up
Aucun khey n'a testé jusqu'à présent ?
J'ai cette merde sur mon fil d'actu FB.
Ca marche vraiment ?
Quelqu'un a déjà testé ?
up
Vous n'allez quand même pas me faire croire qu'il n'y a pas parmi vous un p'tit geek pour faire usage de ses compétences au bénéfice de son prochain en détresse.
Bonjour les kheys.
Quelqu'un peut-il partager ici l'article entier svp ?
Je n'arrive pas y accéder (j'ai essayé les astuces habituelles que sont la navigation privée notamment, mais rien n'y fait) et il est hors de question que je donne 1€ au torchon de l'Obs juste pour un article qui a l'air intéressant.
Merci les kheys.
Le 10 mars 2021 à 12:36:28 Didakk a écrit :
Selfie dehors, un coup de faceapp sans trop abusé, et c'est régléPas besoin de shooting photo
T'as baisé combien de fois grâce à Tinder dis moi ?
Salut les kheys.
Comme vous le savez, la dématérialisation des rencontres ne va qu'en s'accélérant au gré du progrès technologique, et la récente crise du corona a nettement propulsé cette ascension pourtant déjà bien entamée.
Alors, que ça nous plaise ou non, il faut s'adapter.
Le problème, c'est que toutes mes photos sont nulles à chier (des selfies de merde dans ma piaule avec une webcam dégueulasse), ce qui ne me permet pas de m'approprier tout le potentiel des apps de rencontre.
Et je suis prêt à parier qu'il en va de même pour toi mon brave.
C'est pourquoi je me permets d'organiser une IRL en petit comité, sur Aix ou sur Marseille, afin de s'organiser une séance shooting photo pour pouvoir enfin pécho sur les apps de rencontre, comme il se doit en 2021.
Pour organiser tout cela, MP.
Le 19 février 2021 à 20:59:55 ncov-2019 a écrit :
C'est bien la parole se libère mais j'espère que ça va pas nuire au femmes en général, car je remarque que dans ma classe les femmes ont de + en + de mal à trouver un mentor ou maître de d'apprentissage /stage Homme, car il veut pas prendre le risque d'être soupçonné de profiter d'une stagiaire
Ah bon.
Je sais pas dans quel milieu tu es mais, dans certains domaines majoritairement féminin, comme le droit par exemple, ça serait problématique si les meufs ne trouvaient plus de stage.
Le 19 février 2021 à 20:43:12 iDraK a écrit :
Dans l'article de 20min ce qui est relaté à ce sujet sont les propos qu'une étudiante elle même rapporte, pas de l’administration directement.
Bizarrement, ces propos n'ont jamais été démentis par l'administration.
Le 19 février 2021 à 20:41:38 MisterLights a écrit :
L'administration ment pour éviter d'attirer les procès qui nuiraient à leur réputation, non ?
C'est ce qu'il me semblait aussi.
Le 19 février 2021 à 20:31:12 iDraK a écrit :
Mais du coup en effet l’intéressé soutient que le jury était partial du fait de sa composition (une affiliation ne m'étonnerait même pas) et n'était donc pas apte à rendre une telle décision d'autant qu'il s'agit de faits se déroulants hors de l'école.Ça crée en effet un précédent pour ce cas mais qui semble complètement particulier.
Ce n'est pas là-dessus que porte le précédent.
Le précédent porte sur la règle selon laquelle un fait commis en dehors des locaux universitaires peut parfaitement faire l'objet d'une sanction disciplinaire.
Et en même temps, l'administration de Sciences Po Aix fait croire le contraire à ses étudiantes victimes d'agressions sexuelles commises hors des locaux.
(cf l'article de 20 Minutes)
Tu vois ce que je veux dire ?
Le 19 février 2021 à 20:22:10 iDraK a écrit :
C'est quoi ce bordel de monsieur xxx qui est dans des écoles en même temps partout en France.C'est une chimère ce cas ou y'a un truc à comprendre ?
Mais
La dénomination "XXX" sert simplement à anonymiser le nom de la personne mise en cause.
Dans chaque affaire, le nom de la personne poursuivie est changé en "XXX", et non ce "XXX" n'est pas systématiquement le même personnage partout. :rore:
Le 19 février 2021 à 20:17:15 iDraK a écrit :
"M. A...B...a demandé au Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche (CNESER), statuant en matière disciplinaire, d'ordonner, sur le fondement des dispositions de l'article R. 232-34 du code de l'éducation, qu'il soit sursis à l'exécution de la décision du 4 juillet 2016 par laquelle la section disciplinaire de l'institut d'études politiques (IEP) d'Aix-en-Provence a prononcé à son encontre une mesure d'exclusion définitive""Vu la décision prise à l'encontre de Monsieur XXX le 30 juin 2016 par la commission de discipline de l'Institutd'études politiques d'Aix-en-Provence, prononçant l'exclusion définitive de l'établissement, décisionimmédiatement exécutoire nonobstant appel ;"
Problème de date sur la décision initiale.
