Chapitre 19
Vous vous êtes empiffré, quand soudainement la porte de la chambre s'ouvre, laissant apparaître Marie dans une jolie robe rouge mettant en valeur ses formes, avec chaussures à talons assorties. Elle est surmaquillée pour se donner un effet bimbo.
Dans cet accoutrement, Marie vous plaît un peu moins, cependant elle remplit assurément son rôle de catin à châtier comme elle le désirait pour sa mise en scène.
Vous vous lancez, sûr de vous.
<< Qu'est-ce que c'est que cette tenue ?! >>
<< Oh c'est bon lâche moi t'es pas mon père ! >>
Rétorque-t-elle avec un accent de pétasse bien prononcé.
<< Tu ressembles à un petite pute ! Combien la passe ?! >>
<< Vas-y t'es relou ! J'suis sûr t'as une ptite teub mdr ! >>
Vous ne manquez pas d'assurance, et jouez pleinement votre personnage.
<< Quand tu l'auras en travers de la gueule, je t'entendrai moins, pour sûr ! >>
<< Hiiinn même pas cap euh ! >>
Elle tire sa langue qui vous a tant procurée de plaisir.
Marie aussi joue bien, une véritable actrice, notamment dans la gestuelle et les mimiques.
<< C'en est trop ! Les putes c'est dans le bac à putes ! >>
Vous vous avancez d'un pas rapide et confiant vers elle, qui mime la surprise.
<< Hey mais mec t... >>
Schlaa.
Claque dans sa gueule.
<< Tu la fermes ! C'est après que faudra ouvrir la bouche, et bien grand je te prierai ! >>
Lui dites-vous de votre plus virile voix, en même temps vous lui saisissez une grosse touffe de cheveux et lui descendez le visage proche de votre verge.
<< Vas-y c'est bon trop relou pas le bac à putes euh. >>
<< Oh que si ! Et tu ne sortiras de là que lorsque tu auras vidé cinquante bites ! Compris la pute ?! >>
Vous ne lui laissez pas le temps de répondre, vous ouvrez le portillon de la petite armoire perforée et la rentrez de force sans ménagement, avant de refermer puis verrouiller.
<< Voilà une bonne chose de faite ! Te voilà à ta place, pute ! >>
<< Mais euh ! Fait tout noir là dedans j'ai peur. >>
<< Silence ! Et prépare toi à recevoir ce pourquoi tu existes ! >>
Vous insérez votre pénis en érection dans l'orifice latéral de l'armoire jusqu'à arriver en butée par votre balluchon. Pas de réaction de sa part.
<< SUCE BORDEL !!! SUCE !!! >>
<< Chuuuut pas trop fort mdr y a mamie en bas elle va nous cramer ! >>
<< Ah oui merde pardon, c'est comme tu veux sinon ? >>
<< Oui oui nickel reprends ! >>
<< Ok cool. Je disais, suce bordel ! Suce ! >>
<< S'il vous plaît monsieur laissez-moi sortir ! Je ne suis qu'une petite dévergondée qui voulait faire l'intéressante et se faire remarquer. Je suis vierge et je n'imaginais pas ma première fois de la sorte. Je suis une gentille fille qui aime les animaux et le dessin, je lis aussi et j'étudie dans le domaine de la recherche scienti... >>
<< Mais ferme-là ! Tu vas la sucer cette queue bordel de merde ! >>
Elle donne quelques coups de langue très légers.
<< Pitié mlgpfl monsieur mlgpf pitié mflgp je vous en prie slurp laissez-moi sortir de … >>
L'excitation grandissante, votre personnage dans la peau, vous commencez à secouer le meuble dans tous les sens et en lui donnant des coups de reins.
<< SUCE PUTAIN DE MERDE !! SUCE !! TU VAS LA SUCER CETTE BITE !! SUCE BORDEL DE DIEU !! ESPECE DE SALOPE VA !! JE VEUX T'ENTENDRE T'ETOUFFER AVEC !! SUUUUCE !! >>
Hurlez-vous tout en fracassant le meuble et le claquant par terre, vous alternez les deux trous, elle suce enfin comme elle a montrée qu'elle savait si bien le faire.
<< sluslurp sluslurp sluslurp sluslurp ! >>
Elle est au rythme des allers-retours.
Marie tète votre gland, ses petits pincements baveux procurent une sensation de dingue.
La sauce ne va pas tarder à sortir.
Cependant, vous ressentez un fort courant d'air venir de derrière.
La sauce ne sortira pas.
La porte de la chambre s'est brutalement ouverte.
Vous vous retournez et vous figez presque immédiatement.
C'est Samantha, mère de Marie, qui visiblement est déjà de retour et n'a pas frappée avant d'entrer.
<< NAN MAIS JE RÊVE ?!! >>
Chapitre 20
Il faut dire que le spectacle n'est guère reluisant ; vous, l'esclave désigné du foyer, êtes à poil en train de culbuter un meuble, tout en insultant copieusement Marie que Samantha devine à l'intérieur.
Vous devenez blanc comme un linge, et votre cœur s'emballe, la peur vous envahit, vous êtes figé.
<< JE SUIS EN TRAIN DE RÊVER C'EST PAS POSSIBLE !? >>
Trouvant la force de vous mouvoir, vous sortez votre sexe gouttant de salive de l'armoire, et tentez de vous approcher de Samantha en articulant sommairement un semblant de justification.
<< Heu B-B-Bonsoir m-m-mad-madame je-je peux tout vous expli... >>
Pas le temps d'en dire plus, vous ne l'avez pas vu venir, vous êtes violemment frappé au visage et vous effondrez au sol, battu par ko.
o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o
Vous reprenez vos esprits peu à peu, vous avez l'impression d'avoir pris un train de plein fouet, vous ne savez pas combien de temps vous êtes resté inconscient, vous ouvrez les yeux et visualisez votre environnement, il n'est pas familier.
Vous êtes dans une pièce sans fenêtres, du béton au sol et aux murs, ainsi que de l'acier au plafond que vous peinez à discerner car de puissants néons vous éblouissent.
Cela ressemble à une enceinte fortifiée, d'autant que la pièce mesure facilement quarante voir cinquante mètres carrés, en plus d'une hauteur sous plafond importante.
Divers rangements métalliques cadenassés sont accrochés aux murs.
Il y a une table en métal s'étendant sur tout un pan d'une façade vous faisant face, sur laquelle un gros sac de sport noir est déposé, vous apercevez également des caisses sur roulettes en dessous.
<< Qu'est-ce que c'est que cette histoire encore ?! >>
Vous constatez que vous êtes assis et repérez d'épaisses sangles à cliquet vous retenant les poignets, les tibias, le haut des genoux et au cou. Pratiquement aucun liberté de mouvement, impossible de bouger, d'ailleurs vous êtes toujours nu.
Comme la dernière fois, vous vous replongez dans une sorte de bilan de votre vie, essayant de comprendre ce qui vous a fait atterrir ici. En vain, vous n'avez pas d'explications rationnelles.
Brutalement, vous êtes ramené à la réalité, un bruit sourd se fait entendre de derrière vous, sans que vous puissiez vous retourner. Le même bruit se réitère, et des claquement de talons hauts se rapprochent de vous, s'intensifiant jusqu'à en dévoiler leur source.
<< * chantonne paisiblement * >>
Samantha, évidemment.
Elle est, hormis la tête, intégralement revêtue d'une combinaison ultra moulante en latex noire. Bien qu'extrêmement sexy, le fait de la revoir après ce qu'elle a découvert vous inquiète énormément.
<< Bienvenu en enfer fils de pute. >>
<< … >>
<< Enfin plutôt devrais-je dire, ton enfer, pour moi c'est le paradis. Tout est question de point de vue. >>
Elle marque un silence entre chacune de ses phrases. Vous profitez de l'un d'eux pour vous adresser à elle timidement.
<< Qu'est ce que vous voulez ?! Et où est-ce que je suis ?! >>
Elle vous fixe, vous baissez les yeux, elle reprends la parole.
<< Vois-tu, j'occupe un poste hiérarchiquement très haut placé au sein d'une prestigieuse manufacture internationale spécialisée dans la conception d'objets en plastique, caoutchouc et polymères de synthèse. >>
<< D'accord. >>
<< Je gagne plus d'argent que tu n'en auras jamais, j'ai tout un réseau de contacts très influents et dispose, comme tu l'as constaté, d'un petit bunker personnel. Celui-ci n'est sur aucune carte, il est profondément enterré et généreusement équipé. >>
<< … >>
<< Personne ne sait que tu es là Célestin, et le plus amusant c'est que personne ne te recherche. Pas même ta traînée de mère à qui tu fais honte depuis bien trop longtemps d'ailleurs. >>
<< Et donc ? >>
<< Te rends-tu compte que tu as osé baiser ma fille ? Chez moi, et en me mentant ouvertement ? >>
Elle se dirige vers le sac de sport sur la table et l'ouvre, pour en extraire une longue cravache.
<< Nan madame vous n'allez quand même pas me battre ?! >>
Vous flippez et suez à grosses gouttes, des larmes vous viennent, cette situation est pour le moins embarrassante.
<< Oh mais je vais te faire bien pire ! >>
Dit-elle en se retournant face à vous.
