Messages de Metro2Dauphine
Le 30 janvier 2021 à 23:53:56 Bas-Rouge a écrit :
La dernière fois que je suis allé dans un centre commercial d'une grande ville : Des meufs vêtues d'un long manteau et d'un sac de marque, et des mecs efféminés à lunettes rondes dottés de muscles attrophiés
Des hommes qui cherchent à se viriliser
Le 30 janvier 2021 à 23:52:11 EnormeChibrax a écrit :
Le 30 janvier 2021 à 23:49:51 Metro2Dauphine a écrit :
Le 30 janvier 2021 à 23:48:10 EnormeChibrax a écrit :
Putain c’est tellement vrai les quais.Je vis à paris et j’ai JAMAIS fait une seule rencontre intéressante, je pars au taff en mode bot automatique, j’envoie chier les mêmes sdf, les gens sont sur le tel toute la durée du métro et même dehors, aucun contact social dans cette jungle nauséabonde hormis au taff.
Même à la salle de sport c’est full égoïsme.
Je fais que croiser ces petites pétasses parisiennes hautaines en boots cuir et jean brut des années 70s, manteau long et la gueule enfarinée, qui courent et s’empressent d’aller partout, mais à la fois nulle part...
Et avec leur bouteille de vin blanc
Après c’est les grandes villes qui sont comme ça c’est pareil partout khey...
Les vraies rencontres tu les fais au taff, pendant tes études, mais dans une ville aussi dégueulasse qui t’inonde de stress, tu peux pas lier des rencontres intéressantes.
Les mêmes bars sont pris d’assaut systématiquement, les terrasses sont blindées, le bruit omniprésent, les petits groupes et les couples déjà formés, ça pue la bienséance, je supporte plus ces endroits de merde.
Bien content que le covid ait tout niqué, au moins je savoure le calme et les choses simples...
Les yeslife qui se retrouvent confinés dans des 20 m²
Le 30 janvier 2021 à 23:50:34 japonaine a écrit :
Chopper des meufs sur des applis cest facile à paris mais construire un groupe d amis apres les etudes cest pas possible à moins d avoir des collègues intéressants et ouvertsHeureusement on se fait des potes parmis les expats
Mais tu valides mon topax ?
Le 30 janvier 2021 à 23:48:10 EnormeChibrax a écrit :
Putain c’est tellement vrai les quais.Je vis à paris et j’ai JAMAIS fait une seule rencontre intéressante, je pars au taff en mode bot automatique, j’envoie chier les mêmes sdf, les gens sont sur le tel toute la durée du métro et même dehors, aucun contact social dans cette jungle nauséabonde hormis au taff.
Même à la salle de sport c’est full égoïsme.
Je fais que croiser ces petites pétasses parisiennes hautaines en boots cuir et jean brut des années 70s, manteau long et la gueule enfarinée, qui courent et s’empressent d’aller partout, mais à la fois nulle part...
Et avec leur bouteille de vin blanc 
Même si il est parfois superficiel, parce qu'on va souvent aimer les filles les plus belles, ou qu'elles vont être attirées que par les mecs les plus beaux ou intelligents, les sentiments eux sont bien réels, pas artificiels.
Une fois adulte... c'est plus la même chose, plus du tout. C'est comme une partie de poker. Tu joues tes cartes, tu bluffe, t'essayes de mettre l'adversaire à terre, pas parce que t'en as envie en plus, mais parce que tu sais que c'est toi ou lui. Qu'il essaie de faire la même chose.
Une fois que t'as compris comment fonctionne la femme, c'est plus de l'amour. C'est une foutue comédie, une mise en scène ridicule... tu joues, tu lui montres ce qu'elle veut voir, ce qu'il faut qu'elle voit pour s’intéresser à toi. Autrement dit, tu joues le rôle du mec PARFAIT sur tous les points. Confiant, qui ne doute pas de lui à un seul instant, aussi intelligent et drôle que possible, tout aussi alpha... et surtout, tu noies toute forme de sentiments, tu caches tout ce que tu ressens, parce que tu sais qu'autrement tu seras fiché en tant que faible direct.
Bref, tu lui montres l'image d'un mec solide et avec qui elle pourra se voir un avenir, mais tu lui montres rien du tout de ce que t'es réellement, y'a aucun naturel, t'essaies juste de correspondre à un idéal de société.
Et, là, si l'amour est superficiel, les sentiments eux aussi le sont. Ils ne sont plus réels, c'est des intérêts, plus des sentiments.
Ah...maintenant je comprends, pourquoi tout les vieux avec qui je parlais me disaient que l'adolescence était une période bénie des dieux.