Le délire n'est pas encore né c'est tout.
Un grand avenir lui est promis.
Explosera-t-il dès ce topic ?
On en talk ?
Un meilleur délire, ça existe ?
Persoent -> Je dis BANCOENT
Le 16 janvier 2024 à 22:03:26 :
Bah sors
Je l'ai tellement fait clé crois-moi, l'impression d'avoir forcé ça tout le temps. Je me laisse sombrer maintenant.
Le 16 janvier 2024 à 21:47:43 :
pavé césar, ceux qui n'ont pas lu te saluent
Merci d'avoir lu clé.
Bonsoir les clés
/!\ ATTENTION PAVE /!\ Demandez à ChatGPT de résumer si vous voulez.
Je suis en enorme bad ce soir. Je repense aux dernières années de ma vie et aux choix que j'ai faits.
Pour "résumer" :
Années 1 à 5
- Cliché du khey qui n'a jamais su se mettre au travail.
- Première tentative de deux ans d'études lamentablement foirée.
Absentéisme après quelques mois
jeu de merde sur le PC tout seul toute la soirée
appart dégueulasse
sorties au KEBABENT à minuit.
marches seul en ville
seul alien désintéressé (et encore un peu Célestin) de la classe, etc.
- Trois mois de job d'été en tant que boucher
Partir en vélo à l'aube avec du bon son dans l'enceinte
Faire des tâches simples et précises, ni plus, ni moins, et un peu physiques pour rester en forme
Déconner/tchatcher avec les clients boomers, se démarquer des habituels bouchers
Parfois, se poser avec mes potes dehors le soir
- Puisqu'il faut bien avoir un diplôme, retour à la fac
job planqué à côté pour financer mon loyer.
bons potes, pas forcément de soirées mais bon équilibre. Mes potes se cherchent aussi à ce moment là. C'est un entre-deux agréable.
Année 6
- Année de 'césure' à l'étranger, pour faire un taf rémunéré.
- Je deviens semi-yeslife
- Me donne l'envie de rester dans le pays.
- Je suis peut-être peu lucide sur le long terme, et ne réfléchis peut-être pas à ce que je peux perdre si je décide de changer de pays pour du plus long terme...
Année 7 (maintenant)
- Accepté dans une université étrangère prestigieuse pour un master + stages payés. Planque financière pour la 5e année de suite.
- Des tas de deadlines, de TD, de mémoires, de trucs de stage. Je ne fous RIEN. Submergé en quelques semaines. Je comprends vite que je n'ai pas la rigueur et le rythme des autres.
- Les souvenirs des premières années reviennent et me hantent, petit à petit, je redeviens le seul mec qui se tient avachi en classe, ce qui crée un vague mystère qui n'a aucun intérêt.
- Ces vacances
- Lesdits potes commencent à trouver un taf qui leur convient, une sérénité.
Maintenant
- Je me trouve nostalgique de mon été comme boucher
- Ces derniers jours, je suis comme une larve à la maison, je ne rend pas un mémoire que j'aurais dû faire depuis des mois, j'erre à la maison puis revoyage vers ma fac.
- McDo TOUS les jours en rentrant. Je m'encule plusieurs commandes et rentre avec un putain de mal de bide. Normal après plus de 3 burgers + nuggets + frites + cocas.
- Je cherche à repousser l'heure du sommeil. Preuve en est, je dois me lever dans 6h et dois encore préparer un TD. Pas lu les mails depuis un mois. Probablement pas répondu à plein de trucs.
- J'en suis à boucler sur des sons pour m'enfoncer comme "La morale" de Orelsan ou m'identifier à Gringe: branleur mélancolique MAIS pote avec des mecs qui ont su ou sont en train de surmonter des périodes de doute ou de vide - pathétique j'en conviens. C'est comme si je vivais une adolescence 10 ans trop tard.
BONUS : Côté meufs
- Sorti quelques mois à la fac avec des archétypes de la fille qui tombe amoureuse de moi, est très attentionnée mais a un passé difficile psychologiquement (syndrôme du père absent, etc. ).
- Je ne les ai jamais présentées à mes potes, les voyant toujours comme des histoires séparées de ma relation avec mes potes.
