Le 09 mars 2023 à 22:06:58 :
Le 09 mars 2023 à 21:57:09 :
Le 09 mars 2023 à 21:53:46 :
Même si un jour, on apprend la vérité, rien ne pourra rectifier la courbe que les mensonges nous ont fait prendre.
Certains croient que la planète meurt à cause d'eux car ils ont jeté un pot de yaourt dans la mauvaise poubelle. Pendant que ça balance du mercure dans les océansJe pense très sincèrement qu'on apprendra de nouvelles choses d'ici 20 à 30 ans, lorsque le climat se refroidira - en dépit des prévisions alarmistes et catastrophistes - du fait de la période du grand minimum solaire dans lequel on entre et qui durera jusque dans les années 2070.
Et on passera au refroidissement climatique
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/52/4/1640863041-larry-wtc.png
C'était déjà le cas dans les années 1970. Les scientifiques de l'époque, pour certains, ne cessaient d'alarmer l'opinion publique quant à l'imminence d'un nouvel âge glaciaire.
C’est ainsi qu’en 1983, le climatologue britannique Hubert Lamb prévoyait une baisse annuelle des températures de -0.15°C, jusqu’en 2015. Si cette prédiction s’était avérée exacte, de 1983 à 2015, on aurait observé une baisse des températures de -4.8°C.
Ça n'est pourtant jamais arrivé.
Le 09 mars 2023 à 22:06:50 :
Les femmes aiment elles le sexe avec les entités aliens selon toi ?
Non.
Les femmes haïssent le sexe.
Les femmes prétendent ressentir des pulsions sexuelles et l'envie de faire l'amour par pur mimétisme et conditionnement social.
Le 09 mars 2023 à 22:00:27 :
Le 09 mars 2023 à 21:57:33 :
Le 09 mars 2023 à 21:55:58 :
oui oui c'est le soleil qui détruit les écosystèmes terrestres et marins qui jouent le rôle de régulateur de tout un tas de processus indispensables à la bonne marche du monde et à la survie de la biosphèreQuel est le rapport entre la destruction des écosystèmes et le réchauffement climatique, au juste ?
sérieux ?
Je ne nie pas que l'Homme exerce certaines influences nocives à l'égard de la biodiversité. Mais quel est le rapport avec la hausse des températures ?
Le 09 mars 2023 à 22:02:55 :
Content d'apprendre que les quantités monstrueuses de gaz à EFFET DE SERRE qu'on a rejeté dans l'atmosphère n'ont AUCUN rapport avec le réchauffement climatiquehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501185683-jesusjournalbestreup.png
Nul n'a jamais nié l'existence d'un effet de serre qui tend à réchauffer l'atmosphère terrestre, hein
Mais encore une fois, l'étude de l'histoire géologique et paléoclimatique de la Terre démontre que les températures et les climats terrestres ont fluctué et oscillé incessamment, sans pour autant que le taux de CO2 y soit pour quelque chose.
Le taux de CO2 atmosphérique était 10 à 25 fois plus élevé lors de la fin de l'Ordovicien, ce qui n'a pourtant pas empêché l'occurrence d'un âge glaciaire.
Le lien entre CO2 et température - si encore, existe-t-il - ne suit pas une logique simpliste et linéaire. Le climat est une discipline infiniment complexe et dont les mécanismes sont régis par des phénomènes physiques et chimiques qui nous échappent.
Moi j'hésite entre Khrouchtchev et Gorbatchev
Mais je vais choisir Khrouchtchev, qui a le bilan le plus positif (et de loin) entre les deux.
Le 09 mars 2023 à 21:55:58 :
oui oui c'est le soleil qui détruit les écosystèmes terrestres et marins qui jouent le rôle de régulateur de tout un tas de processus indispensables à la bonne marche du monde et à la survie de la biosphère
Quel est le rapport entre la destruction des écosystèmes et le réchauffement climatique, au juste ?
Le 09 mars 2023 à 21:53:46 :
Même si un jour, on apprend la vérité, rien ne pourra rectifier la courbe que les mensonges nous ont fait prendre.
Certains croient que la planète meurt à cause d'eux car ils ont jeté un pot de yaourt dans la mauvaise poubelle. Pendant que ça balance du mercure dans les océans
Je pense très sincèrement qu'on apprendra de nouvelles choses d'ici 20 à 30 ans, lorsque le climat se refroidira - en dépit des prévisions alarmistes et catastrophistes - du fait de la période du grand minimum solaire dans lequel on entre et qui durera jusque dans les années 2070.
Lorsque l'on superpose la courbe décrivant l'évolution du TSI (total solar irradiance) à celle de l'évolution des températures moyennes sur Terre, on voit qu'elles correspondent assez bien
Figure montrant l'évolution de l'activité solaire durant le XXème siècle :
Au XXe siècle, la température moyenne globale à la surface s'est accrue d'environ 0,6 °C [...] Les séries thermométriques indiquent que le degré de variabilité a été important; par exemple, l'essentiel du réchauffement survenu au cours du XXe siècle est concentré sur deux périodes: 1910-1945 et 1976-2000.
