Pour info quand un fds fait le test ça donne ça :
Le 21 avril 2023 à 00:55:52 :
Doctorant histoire et civ.
Gauche radicale/coco. Melanchon 1er, Macron 2e
Origine bourgeoises, Père PDG mère secrétaire.
Cheminement : socialo à l'adolescence comme les parents, puis droitisation jusqu'à l'extrême droite car anti immigration et libéral.Finalement je me suis regauchisé en voyant que le capitalisme forçait les gens à bosser comme des esclaves, bousillait la planète et promouvait une destruction de la culture pour promouvoir la standardisation, la profitabilité etc... Je suis contre l'immigration quand elle est faite pour en profiter pour baisser les salaires (ce que fait Macron actuellement avec les nouveaux visa pour les métiers en tension), mais j'ai rien contre l'immigration organique, et je pense de toute façon que l'immigration est pas une prio, même si j'entends qu'elle peut l'être pour les travailleurs qui sont en concurrence directe avec les étrangers.
Je pourrais dvp mes changement d'opinions parce que j'ai vraiment fait un 360 progressif, mais ça va être trop long pour me faire traiter de bourgeois cuck de toute façon.
Tes petits-enfants qui vont grandir dans un séquano-dionysisme hexagonal en mode Boer d'AfS : "l'immigration n'était clairement pas une priorité, il avait raison"
Changez rien les french
Respect à tous mes W d'ED sûrs
Les autres (W) --> la démographie est LE sujet qui surpasse tout le reste
Les autres (non W) --> osef
Nous sommes journalistes de presse écrite, web, radio, télévision et photographes. Nous sommes, par nos histoires, nos origines ethniques, nos couleurs de peau, nos religions, concerné·e·s par le racisme dans la société française, y compris dans les médias. Nous avons décidé de créer l’Association des journalistes antiracistes et racisé·e·s (AJAR) pour s’attaquer au racisme dans le journalisme.
Les rédactions, de gauche comme de droite, restent en grande majorité blanches, notamment aux postes à responsabilités. Il y a urgence à nous y faire une place.
Nous voulons soutenir nos consœurs et confrères discriminé·e·s, exploité·e·s et marginalisé·e·s en école, en recherche d’emploi, en situation de précarité et en rédaction. Inspiré·e·s par les initiatives de l’Association des journalistes LGBTI (AJLGBTI) et de Prenons la une créée par des femmes journalistes, nous nous sommes réuni·e·s afin d’agir ensemble.
Le racisme, de l’école aux rédactions
Le racisme en rédaction, c’est un chef d’un grand journal parisien qui recommande à l’un de nous de changer de nom pour être plus employable. C’est un collègue, dans un média de gauche, qui s’oppose à un sujet sur le racisme anti-asiatique, car ce serait une nouvelle invention «pour une communauté qui cherche à exister». C’est un chef dans la presse professionnelle qui surnomme l’une de nos membres «la petite beurette».
Ces exemples vécus ne sont pas isolés. D’après l’enquête du SNJ-CGT à venir sur le racisme dans les médias, près d’un·e journaliste sur deux ayant répondu à l’enquête est témoin de racisme sur son lieu de travail. Et cela commence dès l’école de journalisme, où les personnes racisées sont en grande minorité et de fait, déjà exclues des réseaux de la profession. Les blagues racistes sont omniprésentes dans les cercles d’étudiant·e·s. Il y a un an, une étudiante noire se voit par exemple affublée d’un filtre singe sur une photo que l’un de ses camarades de classe fait circuler. Il y a quelques mois, pendant le voyage scolaire d’une école prestigieuse, un professeur imite Jean-Marie Le Pen auprès de l’un de nos membres d’origine algérienne. Il blague sur les massacres coloniaux : «Nous faisions barbecue d’Algériens.»
Racisme sur les ondes
Cette marginalisation s’ajoute à un climat de violences racistes dans l’espace public. En février, des journalistes du Poher, hebdomadaire breton, ont été visés par des menaces de mort et une alerte à la bombe, après des articles sur un projet d’accueil de réfugié·e·s. Un billet antisémite sur un site d’extrême droite commente la supposée judéité de deux journalistes de la rédaction, avant de les qualifier de «collabos», puisqu’iels soutiendraient «l’invasion migratoire».
Très régulièrement, des plateaux de télévision aux colonnes des journaux, des propos stigmatisants sont tenus sans que grand monde ne s’en émeuve. Ainsi, en février, pour décrire la désorganisation des débats parlementaires, un sénateur compare l’Assemblée nationale à «un camp de gitans» sur Radio J. L’expression est ensuite reprise, sans être critiquée, par une journaliste sur BFM TV. Comme la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, nous pensons que «l’antitsiganisme n’a pas sa place dans le débat public».