<< Je vais te torturer pendant des semaines entières mon chéri, et tout particulièrement sur ton petit trois pièces ! >>
Murmure-t-elle en vous tapotant les testicules qui pendouillent grâce à une ouverture.
<< Je vais t'humilier de toutes les façons possibles Célestin, pour une fois dans ma vie je ne me fixerai aucune limite, la vue d'un homme qui souffre m'excite, je vais m'accorder ce plaisir chaque jour, tu pourras hurler de toutes tes forces, personne ne te viendra en aide. Est-ce que tu saisis ? >>
<< … >>
Chapitre 19
Vous vous êtes empiffré, quand soudainement la porte de la chambre s'ouvre, laissant apparaître Marie dans une jolie robe rouge mettant en valeur ses formes, avec chaussures à talons assorties. Elle est surmaquillée pour se donner un effet bimbo.
Dans cet accoutrement, Marie vous plaît un peu moins, cependant elle remplit assurément son rôle de catin à châtier comme elle le désirait pour sa mise en scène.
Vous vous lancez, sûr de vous.
<< Qu'est-ce que c'est que cette tenue ?! >>
<< Oh c'est bon lâche moi t'es pas mon père ! >>
Rétorque-t-elle avec un accent de pétasse bien prononcé.
<< Tu ressembles à un petite pute ! Combien la passe ?! >>
<< Vas-y t'es relou ! J'suis sûr t'as une ptite teub mdr ! >>
Vous ne manquez pas d'assurance, et jouez pleinement votre personnage.
<< Quand tu l'auras en travers de la gueule, je t'entendrai moins, pour sûr ! >>
<< Hiiinn même pas cap euh ! >>
Elle tire sa langue qui vous a tant procurée de plaisir.
Marie aussi joue bien, une véritable actrice, notamment dans la gestuelle et les mimiques.
<< C'en est trop ! Les putes c'est dans le bac à putes ! >>
Vous vous avancez d'un pas rapide et confiant vers elle, qui mime la surprise.
<< Hey mais mec t... >>
Schlaa.
Claque dans sa gueule.
<< Tu la fermes ! C'est après que faudra ouvrir la bouche, et bien grand je te prierai ! >>
Lui dites-vous de votre plus virile voix, en même temps vous lui saisissez une grosse touffe de cheveux et lui descendez le visage proche de votre verge.
<< Vas-y c'est bon trop relou pas le bac à putes euh. >>
<< Oh que si ! Et tu ne sortiras de là que lorsque tu auras vidé cinquante bites ! Compris la pute ?! >>
Vous ne lui laissez pas le temps de répondre, vous ouvrez le portillon de la petite armoire perforée et la rentrez de force sans ménagement, avant de refermer puis verrouiller.
<< Voilà une bonne chose de faite ! Te voilà à ta place, pute ! >>
<< Mais euh ! Fait tout noir là dedans j'ai peur. >>
<< Silence ! Et prépare toi à recevoir ce pourquoi tu existes ! >>
Vous insérez votre pénis en érection dans l'orifice latéral de l'armoire jusqu'à arriver en butée par votre balluchon. Pas de réaction de sa part.
<< SUCE BORDEL !!! SUCE !!! >>
<< Chuuuut pas trop fort mdr y a mamie en bas elle va nous cramer ! >>
<< Ah oui merde pardon, c'est comme tu veux sinon ? >>
<< Oui oui nickel reprends ! >>
<< Ok cool. Je disais, suce bordel ! Suce ! >>
<< S'il vous plaît monsieur laissez-moi sortir ! Je ne suis qu'une petite dévergondée qui voulait faire l'intéressante et se faire remarquer. Je suis vierge et je n'imaginais pas ma première fois de la sorte. Je suis une gentille fille qui aime les animaux et le dessin, je lis aussi et j'étudie dans le domaine de la recherche scienti... >>
<< Mais ferme-là ! Tu vas la sucer cette queue bordel de merde ! >>
Elle donne quelques coups de langue très légers.
<< Pitié mlgpfl monsieur mlgpf pitié mflgp je vous en prie slurp laissez-moi sortir de … >>
L'excitation grandissante, votre personnage dans la peau, vous commencez à secouer le meuble dans tous les sens et en lui donnant des coups de reins.
<< SUCE PUTAIN DE MERDE !! SUCE !! TU VAS LA SUCER CETTE BITE !! SUCE BORDEL DE DIEU !! ESPECE DE SALOPE VA !! JE VEUX T'ENTENDRE T'ETOUFFER AVEC !! SUUUUCE !! >>
Hurlez-vous tout en fracassant le meuble et le claquant par terre, vous alternez les deux trous, elle suce enfin comme elle a montrée qu'elle savait si bien le faire.
<< sluslurp sluslurp sluslurp sluslurp ! >>
Elle est au rythme des allers-retours.
Marie tète votre gland, ses petits pincements baveux procurent une sensation de dingue.
La sauce ne va pas tarder à sortir.
Cependant, vous ressentez un fort courant d'air venir de derrière.
La sauce ne sortira pas.
La porte de la chambre s'est brutalement ouverte.
Vous vous retournez et vous figez presque immédiatement.
C'est Samantha, mère de Marie, qui visiblement est déjà de retour et n'a pas frappée avant d'entrer.
<< NAN MAIS JE RÊVE ?!! >>
Chapitre 20
Il faut dire que le spectacle n'est guère reluisant ; vous, l'esclave désigné du foyer, êtes à poil en train de culbuter un meuble, tout en insultant copieusement Marie que Samantha devine à l'intérieur.
Vous devenez blanc comme un linge, et votre cœur s'emballe, la peur vous envahit, vous êtes figé.
<< JE SUIS EN TRAIN DE RÊVER C'EST PAS POSSIBLE !? >>
Trouvant la force de vous mouvoir, vous sortez votre sexe gouttant de salive de l'armoire, et tentez de vous approcher de Samantha en articulant sommairement un semblant de justification.
<< Heu B-B-Bonsoir m-m-mad-madame je-je peux tout vous expli... >>
Pas le temps d'en dire plus, vous ne l'avez pas vu venir, vous êtes violemment frappé au visage et vous effondrez au sol, battu par ko.
o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o
Vous reprenez vos esprits peu à peu, vous avez l'impression d'avoir pris un train de plein fouet, vous ne savez pas combien de temps vous êtes resté inconscient, vous ouvrez les yeux et visualisez votre environnement, il n'est pas familier.
Vous êtes dans une pièce sans fenêtres, du béton au sol et aux murs, ainsi que de l'acier au plafond que vous peinez à discerner car de puissants néons vous éblouissent.
Cela ressemble à une enceinte fortifiée, d'autant que la pièce mesure facilement quarante voir cinquante mètres carrés, en plus d'une hauteur sous plafond importante.
Divers rangements métalliques cadenassés sont accrochés aux murs.
Il y a une table en métal s'étendant sur tout un pan d'une façade vous faisant face, sur laquelle un gros sac de sport noir est déposé, vous apercevez également des caisses sur roulettes en dessous.
<< Qu'est-ce que c'est que cette histoire encore ?! >>
Vous constatez que vous êtes assis et repérez d'épaisses sangles à cliquet vous retenant les poignets, les tibias, le haut des genoux et au cou. Pratiquement aucun liberté de mouvement, impossible de bouger, d'ailleurs vous êtes toujours nu.
Comme la dernière fois, vous vous replongez dans une sorte de bilan de votre vie, essayant de comprendre ce qui vous a fait atterrir ici. En vain, vous n'avez pas d'explications rationnelles.
Brutalement, vous êtes ramené à la réalité, un bruit sourd se fait entendre de derrière vous, sans que vous puissiez vous retourner. Le même bruit se réitère, et des claquement de talons hauts se rapprochent de vous, s'intensifiant jusqu'à en dévoiler leur source.
<< * chantonne paisiblement * >>
Samantha, évidemment.
Elle est, hormis la tête, intégralement revêtue d'une combinaison ultra moulante en latex noire. Bien qu'extrêmement sexy, le fait de la revoir après ce qu'elle a découvert vous inquiète énormément.
<< Bienvenu en enfer fils de pute. >>
<< … >>
<< Enfin plutôt devrais-je dire, ton enfer, pour moi c'est le paradis. Tout est question de point de vue. >>
Elle marque un silence entre chacune de ses phrases. Vous profitez de l'un d'eux pour vous adresser à elle timidement.
<< Qu'est ce que vous voulez ?! Et où est-ce que je suis ?! >>
Elle vous fixe, vous baissez les yeux, elle reprends la parole.
<< Vois-tu, j'occupe un poste hiérarchiquement très haut placé au sein d'une prestigieuse manufacture internationale spécialisée dans la conception d'objets en plastique, caoutchouc et polymères de synthèse. >>
<< D'accord. >>
<< Je gagne plus d'argent que tu n'en auras jamais, j'ai tout un réseau de contacts très influents et dispose, comme tu l'as constaté, d'un petit bunker personnel. Celui-ci n'est sur aucune carte, il est profondément enterré et généreusement équipé. >>
<< … >>
<< Personne ne sait que tu es là Célestin, et le plus amusant c'est que personne ne te recherche. Pas même ta traînée de mère à qui tu fais honte depuis bien trop longtemps d'ailleurs. >>
<< Et donc ? >>
<< Te rends-tu compte que tu as osé baiser ma fille ? Chez moi, et en me mentant ouvertement ? >>
Elle se dirige vers le sac de sport sur la table et l'ouvre, pour en extraire une longue cravache.
