sont re-privatisées (à l'exception des mines de cuivre). On assiste à un fort accroissement du chômage, qui passe de 4,8 % en 1973 à 31 % en 1983, et une récession. Les salaires réels baissent très fortement et les inégalités s’accroissent significativement65. Dans le même temps, la dette explose, passant de 5,6 milliards de dollars en 1977 à 15,6 milliards en 1981
En juin 1982[...]Le chômage s’éleva à 28,5 %71 et le gouvernement ne trouva aucune formule pour contrôler la situation. L’inflation atteignit 20 % et le PNB chuta de 14,3 % en 198264. Il s'agit de la pire récession au Chili depuis les années 1930. Les coupes drastiques dans les budgets sociaux et le programme de privatisations massives provoquent une hausse importante des inégalités. De nombreux employés du secteur public perdent leur emploi
Ainsi, entre 1974 et 1989, les revenus des 10 % des ménages chiliens les plus riches ont augmenté 28 fois plus vite que les 10 % des ménages chiliens les plus pauvres. À la fin de la dictature, en 1990, la pauvreté touche 39 % des chiliens
L’étude des chiffres macro-économiques illustrent l’ampleur du désastre économique provoqué par la gestion du gouvernement Allende : baisse du PIB qui se retrouve en 1973 pratiquement au même niveau que 1970 (-1,21% en 1972 et -5,57% en 1973) ; indice des salaires réels chutant de 45% durant la même période ; pouvoir d’achat chutant de 10% d’octobre 1970 à avril 1973 sur base des prix alimentaires ; investissement brut dégringolant à 15% du PIB contre une moyenne de plus de 21% entre 1965 et 1970. Dans le même temps, les dépenses publiques passeront de 13% du PIB en 1970 à 53% en 1973 avec un déficit budgétaire sautant de 39% des recettes de l’État en 1970 à 115% en 1973 (de 2,7% du PIB en 1970 à 24,7% en 1973). De leur côté, les entreprises publiques cumuleront plus d’un milliard de dollars de pertes.
Les déséquilibres économiques provoqueront l’explosion des importations qui s’envoleront de 956 millions de dollars en 1970 à près de 1,5 milliard en 1973, alors que la valeur des exportations stagne (sauf en 1973, grâce à un boom du prix du cuivre sur les marchés internationaux). La balance commerciale excédentaire de 155,9 millions de dollars en 1970 devint déficitaire de 16,3 millions en 1971, 253,4 millions en 1972 et 138,3 millions en 1973. Parallèlement, la dette extérieure augmentera de 500 millions de dollars entre 1970 et 1973. Le tout encadré par de rigides barrières douanières qui interdisaient l’entrée de pas moins de 300 produits au Chili et des tarifs douaniers pouvant grimper jusqu’à 750%, avec une moyenne de 105% en 1973. De même, on comptera pas moins de 15 taux de change différents, avec un ratio entre le plus bas et le plus élevé excédant les 8.000% !
Plus dramatique encore : le déchaînement de l’inflation et l’établissement d’un plafonnement des prix qui, au lieu de juguler l’augmentation des prix, créera des ruptures dans l’approvisionnement et conduira à l’hyperinflation. De 28% en 1971 à 606% en septembre 1973. Avec une monnaie chilienne qui sera dévaluée de près de 1.000% face au dollar. Cette situation laissera les commerces désapprovisionnés et donnera naissance aux interminables queues devant les magasins, typiques de tout pays socialiste qui se respecte. La majorité des biens de première nécessité ne se trouvant plus qu’au marché noir. Le pays restera finalement sans réserves, ne serait-ce que pour importer les denrées les plus élémentaires. Le 6 septembre 1973, le gouvernement Allende annonçait que les réserves de farine ne pouvaient couvrir que quelques jours.
Le 01 mai 2023 à 00:35:15 :
tu raconte n'importe quoi l'op https://fr.wikipedia.org/wiki/Dictature_militaire_d%27Augusto_Pinochet#Politique_%C3%A9conomiqueÀ partir de 1973-1975, pour relancer l'économie chilienne, la junte avait fait appel aux Chicago Boys63, des économistes chiliens formés en bonne part aux idées de l'école de Chicago de Milton Friedman. Durant les premières années, l'inflation est très élevée (375 % en 1974 ; l'inflation était déjà de cet ordre avant le coup), puis est relativement maîtrisée et les industries sont re-privatisées (à l'exception des mines de cuivre). On assiste à un fort accroissement du chômage, qui passe de 4,8 % en 1973 à 31 % en 1983, et une récession. Les salaires réels baissent très fortement et les inégalités s’accroissent significativement65. Dans le même temps, la dette explose, passant de 5,6 milliards de dollars en 1977 à 15,6 milliards en 1981
En juin 1982[...]Le chômage s’éleva à 28,5 %71 et le gouvernement ne trouva aucune formule pour contrôler la situation. L’inflation atteignit 20 % et le PNB chuta de 14,3 % en 198264. Il s'agit de la pire récession au Chili depuis les années 1930. Les coupes drastiques dans les budgets sociaux et le programme de privatisations massives provoquent une hausse importante des inégalités. De nombreux employés du secteur public perdent leur emploi
Ainsi, entre 1974 et 1989, les revenus des 10 % des ménages chiliens les plus riches ont augmenté 28 fois plus vite que les 10 % des ménages chiliens les plus pauvres. À la fin de la dictature, en 1990, la pauvreté touche 39 % des chiliens
Issu de l'article que personne ne va lire :
La plus grande erreur des Chicago Boys a été, durant la première portion de leur mandat, de maintenir un régime de taux de change fixe. Cela a rendu le pays vulnérable lors de la crise de 1982 et a fait en sorte que le Chili a été le pays le plus affecté par la crise en raison de sa devise surévaluée. L’ampleur de cette crise et son impact sur l’économie du Chili auraient bien pu miner la suite des choses et renverser l’implantation des réformes.
