Messages de Masterfantasy
Si le jeu commence comme un idle classique, on se rend compte qu'en fait il faut y jouer pour progresser, mais ensuite, on débloque énormément de nouvelles mécaniques de jeu. Attention, le spoil spoile beaucoup, donc ne pas ouvrir si vous ne souhaitez pas être spoilé ^^
Les deux dernières phrases ça va encore je trouve mais pour la première je comprends cette sensation d'être infantilisé.
J'ai jamais trouvé de technique. La meilleure et celle que j'utilise tout le temps finalement, c'est de laisser couler, pour dépenser le moins d'énergie possible, et de m'isoler le plus possible. Maintenant je vis seul et du coup c'est top (même si parfois pesant). J'imagine qu'il y a de meilleures techniques mais je sais pas lesquelles. Je te conseillerai bien le détachement et le lâcher prise, mais je sais combien ça peut bouffer l'esprit d'avoir la sensation de recevoir des piques infantilisantes, donc courage.
Mes valeurs semblent largement différer de la majeure partie de la société, où l'empathie et la gentillesse ne sont pas valorisés.
Passer à côté d'un groupe de gens jeunes me stresse.
Je me sens mal à l'aise dans un contexte où je reste statique et où il y a du monde (comme les cinémas par exemple).
On m'a si souvent dit que j'étais moche que j'ai fini par le croire très longtemps.
Je n'ai pas eu mon bac, j'ai été incapable de respecter une amitié à laquelle je tenais pourtant profondément.
Je me sens même pas assez "mature" pour aller dans l'enseignement supérieur, le taff demandé me paraît trop autonome et pénible ; faire une formation je suis pas contre à condition de rester niveau bac ou alors des formations courtes bien sûr, la personne refuse tout contact avec moi aujourd'hui. y'a pas un jour où je m'en mords pas les doigts.
Tyrannie parce qu'ils sont pas empathique selon ta définition ? Quel enfoiré tu fais ?
Ils t'ont tabasser ?
Tu sais ce que c'est l'empathie ? C'est la capacité de se mettre à la place de l'autre. J'ai pas été tabassé, mais c'était bien plus insidieux que ça. Pour résumer je détestais vivre en leur compagnie.
Je me porte tellement mieux depuis que j'ai plus aucun lien avec eux. On n'a pas du tout les mêmes principes, les mêmes valeurs, les mêmes visions de la vie, et je ne me sentais jamais le droit d'exprimer mon opinion. Si j'ai coupé les ponts c'est que c'était, tout simplement, indispensable pour ma santé mentale.
Penser à sa santé mentale c'est pas être un enfoiré. Et franchement, on ne coupe pas les ponts avec les parents pour deux ou trois défauts ; je suis toujours en lien avec ma grand-mère par exemple, alors qu'elle m'insupporte parfois. Quand on décide de couper le lien aux parents, c'est qu'il y a eu beaucoup d'événements où la situation était terrible à vivre pour moi, et avec jamais de remise en question de leur part.
A ceux qui ressentent le besoin de couper le lien avec leurs parents, n'écoutez pas le jugement des autres, si vous pensez que ça peut vous faire du bien allez-y. Pour ma part ça fait déjà huit ans et je ne compte pas revenir en arrière.
Pour répondre au sujet c'est pas mal de couper les ponts avec ses parents. Si c'est juste "comme ça", c'est très triste mais un enfant le fait généralement parce qu'il a ressenti beaucoup trop de souffrance, c'est rarement "gratuit" en fait.
Ghoster ses parents ? Il n'y a pas d'attitude plus déshonorable, peu importe la raison l'auteur tu vas devoir te ressaisir et vite, sans quoi je ne te considèrerai plus comme un clé
J'espère que t'es ironique. Quand tu en viens à prendre une décision aussi marquante, c'est souvent mérité. Faut pas croire que c'est de gaieté de coeur on aurait préféré avoir des parents capables d'empathie de bienveillance et d'écoute, bref, des "vrais" parents, pas des tyrans quoi.
A partir du moment où t'as pas les mêmes valeurs et où ça part trop souvent en clash et où t'es tout le temps obligé de te taire sous peine de subir la violence, il faut savoir se protéger en coupant tout contact.
Je regrette d'avoir des parents complètement défaillants mais je ne regretterai jamais d'avoir coupé les ponts avec ces mêmes parents défaillants. Je regrette de ne pas avoir eu la chance d'avoir de vrais parents, mais je n e regretterai jamais leur tyrannie.
Parfois on a beau tenter de respecter au maximum les obligations du quotidien (arriver à l'heure, rendre ses devoirs, participer aux tâches ménagères de la maison du mieux possible par exemple), on finit toujours par se faire pourrir :/
Bon courage, vraiment
dur de bien bosser avec moins de cinq heures de sommeil :/
Perso j'ai coupé les ponts avec mes parents et depuis ça va bien mieux pour moi...tout mon soutien
Je me sens bien trop en décalage par rapport au reste du monde. Il suffit de sortir pour sentir des regards teintés de reproche pour aucune raison. J'ai toujours l'impression que les gens ressentent le besoin d'être dans l'attaque/le reproche/le jugement de l'autre, ils semblent chercher une raison pour critiquer l'autre.
Après je vis dans une petite ville avec principalement des personnes âgées alors je ne peux pas rencontrer grand monde.
En plus j'ai 30 ans mais je crois que je ne suis pas comme les autres trentenaires ; mes dix dernières années se sont comme évaporées...
La valeur "travail" que je trouve bizarre et que je ne comprendrai jamais est par ailleurs valorisée par bien trop de gens.
J'ai quelques amis malheureusement ils habitent loin.
2) On n'a pas tous les mêmes compétences (parce que je sais que vous allez penser aux secteurs qui manquent de personnel)
3) Postuler ne veut pas dire être recruté.
4) Pour être pris il vaut mieux être bien habillé et avoir le permis, et pour ça il faut de l'argent.
5) Dans le cas où l'on finit par être recruté il faut une entreprise bienveillante et honnête.
Le SMIC est encore trop bas. L'AAH, même à son montant actuel n'est pas suffisant pour vivre convenablement. Alors le RSA, c'est une vraie galère...