Le 21 novembre 2021 à 22:59:16 :
c'est pas de leur faute, ils ont étés conditionnés ainsi
je sais mais bon
Le 21 novembre 2021 à 22:57:38 :
T'es perché khey
la signature
Le 21 novembre 2021 à 22:56:29 :
Oui , mais je préfère honnêtement la bible (NoJoke je trouve çà plus stylée que n'importe quelle livre en dépit de mon a athéisme l'op manque juste de culture )
pourquoi tu dis que je manque de culture ? j'ai pas suivi ton raisonnement la NO JOKE
Le 21 novembre 2021 à 22:55:14 :
Mashallah khey qu'Allah tout puissant te guide vers la paix intérieur
oui oui allez
Le 21 novembre 2021 à 22:55:22 :
Mettre tlm dans le même panier
Le 21 novembre 2021 à 22:51:19 :
À gerber wallah
je préfère encore les rats que ces métissolâtres
Le 21 novembre 2021 à 22:48:36 :
+1 l'op
Le 21 novembre 2021 à 22:47:23 :
Encore un topic de vieux con qui déteste la nouvelle génération ?
Je m'installe en dépit du fait que je sois un 2000
réponds dans les faits
Le 21 novembre 2021 à 22:46:13 :
Mais encore
Ils font souvent des fautes d'orthographe grossières
Des pyjs qui idolâtrent Macron ("Bonjour on est Vendredi", McFly et Carlito à l'élysée..) , métissolâtres, souvent issus eux-mêmes d'un métissage répugnant (Italo-Malien par exemple), athées mais évidemment soumis à l'influence islamique (la seule chose qu'ils respectent ces gros lâches )
Ils n'ont souvent jamais lu un livre, jamais lu un tintin ou un astérix , ils n'ont aucune culture, ne connaissent ni Jean Gabin, ni Alain Delon, ni Belmondo, enfin ne connaissent rien de ce qui s'est passé avant leur naissance, à part les bases de la repentance qu'on leur a apprises à l'école (France=colonialisme, démocratie=bien, racisme=mal).
Dire que c'est ça l'avenir
https://www.lefigaro.fr/vox/societe/christophe-guilluy-on-nous-fait-craindre-depuis-trente-ans-le-retour-du-fascisme-c-est-du-theatre-20211121
La pandémie a-t-elle bouleversé le clivage que vous décrivez? Le «monde d’après» sera-t-il caractérisé par un exode urbain?
En effet, le marché immobilier des villes moyennes, près des grandes métropoles, frémit un peu. Cela n’est cependant pas synonyme de rupture totale avec les grandes métropoles. Ces personnes mobiles sont majoritairement des CSP+ qui investissent dans des territoires déjà convoités. Quand on voit les marchés immobiliers qui frémissent, ce sont les zones déjà gentrifiées, notamment les littoraux atlantiques, les beaux villages, etc.
Ce qui me fascine autour de cette interrogation sur l’exode urbain, c’est le biais qu’il révèle. On se fiche de savoir ce qu’est le devenir de ceux qui vivent déjà dans la France périphérique (entre 60 % et 70 % des Français). Les élites pensent que l’avenir de ces territoires dépend de l’arrivée du bobo parisien, bordelais ou lyonnais. En réalité, l’arrivée de CSP+ par exemple sur les littoraux et dans les beaux villages de France fait qu’aujourd’hui les jeunes issus de milieux populaires ne pourront pas vivre là où ils sont nés. Ils sont obligés de se délocaliser le plus loin possible du littoral dans ce qu’on nomme le rétro-littoral, voire plus loin encore. Propriétaire à la mer, c’est fini pour les classes populaires. La vue sur la mer sera demain réservée aux catégories supérieures qui se seront rendues propriétaires de l’ensemble des littoraux. Cette violence invisible, cette appropriation, rappelle celle qu’ont connue les grandes villes hier et il n’y aura pas de retour en arrière.
On organise une société avec un modèle économique ultra-inégalitaire qui ne bénéficie qu’aux 20 % les plus aisés. On laisse filer les logiques de marché et, logiquement, les gens achètent leur résidence secondaire là où c’est beau et on se fiche du destin des jeunes issus des catégories populaires, nés sur ce territoire et qui vont devoir déménager. On tiendra des grands discours, on organisera des assises du territoire, des élus locaux diront que c’est scandaleux, mais, comme on ne veut pas bouger sur le fond, on renforcera un ressentiment énorme des catégories populaires. Ce ressentiment alimente in fine le mouvement existentiel et social des classes populaires et moyennes occidentales. Et puisque les élites ne veulent ou ne peuvent pas y répondre, elles tiendront les populations par la peur. La gestion par la peur consiste à promettre l’apocalypse, qu’elle soit démocratique, écologique ou sanitaire. L’apocalypse démocratique consiste par exemple à nous faire croire depuis trente ans à l’arrivée du fascisme. C’est du théâtre et cela permet de rabattre éternellement les indécis ou le gros bloc des retraités vers les partisans du modèle globalisé. Les citoyens auront peur du fascisme, de l’apocalypse sanitaire ou encore de l’apocalypse écologique. Toutes ces peurs permettent à des gouvernements impuissants de rabattre vers eux des citoyens qui ne votent plus par adhésion mais par crainte de l’apocalypse. Il n’y a aucune adhésion au macronisme. Seulement un vote de peur. S’il est réélu, le lendemain il s’effondrera dans les sondages.