- Les fameuses erreurs qu'on ne peut pas s'empêcher de commettre à nouveau : elles m'ont dit que cela ne les "dérangerait pas" que je les mette enceintes.
- Cette année, j'ai perdu cette déter (qui était relative avant, hein ) de proposer des rencards aux meufs avec qui je parle, comme si mon corps ne me disait plus de perpétuer l'espèce.
Habiter à l'étranger ? Espèce de conclusion
- Je passe sur les retours d'expériences de kheys vivant ou ayant vécu l'expat DREAMENT. Voir leurs topics.
- Je n'arrive absolument pas à être empathique des gens que je côtoie qui parlent d' "aller vivre dans un autre pays", "découvrir le monde", car je sais que ce sont des gens équilibrés qui savent ce qui est bon pour eux, sauront prendre les meilleures décisions et ne se retrouveront pas dans une situation comme la mienne. Contrairement à moi qui me dis que je n'aurais jamais dû rempiler pour cette nouvelle année à l'étranger.
- Ces vacances, j'ai (comme d'habitude maintenant) revu des potes qui me sont très chers. Je me dis parfois que je dois rechercher la "vie simple" avec un sentiment d'appartenance profond aux lieux que je connais, avec lesquels j'ai des souvenirs de potes (ma ville natale), et surtout des potes qui sont extrêmement importants pour moi. Le calcul est simple dans ce cas : mes potes sont plus importants que le reste, donc je vais habiter près d'eux, point barre. Mais si ils décident, eux, de bouger, changer de région pour un taf ou autre ? Suis-je trop needy ? ...
Ai-je simplement passé le fameux 'cap des 2-3 ans' des go expat dream ?
Partir à l'étranger n'a rien changé à mes problèmes ?
Ai-je fait mes choix en fonction des rentrées d'argent à court terme possible, sans me forcer à répondre à la question d'où / dans quel endroit / secteur pro est ma place ?
Faut-il retourner près des miens sans plan B, et avec toujours les mêmes doutes / tourments ?
Dois-je retourner au bercail me donner quelques mois sans rien, au risque de tomber dans le RSA dream ?
J'ai pas envie d'aller me coucher c'est incroyable.
Perso =>
Voilà pour ce pavé. J'ai éludé énormément de choses. Je n'attends aucun conseil.
Merci les clés.
Le 08 janvier 2024 à 01:48:22 :
Fais ton mémoire et prépare tes TD tu iras mieuxEt aime ton destin
Aussi cesse de te poser tant de questions sur le passé et l’avenir recentre toi sur le présent
Merci d'avoir lu et merci pour ta réponse clé.
Bonsoir les clés
/!\ ATTENTION PAVE /!\ Demandez à ChatGPT de résumer si vous voulez.
Je suis en enorme bad ce soir. Je repense aux dernières années de ma vie et aux choix que j'ai faits.
Pour "résumer" :
Années 1 à 5
- Cliché du khey qui n'a jamais su se mettre au travail.
- Première tentative de deux ans d'études lamentablement foirée.
Absentéisme après quelques mois
jeu de merde sur le PC tout seul toute la soirée
appart dégueulasse
sorties au KEBABENT à minuit
marches seul en ville
seul alien désintéressé (et encore un peu Célestin) de la classe, etc.
- Trois mois de job d'été en tant que boucher
Partir en vélo à l'aube avec du bon son dans l'enceinte
Faire des tâches simples et précises, ni plus, ni moins, et un peu physiques pour rester en forme
Déconner/tchatcher avec les clients boomers, se démarquer des habituels bouchers
Parfois, se poser avec mes potes dehors le soir
- Puisqu'il faut bien avoir un diplôme, retour à la fac
job planqué à côté pour financer mon loyer.
bons potes, pas forcément de soirées mais bon équilibre. Mes potes se cherchent aussi à ce moment là. C'est un entre-deux agréable.
Année 6
- Année de 'césure' à l'étranger, pour faire un taf rémunéré.
- Je deviens semi-yeslife
- Me donne l'envie de rester dans le pays.
- Je suis peut-être peu lucide sur le long terme, et ne réfléchis peut-être pas à ce que je peux perdre si je décide de changer de pays pour du plus long terme...