C'est pareil partout, ensuite il semblerait qu'il ait aussi été viré de paris-sud.
Et il soutient que le jury était partial à son égard en raison de sa composition (peut-être affiliation entre la victime et un ou des membres).C'est le bordel ton histoire.
Ca n'a rien à voir avec Paris Sud et c'est bien la même affaire qui porte le numéro 1257.
En fait, si j'ai bien compris, l'audience disciplinaire a eu lieu le 30 juin 2016 et la décision a été notifiée le 4 juillet 2016, c'est pour cela qu'il y a deux dates.
M. A...B...a demandé au Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche (CNESER), statuant en matière disciplinaire, d'ordonner, sur le fondement des dispositions de l'article R. 232-34 du code de l'éducation, qu'il soit sursis à l'exécution de la décision du 4 juillet 2016 par laquelle la section disciplinaire de l'institut d'études politiques (IEP) d'Aix-en-Provence a prononcé à son encontre une mesure d'exclusion définitive. Par une décision n° 1257 du 13 décembre 2016, le CNESER a rejeté sa requête.
Le 19 février 2021 à 20:06:30 iDraK a écrit :
Même les dates ne correspondent pas, soit je me trompe, soit c'est toi, soit t'essayes de m'arnaquer.
Si si, c'est bien la même affaire !
L'arrêt du Conseil d'État traitait d'une demande de sursis à exécution de la sanction prise en première instance.
Cette demande ayant été rejetée, l'affaire a ensuite été renvoyée au CNESER pour être traitée au fond.
J'ai vérifié 10 fois : il s'agit bien de la même affaire.
Le 19 février 2021 à 20:05:14 iDraK a écrit :
L'IEP d'Aix c'est L'université Paris-Sud maintenant ?
Quel est le rapport ?
Le CNESER se trouve à Paris.
Le Conseil de discipline de l'université statue en première instance ; ensuite, l'étudiant (ou le directeur) peut faire appel devant le CNESER. Et ensuite Conseil d'État.
edit : le lien PDF rapporte plusieurs affaires.
Tu t'es trompé d'affaire, il faut chercher la numéro 1257 (ctrl + F).
Le 19 février 2021 à 19:47:59 iDraK a écrit :
Semblerait dans le premier cas que l'agresseur avait une arme déjà, c'est un fait aggravant, ensuite des bagarres entre étudiants il doit y en avoir des quantités phénoménales, donc une seule expulsion retenue pour la masse de poursuites qu'il doit y avoir ça indique tout de même une politique soit laxiste, soit très peu interventionniste sur ce qu'il se passe hors de l'école, le cas devait très possiblement être à part. Dès lors rien de choquant à ce qu'ils ne veuillent pas intervenir sur les agressions sexuelles pour ne pas les mettre en lumière et éviter d'autant plus ternir la réputation de l'école, et ça, ils y tiennent.
"Avoir une arme", cela veut tout dire et rien dire.
D'ailleurs, la même affaire a fait l'objet d'une décision ultérieure devant le "CNESER" (Conseil National de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche) :
''Considérant que, sur la matérialité des faits, après avoir nié ces derniers, Monsieur XXX reconnait s'être saisi d'un « petit couteau » dont la lame serait inférieure à dix centimètres, pour, dit-il, « effrayer Monsieur ZZZ au cas où ce dernier, cocaïnomane, entendrait le frapper » ; que Monsieur XXX soutient que l'agression n'a eu aucune conséquence sur l'état de santé psychologique, ni sur la scolarité de Monsieur ZZZ ; que bien au contraire, c'est lui qui était harcelé par les menaces répétées de Monsieur ZZZ ; que Maître Geoffroy Lebrun indique encore qu'il n'y a pas eu d'appels téléphoniques malveillants ; que Monsieur XXX soutient enfin que le retentissement des faits sur l'ordre ou le bon fonctionnement de l'établissement n'est pas prouvé ;"
CNESER, 13 février 2020, n° 1257
https://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/file/13/53/1/BO_MESRI_13_1263531.pdf
Donc bon, la gravité des faits est quand même très relative même avec la présence d'une arme ...
Surtout que la "victime" n'est pas toute blanche dans cette affaire non plus, loin s'en faut !
En tout cas, je ne vois pas ce qui justifie d'aller jusqu'au conseil de discipline pour des faits comme ceux-ci et, en même temps, fermer les yeux sur des faits de violences sexuelles, qui selon moi sont quand même pires qu'une simple "agression" caractérisée par une menace avec une arme.
Le 19 février 2021 à 19:40:46 Fberger33-12 a écrit :
Le vrai scandale c'est que les IEP de province se font appeler Sciences Po.Le forum devrait organiser une manif irl pour dénoncer cet abus malaisant.
Manif IRL ?
Que de la gueule.
Le dernier lien fonctionne pas, je le reposte :