Comment on fait l'acier, le ciment et du plastique sans pétrole ? Et l'engrais, on la fait comment sans pétrole ?
On transporte ça comment avec le nucléaire ?
Personne ne parle de l'entièreté de la chaine de production et des besoins logistiques.
Des gens utilisent linux pour avoir un workflow plus rapide aussi. Tu peux tout installer via des outils comme Ansible donc t'as même pas besoin de passer ta vie à tout installer, tu fais une fois des fichiers configs et c'est bon.
T'as aussi i3, tmux, vim, unix, etc. Une fois que tu maitrises tout ça tu peux aller très vite pour dev, et quand quelque chose te plaît pas, tu peux le changer facilement.
Mais bon la plupart des devs se foutent complètement de leur setup à partir du moment où ils sont payés, et ils ont bien raison. Ce qui compte au final c'est la manière dont tu codes, la vitesse, c'est important quand t'es dans le top 5%.
Le classement secret c'est :
Linux si t'es un ancien joueur de StarCraft orienté backend > Mac si tu veux pas perdre de temps pour travailler + tu fais du design, frontend, ios > windows si jouer + streaming est important pour toi, ou que tu veux bosser pour des boites avec des serveurs windows / Azure ou powershell.
Dans tous les cas il y a des désavantages, mais quand tu touches pas à la suite office, que t'utilises figma, que tu sais chercher sur Google comment installer x ou y et que tu peux te passer de serveur windows ( et encore possible sous VM) / iOS, tu peux te passer du reste.
Maintenant c'est un investissement et la plupart des gens n'y verront aucune utilité.
Aussi la majorité des gens lambda s'en foutent de leur os, c'est juste utilisé pour lancer chrome. Ma mère de 50 piges a jamais vu la différence entre windows et linux.
Le 21 janvier 2022 à 11:29:10 :
Le 21 janvier 2022 à 11:19:55 :
Concentre-toi sur ce que tu peux influencer. Il faut faire avec ce qu'on a fait de nous-mêmes. Rien ne t'empêche de contribuer à l'humanité à ta manière, avec les moyens que tu possèdes. Tu es aussi dans une période de ta vie où tu auras plus de stabilités, où tu pourras te construire une identité qui ne dépend pas des autres.Aussi, si tu cherches réellement à contribuer au monde, il faut commencer par investir en toi. Te donner le temps d'aller mieux, il faut pouvoir te montrer sous ton meilleur jour, ou être capable de prendre du recul pour faire le point.
En définitive, la vie n'est pas une course. Courir vers l'argent n'est pas une solution non plus. Beaucoup de médecins se retrouvent bien déprimés quand ils ne trouvent pas l'âme sœur : passer autant de temps à étudier n'améliorent pas leurs situations.
C'est ce que je me dis parfois pour remonter un peu la pente, que je pourrais faire un truc de mon côté d'utile, mais je dois être trop formaté par le schéma de l'utilité que dans le cadre du travail...
Pour le reste c'est aussi ce que je pense, que les médecins ont beau avoir un statut, un bon salaire, une utilité indéniable, est ce pour autant la recette du bonheur ? Sans doute pas, mais au moins quand le médecin déprime un coup il se dit "Bon ça va ma situation n'est pas dégueu, je suis médecin quand même..."
Je pense qu'il faut savoir être honnête et regarder le monde objectivement. A ta place je mesurerais en terme de qualité et non de quantité. Un médecin semble aider beaucoup de gens, faire de la recherche semble être mieux qu'un travail lambda, mais ça reste très relatif. Je donnerais plus de valeurs à certains livres qu'à un médecin en terme de contribution pure à l'humanité. Il en va de même pour certaines entreprises, certaines musiques, certains artisans, etc.
A titre personnel je pense que le status social ou le salaire n'est qu'une illusion. Un minimum reste important pour ne pas être précaire, mais au bout d'un moment, ça ne t'apporte plus grand chose. Je pense aussi qu'il faut déconstruire les idées reçues sur la réussite et le bonheur, se permettre de jouer avec leurs définitions pour trouver un monde qui nous convient.
Concentre-toi sur ce que tu peux influencer. Il faut faire avec ce qu'on a fait de nous-mêmes. Rien ne t'empêche de contribuer à l'humanité à ta manière, avec les moyens que tu possèdes. Tu es aussi dans une période de ta vie où tu auras plus de stabilités, où tu pourras te construire une identité qui ne dépend pas des autres.
Aussi, si tu cherches réellement à contribuer au monde, il faut commencer par investir en toi. Te donner le temps d'aller mieux, il faut pouvoir te montrer sous ton meilleur jour, ou être capable de prendre du recul pour faire le point.
En définitive, la vie n'est pas une course. Courir vers l'argent n'est pas une solution non plus. Beaucoup de médecins se retrouvent bien déprimés quand ils ne trouvent pas l'âme sœur : passer autant de temps à étudier n'améliorent pas leurs situations.
L'objectif, c'est de stabiliser les naissances dans les pays en voie de développement justement. Plus un pays est éduqué (surtout les femmes), moins il a d'enfants, c'est de ça qu'il parle. Les prédictions pour 2050 vont de 8 milliards à 10 milliards. Plus ces pays se développent, plus on tend vers 8-7 milliards.
Ils parlent de vaccins contre les maladies d'Afrique en plus.
M. Gates estime que la réduction de la mortalité infantile par le développement de la vaccination peut freiner la croissance démographique dans le monde. Il considère que ce progrès conduira, à terme, les parents à concevoir moins d’enfants, s’ils savent qu’ils vivront longtemps et en pleine santé. A terme, cela réduirait donc l’accroissement de la population mondiale.
Lisez au moins l'article.
Aussi on parle de réduction de la population depuis un moment, bien avant le COVID. Si il ne reste plus que des pays développés, à terme on arrive à la même chose qu'au Japon mais dans le monde. C'est ça qui fait peur sur le long terme. Les conséquences d'une diminution drastique de la population.
Ce qu'on peut critiquer chez Bill Gates c'est les solutions face à ces problématiques, ses investissements financiers qui vont à l'encontre de son discours et l'utilisation capitaliste de son association pour défendre les intérêts américains en Afrique.