Clearstream, évasion fiscale à Hong-Kong, lien avec la Chine et le Qatar allant jusqu'à siéger dans des conseils de fonds souverains, chargé du cabinet noir de Chirac afin de dissimuler les dossiers du RPR, a l'idée de génie de dissoudre l'assemblée en 97, jamais élu, poursuit la politique européenne malgré le non du référendum de 2005, lanceur du contrat nouvelle embauche et première embauche qui précarisent encore un peu plus les employés et passés au 49.3, cède des parts d'actifs stratégiques type d'Alstom et GDF, en gué-guerre puérile avec Sarkozy depuis des années mais se permet de donner des grandes leçons de géopolitique et de rigueur moralisatrices sur ce qu'est un homme d'État.
Un nom à particule, des punchlines, du charisme, il n'en faut pas plus pour être érigé par les boeufs à mémoire courte obnubilés par la personnalisation du politique, comme leur homme providentiel.
Le 14 septembre 2024 à 13:15:48 :
Le 14 septembre 2024 à 13:12:03 :
c'est quoi le son a la fin de la deuxieme partie du doc ?Du générique de fin de l'épisode 2 ?
https://youtu.be/FQlAEiCb8m0?si=s6eIK1NWVK_zm_mySi tu penses à autre chose dis à quel moment c'est sur la vidéo YouTube de l'épisode
Plus grand morceau de la French Touch
Le 14 septembre 2024 à 12:56:22 :
Le 14 septembre 2024 à 12:50:10 kobemuls a écrit :
Je ne sais pas s'il y a eu la larme mais souvent j'ai été très ému notamment lors d'autobiographie romancé qui prennent aux tripes type Christian Bobin quand il évoque la mort de sa compagne dans plusieurs livres dont La plus que vive - rien que le titre serre le coeur -Ça doit être dur à lire mais encore plus à écrire. Il a raconté sa mort et son deuil tel quel, ou t'as senti qu'il dissimulait un peu son émotion, qu'il l'avait surmonté pour pouvoir l'écrire ?
ou Charles Juliet qui raconte son enfance dramatique dans Lambeaux. Les biographies de Zweig sont aussi poignantes notamment Le combat avec le démon.
Parfois c'est aussi des "larmes" dû à la beauté finissante d'un roman, quand un livre nous accompagne pendant des semaines voir des mois, qu'il est associable à un certain contexte de lecture, et qu'on le termine ému devant la grandeur de l'oeuvre, Le Rouge et le Noir, La Montagne Magique, l'Oeuvre au Noir, L'OdysséeJ'ai souvent eu un sentiment de plénitude à la fermeture d'un livre, mais une larme, jamais avant aujourd'hui
Bobin a une écriture poétique, métaphorique, et très crû parfois. Donc c'est un peu des deux, évidemment il sublime sa tristesse rien qu'en écrivant et en entourant le dramatique de petites touches de moments anodins pour mieux souligner l'omniprésence de sa perte dans son quotidien. Il a fait plein de texte court j'en ai lu qu'une partie mais à chaque fois on sent une grande mélancolie chez lui, sa petite biographie de St François d'Assise - Le Très Bas m'a beaucoup marqué aussi.