Le 01 avril 2022 à 14:54:36 Kj-Calin12 a écrit :
Macron doit dégager
C'est tout ce qui comptePeut importe qui est élu
non c'est tout ce qui est a droite qui doit etre ecarté
Le 01 avril 2022 à 07:25:57 :
Le 01 avril 2022 à 07:24:33 :
Tkt il en a baisé en offNon, quand Manu a voulu lui arranger le coup avec Angela White, il s'est chier dessus
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/4/1596129454-ahi-fondu.png
source ?
Le 01 avril 2022 à 08:15:27 :
Comment ils peuvent ne pas être au courant bordel
Les Russe putain
Le 01 avril 2022 à 02:13:51 XxconheureuxX a écrit :
qui va feed ça
Jeune puceau calvitié
Mes missives sur tinder lettre morte
Mon vit n'a jamais connu la chair
D'une kheyette assez forte
Ma tete hydrocephale de 2/ 10
Voudrair que je jute dans ton pubis
Con large comme un estuaire
Où meurt mon amoureux reflux
Tu as la saveur poissonnière
l’odeur de la bite et du cul
La fraîche odeur trouduculière
Femme ô vagin inépuisable
Dont le souvenir fait bander
Tes nichons distribuent la manne
Tes cuisses quelle volupté
même tes menstrues sanglantes
Sont une liqueur violente
La rose-thé de ton prépuce
Auprès de moi s’épanouit
On dirait d’un vieux boyard russe
Le chibre sanguin et bouffi
Lorsqu’au plus fort de la partouse
Ma bouche à ton noeud fait ventouse.
Quand tu m’enserres de tes cuisses
La tête ou les cuisses, gorgeant
Ma gueule de bathes délices
De ton jeune foutre astringent,
Où mordant d’un con à la taille
Juste de tel passe-partout
Mon vit point, très gros, mais canaille
Depuis les couilles jusqu’au bout.
Dans la pinete et la minette
Tu tords ton cul d’une façon
Qui n’est pas d’une femme honnête ;
Et nom de Dieu, t’as bien raison !
Tu me fais des langues fourrées,
Quand nous baisons, d’une longueur,
Et d’une ardeur démesurées
Qui me vont, merde ! au droit du cœur,
Et ton con exprime ma pine
Comme un ours téterait un pis,
Ours bien léché, toison rupine,
Que la mienne a pour fier tapis
Ours bien léché, gourmande et saoûle
Ma langue ici peut l’attester
Qui fit à ton clitoris boule-
de-gomme à ne plus le compter
Bien léché, oui, mais âpre en diable,
Ton con joli, taquin, coquin,
Qui rit rouge sur fond de sable ;
Telles les lèvres d’Arlequin.
Nous reniflerons dans les pissotières,
Nous gougnotterons loin des lavabos,
Et nous lècherons les eaux ménagères
Au risque d’avoir des procès-verbaux.
Foulant à l’envi les pudeurs dernières,
Nous pomperons les vieillards les moins beaux,
Et fourrant nos nez au sein des derrières,
Nous humerons la candeur des bobos.
Un soir plein de foutre et de cosmétique,
Nous irons dans un lupanar antique
Tirer quelques coups longs et soucieux.
Et la maquerelle entrouvrant les portes
Viendra balayer – ange chassieux –
Les spermes éteints et les règles mortes.
Viens t’assoir sur mon dard enduit de vaseline
Car je connais tes goûts, ma vicieuse Line,
Et qu’il te faut sentir
Un gros membre enfoncé dans tes chairs élastiques,
Cependant que d’un doigt prompt à te divertir
Par-devant tu t’astiques.
Sur ce clou palpitant assise sans bouger,
Tu n’attends le plaisir que de ton doigt léger,
Mais sitôt qu’il s’amène,
Lancinant et rapide, infernal et profond,
Ton corps comme en fureur sur mon dard se démène
Pour l’entrer jusqu’au fond !
En jupe-culottes
Un soir à Joinville
Vénus la salope
M’a sucé la bite
Son joli chignon
En papier doré
Me faisait bander
Comme un cuirassier