Le 23 février 2023 à 16:33:17 :
Dans ma campagne on ne ferme jamais les portes, je me demande ce qui change avec les grandes villes
Les gens se connaissent sans doute en ville tu connais rarement tes voisins
Le 23 février 2023 à 16:30:32 :
Les portes étaient ouvertes et petit on rentrait dans la maison de nos pote normalCa a bien changé
Sérieux ?
Ca parait improbable aujourd'hui
https://youtu.be/r67zVQK7zE0?t=482
Qu'est-ce qui a changé depuis ?
Le 22 février 2023 à 23:35:14 :
Test
Repost pour la troisième fois
Le 22 février 2023 à 23:35:14 :
Test
L'auteur qui m'ignore
Le 22 février 2023 à 23:26:48 :
Ddb.
Le 22 février 2023 à 23:25:24 :
Ah la vache batard....
Certifié nofake
Le 22 février 2023 à 12:33:11 :
Là c'est le moment où des gens vont le traiter de sataniste car ils ont lu un message sur twitter, n'est-ce pas ?
Oui t'as bien résumé
Le 17 février 2023 à 11:54:42 :
Toujours 0 arguments des droitardéshttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/52/6/1608985783-ahi-triangle.png
Comme le dit très justement Zemmour, même laïcisée la France reste intrinsèquement catholique. Que dit Saint Thomas d'Aquin, le plus grand théologien et philosophe catholique de l'histoire
Le problème de l’immigration n’est pas nouveau. Saint Thomas d’Aquin s’en est déjà occupé au XIIIe siècle dans sa célèbre Somme théologique (I-II, Q. 105, art. 3). Et comme toujours, il y offre une brillante synthèse
Inspiré par les enseignements de l’Écriture Sainte relatifs au peuple J.uif, le Docteur Angélique établit clairement les limites de l’hospitalité due aux étrangers. Peut-être pouvons-nous, nous aussi, en tirer quelques enseignements.
Saint Thomas d’Aquin : « Avec les étrangers, le peuple peut entretenir deux sortes de rapports : dans la paix et dans la guerre. Pour régler les uns et les autres, la loi comportait les préceptes qu’il fallait. »
Saint Thomas dit, donc, que tous les immigrants ne sont pas égaux parce que les relations avec les étrangers ne le sont pas non plus : certains sont pacifiques, d’autres belliqueux. Chaque nation a le droit de décider quel type d’immigration peut être considérée pacifique et donc bénéfique pour le bien commun ; et quel type, au contraire, est hostile et donc nuisible. Un État peut rejeter, comme une mesure de légitime défense, des éléments qu’il juge nuisibles pour le bien commun de la nation. Un deuxième point se réfère aux lois, à la fois divines et humaines. Un État a le droit d’appliquer ses justes lois.
Le Docteur Angélique passe ensuite à l’analyse de l’immigration « pacifique ».
Saint Thomas d’Aquin : « Dans la paix, une triple occasion s’offrait aux j.uifs d’entrer en contact avec les étrangers : tout d’abord quand des étrangers en voyage traversaient le pays ; ou bien quand des étrangers venaient dans les pays pour s’y installer en qualité d’immigrés. Dans ces deux cas, les prescriptions légales ont un caractère d’humanité ; ces sont les maximes de l’Exode (22,20) : ‘Tu ne maltraiteras point l'étranger’, et (23,9) : ‘Tu n'opprimeras pas l'étranger’. »
Ici Saint Thomas reconnaît qu’il peut y avoir des étrangers qui veulent visiter un autre pays d’une façon paisible et bénéfique ou y séjourner pendant une certaine période. Ces étrangers doivent être traités avec charité, respect et courtoisie, un devoir de toutes les personnes de bonne volonté. Dans de tels cas, la loi doit protéger ces étrangers contre toute exaction.
Saint Thomas d’Aquin : « Le troisième cas est celui d’étranger désirant être reçu en pleine communauté de vie et de culte avec le peuple : à leur endroit on observait certaines formalités, et leur admission à l’état de citoyens n’était pas immédiate. De même, selon Aristote c’était une règle chez certaines nations de réserver la qualité de citoyen à ceux dont l’aïeul, voir le trisaïeul, avait résidé dans la cité. »
Ensuite, Saint Thomas mentionne ceux qui veulent s’installer dans le pays. Et ici le Docteur Angélique met une première condition pour les accepter : la volonté de s’intégrer parfaitement dans la vie et la culture du pays hôte. Une deuxième condition c’est que l’accueil ne soit pas immédiat. L’intégration est un processus qui prend du temps. Les gens ont besoin de s’adapter à la nouvelle culture. Saint Thomas cite aussi Aristote, qui affirme que ce processus peut prendre de deux à trois générations. Saint Thomas n’établit pas un temps idéal, disant seulement qu’il peut être long.
Saint Thomas d’Aquin : « Et cela se comprend, à cause de multiples inconvénients occasionnés par la participation prématurée des étrangers au maniement des affaires publiques, si, avant d’être affermis dans l’amour du peuple, ils entreprenaient quelque chose contre lui. »
L’enseignement de Saint Thomas, fondé sur le bon sens, aujourd’hui sonne politiquement incorrect. Pourtant, il est parfaitement logique. Le Docteur Angélique montre que vivre dans un autre pays est une chose très complexe. Il faut du temps pour connaître les habitudes et la mentalité du pays, et par conséquent comprendre ses problèmes. Seuls ceux qui y vivent longtemps, faisant partie de la culture du pays, en contact étroit avec son histoire, sont en mesure de mieux juger les décisions à long terme qui soient convenables pour le bien commun. Il est nuisible et injuste de mettre l’avenir du pays entre les mains de gens qui viennent d’y arriver. Même si ce n’est pas de leur faute, souvent ils ne sont pas en mesure de bien comprendre ce qui se passe ou ce qui est arrivé dans le pays qu’ils ont choisi comme leur nouvelle patrie. Et cela peut avoir des conséquences désastreuses.
