Ça empeche de vivre évidemment.
Un prolo à la fac qui sort avec un diplome aura du mal à trouver un emploi en cdi. Par rapport a un pistonné, tôt ou tard, le déterminisme social rattrape le dessus.
Bien sûr que l'herbe est plus verte ailleurs.
Quand tu nais riche tu as moins de problèmes dans la vie.
Tu nais prolo, tu as la pression familiale pour réussir etc.
Naître moche ou beau dqns une fmaille riche a peu d'importance. Ton avenir est toute tracé même si tu es une brêle (pistonnage etc).
Naître moche et pauvre tu es mort d'avance avec le prolo dream.
Naître beau et pauvre, tu peux t'en sortir avec ta beauté. C'est les meufs qui en tirent le plus surtout avec les réseaux sociaux et les trucs comme onlyfans.
La vie c'est de la grosse merde en vrai. Peu de gens sont vraiment heureux dans leur vie. On est nombreux à être des pauvres qui courent derrière le fric mais on pourra sans doute jamais vraiment en profiter.
Je précise tout d'abord que je suis étudiant en psychologie de masse et spécialiste dans l'altération spirituelle contemporaine. J'ai lu énormément d'ouvrages et de recherches pour me permettre de vous pondre ce petit pavé (je ne prétends pas avoir la réponse ultime). Bref, ce n'est qu'un petit détail, ce qui compte c'est l'explication que je vais vous apporter ici. Je tiens en dernier lieu à préciser que je suis apolitique et croyant en la puissance divine d'un être suprême.
D'un côté, les fachos qui prônent des valeurs du Moyen Age et stigmatisent les immigrés comme responsable de l'effondrement du QI en France. Ça se filme avec des banderoles et débatent pendant des heures sur des sujets de merde pour du vent. De l'autre, les gauchos qui prônent le vivre ensemble : venez chez nous mais pas chez moi. Chacun défend un discours de merde voué à être oublié après une nuit mouvementé par l'alcool et le shit.
Dans les deux cas, je constate qu'ils ont tous un sacré problème mental, limite de la schizophrénie et surtout le syndrôme du sauveur (baizuo).
En réalité je vois juste une détresse humaine chez ces grands malades. Ils recherchent juste le besoin d'appartenir à un groupe social et avoir le sentiment de servir une bonne cause mais ne servent en réalité qu'eux même.
Tout n'est qu'une question d'intérêt et donc de camp dans lequel chacun de ces malades sont prêt à intégrer :
1 - Intégrer le groupe des fachos = sentiment d'être un inimitié. Parmi les premiers sujets qui adhèrent aux foutaises dialectiques des pseudos penseurs de l'extrême droite, c'est souvent corroboré avec le complexe de supériorité qui cache en réalité un complexe d'infériorité. En un résumé : des abrutis profonds.
2 - Intégrer le groupe des gauchos = sentiment d'être un serviteur du bien. Parmi ce deuxième groupe de malades, ce sont les plus fourbes, les plus vicieux et les plus caméléons. Ils ne prennent aucun risque d'ordre social et professionnel. En réalité se cache le plus souvent des ordures en puissance et des êtres machiavéliques prêt à adopter la posture du sage pour obtenir des avantages. En un résumé : des laches.
Ma question est la suivante : pensez-vous que la politique a-t-elle encore un sens dans ce pays ?
Tout ce qui arrive en France est le fruit d'une caste bourgeoise politicienne corrompue et d'un peuple laxiste. La politique n'est là que pour diviser les français sur des sujets futiles. La France, le pays le plus taxé au monde où sous les plumes d'un groupe de travail, les élites ont enjolivé le mythe du consentement collectif à l'impôt... où le droit de propriété est censé être le plus absolu mais mis à néant par une surprotection des squatteurs... où du prix du permis de conduire et de l'assurance automobile .... qui de l'héritage et la spolliation de l'État des années de labeurs des Hommes qui ont voué toute leur vie au salariat et au French Dream... quid de la pornographie et de la superficialité issue des réseaux sociaux qui détruisent au quotidien les relations humaines, des relations devenues un pure artifice de cet Ère des grands malades...
Les français sont des égoïstes que veux-tu.
Faut se barrer de ce shithole dès que tu le peux.