Ça correspond parfaitement au graphique. À la première phase du réchauffement, dans la première moitié du XXème siècle, correspond une forte activité solaire.
Celle-ci ne dure pas et finit par observer une décrue à partir des années 1950, lors de laquelle les tâches solaires n'apparaissent que de manière occasionnelle et sporadique (cette phase de réduction du TSI durera jusqu'en 1975) ; à cette baisse, correspond la chute des températures moyennes sur Terre observée entre 1945 et 1976. Pour expliquer cette baisse, ceux qui se rattachent à l'hypothèse de la responsabilité du CO2 ont a introduit l'hypothèse ad hoc des aérosols sulfatés (que l'on trouvait, alors, dans les industries et les transports) qui auraient diminué l'impact du rayonnement solaire. Cette hypothèse n'est, à l'heure actuelle, toujours pas prouvée.
Et à partir de 1976, le réchauffement reprend, et on ne peut s'empêcher de remarquer, parallèlement, une recrue de l'activité solaire.
Le réchauffement climatique actuel, amorcé à partir des années 1900-10, vient d'atteindre son point culminant. Désormais, c'est vers un refroidissement climatique que nous nous dirigeons.
Il y a plusieurs raisons de s’attendre à une activité solaire plus faible au cours du XXIe siècle, par rapport au XXe siècle. Le cycle solaire 24 qui vient de s’achever a été le plus pauvre en taches solaires des cent dernières années et le troisième d’une tendance à la diminution du nombre de taches solaires. Les physiciens spécialistes du Soleil s’attendent à ce que le cycle 25 soit encore plus faible que le cycle 24. Et de plus un grand maximum a plus de chances d’être suivi d’un grand minimum que d’un autre grand maximum (Inceoglu et al., 2016). Les projections empiriques voient un nouveau minimum solaire commençant en 2002-2004 et se terminant en 2063-2075 (Velasco Herrera et al. 2015). II y aurait 8 % de chances que le Soleil tombe dans un grand minimum au cours des 40 prochaines années (Barnard et al. 2011). Mais le niveau et la durée d’une phase de faible activité solaire au cours du XXIe siècle sont largement incertaines.
Si au milieu du XXIe siècle le soleil entrait dans un minimum proche du minimum de Maunder, quel refroidissement devrions-nous nous attendre ? Pour les modèles climatiques et pour d’autres modèles analytiques, le refroidissement serait faible, allant de 0,09°C à 0,3°C (Fuelner 2010). Ces modèles supposent que l’interaction entre le soleil et le climat se limite au seul forçage par la TSI.
Cependant, on a de plus en plus de preuves que d’autres aspects de la variabilité solaire amplifient le forçage de la TSI ou sont indépendants de la TSI, ce que l’on appelle des effets solaires indirects comme des changements dans l’ultraviolet solaire, des pluies de particules de forte énergie, l’effet du champ électrique atmosphérique sur la couverture nuageuse, les changements de la couverture nuageuse produits par les rayons cosmiques galactiques modulés par le soleil, de grands changements du champ magnétique et de la force du vent solaire. Les effets solaires indirects relèvent de la catégorie des « inconnues connues ». Bien que ces effets indirects ne soient pas inclus dans les projections CMIP6 pour le XXIe siècle, nous pouvons faire certaines déductions sur la base de publications récentes. Elles suggèrent que les effets solaires indirects pourraient amplifier une anomalie de la TSI par un facteur compris entre 3 et 7. . Avec cette amplification une diminution de la température de surface allant jusqu’à 1°C (ou même plus) pourrait se produire avec un minimum de type Maunder.
Alors, a-t-on des scénarios plausibles pour les changements d’origine solaire de la température mondiale au cours du XXIe siècle ? Trois scénarios couvrent à peu près toute la gamme des scénarios plausibles :
Scénario de référence CMIP6 : environ -0,1°C (Matthes et.al 2017)
Scénario intermédiaire : -0,3°C, avec à une estimation forte du minimum de Maunder, mais sans effets d’amplification (Fuelner 2010), ou un minimum plus faible si on a des effets d’amplification.
Scénario fort : -0,6°C avec un scénario de faible activité solaire (mais pas un minimum de Maunder) et une amplification par les effets solaires indirects ( Solheim ).
Les observations des 20 ou 30 prochaines années devraient révéler beaucoup de choses sur le rôle du Soleil dans le climat.
Un hiver froid s’annonce : le premier d’une série qui devrait durer au moins jusqu’en 2053 (Youssef et al., 2009 ; Zharkova et al. 2015 ; Van Vliet, 2019), période où les médias nous assènent une disparition de la banquise estivale, des ours polaires et des phoques ! Ceci est favorisé par l’activité solaire réduite depuis 2010 et le minimum solaire actuel (Fig.1). Le cycle solaire suivant (n°25) devrait aussi être faible. Nous sommes entrés dans un minimum d’activité aussi profond que celui de Dalton (1790-1830) qui a présidé à la « Bérézina ».