<< Nan madame vous n'allez quand même pas me battre ?! >>
Vous flippez et suez à grosses gouttes, des larmes vous viennent, cette situation est pour le moins embarrassante.
<< Oh mais je vais te faire bien pire ! >>
Dit-elle en se retournant face à vous.
<< Je vais te torturer pendant des semaines entières mon chéri, et tout particulièrement sur ton petit trois pièces ! >>
Murmure-t-elle en vous tapotant les testicules qui pendouillent grâce à une ouverture.
<< Je vais t'humilier de toutes les façons possibles Célestin, pour une fois dans ma vie je ne me fixerai aucune limite, la vue d'un homme qui souffre m'excite, je vais m'accorder ce plaisir chaque jour, tu pourras hurler de toutes tes forces, personne ne te viendra en aide. Est-ce que tu saisis ? >>
<< … >>
Le 08 mars 2022 à 21:45:08 :
13 et 14Chapitre 13
A peine quelques minutes pour reprendre votre souffle, pas plus car Berthine arrive.
<< Bon j't'explique. Faut tondre la plouze et récolter les tomates. Mais lô comme y a du soleil je vais m'faire une séance de bronzage pendant que que tu fais tout que qu'est-ce que je te dis ok ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Ça n'a pas l'air très difficile, peut-être enfin allez vous respirer un peu.
Vous secouez la tête en avant comme un attardé en signe d'approbation, et suivez Berthine dans le jardin derrière la maison.
Il fait un temps magnifique, le soleil commence à taper fort, la parcelle y est entièrement exposée.<< Allez mô j'm'allonge ici et tô tu tonds la plouze ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Berthine déploie une serviette et s'allonge à plat ventre dessus. Elle est en maillot de bain et ressemble à un marshmallow discount tant il est complexe de discerner chaque partie de son corps distinctement l'une de l'autre.
Vous patientez, immobile.
Sans outils ? Pensez-vous.<< Avec tes mains lô ! Boulet lui c'est pô possible ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Bon, très bien, un peu bizarre mais vous avez vu pire.
Vous commencez donc à arracher des touffes d'herbes, c'est pas spécialement compliqué, juste pénible du fait de la position accroupie.
Un pet gras brise le silence.
PROOOOOOOT
C'est Berthine.<< Ha ! Cui-lô il mets tout l'monde d'accord ! Ha ha ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Elle raconte de la merde pensez-vous, cependant, à bonne distance de son cul difforme, vous échappez à l'odeur, c'est toujours ça de moins.
Les minutes défilent, vous mourrez de chaud, les petites blessures accumulées jusqu'ici semblent s'intensifier et la position que vous avez pour tirer sur les touffes de gazon vous provoque des crampes. Par ailleurs vous n'avez pas beaucoup avancé, mais les endroits où l'herbe était la plus haute ont bien réduit, espérons que cela convienne à sa majesté.
La peau de Berthine est d'un rouge vif, elle semble être en train de prendre un coup de soleil.<< – Dans ta gueule Magalie – >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png Chuchotez-vous.
Comme par télépathie, Berthine tourne la tête vers vous, qui à ce moment êtes en train de lutter contre des fourmis qui vous grimpent dessus.<< Ho l'comique viens lô une fois pour voir ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Vous vous rapprochez lentement.
Elle vous jette un tube de crème solaire.<< J'ai oublié de mettre la crème putain lô ! Mets moi lô crème sur l'dos plus vite lô ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Bon allez, pensez-vous, vous avez déjà fait pire que ça.
Vous versez de la crème sur le dos aspect jambon de Berthine, il est maculé de tâches diverses et parsemé des plis de bourrelets. Quelques longs poils blancs par endroit rendent l'ensemble d'autant plus dégoûtant, vous avez une érection négative, surtout en constatant qu'elle brille déjà de sueur.<< Et t'oublies pô d'passer entre les bourrelets hein parce que j'aime bien ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Vous tartinez le dos de Berthine comme celle-ci ses tartines, donc grossièrement et vite fait, mais cela semble lui convenir. Anecdote qui amuse Célestin ; cette femme aurait physiquement le volume pour l'engloutir quatre fois.
Si passer sur les parties de son dos n'est pas si désagréable que ça, insérer la main entre ses bourrelets suintant est une autre histoire, il y fait chaud, et la ressortir n'est pas aisée si une forte dose de crème n'a pas été appliquée.
Berthine se crispe et contracte son sphincter.
PROOOOOOOT
Cette fois ça commence à devenir humiliant et sale, l'inévitable odeur putride réchauffe encore l'atmosphère et vous prends aux bronches, un nouveau sentiment de vertige suivi d'une remontée gastrique vous envahit.
Soudainement, Berthine écarte un peu les jambes.<< Mets tô derrière mô ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Après une seconde d'hésitation vous vous exécutez, craignant le pire.
<< Masse-mô les cuissots j'aime bien ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Vous insistez donc sur l'arrière de ses cuisses, ils sont mous et bardés de cellulite.
A genoux et penché entre ses jambes, cette position vous place à une distance dangereuse de son énorme cul.<< – Pourvu qu'elle pète pas à nouveau – >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg La scène est déjà humiliante telle quelle, et ce que vous redoutiez se produit.
C'est un balai incessant de flatulences de sonorités et d'intensités variables, mais toujours odorantes, largement amplifiées par la chaleur ambiante qui mieux est.
Ce cauchemar durera plus de deux heures, jusqu'à ce que Berthine daigne à vouloir se lever.<< Ah merde j'ai pô préparer le repas du midi, y a la louloute qui va rentrer du lycée lô ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg << – Sauvé bordel – >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg Pour l'instant, car Marie ne va pas tarder à rentrer à la maison.
Chapitre 14
Berthine retourne à la maison en direction de la cuisine, itinéraire qu'elle connaît par cœur.
Vous restez dehors, et profitez de cette éphémère interlude pour vous laver dans la mare, ou du moins vous y rafraîchir. Vous récupérez un peu, cela vous remets les idées en place.
Sur le dos, à moitié immergé, vous avez un éclair de lucidité sur la situation.<< Bordel mais comment j'en suis arrivé là ? Hier encore j'étais un jeune asocial puceau tout à fait normal. En moins de 24h j'ai léché des pieds, récuré des peaux mortes de grany, avalé des saletés collées aux pieds d'une femme ayant l'âge de ma mère, mordillé les pieds d'une jeune fille des heures durant, mangé de la nourriture écrasée par une vieille obèse, humé des pets immondes, lustré et massé le fion d'une grand-mère et cetera, le tout en me comportant comme un véritable esclave sexuel. Putain mais pourquoi je suis là ? >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg Dites-vous calmement en pleurnichant. Cela vous fait presque bizarre d'entendre à nouveau votre voix. Vous avez peu parlé depuis que vous êtes ici.
Pas le temps de niaiser, vous entendez Marie rentrer.
Vous ne discernez pas bien l'échange verbal entre elle et Berthine, vous entreprenez de sortir de l'eau et d'aller voir.
A ce moment Marie déboule dans le jardin et vous remarque.<< Ah ben tranquille la vie toi ?! Au soleil dans notre mare peinard, ça va la vie ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg << C'est pas la peine de me regarder comme ça. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/04/1485549015-trgssgsf.png Elle se dirige vers la balançoire et s'y assoit.
Vêtue d'un mini short, d'un débardeur et de sa paire de ballerines, elle commence à se balancer légèrement.<< Viens ici ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous lance-t-elle en claquant des doigts.
Vous obéissez, cette fille vous donne la trique malgré la honte qu'elle vous procure.
Face à elle, sur quatre pattes, vous la regardez, attendant la suite.<< Aujourd'hui à l'amphi c'était super, on a parlé de déconstruction des genres et du grand remplacement à venir, en vrai trop hâte, en plus le prof il est super craquant je le kiffe. Avec Cindy on a tchatché et genre on adore son concept de relation. Le mec il laisse sa femme vivre une autre histoire d'amour avec un autre gars, c'est trop une preuve de confiance, la gars il est conscient que le corps de sa femme lui appartient pas, et il a pas basé son couple sur la fidélité mais sur la confiance. Ça c'est un homme qui porte ses couilles, pas comme toi esclave de merde qui me demande une photo de mes feet ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous n'avez que moyennement suivi le monologue de Marie, ça la fâche.
<< Oh connard je te parle ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png << Si ça t'intéresse pas j'ai un autre truc pour toi. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << Dans l'amphi il faisait grave chaud, Cindy a retiré ses chaussures mais moi je les ai gardées exprès pour toi. Cinq heures assise à transpirer dans mes vieilles ballerines, j'avais l'impression de patauger par moment. Pis après marcher jusqu'au bus et revenir ici depuis l'arrêt je te dis pas. Non je te dis rien j'en sais rien en fait, c'est toi qui va me dire, couché esclave ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Scindé entre excitation et tremblements, vous vous allongez lentement sur le dos sous la balançoire.