Année 7 (maintenant)
- Accepté dans une université étrangère prestigieuse pour un master + stages payés. Planque financière pour la 5e année de suite.
- Des tas de deadlines, de TD, de mémoires, de trucs de stage. Submergé en quelques semaines. Je comprends vite que je n'ai pas la rigueur et le rythme des autres.
- Les souvenirs des premières années reviennent et me hantent, petit à petit, je redeviens le seul mec qui se tient avachi en classe, ce qui crée un vague mystère qui n'a aucun intérêt.
- Ces vacances
- Lesdits potes commencent à trouver un taf qui leur convient, une sérénité.
Maintenant
- Je me trouve nostalgique de mon été comme boucher
- Ces derniers jours, je suis comme une larve à la maison, je ne rend pas un mémoire que j'aurais dû faire depuis des mois, j'erre à la maison puis revoyage vers ma fac.
- Je cherche à repousser l'heure du sommeil. Preuve en est, je dois me lever dans 6h et dois encore préparer un TD. Pas lu les mails depuis un mois. Probablement pas répondu à plein de trucs.
- J'en suis à écouter des sons pour m'enfoncer comme "La morale" de Orelsan ou m'identifier à Gringe: branleur mélancolique MAIS pote avec des mecs qui ont su ou sont en train de surmonter des périodes de doute ou de vide - pathétique j'en conviens.
BONUS : Côté meufs
- Sorti quelques mois à la fac avec des archétypes de la fille qui tombe amoureuse de moi, est très attentionnée mais a un passé difficile psychologiquement (syndrôme du père absent, etc. ).
- Je ne les ai jamais présentées à mes potes, les voyant toujours comme des histoires séparées de ma relation avec mes potes.
- Les fameuses erreurs qu'on ne peut pas s'empêcher de commettre à nouveau : elles m'ont dit que cela ne les "dérangerait pas" que je les mette enceintes.
- Cette année, j'ai perdu cette déter (qui était relative avant, hein ) de proposer des rencards aux meufs avec qui je parle, comme si mon corps ne me disait plus de perpétuer l'espèce.
Habiter à l'étranger ? Espèce de conclusion
- Je passe sur les retours d'expériences de kheys vivant ou ayant vécu l'expat DREAMENT. Voir leurs topics.
- Je n'arrive absolument pas à être empathique des gens que je côtoie qui parlent d' "aller vivre dans un autre pays", "découvrir le monde", car je sais que ce sont des gens équilibrés qui savent ce qui est bon pour eux, sauront prendre les meilleures décisions et ne se retrouveront pas dans une situation comme la mienne. Contrairement à moi qui me dis que je n'aurais jamais dû rempiler pour cette nouvelle année à l'étranger.
- Ces vacances, j'ai (comme d'habitude maintenant) revu des potes qui me sont très chers. Je me dis parfois que je dois rechercher la "vie simple" avec un sentiment d'appartenance profond aux lieux que je connais, avec lesquels j'ai des souvenirs de potes (ma ville natale), et surtout des potes qui sont extrêmement importants pour moi. Le calcul est simple dans ce cas : mes potes sont plus importants que le reste, donc je vais habiter près d'eux, point barre. Mais si ils décident, eux, de bouger, changer de région pour un taf ou autre ? Suis-je trop needy ? ...
Ai-je simplement passé le fameux 'cap des 2-3 ans' des go expat dream ?
Partir à l'étranger n'a rien changé à mes problèmes ?
Ai-je fait mes choix en fonction des rentrées d'argent à court terme possible, sans me forcer à répondre à la question d'où / dans quel endroit / secteur pro est ma place ?
Faut-il retourner près des miens sans plan B, et avec toujours les mêmes doutes / tourments ?
Dois-je retourner au bercail me donner quelques mois sans rien, au risque de tomber dans le RSA dream ?
J'ai pas envie d'aller me coucher c'est incroyable.
Voilà pour ce pavé. J'ai éludé énormément de choses. Faites-en ce que vous voulez.
Merci les clés.
Le 03 juin 2023 à 14:55:48 SleepyNacolada a écrit :
Les américaine sont toute moche bordel, en Gaufre, Stephens et Keys c'est plus possible faut plus les inviter