Je m'initie à ce langage et y'a un truc qui m'intrigue avec la mutabilité et la durée de vie des variables : je ne comprends pas pourquoi le code suivant ne marche pas : https://play.rust-lang.org/?version=stable&mode=debug&edition=2021&gist=6809e9aaeffe861e2fae98ccfc0d2e1a
Comme je viens d'un background C/C++ je fais une analogie avec les pointeurs et dans la fonction test l'argument arg est une variable mutable, locale à cette fonction, qui pointe vers un i32 emprunté ailleurs (non modifiable dans ce contexte).
Puisque arg est mutable je souhaite le faire pointer vers un autre i32 local à cette fonction (comme arg lui même), mais n'impactant en rien l'objet référencé qui a été passé à cette fonction (ce qui est pointé par arg avant que arg ne soit changé pour pointer sur n à la place).
Je comprends pas pourquoi le compilo fait chier alors que arg et n seront détruits au même moment, c'est a dire a la fin de la fonction test donc où est le putain de problème de durée de vie ?
Le 22 octobre 2022 à 18:55:38 :
Le 22 octobre 2022 à 18:55:05 :
Les Aigre Vingtaigrevin = vinaigre à l'envers
L'Aigre Vingt alors
Le 18 octobre 2022 à 19:20:07 :
masqué
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467335935-jesus1.png C'est comme peindre sur un mur humide sans l'arranger avant
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467335935-jesus1.png
Osef tant qu'il fait frais sur la terrasse
Une autre découverte de l'étude est l'effet majeur sur le climat français des aérosols, ces particules en suspension dans l'atmosphère et souvent issues de la pollution. « On observe que, jusque dans les années 1980, l'effet des aérosols a masqué le réchauffement climatique, au point qu'il n'apparaît quasiment pas dans les instruments », explique Julien Boé, de l'unité Climat, Environnement, Couplages et Incertitudes, l'un des auteurs de l'étude cité par le CNRS.
En clair, la pollution a eu un effet positif en limitant le réchauffement climatique, jusqu'à ce que des réglementations plus strictes limitent les émissions de polluants, moment à partir duquel les températures se sont véritablement emballées.
Les scientifiques français espèrent que d'autres chercheurs modéliseront le climat de leur pays grâce aux outils qu'ils ont développés. « Le code à la base de ces travaux est à la disposition de tout le monde. Il permettra à d'autres équipes ou d'autres services météorologiques de refaire ces calculs facilement pour leur pays ou leur région », détaille l'auteur principal de l'étude, Aurélien Ribes, du CNRM.