Marie approche ses pieds de cotre visage, il y a déjà une odeur assez importante.<< Enlève mes chaussures. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous retirez non sans peine une première ballerine qui accroche à son pied et découvrez qu'il n'a pas de chaussette, vous recevez des fines particules en l'extrayant.
Sitôt retiré, Marie vient le plaquer contre votre bouche en vous pinçant le nez avec ses orteils.<< T'aimes bien mes pieds hein ?! Tu les aimes là ?! Elle te plaît la photo ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png C'est humide et poisseux, l'odeur est considérable, la bouche bloquée vous inspirez intensément par le nez entre ses orteils pour reprendre votre souffle. Vous voulez hurler mais impossible, elle s'appuie sur votre visage.
<< Sors ta langue ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << Mmmmphh ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg << Tu te tais et tu sors ta langue !! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous ne parvenez pas à obéir, c'est trop.
Marie se recule en prenant plus fort appui sur votre nez, elle retire son autre ballerine en bloquant le talon contre vos hanches et vous assène un coup dans les testicules.
Puis un autre, et encore un autre.
La position, l'odeur, la sueur, les coups, vous vous remettez à pleurer.<< Je m'en fous que tu pleures, lèche ! Avale la bonne transpiration ! Mmmh c'est bon ça ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Elle reprends ses coups dans les bijoux de famille, plus fort cette fois.
<< Mmmphhh !! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg La douleur vous fait émettre un petit cri, elle profite de ce moment pour insérer le bout de son pied au fond de votre cavité buccale, qui de cette façon est contrainte d'avaler la salive gorgée de sueur.
<< Ah ben voilà ça c'est bien, tu aimes ? Hi hi hi ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Le goût est très salé et âcre. Vos forces vous abandonnent, vous finissez par vous détendre un peu malgré vous et la laissez tortillonner ses orteils dans votre bouche. L'humiliation est totale.
<< Voilà gentil toutou qui nettoie bien les orteils ! Sors la langue maintenant. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous obéissez cette fois.
<< Tu vas être mon paillasson officiel, grâce à toi mes pieds seront toujours propres ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Elle fait à présent glisser ses pieds de haut en bas sur toute la longueur de votre langue, chauds, leur texture est tendre en surface et ils sentent toujours aussi forts.
<< Là tu es mon paillasson, et cette après-midi tu seras ma chaise ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Dit-elle fièrement, amusée de la situation comme à son habitude.
Quelques minutes se déroulent ainsi. Vous souffrez en silence, avec une légère trique à laquelle elle ne prête pas attention.
La scène est interrompue par Berthine qui l'appelle de la cuisine.<< Ohé Marie tu viens manger lô ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg << Oui mamie j'arrive ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Marie reprends ses chaussures à la main et courent à l'intérieur.
<< Hop viens l'esclave, si t'es gentil t'auras droit à un reste et un crachat ! >>https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png
repost
Le 08 mars 2022 à 21:46:39 :
17 et 18Chapitre 17
Vous vous effondrez par terre, réalisant progressivement ce qui vient de se produire.
Marie se lève, et vous tire par les poignets.<< Je vais prendre une douche, t'en aurais besoin aussi, tu me rejoins ? >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << O-oui... J-J'arrive ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png Marie s'éclipse dans la salle de bains après avoir furtivement guetté depuis le haut de l'escalier si Berthine est, comme elle l'imagine, devant la télé.
C'est le cas, à priori pas de dérangement à l'horizon.
Vous sortez de la chambre et entrez avec Marie dans la salle de bain.
La pièce est assez spacieuse et moderne, vous vous arrêtez entre les deux éviers et une baignoire.<< Hi hi ! Ça t'a plu ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315457-thaisrire.png Les gros seins de Marie suivent avec une courte latence ses sautillements sur place, elle est toute excitée, et sa culotte à rayures est cette fois bien humide.
<< … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png << C'est bon tu peux parler ! Je t'autorise mdr ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315970-thaissourire2.png << … O-Oui ! … Carrément ouais ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png << Trop bien ! C'est la première fois que je suce un gars. Après je me suis déjà entraînée à sucer des trucs mdr mais bref c'était pour le fun ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315970-thaissourire2.png Elle retire son débardeur, dévoilant sa forte poitrine, notamment du fait de son léger surpoids, celle-ci est mise en valeur par un beau soutien-gorge comportant le même motif que sa culotte.
Elle dé clipse son sou-tif, le laissant tomber au sol, puis de manière sensuelle retire sa culotte qu'elle vous jette au visage. Vous l'humez brièvement.
Cette fille vous procure quelque chose d'unique, à peine vidé vous avez déjà envie d'y retourner, son corps à présent nu vous donne envie de la tripoter, la sentir, l'embrasser, la lécher et la pénétrer.
Ce ne sont même pas des images de porno extrêmes qui vous viennent à l'esprit, simplement de jouir en elle et la faire jouir en retour dans un respect mutuel et avec affection.
Selon Célestin, c'est comme si la fellation avait remis à zéro ce qu'il pensait d'elle.
Pour l'heure, vous contemplez cette création de Dieu.<< Hi hi ! Je te plais apparemment ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << O-oui b-b-baucoup >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png Peinez-vous à articuler. Cela l'amuse.
Marie se dirige vers la douche au fond de la pièce, en gardant la porte ouverte.<< Tu viens ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous foncez rapidement vers elle avec la démarche d'un zombie.
La douche est étroite, même en étant chacun plaqués contre vos parois respectives, au moindre geste vous vous effleurez. Marie allume l'eau et tourne sur elle-même pour bien se mouiller.
Toujours contemplatif, quelque chose en vous vous pousse à l'attraper quand elle est de dos en lui agrippant les seins.
Elle rit après un petit cri de surprise.
Vous l'embrassez dans la nuque en frottant votre nouvelle érection contre son cul.<< Attends ! Je me lave avant ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315970-thaissourire2.png Elle se défait de votre étreinte et saisit un savon liquide qu'elle presse de façon à se badigeonner tout le haut du corps. Vous la regardez en salivant littéralement.
Elle vous applique le savon de la même manière en retour.
Un bref moment d'attente s'en suit, et sans rien dire, vous avez saisi le fond de sa pensée.
Vous vous mettez à la savonner, d'abord ses cheveux que vous manipulez avec douceur, puis descendez autour de son cou, de ses bras, vous lui tenez ensuite les mains et vous arrêtez un moment pour la regarder dans les yeux.<< … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315971-thaisrireretenu.png Vous reprenez le lavage, son ventre, son dos, remontez à sa poitrine et palpez ses loches laitières plusieurs minutes de gestes ralentis. C'est magique.
Vous redescendez ensuite en glissant vos mains derrière elle sur ses fesses et ses cuisses, vous agenouillant pour la première fois volontairement, vous fixez le fruit défendu en continuant de frotter ses jambes.
Il semble si délicat, vous vous approchez.
Marie rigole et vous repousse du pied, vous plaquant assis au sol contre une paroi. Vous nettoyez donc ses pieds qu'elle vous tends un à un.
En vous relevant par la suite, Marie vous rends la pareille et commence par vos cheveux.
Cette sensation d'enlacement de votre tête entre ses bras, de son regard coquin et de sa poitrine proéminente vous excite davantage.
Elle poursuit sur vos épaules, vos bras, vos mains, revient sur votre buste sans oublier le dos.
Marie s'agenouille à son tour pour savonner le bas en commençant par vos jambes puis vos pieds, elle paraît très soumise dans cette position.
Elle ressaisit le produit pour en verser sur votre pénis, qu'elle nettoie lentement mais avec fermeté plusieurs minutes, c'est plus qu'agréable.
Il n'y a eu aucun échange de paroles lors de ces savonnages mutuels, hormis quelques timides gémissements de plaisir.
Marie remets l'eau.
Tous deux vous rincez, en vous regardant et en riant timidement, comme des enfants qui viendraient de commettre une bêtise.
TOC TOC TOC
Vous sortez de la douche avec précipitation et vous séchez à la hâte car Berthine toque à la porte.<< Oh Marie çô vô ?! Tout va bien ?! Avec l'aut'con lô ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg << Oui oui mamie ça va t'inquiète ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Elle ramasse sa culotte usagée par terre et tente de l’insérer dans votre bouche alors que vous vous remettez à quatre pattes.
<< – Non pas ça s'il te plaît – >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/04/1485549015-trgssgsf.png Suppliez-vous à voix basse.
<< Tu obéis esclave !! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Cri-t-elle.
Elle vous la place de force, avant de s'enrouler dans une serviette et de sortir.
Vous n'osez plus respirer par la bouche, et encore moins ravaler votre salive.
Certes assez dégradant, cet acte a permis de ne pas éveiller de soupçons chez Berthine, qui redescends l'escalier.
Vous vous dirigez vers la chambre à Marie.Chapitre 18
Recrachant la culotte, vous foncez dans la chambre à Marie tout en vous relevant, elle jette sa serviette et s’étend sur son lit pour se rouler dans sa couverture. Ses pieds dépassent. Vous interprétez cela comme une brèche d'attaque envers cette gourgandine.
Alors vous vous abaissez à son niveau et lui attrapez les talons, de manière à la bloquer pour la chatouiller par des mordillements et des petites léchouilles.
