78.6%
des Français ont reçu au moins une dose de vaccin, 76.8% ont reçu toutes les doses requises, 33.9% ont reçu une dose de rappel supplémentaire.
Il reste à vacciner
21.4%
des Français avant d'atteindre un taux de vaccination de 100%.
De la population totale
Ce putain de cauchemar, n'oubliez pas les nourrissons
Une prédiction pour Noël
Quand est-ce que les complautistes vont enfin admettre qu'ils ont toujours tort ?
"Les faits se sont déroulés dans la soirée du 2 janvier, devant l'arrêt de bus 17 situé rue Charles Babourd. Alors qu'elle attendait innocemment le bus qui devait la ramener chez elle après une longue journée de labeur, Justine T., une jeune phylogénéticienne de 28 ans, se retrouve pris à parti par l'auteur du crime.
Après un court échange dont la teneur exacte demeure floue, ce dernier aurait brandi un couvercle de boite de conserve affuté puis ouvert le ventre de la victime pour en extraire l'enfant de 7 mois qu'elle portait, avant d'éventer à son tour l'infortuné bambin pour jouer à la corde à sauter avec ses intestins en hurlant « Wesh-wesh-wallah ! J'aime pas la france nique la police ! Je mange pas de porc wesh ! »
Les témoins de la scène, qui décrivent le suspect comme étant de « couleur café », on été entendu par la police, qui recommande la plus grande prudence en cas de contact avec le criminel en fuite. Celui-ci risque une condamnation maximale de deux heures au coin ainsi qu'une privation de dessert pour une durée de trois semaines."
Rousseau est dans un hospice en Italie dédié à la conversions des hérétiques et des mécréants ("des Mores et des J--fs".) Parmi ces derniers, un dénommé Abraham Ruben, originaire d'Alep et dont la profession consiste à se rendre d'hospice en hospice pour toucher la prime qui accompagne la cérémonie du baptême, se prend "d'amitié" pour Rousseau, alors âgé de 16 ans :
Il m’accostait volontiers, causait avec moi dans son baragouin franc, me rendait de petits services, me faisait part quelquefois de sa portion à table, et me donnait surtout de fréquents baisers avec une ardeur qui m’était fort incommode. Quelque effroi que j’eusse naturellement de ce visage de pain d’épice orné d’une longue balafre, et de ce regard allumé qui semblait plutôt furieux que tendre, j’endurais ces baisers en me disant en moi-même : Le pauvre homme a conçu pour moi une amitié bien vive ; j’aurais tort de le rebuter. Il passait par degrés à des manières plus libres, et me tenait quelquefois de si singuliers propos, que je croyais que la tête lui avait tourné. Un soir il voulut venir coucher avec moi ; je m’y opposai, disant que mon lit était trop petit. Il me pressa d’aller dans le sien ; je le refusai encore : car ce misérable était si malpropre et puait si fort le tabac mâché, qu’il me faisait mal au cœur.
Le lendemain, d’assez bon matin, nous étions tous deux seuls dans la salle d’assemblée ; il recommença ses caresses, mais avec des mouvements si violents qu’il en était effrayant. Enfin il voulut passer par degrés aux privautés les plus choquantes, et me forcer, en disposant de ma main, d’en faire autant. Je me dégageai impétueusement en poussant un cri et faisant un saut en arrière ; et, sans marquer ni indignation ni colère, car je n’avais pas la moindre idée de ce dont il s’agissait, j’exprimai ma surprise et mon dégoût avec tant d’énergie, qu’il me laissa là : mais tandis qu’il achevait de se démener, je vis partir vers la cheminée et tomber à terre je ne sais quoi de gluant et de blanchâtre qui me fit soulever le cœur. Je m’élançai sur le balcon, plus ému, plus troublé, plus effrayé même que je ne l’avais été de ma vie, et prêt à me trouver mal.
Résumé : Ruben lui fait des avances, commence à le tripoter et quand il se prend un râteau décide de se branler jusqu'à lâcher la sauce sous les yeux d'un des plus grands écrivains français. Je laisse à chacun le soin d'en tirer les conclusions qu'il souhaite.
si c’était normal de haïr le compatriote 100% humain
T'as plus de compatriotes maintenant, on est devenus une petite minorité apatride comme les gitans ou les judokas.
Des musulmans aux cheveux blonds, Charlie encore une fois à l'avant-garde de la subversion
https://charliehebdo.fr/
C'est pour ça qu'on les aime