Un mois plus tôt, Omar Sy est interviewé sur son rôle dans le film Tirailleurs, qui raconte l’injustice vécue par les tirailleurs sénégalais. Il pointe du doigt le manque d’empathie envers les victimes de la guerre dans des pays non-occidentaux, comparée à celle accordée aux Ukrainiens. Cette remarque déclenche une avalanche de critiques racistes. Le terme d’«ingratitude» est lâché, plusieurs fois, sur différents plateaux. A des heures de grande écoute, des journalistes exigent d’un Français noir qu’il se fasse petit et dise «merci» pour sa carrière.
En décembre, l’ancien dirigeant de la chaîne LCI déclarait sur CNews que les «musulmans s’en foutent de la République, ils ne savent même pas ce que le mot veut dire». L’obsession médiatique islamophobe frappe régulièrement les musulman·e·s, en particulier les femmes musulmanes portant un foulard.
En janvier 2020, le Courrier picard titre «Alerte jaune», à propos du coronavirus, avec une femme est-asiatique en photo. Le journal finit par s’excuser. Préciser l’origine ou la nationalité des criminels lorsqu’ils ne sont pas européens reste encore un réflexe peu remis en question.
Face à ces constats, nous appelons les rédactions et les écoles à prendre leurs responsabilités. Nous croyons qu’un autre traitement médiatique est possible, respectueux des personnes, donnant la parole aux concerné·e·s. Les dynamiques racistes méritent une attention sérieuse et une couverture médiatique exigeante. Cela passe aussi par le recrutement de personnes racisées et pas uniquement celles issues des milieux les plus favorisés.
(…)
Le 01 mars 2023 à 20:22:21 :
Il a rien a payer ?https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png
C'est pas précisé, il semble bien s'en sortir globalement, sursis + stage et pas de fric à verser
Le 01 mars 2023 à 20:21:56 :
Mais c'était pas mi-février son procèshttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/09/2/1677605664-tete.png ?
Réquisitions --> deux semaines de délibéré --> verdict
Pour rappel l'audience des réquisitions :
Le 01 mars 2023 à 20:00:35 :
Le 01 mars 2023 à 19:58:14 :
La peine de prison devrait être aménagée je pensetu sais lire ?
"a été condamné à 18 mois de prison avec sursis probatoire pendant deux ans"
Bordel en effet merci
(…) Les enquêteurs ont rapidement identifié ce Roubaisien de 28 ans, qui publiait depuis l’ordinateur familial. Mercredi 15 février, au tribunal de Lille, Oualid E. s’avance avec nonchalance vers la barre. C’est un jeune homme tout en longueur, visage fermé, encadré par des cheveux longs qui retombent en boucles sur ses épaules. Le président Mikael Simoens ne réussira jamais à le faire s’exprimer autrement que dans un murmure. Pour Me Justine Leblanc son avocate, cette attitude dissimule « un grand stress vis-à-vis de faits qui ne sont pas de l’antisémitisme mais de la provocation sur fond d’isolement ». La procureure Elodie Bournoville résumera à son tour : « C’est un homme « sans ». Sans travail, sans amis, sans vie amoureuse ni sociale… ».
Sursis probatoire et stage de citoyenneté
Mais sur « Jeuxvideos.com », multipliant les pseudos, Oualid E. devenait un autre en publiant ses sondages antisémites : « un antisémitisme virulent dont il se défend alors que tout son comportement montre le contraire » a conclu le tribunal dans la motivation du jugement, rendu ce mardi après deux semaines de délibéré.
Lors des débats, Oualid E. avait affirmé qu’il « voulait faire de la provocation », ou de l’humour : « Mon seul but était de faire rigoler les gens ». Prêt à tout pour briller : « Je voulais faire le buzz, devenir une popstar du virtuel ».
Il se compare à Desproges
Le président demandera : « Pourquoi les J ? ». Réponse : « Parce que c’est interdit. C’est le tabou ultime. » Oualid E. ira jusqu’à se réclamer de l’humour du Professeur Choron ou de celui de Pierre Desproges. Le président ne peut s’empêcher : « Ils doivent se retourner dans leur tombe en entendant ça ».
Les experts n’ont relevé aucun trouble, juste « une personnalité immature égocentrée ». Oualid E. a eu son bac, erré dans ses études, avant de tout arrêter en 2016. Sur son casier judiciaire, il y a une mention pour conduite sans permis en 2018.
Ruth Elkrief « a eu peur »
Me Louis Cailliez du barreau de Paris porte la voix de Ruth Elkrief : « Elle a eu peur. On n’est pas à l’abri qu’un illuminé prenne au mot ces messages ». Me Clément Loiseau représente BFMTV, « une chaîne très exposée à ce genre de menaces », souligne l’avocat parisien.