La deuxième erreur a été la trop rapide privatisation des entreprises d’État. En les vendant plus graduellement, des meilleurs prix auraient pu être obtenus et celles-ci auraient probablement été achetées par les fonds de pension chiliens plutôt que par les riches collaborateurs de Pinochet.
La troisième erreur a été de ne pas réformer le système de santé publique et le système d’éducation publique, tous deux inefficaces et victimes de sous-investissement. Le gouvernement de Pinochet les a nettement négligés, ce qui a grandement nui au sort des plus pauvres. Le gouvernement Ailwyn a corrigé le tir lorsqu’il a pris le pouvoir en 1990. Il a augmenté un peu les impôts pour financer des programmes sociaux qui ont contribué à améliorer le sort des pauvres dans les années 1990s. Il faut cependant, reconnaître que si le Chili a eu les moyens de faire ces dépenses sans s’endetter ou créer de la monnaie, c’est grâce à l’énorme création de richesse que les réformes libérales ont permis de générer.
Le 01 mai 2023 à 00:35:15 :
tu raconte n'importe quoi l'op https://fr.wikipedia.org/wiki/Dictature_militaire_d%27Augusto_Pinochet#Politique_%C3%A9conomiqueÀ partir de 1973-1975, pour relancer l'économie chilienne, la junte avait fait appel aux Chicago Boys63, des économistes chiliens formés en bonne part aux idées de l'école de Chicago de Milton Friedman. Durant les premières années, l'inflation est très élevée (375 % en 1974 ; l'inflation était déjà de cet ordre avant le coup), puis est relativement maîtrisée et les industries sont re-privatisées (à l'exception des mines de cuivre). On assiste à un fort accroissement du chômage, qui passe de 4,8 % en 1973 à 31 % en 1983, et une récession. Les salaires réels baissent très fortement et les inégalités s’accroissent significativement65. Dans le même temps, la dette explose, passant de 5,6 milliards de dollars en 1977 à 15,6 milliards en 1981
En juin 1982[...]Le chômage s’éleva à 28,5 %71 et le gouvernement ne trouva aucune formule pour contrôler la situation. L’inflation atteignit 20 % et le PNB chuta de 14,3 % en 198264. Il s'agit de la pire récession au Chili depuis les années 1930. Les coupes drastiques dans les budgets sociaux et le programme de privatisations massives provoquent une hausse importante des inégalités. De nombreux employés du secteur public perdent leur emploi
Ainsi, entre 1974 et 1989, les revenus des 10 % des ménages chiliens les plus riches ont augmenté 28 fois plus vite que les 10 % des ménages chiliens les plus pauvres. À la fin de la dictature, en 1990, la pauvreté touche 39 % des chiliens
Les réformes ont été orientées de façon à réduire les dépenses du gouvernement pour retourner à l’équilibre budgétaire et stabiliser l’inflation. L’élément central du programme a été d’ouvrir l’économie chilienne au reste du monde en abaissant les barrières protectionnistes. Selon la Banque Mondiale, le Chili était en 1990 le pays le plus libre-échangiste au monde. Les tarifs sont passés de 105% en moyenne en 1973 à 15% en 1989 et 6% aujourd’hui.
Le 01 mai 2023 à 00:35:15 :
tu raconte n'importe quoi l'op https://fr.wikipedia.org/wiki/Dictature_militaire_d%27Augusto_Pinochet#Politique_%C3%A9conomiqueÀ partir de 1973-1975, pour relancer l'économie chilienne, la junte avait fait appel aux Chicago Boys63, des économistes chiliens formés en bonne part aux idées de l'école de Chicago de Milton Friedman. Durant les premières années, l'inflation est très élevée (375 % en 1974 ; l'inflation était déjà de cet ordre avant le coup), puis est relativement maîtrisée et les industries sont re-privatisées (à l'exception des mines de cuivre). On assiste à un fort accroissement du chômage, qui passe de 4,8 % en 1973 à 31 % en 1983, et une récession. Les salaires réels baissent très fortement et les inégalités s’accroissent significativement65. Dans le même temps, la dette explose, passant de 5,6 milliards de dollars en 1977 à 15,6 milliards en 1981
En juin 1982[...]Le chômage s’éleva à 28,5 %71 et le gouvernement ne trouva aucune formule pour contrôler la situation. L’inflation atteignit 20 % et le PNB chuta de 14,3 % en 198264. Il s'agit de la pire récession au Chili depuis les années 193072. Les coupes drastiques dans les budgets sociaux et le programme de privatisations massives provoquent une hausse importante des inégalités. De nombreux employés du secteur public perdent leur emploi
Ainsi, entre 1974 et 1989, les revenus des 10 % des ménages chiliens les plus riches ont augmenté 28 fois plus vite que les 10 % des ménages chiliens les plus pauvres76. À la fin de la dictature, en 1990, la pauvreté touche 39 % des chiliens
https://www.contrepoints.org/2011/07/13/34629-diagnostic-pauvrete-2-le-chili
Pinochet a confié l’économie aux chicago boys car c’étaient les seuls compétents pour redressé le Chili (les autres économistes étaient pratiquement tous marxistes). Et c’est seulement en 75 que Pinochet leur a confié l’économie (parce que la situation continuait à se dégrader). Pinochet ne comprenait pas l’économie, son choix n’était pas guidé par une idéologie mais seulement par le bon sens.