Des rires se font entendre, ravivant votre trique, ce qui vous pousse à vous faufiler sous la couette.
En remontant son corps, vous vous mettez à le saisir, il est doux, et plutôt massif si on le compare au vôtre, c'est comme une grosse peluche qui gigoterait à chaque stimulis.
Vous êtes maintenant tête-à-tête, liés par l'étreinte des draps, vous reprenez ce que vous aviez entrepris sous la douche, à savoir la palpation de ses nichons.
Comme avec ses pieds, vous les humez et les embrassez.
Marie rigole toujours autant, et vous guide lentement le crâne vers son entre-jambes. Vous n'opposez aucune résistance, bisant son ventre en descendant, et arrivez face au fruit défendu.
Il est là, juste devant vous.
Sans vous poser plus de questions, et bien exercé désormais, vous ne vous contentez pas de timides coups de langues, mais plaquez votre bouche entière sur l'orifice que vous dévorez comme si c'était votre dernier repas.
La réaction de Marie est immédiate, ses cris de plaisir ont sur vous l'effet d'encouragements, vous passez vos mains derrière ses fesses pour une meilleure prise, vous léchez son sexe comme un chien son jouet, bavez et émettez des sons de délectation.
Sur les genoux hors du lit, ses jambes écartées entre vos bras, vous ne prêtez pas attention au goût, il n'y en a pas, ce qui compte c'est de l'entendre gémir et la sentir se tortillonner sur elle-même, tout en vous plaquant la tête plus fort contre elle.
Ce manège dure un temps que vous ne parvenez pas à estimer, qui ne cesse que lorsque Marie se crispe en couinant, une petite seconde de temps mort, un peu de cyprine, et c'est l'orgasme.
Vous lui rendez honneur pour tout à l'heure en la nettoyant, n'oubliant même pas la petite bise.Rouges et transpirants, vous seriez bons pour reprendre un douche. Pour le moment, vous vous contentez de vous regarder, elle est assise sur le bord du lit, et vous toujours à genoux contre, lui tenant encore l'arrière-train.
Vous restez ainsi quelques minutes à vous fixer, souriants, sans échanger un mot.<< … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png << … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315457-thaisrire.png << … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png << Laisse-moi réaliser un de mes fantasmes ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315650-thaischoquee2.png << O-Ok ouais ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png Heureuse, Marie se lève et se dirige vers une petite armoire qui lui sert de table de chevet.
Vous ne saisissez pas l'idée.<< Ce meuble, papy me l'avait percé pour faire passer le câble de ma lampe, regarde y a un trou là sur le côté et un autre sur le dessus, sauf que comme papy c'était un blédard, il a fait des perçages beaucoup trop gros. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << D'accord. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png << Heureusement il est mort mdr ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315970-thaissourire2.png << Ok ouais je vois ce que tu veux dire. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png << C'est vrai ?! T'as compris ce que je veux faire?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315970-thaissourire2.png << Non. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png Elle s'esclaffe, puis reprends.
<< Ben, moi je me mets dedans et toi tu glisses ton bistouri dans les trous, ils sont un peu mal placés je sais mais ça devrait aller je pense ! S'il te plaît dis oui ! Je veux trop essayer ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315970-thaissourire2.png << Ouaip, faisons comme ça alors ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png << Trop cool ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315970-thaissourire2.png Marie ouvre l'unique porte frontale et retire une couverture d'hiver qu'elle balance dans un coin.
<< Voilà ça ça jarte. Bon par contre je voudrais une petite mise en scène avant. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous l'écoutez.
<< Je vais m'habiller dans une de mes plus belles tenues pour sortir, après j'irai me maquiller, pis toi quand j'aurai fini, tu restes à poil comme t'es là, tu viens vers moi, tu me gifles à cause de ma tenue de salope, me tires par terre en m'insultant et me traînes jusqu'à ma cage. Tu pourras même m'enfermer y a une serrure hi hi ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315970-thaissourire2.png Elle constate que vous bandez sévère, cela l'amuse.
<< Voilà et après tu m'obliges à sucer c'est tout ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315970-thaissourire2.png << C'est bon pour toi ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << O-Ouais ouais ouais ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png << Super alors en attendant que je me prépare, comme tu dois avoir faim, y a ma réserve sous le lit ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315970-thaissourire2.png C'est vrai que vous crevez la dalle, Marie se prépare ses vêtements et retourne dans la salle de bains pendant que vous fouillez sous le sommier.
Vous mettez la main sur un vibromasseur, vous souriez et le reposez, avant d'attraper une boîte, contenant toute sorte de friandises dont vous vous régalez.
Assis sur le lit de la jeune femme, un pied contre son oreiller et l'autre contre un doudou de licorne qui traîne, en bouffant des m&m's, lâchant un rot, vous savourez cet instant de gloire et patientez avant de la face fuck une fois qu'elle sera revenue.<< Le respect ? Où ça ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/16/6/1524338078-lunette.png Vous vous marrez tout seul, les mâles alphas n'ont plus rien à vous envier.
Et voici 19 et 20
Chapitre 19
Vous vous êtes empiffré, quand soudainement la porte de la chambre s'ouvre, laissant apparaître Marie dans une jolie robe rouge mettant en valeur ses formes, avec chaussures à talons assorties. Elle est surmaquillée pour se donner un effet bimbo.
Dans cet accoutrement, Marie vous plaît un peu moins, cependant elle remplit assurément son rôle de catin à châtier comme elle le désirait pour sa mise en scène.
Vous vous lancez, sûr de vous.
<< Qu'est-ce que c'est que cette tenue ?! >>
<< Oh c'est bon lâche moi t'es pas mon père ! >>
Rétorque-t-elle avec un accent de pétasse bien prononcé.
<< Tu ressembles à un petite pute ! Combien la passe ?! >>
<< Vas-y t'es relou ! J'suis sûr t'as une ptite teub mdr ! >>
Vous ne manquez pas d'assurance, et jouez pleinement votre personnage.
<< Quand tu l'auras en travers de la gueule, je t'entendrai moins, pour sûr ! >>
<< Hiiinn même pas cap euh ! >>
Elle tire sa langue qui vous a tant procurée de plaisir.
Marie aussi joue bien, une véritable actrice, notamment dans la gestuelle et les mimiques.
<< C'en est trop ! Les putes c'est dans le bac à putes ! >>
Vous vous avancez d'un pas rapide et confiant vers elle, qui mime la surprise.
<< Hey mais mec t... >>
Schlaa.
Claque dans sa gueule.
<< Tu la fermes ! C'est après que faudra ouvrir la bouche, et bien grand je te prierai ! >>
Lui dites-vous de votre plus virile voix, en même temps vous lui saisissez une grosse touffe de cheveux et lui descendez le visage proche de votre verge.
<< Vas-y c'est bon trop relou pas le bac à putes euh. >>
<< Oh que si ! Et tu ne sortiras de là que lorsque tu auras vidé cinquante bites ! Compris la pute ?! >>
Vous ne lui laissez pas le temps de répondre, vous ouvrez le portillon de la petite armoire perforée et la rentrez de force sans ménagement, avant de refermer puis verrouiller.
<< Voilà une bonne chose de faite ! Te voilà à ta place, pute ! >>
<< Mais euh ! Fait tout noir là dedans j'ai peur. >>
<< Silence ! Et prépare toi à recevoir ce pourquoi tu existes ! >>
Vous insérez votre pénis en érection dans l'orifice latéral de l'armoire jusqu'à arriver en butée par votre balluchon. Pas de réaction de sa part.
<< SUCE BORDEL !!! SUCE !!! >>
<< Chuuuut pas trop fort mdr y a mamie en bas elle va nous cramer ! >>
<< Ah oui merde pardon, c'est comme tu veux sinon ? >>
<< Oui oui nickel reprends ! >>
<< Ok cool. Je disais, suce bordel ! Suce ! >>
<< S'il vous plaît monsieur laissez-moi sortir ! Je ne suis qu'une petite dévergondée qui voulait faire l'intéressante et se faire remarquer. Je suis vierge et je n'imaginais pas ma première fois de la sorte. Je suis une gentille fille qui aime les animaux et le dessin, je lis aussi et j'étudie dans le domaine de la recherche scienti... >>
<< Mais ferme-là ! Tu vas la sucer cette queue bordel de merde ! >>
Elle donne quelques coups de langue très légers.
<< Pitié mlgpfl monsieur mlgpf pitié mflgp je vous en prie slurp laissez-moi sortir de … >>
L'excitation grandissante, votre personnage dans la peau, vous commencez à secouer le meuble dans tous les sens et en lui donnant des coups de reins.
<< SUCE PUTAIN DE MERDE !! SUCE !! TU VAS LA SUCER CETTE BITE !! SUCE BORDEL DE DIEU !! ESPECE DE SALOPE VA !! JE VEUX T'ENTENDRE T'ETOUFFER AVEC !! SUUUUCE !! >>
Hurlez-vous tout en fracassant le meuble et le claquant par terre, vous alternez les deux trous, elle suce enfin comme elle a montrée qu'elle savait si bien le faire.
<< sluslurp sluslurp sluslurp sluslurp ! >>
Elle est au rythme des allers-retours.