Le tribunal a suivi les réquisitions du parquet. Oulid E. a été condamné à 18 mois de prison avec sursis probatoire pendant deux ans. Parmi ses obligations, un stage de citoyenneté.
https://www.lavoixdunord.fr/1297335/article/2023-03-01/un-roubaisien-condamne-pour-avoir-publie-des-menaces-antisemites-sur-internet
Le 25 février 2023 à 18:58:27 :
Bah c'est courant dans le monde et surtout en Afrique les expulsions de masse surtout depuis 5/10 ans. Le Congo Brazzaville a expulsés des centaines de milliers de Congolais KinshasaL'Afrique du Sud des Nigérians et autres, le Sénégal et la Cote d'Ivoire des centaines de milliers de Nigériens, l'Arabie Saoudite 1.3 millions d'Ethiopiens ces 3 dernières années etc etc..
Il n'y a vraiment rien d'exceptionnel le Maroc expulsés aussi des dizaines de milliers de migrants avant que les ONG européenne tombe sur lui, si en Europe on expulse personne c'est pas parce que c'est impossible c'est qu'il y'a une volonté politique d'être une terre de migration et personne s'en cache
Ne pas confondre le refus de laisser passer des OQTF pour les migrants délinquants et le reste
Idem au Népal et en Malaisie notamment, vraiment partout sauf en Europe
Le 25 février 2023 à 18:49:26 :
Le 25 février 2023 à 18:38:38 :
Le 25 février 2023 à 18:36:01 :
La Tunisie peut également récupérer ses ressortissants présents en Francehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494048058-pppppppppppppppppppp.png On rappellera d'ailleurs que l'attentat du 14 juillet 2016 à Nice a été commis par un tunisien.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494048058-pppppppppppppppppppp.png Des milliers de tunisiens sans problème mais vous retenez que ce qui vous arrange.
Comme l'a dit Son Excellence Monsieur Kaïs Saied, c'est une question de changement démographique. Le comportement, même néfaste, est secondaire.
Suite aux propos fermes du président tunisien, les ambassades du Mali, du Congo et du Burkina-Faso proposent à leurs ressortissants un retour volontaire au pays et leur recommandent de bien se comporter
https://twitter.com/F_Desouche/status/1629534723847364610
Tunisie : le porte-parole de la Garde nationale Houssemeddine Jebabli prévient que les Tunisiens qui hébergent ou emploient des migrants clandestins seront arrêtés
https://twitter.com/F_Desouche/status/1629529607098474496
Le 25 février 2023 à 18:11:50 :
Et a sa sortie de taule " dans un an" on va lui ouvrir grand la porte ou l'escorter dans l'avion ?
Pas dit qu'il reparte en effet
Le 25 février 2023 à 18:06:28 :
Fake
ben non
Cet homme souffrant d’une légère déficience avait écouté son cœur en hébergeant ce jeune adulte en déshérence, en juin 2022. Malheureusement, la cohabitation se dégrade rapidement. Le jeune adulte prend littéralement possession de l’appartement et invite des connaissances à consommer des stupéfiants.
L’occupant légitime décide alors de changer les serrures. Pas de quoi arrêter le jeune adulte qui regagne ce qu’il estime ses pénates en faisant sauter la porte. L’occupant de l’appartement est mis à la porte de chez lui et va trouver refuge chez un ami, en janvier 2023, sans avoir eu le temps de prendre ses affaires.
Soucieux de récupérer quelques effets et de mettre fin à cette situation ubuesque, deux proches de l’occupant évincé se rendent à l’appartement, mardi 21 février. Le ton monte rapidement, des coups sont échangés. Le jeune adulte se saisit d’une scie et la lance sur l’un des proches. Et alors que les proches de la victime prennent la fuite, ils sont poursuivis par le jeune adulte armé d’un marteau, d’un couteau et de la scie, en pleine rue, dans le quartier de la gare à Annecy, sur les coups de 17 heures.
C’est un appel à police secours par des témoins de la scène qui permettra l’interpellation de l’homme, en séjour irrégulier sur le territoire français sous différentes identités.
« Je suis chez moi », continue-t-il de clamer, vendredi 24 février, devant le tribunal judiciaire d’Annecy où il est renvoyé dans le cadre de la comparution immédiate pour violences avec arme et menaces de mort. « Vous n’êtes pas sur le bail », lui oppose la présidente.
Le jeune adulte, également sous le coup d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français) a été condamné à 12 mois de prison ferme, avec maintien en détention, interdiction de porter une arme et d’entrer en contact avec la victime.
https://www.ledauphine.com/amp/faits-divers-justice/2023/02/25/il-vire-la-personne-qui-l-hebergeait-et-menace-ses-proches-avec-une-scie-et-un-marteau
Le 25 février 2023 à 12:49:45 :
J'aimerais bien en savoir plus sur l'environnement familial de cet ado/jeune adulte
VIDÉO ICI --> https://twitter.com/MrAndyNgo/status/1629187402345459712