Fig. 1: Intensité des cycles solaires depuis 1975 et la prédiction du cycle 25 (calculés avec le nombre de taches solaires 2018 * ANRPFD ). B) évolution de l’extension en km2 des banquises arctique et antarctique depuis 1978 par rapport à la déviation standart 1981-2010 (NSDIC).
En fait le soleil se met au repos après une très forte activité pendant les années 1960 (cycle 19) et une décharge énergétique puissante sous la forme de vents solaires (van Vliet, 2019, Fig.2).
Fig.2: Anomalie des températures sur les pôles, accentuée par un rôle majeur des perturbations atmosphériques en zones polaires liées aux vents solaires en 2019 (HN) selon He et al.,2020.
Une image thermique de l’Atlantique nord permet de comprendre la bascule qui est en train de s’opérer. Le Gulf Stream est beaucoup moins chaud aujourd’hui que ces dernières années. On voit parfaitement grâce à sa température de surface la persistance d’une langue de chaleur au NE de l’Europe (flèche rouge), ici de la DNA. Cette anomalie est particulièrement flagrante sur la carte des anomalies de surface de température attestant d’un Gulfstream encore relativement chaud et de l’anomalie thermique persistante sur l’Arctique européen. Néanmoins le courant est-groenlandais a pris beaucoup de puissance, alimenté par les eaux de fontes des années 2017-2018, des périodes de fort réchauffement arctique lié au vent solaire (van Vliet, 2019). Ses eaux froides ont repoussé le GS vers le sud et le courant d’Irminger (au sud de l’Islande) ne rejoint plus la mer d’Islande comme en 1943 et en 2000 (Fig. 4b). Une telle situation a été observée en 1883.
Fig.4: A) anomalie actuelle des températures de surface de l’océan par rapport à la moyenne 1981-2010. B Reconstitution des courants marins autours de l’Islande en 1883 (période froide, Mohn, 1887) et en 1943 (période chaude : carte US Army). Eaux de surface tièdes en rouge, froides en bleu.
Fig.5: Une Niña puissance va de pair avec un refroidissement après des Niños puissants. Anomalie des températures de surface océaniques, NOAA.
Ceci veut dire qu’avec l’évolution à la baisse de l’apport thermique lié à l’activité solaire (Youssef et al., 2009 ; Zharkova et al., 2015 ; Van Vliet, 2020) et des phénomènes El Niño puissants, le refroidissement amorcé par la baisse de l’activité solaire en 2010 va prendre de l’ampleur assez rapidement, comme le montre l’intensité du phénomène La Niña actuel (Fig.5), ce malgré l’inertie thermique de la masse océanique. L’apport d’eau de fonte du bassin arctique via le courant Est Groenlandais, est actuellement en train de tamponner l’impact d’un Gulfstream encore chaud, mais déjà affaibli, et, va favoriser comme par le passé une ré-extension de la banquise arctique, à la grande joie de l’ours Nanouk ! Un autre changement climatique s’installe.
Le 09 mars 2023 à 18:22:31 :
Pourquoi tu voudrais faire ça ?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/45/2/1636469262-jesus-smartass-psy.png
Pour des raisons personnelles.
Le 09 mars 2023 à 18:23:32 :
Traumatisme crânien, AVC, maladie d'Alzheimer... Tu as l'embarras du choixhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/02/4/1610654916-george-obese-de-mes-couilles.png
Il n'existe aucun médicament, sinon ?
Le 09 mars 2023 à 18:21:15 :
Le 09 mars 2023 à 18:20:16 :
Le 09 mars 2023 à 18:19:09 :
Le 09 mars 2023 à 18:17:33 :
Enchanté, Marianne.Enchantée Louis ça fait longtemps
Ce n'est pas mon prénom, par contre.
Je sais mais je ne vais pas leak ton vrai prénom, taré
J'ai connu une Marianne, lorsque j'étais au collège.
Le 09 mars 2023 à 18:19:09 :
Le 09 mars 2023 à 18:17:33 :
Enchanté, Marianne.Enchantée Louis ça fait longtemps
Ce n'est pas mon prénom, par contre.
Ma décision est irréversible.
Au revoir.
J'ai des mauvaises notes à cause de cet imbécile. Je l'aime bien, mais qu'il est idiot
On s'est associé pour plusieurs projets cette années (à la fac) et on s'est départagé le travail : moi, je me concentre sur tel ou tel dossier tandis que lui se concentre sur tel ou tel autre.
Le truc c'est qu'il ne comprend absolument rien aux consignes. Il passe son temps à faire le travail à sa sauce, et fait très souvent du HS. Il ne fait absolument rien de ce que les consignes attendent de lui. Il se contente de faire du copier coller, changer des mots par-ci par-là en ajoutant des éléments issus de sa culture générale. Il n'argumente pas et répond à côté de la plaque, c'est insupportable. Les paragraphes sont bourrés de fautes d'orthographe, et n'ont pas la moindre cohérence entre eux.