Marie tète votre gland, ses petits pincements baveux procurent une sensation de dingue.
La sauce ne va pas tarder à sortir.
Cependant, vous ressentez un fort courant d'air venir de derrière.
La sauce ne sortira pas.
La porte de la chambre s'est brutalement ouverte.
Vous vous retournez et vous figez presque immédiatement.
C'est Samantha, mère de Marie, qui visiblement est déjà de retour et n'a pas frappée avant d'entrer.
<< NAN MAIS JE RÊVE ?!! >>
Chapitre 20
Il faut dire que le spectacle n'est guère reluisant ; vous, l'esclave désigné du foyer, êtes à poil en train de culbuter un meuble, tout en insultant copieusement Marie que Samantha devine à l'intérieur.
Vous devenez blanc comme un linge, et votre cœur s'emballe, la peur vous envahit, vous êtes figé.
<< JE SUIS EN TRAIN DE RÊVER C'EST PAS POSSIBLE !? >>
Trouvant la force de vous mouvoir, vous sortez votre sexe gouttant de salive de l'armoire, et tentez de vous approcher de Samantha en articulant sommairement un semblant de justification.
<< Heu B-B-Bonsoir m-m-mad-madame je-je peux tout vous expli... >>
Pas le temps d'en dire plus, vous ne l'avez pas vu venir, vous êtes violemment frappé au visage et vous effondrez au sol, battu par ko.
o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-o
Vous reprenez vos esprits peu à peu, vous avez l'impression d'avoir pris un train de plein fouet, vous ne savez pas combien de temps vous êtes resté inconscient, vous ouvrez les yeux et visualisez votre environnement, il n'est pas familier.
Vous êtes dans une pièce sans fenêtres, du béton au sol et aux murs, ainsi que de l'acier au plafond que vous peinez à discerner car de puissants néons vous éblouissent.
Cela ressemble à une enceinte fortifiée, d'autant que la pièce mesure facilement quarante voir cinquante mètres carrés, en plus d'une hauteur sous plafond importante.
Divers rangements métalliques cadenassés sont accrochés aux murs.
Il y a une table en métal s'étendant sur tout un pan d'une façade vous faisant face, sur laquelle un gros sac de sport noir est déposé, vous apercevez également des caisses sur roulettes en dessous.
<< Qu'est-ce que c'est que cette histoire encore ?! >>
Vous constatez que vous êtes assis et repérez d'épaisses sangles à cliquet vous retenant les poignets, les tibias, le haut des genoux et au cou. Pratiquement aucun liberté de mouvement, impossible de bouger, d'ailleurs vous êtes toujours nu.
Comme la dernière fois, vous vous replongez dans une sorte de bilan de votre vie, essayant de comprendre ce qui vous a fait atterrir ici. En vain, vous n'avez pas d'explications rationnelles.
Brutalement, vous êtes ramené à la réalité, un bruit sourd se fait entendre de derrière vous, sans que vous puissiez vous retourner. Le même bruit se réitère, et des claquement de talons hauts se rapprochent de vous, s'intensifiant jusqu'à en dévoiler leur source.
<< * chantonne paisiblement * >>
Samantha, évidemment.
Elle est, hormis la tête, intégralement revêtue d'une combinaison ultra moulante en latex noire. Bien qu'extrêmement sexy, le fait de la revoir après ce qu'elle a découvert vous inquiète énormément.
<< Bienvenu en enfer fils de pute. >>
<< … >>
<< Enfin plutôt devrais-je dire, ton enfer, pour moi c'est le paradis. Tout est question de point de vue. >>
Elle marque un silence entre chacune de ses phrases. Vous profitez de l'un d'eux pour vous adresser à elle timidement.
<< Qu'est ce que vous voulez ?! Et où est-ce que je suis ?! >>
Elle vous fixe, vous baissez les yeux, elle reprends la parole.
<< Vois-tu, j'occupe un poste hiérarchiquement très haut placé au sein d'une prestigieuse manufacture internationale spécialisée dans la conception d'objets en plastique, caoutchouc et polymères de synthèse. >>
<< D'accord. >>
<< Je gagne plus d'argent que tu n'en auras jamais, j'ai tout un réseau de contacts très influents et dispose, comme tu l'as constaté, d'un petit bunker personnel. Celui-ci n'est sur aucune carte, il est profondément enterré et généreusement équipé. >>
<< … >>
<< Personne ne sait que tu es là Célestin, et le plus amusant c'est que personne ne te recherche. Pas même ta traînée de mère à qui tu fais honte depuis bien trop longtemps d'ailleurs. >>
<< Et donc ? >>
<< Te rends-tu compte que tu as osé baiser ma fille ? Chez moi, et en me mentant ouvertement ? >>
Elle se dirige vers le sac de sport sur la table et l'ouvre, pour en extraire une longue cravache.
<< Nan madame vous n'allez quand même pas me battre ?! >>
Vous flippez et suez à grosses gouttes, des larmes vous viennent, cette situation est pour le moins embarrassante.
<< Oh mais je vais te faire bien pire ! >>
Dit-elle en se retournant face à vous.
<< Je vais te torturer pendant des semaines entières mon chéri, et tout particulièrement sur ton petit trois pièces ! >>
Murmure-t-elle en vous tapotant les testicules qui pendouillent grâce à une ouverture.
<< Je vais t'humilier de toutes les façons possibles Célestin, pour une fois dans ma vie je ne me fixerai aucune limite, la vue d'un homme qui souffre m'excite, je vais m'accorder ce plaisir chaque jour, tu pourras hurler de toutes tes forces, personne ne te viendra en aide. Est-ce que tu saisis ? >>
Repost des chapitres 13 et 14
Le 08 mars 2022 à 21:45:08 :
13 et 14Chapitre 13
A peine quelques minutes pour reprendre votre souffle, pas plus car Berthine arrive.
<< Bon j't'explique. Faut tondre la plouze et récolter les tomates. Mais lô comme y a du soleil je vais m'faire une séance de bronzage pendant que que tu fais tout que qu'est-ce que je te dis ok ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Ça n'a pas l'air très difficile, peut-être enfin allez vous respirer un peu.
Vous secouez la tête en avant comme un attardé en signe d'approbation, et suivez Berthine dans le jardin derrière la maison.
Il fait un temps magnifique, le soleil commence à taper fort, la parcelle y est entièrement exposée.<< Allez mô j'm'allonge ici et tô tu tonds la plouze ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Berthine déploie une serviette et s'allonge à plat ventre dessus. Elle est en maillot de bain et ressemble à un marshmallow discount tant il est complexe de discerner chaque partie de son corps distinctement l'une de l'autre.
Vous patientez, immobile.
Sans outils ? Pensez-vous.<< Avec tes mains lô ! Boulet lui c'est pô possible ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Bon, très bien, un peu bizarre mais vous avez vu pire.
Vous commencez donc à arracher des touffes d'herbes, c'est pas spécialement compliqué, juste pénible du fait de la position accroupie.
Un pet gras brise le silence.
PROOOOOOOT
C'est Berthine.<< Ha ! Cui-lô il mets tout l'monde d'accord ! Ha ha ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Elle raconte de la merde pensez-vous, cependant, à bonne distance de son cul difforme, vous échappez à l'odeur, c'est toujours ça de moins.
Les minutes défilent, vous mourrez de chaud, les petites blessures accumulées jusqu'ici semblent s'intensifier et la position que vous avez pour tirer sur les touffes de gazon vous provoque des crampes. Par ailleurs vous n'avez pas beaucoup avancé, mais les endroits où l'herbe était la plus haute ont bien réduit, espérons que cela convienne à sa majesté.
La peau de Berthine est d'un rouge vif, elle semble être en train de prendre un coup de soleil.<< – Dans ta gueule Magalie – >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png Chuchotez-vous.
Comme par télépathie, Berthine tourne la tête vers vous, qui à ce moment êtes en train de lutter contre des fourmis qui vous grimpent dessus.<< Ho l'comique viens lô une fois pour voir ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Vous vous rapprochez lentement.
Elle vous jette un tube de crème solaire.<< J'ai oublié de mettre la crème putain lô ! Mets moi lô crème sur l'dos plus vite lô ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Bon allez, pensez-vous, vous avez déjà fait pire que ça.
Vous versez de la crème sur le dos aspect jambon de Berthine, il est maculé de tâches diverses et parsemé des plis de bourrelets. Quelques longs poils blancs par endroit rendent l'ensemble d'autant plus dégoûtant, vous avez une érection négative, surtout en constatant qu'elle brille déjà de sueur.<< Et t'oublies pô d'passer entre les bourrelets hein parce que j'aime bien ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Vous tartinez le dos de Berthine comme celle-ci ses tartines, donc grossièrement et vite fait, mais cela semble lui convenir. Anecdote qui amuse Célestin ; cette femme aurait physiquement le volume pour l'engloutir quatre fois.
Si passer sur les parties de son dos n'est pas si désagréable que ça, insérer la main entre ses bourrelets suintant est une autre histoire, il y fait chaud, et la ressortir n'est pas aisée si une forte dose de crème n'a pas été appliquée.
Berthine se crispe et contracte son sphincter.