En illustrant ce point, Saint Thomas observe que les J.uifs ne traitaient pas les personnes de façon égale. Il y avait des peuples voisins et, par conséquent, plus facilement assimilables. D’autres, cependant, étaient plus éloignés, voire hostiles. Les ressortissants de certains peuples considérés comme hostiles ne pouvaient pas être acceptés dans I.sraël, compte tenu de leur inimitié.
Saint Thomas d’Aquin : « C’est pourquoi, selon les dispositions de la loi, certaines nations plus au moins liées avec les j.uif, comme les Égyptiens au milieu desquels ils étaient nés et avaient grandi, les Édomites descendants d’Ésaü, le frère de Jacob, étaient accueillis dès la troisième génération dans la communauté du peuple. D’autres au contraire qui avait montré de l’hostilité pour les j.uifs, comme les descendants d’Ammon et de Moab, n’y étaient jamais admis ; quant aux Amalécites qui leur avaient été particulièrement hostiles et ne leur étaient liés à aucun degré de parenté, on devait à jamais les traiter en ennemis. »
Les règles, cependant, ne doivent pas être rigides mais peuvent permettre des exceptions :
Saint Thomas d’Aquin : « Toutefois, par dispense individuelle, un particulier pouvait, à raison de quelque haut fait, être agrégé au sein du peuple ; on lit dans Judith (14,6) que le chef des Ammonites, Achior, fut incorporé au peuple d’I.sraël, lui et toute sa postérité. Il en fut de même pour Ruth, une Moabite, femme de grande vertu. »
Il est possible, par conséquent, d’admettre des exceptions selon les circonstances concrètes. Ces exceptions, cependant, ne sont pas arbitraires mais ont toujours en vue le bien commun de la nation. Le général Achior, par exemple, était intervenu avec Holopherne en faveur des J.uifs au péril de sa propre vie, gagnant ainsi leur gratitude éternelle en dépit de ses origines ammonites.
Voici donc quelques principes sur l’immigration énoncés par Saint Thomas d’Aquin il y a sept siècles. De ces enseignements on peut clairement déduire que toute analyse sur l’immigration doit être guidée par deux idées-clés : l’intégrité de la nation et son bien commun. L’immigration doit toujours viser l’intégration et pas la désintégration ni la ségrégation, c’est-à-dire, la création de petites « nations » en conflit dans le pays. En plus des avantages qui lui sont offerts par sa nouvelle patrie, l’immigrant doit également en assumer les charges, c’est-à-dire la responsabilité pour le bien commun, en participant à la vie politique, économique, sociale, culturelle et religieuse. En devenant citoyen, l’immigrant devient membre d’une grande famille avec une âme commune, une histoire et un avenir commun, et pas seulement une sorte d’actionnaire d’une société, intéressé seulement au profit et aux avantages. Puis Saint Thomas enseigne que l’immigration doit toujours viser le bien commun : elle ne peut pas abuser ni détruire la nation. Cela explique pourquoi tant d’Européens éprouvent un sentiment de malaise et d’appréhension en face de l’immigration massive et disproportionnée de ces dernières années. Un tel flux d’étrangers originaires de cultures très éloignées et même hostiles introduit des situations qui détruisent les éléments d’unité psychologique et culturelle de la nation, torpillant ainsi la capacité de la société à absorber de nouveaux éléments de façon organique. Dans ce cas, on est clairement devant un attentat contre le bien commun. Un aspect secondaire, mais très important, c’est l’aspect économique. En proie à sa plus grave crise économique depuis des décennies, l’Europe peut-elle se permettre de prendre en charge des millions d’immigrants sans endommager le bien commun de ses citoyens ? L’immigration organique et proportionnelle a toujours été un facteur sain et fortifiant pour la société, y apportant un nouveau souffle de vie et de nouveaux talents. Cependant, lorsqu’elle devient démesurée et incontrôlée, mettant en danger les fondements de la société et de l’État, elle devient préjudiciable au bien commun. Cela est particulièrement vrai lorsqu’il s’agît de l’immigration au moins potentiellement hostile, d’après les catégories proposées par saint Thomas. L’Europe ferait bien de suivre les sages enseignements du Docteur Angélique. Certes, un pays doit employer la justice et la charité dans le traitement des immigrants. Mais il faut surtout maintenir l’harmonie et le bien commun sans lesquels un pays ne peut pas durer longtemps. Ceci sans mentionner la foi chrétienne, la plus profonde pierre fondatrice de notre civilisation avec la philosophie grecque.
https://www.revue-item.com/12118/saint-thomas-daquin-et-limmigration/
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L'auteur a vu la vidéo d'Usul sur l'Abbé Pierre et pense avoir tout compris au catholicisme
La gauche essaie de récupérer les cathos depuis quelques temps
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La première sourate Al Fatia n'est qu'une introduction, rien de spécial à dire dessus e
Parce que tu lis pas les commentaires (tafasirs), dès la Fatiha ça méprise les autres
Le verset 7 parle des chrétiens et des juifs