PROOOOOOOT
Cette fois ça commence à devenir humiliant et sale, l'inévitable odeur putride réchauffe encore l'atmosphère et vous prends aux bronches, un nouveau sentiment de vertige suivi d'une remontée gastrique vous envahit.
Soudainement, Berthine écarte un peu les jambes.<< Mets tô derrière mô ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Après une seconde d'hésitation vous vous exécutez, craignant le pire.
<< Masse-mô les cuissots j'aime bien ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Vous insistez donc sur l'arrière de ses cuisses, ils sont mous et bardés de cellulite.
A genoux et penché entre ses jambes, cette position vous place à une distance dangereuse de son énorme cul.<< – Pourvu qu'elle pète pas à nouveau – >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg La scène est déjà humiliante telle quelle, et ce que vous redoutiez se produit.
C'est un balai incessant de flatulences de sonorités et d'intensités variables, mais toujours odorantes, largement amplifiées par la chaleur ambiante qui mieux est.
Ce cauchemar durera plus de deux heures, jusqu'à ce que Berthine daigne à vouloir se lever.<< Ah merde j'ai pô préparer le repas du midi, y a la louloute qui va rentrer du lycée lô ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg << – Sauvé bordel – >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg Pour l'instant, car Marie ne va pas tarder à rentrer à la maison.
Chapitre 14
Berthine retourne à la maison en direction de la cuisine, itinéraire qu'elle connaît par cœur.
Vous restez dehors, et profitez de cette éphémère interlude pour vous laver dans la mare, ou du moins vous y rafraîchir. Vous récupérez un peu, cela vous remets les idées en place.
Sur le dos, à moitié immergé, vous avez un éclair de lucidité sur la situation.<< Bordel mais comment j'en suis arrivé là ? Hier encore j'étais un jeune asocial puceau tout à fait normal. En moins de 24h j'ai léché des pieds, récuré des peaux mortes de grany, avalé des saletés collées aux pieds d'une femme ayant l'âge de ma mère, mordillé les pieds d'une jeune fille des heures durant, mangé de la nourriture écrasée par une vieille obèse, humé des pets immondes, lustré et massé le fion d'une grand-mère et cetera, le tout en me comportant comme un véritable esclave sexuel. Putain mais pourquoi je suis là ? >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg Dites-vous calmement en pleurnichant. Cela vous fait presque bizarre d'entendre à nouveau votre voix. Vous avez peu parlé depuis que vous êtes ici.
Pas le temps de niaiser, vous entendez Marie rentrer.
Vous ne discernez pas bien l'échange verbal entre elle et Berthine, vous entreprenez de sortir de l'eau et d'aller voir.
A ce moment Marie déboule dans le jardin et vous remarque.<< Ah ben tranquille la vie toi ?! Au soleil dans notre mare peinard, ça va la vie ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg << C'est pas la peine de me regarder comme ça. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/04/1485549015-trgssgsf.png Elle se dirige vers la balançoire et s'y assoit.
Vêtue d'un mini short, d'un débardeur et de sa paire de ballerines, elle commence à se balancer légèrement.<< Viens ici ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous lance-t-elle en claquant des doigts.
Vous obéissez, cette fille vous donne la trique malgré la honte qu'elle vous procure.
Face à elle, sur quatre pattes, vous la regardez, attendant la suite.<< Aujourd'hui à l'amphi c'était super, on a parlé de déconstruction des genres et du grand remplacement à venir, en vrai trop hâte, en plus le prof il est super craquant je le kiffe. Avec Cindy on a tchatché et genre on adore son concept de relation. Le mec il laisse sa femme vivre une autre histoire d'amour avec un autre gars, c'est trop une preuve de confiance, la gars il est conscient que le corps de sa femme lui appartient pas, et il a pas basé son couple sur la fidélité mais sur la confiance. Ça c'est un homme qui porte ses couilles, pas comme toi esclave de merde qui me demande une photo de mes feet ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous n'avez que moyennement suivi le monologue de Marie, ça la fâche.
<< Oh connard je te parle ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png << Si ça t'intéresse pas j'ai un autre truc pour toi. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << Dans l'amphi il faisait grave chaud, Cindy a retiré ses chaussures mais moi je les ai gardées exprès pour toi. Cinq heures assise à transpirer dans mes vieilles ballerines, j'avais l'impression de patauger par moment. Pis après marcher jusqu'au bus et revenir ici depuis l'arrêt je te dis pas. Non je te dis rien j'en sais rien en fait, c'est toi qui va me dire, couché esclave ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Scindé entre excitation et tremblements, vous vous allongez lentement sur le dos sous la balançoire.
Marie approche ses pieds de cotre visage, il y a déjà une odeur assez importante.<< Enlève mes chaussures. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous retirez non sans peine une première ballerine qui accroche à son pied et découvrez qu'il n'a pas de chaussette, vous recevez des fines particules en l'extrayant.
Sitôt retiré, Marie vient le plaquer contre votre bouche en vous pinçant le nez avec ses orteils.<< T'aimes bien mes pieds hein ?! Tu les aimes là ?! Elle te plaît la photo ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png C'est humide et poisseux, l'odeur est considérable, la bouche bloquée vous inspirez intensément par le nez entre ses orteils pour reprendre votre souffle. Vous voulez hurler mais impossible, elle s'appuie sur votre visage.
<< Sors ta langue ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << Mmmmphh ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg << Tu te tais et tu sors ta langue !! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous ne parvenez pas à obéir, c'est trop.
Marie se recule en prenant plus fort appui sur votre nez, elle retire son autre ballerine en bloquant le talon contre vos hanches et vous assène un coup dans les testicules.
Puis un autre, et encore un autre.
La position, l'odeur, la sueur, les coups, vous vous remettez à pleurer.<< Je m'en fous que tu pleures, lèche ! Avale la bonne transpiration ! Mmmh c'est bon ça ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Elle reprends ses coups dans les bijoux de famille, plus fort cette fois.
<< Mmmphhh !! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg La douleur vous fait émettre un petit cri, elle profite de ce moment pour insérer le bout de son pied au fond de votre cavité buccale, qui de cette façon est contrainte d'avaler la salive gorgée de sueur.
<< Ah ben voilà ça c'est bien, tu aimes ? Hi hi hi ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Le goût est très salé et âcre. Vos forces vous abandonnent, vous finissez par vous détendre un peu malgré vous et la laissez tortillonner ses orteils dans votre bouche. L'humiliation est totale.
<< Voilà gentil toutou qui nettoie bien les orteils ! Sors la langue maintenant. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous obéissez cette fois.
<< Tu vas être mon paillasson officiel, grâce à toi mes pieds seront toujours propres ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Elle fait à présent glisser ses pieds de haut en bas sur toute la longueur de votre langue, chauds, leur texture est tendre en surface et ils sentent toujours aussi forts.
<< Là tu es mon paillasson, et cette après-midi tu seras ma chaise ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Dit-elle fièrement, amusée de la situation comme à son habitude.
Quelques minutes se déroulent ainsi. Vous souffrez en silence, avec une légère trique à laquelle elle ne prête pas attention.
La scène est interrompue par Berthine qui l'appelle de la cuisine.<< Ohé Marie tu viens manger lô ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg << Oui mamie j'arrive ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Marie reprends ses chaussures à la main et courent à l'intérieur.
<< Hop viens l'esclave, si t'es gentil t'auras droit à un reste et un crachat ! >>https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png
petit repost des chapitres 13 & 14 mystérieusement disparus
Le 08 mars 2022 à 21:45:08 :
13 et 14Chapitre 13
A peine quelques minutes pour reprendre votre souffle, pas plus car Berthine arrive.
<< Bon j't'explique. Faut tondre la plouze et récolter les tomates. Mais lô comme y a du soleil je vais m'faire une séance de bronzage pendant que que tu fais tout que qu'est-ce que je te dis ok ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Ça n'a pas l'air très difficile, peut-être enfin allez vous respirer un peu.
Vous secouez la tête en avant comme un attardé en signe d'approbation, et suivez Berthine dans le jardin derrière la maison.
Il fait un temps magnifique, le soleil commence à taper fort, la parcelle y est entièrement exposée.<< Allez mô j'm'allonge ici et tô tu tonds la plouze ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Berthine déploie une serviette et s'allonge à plat ventre dessus. Elle est en maillot de bain et ressemble à un marshmallow discount tant il est complexe de discerner chaque partie de son corps distinctement l'une de l'autre.
Vous patientez, immobile.
Sans outils ? Pensez-vous.<< Avec tes mains lô ! Boulet lui c'est pô possible ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Bon, très bien, un peu bizarre mais vous avez vu pire.
Vous commencez donc à arracher des touffes d'herbes, c'est pas spécialement compliqué, juste pénible du fait de la position accroupie.
Un pet gras brise le silence.
PROOOOOOOT
C'est Berthine.<< Ha ! Cui-lô il mets tout l'monde d'accord ! Ha ha ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Elle raconte de la merde pensez-vous, cependant, à bonne distance de son cul difforme, vous échappez à l'odeur, c'est toujours ça de moins.
Les minutes défilent, vous mourrez de chaud, les petites blessures accumulées jusqu'ici semblent s'intensifier et la position que vous avez pour tirer sur les touffes de gazon vous provoque des crampes. Par ailleurs vous n'avez pas beaucoup avancé, mais les endroits où l'herbe était la plus haute ont bien réduit, espérons que cela convienne à sa majesté.
La peau de Berthine est d'un rouge vif, elle semble être en train de prendre un coup de soleil.<< – Dans ta gueule Magalie – >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png Chuchotez-vous.
Comme par télépathie, Berthine tourne la tête vers vous, qui à ce moment êtes en train de lutter contre des fourmis qui vous grimpent dessus.<< Ho l'comique viens lô une fois pour voir ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Vous vous rapprochez lentement.
Elle vous jette un tube de crème solaire.<< J'ai oublié de mettre la crème putain lô ! Mets moi lô crème sur l'dos plus vite lô ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Bon allez, pensez-vous, vous avez déjà fait pire que ça.
Vous versez de la crème sur le dos aspect jambon de Berthine, il est maculé de tâches diverses et parsemé des plis de bourrelets. Quelques longs poils blancs par endroit rendent l'ensemble d'autant plus dégoûtant, vous avez une érection négative, surtout en constatant qu'elle brille déjà de sueur.<< Et t'oublies pô d'passer entre les bourrelets hein parce que j'aime bien ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Vous tartinez le dos de Berthine comme celle-ci ses tartines, donc grossièrement et vite fait, mais cela semble lui convenir. Anecdote qui amuse Célestin ; cette femme aurait physiquement le volume pour l'engloutir quatre fois.
Si passer sur les parties de son dos n'est pas si désagréable que ça, insérer la main entre ses bourrelets suintant est une autre histoire, il y fait chaud, et la ressortir n'est pas aisée si une forte dose de crème n'a pas été appliquée.
Berthine se crispe et contracte son sphincter.
PROOOOOOOT
Cette fois ça commence à devenir humiliant et sale, l'inévitable odeur putride réchauffe encore l'atmosphère et vous prends aux bronches, un nouveau sentiment de vertige suivi d'une remontée gastrique vous envahit.
Soudainement, Berthine écarte un peu les jambes.<< Mets tô derrière mô ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Après une seconde d'hésitation vous vous exécutez, craignant le pire.
<< Masse-mô les cuissots j'aime bien ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg Vous insistez donc sur l'arrière de ses cuisses, ils sont mous et bardés de cellulite.
A genoux et penché entre ses jambes, cette position vous place à une distance dangereuse de son énorme cul.<< – Pourvu qu'elle pète pas à nouveau – >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg La scène est déjà humiliante telle quelle, et ce que vous redoutiez se produit.
C'est un balai incessant de flatulences de sonorités et d'intensités variables, mais toujours odorantes, largement amplifiées par la chaleur ambiante qui mieux est.
Ce cauchemar durera plus de deux heures, jusqu'à ce que Berthine daigne à vouloir se lever.<< Ah merde j'ai pô préparer le repas du midi, y a la louloute qui va rentrer du lycée lô ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg << – Sauvé bordel – >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg Pour l'instant, car Marie ne va pas tarder à rentrer à la maison.
Chapitre 14
Berthine retourne à la maison en direction de la cuisine, itinéraire qu'elle connaît par cœur.
Vous restez dehors, et profitez de cette éphémère interlude pour vous laver dans la mare, ou du moins vous y rafraîchir. Vous récupérez un peu, cela vous remets les idées en place.
Sur le dos, à moitié immergé, vous avez un éclair de lucidité sur la situation.<< Bordel mais comment j'en suis arrivé là ? Hier encore j'étais un jeune asocial puceau tout à fait normal. En moins de 24h j'ai léché des pieds, récuré des peaux mortes de grany, avalé des saletés collées aux pieds d'une femme ayant l'âge de ma mère, mordillé les pieds d'une jeune fille des heures durant, mangé de la nourriture écrasée par une vieille obèse, humé des pets immondes, lustré et massé le fion d'une grand-mère et cetera, le tout en me comportant comme un véritable esclave sexuel. Putain mais pourquoi je suis là ? >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg Dites-vous calmement en pleurnichant. Cela vous fait presque bizarre d'entendre à nouveau votre voix. Vous avez peu parlé depuis que vous êtes ici.
Pas le temps de niaiser, vous entendez Marie rentrer.
Vous ne discernez pas bien l'échange verbal entre elle et Berthine, vous entreprenez de sortir de l'eau et d'aller voir.
A ce moment Marie déboule dans le jardin et vous remarque.<< Ah ben tranquille la vie toi ?! Au soleil dans notre mare peinard, ça va la vie ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg << C'est pas la peine de me regarder comme ça. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/04/1485549015-trgssgsf.png Elle se dirige vers la balançoire et s'y assoit.
Vêtue d'un mini short, d'un débardeur et de sa paire de ballerines, elle commence à se balancer légèrement.<< Viens ici ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous lance-t-elle en claquant des doigts.
Vous obéissez, cette fille vous donne la trique malgré la honte qu'elle vous procure.
Face à elle, sur quatre pattes, vous la regardez, attendant la suite.<< Aujourd'hui à l'amphi c'était super, on a parlé de déconstruction des genres et du grand remplacement à venir, en vrai trop hâte, en plus le prof il est super craquant je le kiffe. Avec Cindy on a tchatché et genre on adore son concept de relation. Le mec il laisse sa femme vivre une autre histoire d'amour avec un autre gars, c'est trop une preuve de confiance, la gars il est conscient que le corps de sa femme lui appartient pas, et il a pas basé son couple sur la fidélité mais sur la confiance. Ça c'est un homme qui porte ses couilles, pas comme toi esclave de merde qui me demande une photo de mes feet ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous n'avez que moyennement suivi le monologue de Marie, ça la fâche.
<< Oh connard je te parle ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << … >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501184969-risitas33bestreup.png << Si ça t'intéresse pas j'ai un autre truc pour toi. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << Dans l'amphi il faisait grave chaud, Cindy a retiré ses chaussures mais moi je les ai gardées exprès pour toi. Cinq heures assise à transpirer dans mes vieilles ballerines, j'avais l'impression de patauger par moment. Pis après marcher jusqu'au bus et revenir ici depuis l'arrêt je te dis pas. Non je te dis rien j'en sais rien en fait, c'est toi qui va me dire, couché esclave ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Scindé entre excitation et tremblements, vous vous allongez lentement sur le dos sous la balançoire.
Marie approche ses pieds de cotre visage, il y a déjà une odeur assez importante.<< Enlève mes chaussures. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous retirez non sans peine une première ballerine qui accroche à son pied et découvrez qu'il n'a pas de chaussette, vous recevez des fines particules en l'extrayant.
Sitôt retiré, Marie vient le plaquer contre votre bouche en vous pinçant le nez avec ses orteils.<< T'aimes bien mes pieds hein ?! Tu les aimes là ?! Elle te plaît la photo ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png C'est humide et poisseux, l'odeur est considérable, la bouche bloquée vous inspirez intensément par le nez entre ses orteils pour reprendre votre souffle. Vous voulez hurler mais impossible, elle s'appuie sur votre visage.
<< Sors ta langue ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png << Mmmmphh ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg << Tu te tais et tu sors ta langue !! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous ne parvenez pas à obéir, c'est trop.
Marie se recule en prenant plus fort appui sur votre nez, elle retire son autre ballerine en bloquant le talon contre vos hanches et vous assène un coup dans les testicules.
Puis un autre, et encore un autre.
La position, l'odeur, la sueur, les coups, vous vous remettez à pleurer.<< Je m'en fous que tu pleures, lèche ! Avale la bonne transpiration ! Mmmh c'est bon ça ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Elle reprends ses coups dans les bijoux de famille, plus fort cette fois.
<< Mmmphhh !! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/47/1480217053-img-3767.jpeg La douleur vous fait émettre un petit cri, elle profite de ce moment pour insérer le bout de son pied au fond de votre cavité buccale, qui de cette façon est contrainte d'avaler la salive gorgée de sueur.
<< Ah ben voilà ça c'est bien, tu aimes ? Hi hi hi ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Le goût est très salé et âcre. Vos forces vous abandonnent, vous finissez par vous détendre un peu malgré vous et la laissez tortillonner ses orteils dans votre bouche. L'humiliation est totale.
<< Voilà gentil toutou qui nettoie bien les orteils ! Sors la langue maintenant. >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Vous obéissez cette fois.
<< Tu vas être mon paillasson officiel, grâce à toi mes pieds seront toujours propres ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Elle fait à présent glisser ses pieds de haut en bas sur toute la longueur de votre langue, chauds, leur texture est tendre en surface et ils sentent toujours aussi forts.
<< Là tu es mon paillasson, et cette après-midi tu seras ma chaise ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Dit-elle fièrement, amusée de la situation comme à son habitude.
Quelques minutes se déroulent ainsi. Vous souffrez en silence, avec une légère trique à laquelle elle ne prête pas attention.
La scène est interrompue par Berthine qui l'appelle de la cuisine.<< Ohé Marie tu viens manger lô ?! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/14/3/1585705385-339b8b3d-b744-49d4-b388-623cf271cb81.jpeg << Oui mamie j'arrive ! >>
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png Marie reprends ses chaussures à la main et courent à l'intérieur.
<< Hop viens l'esclave, si t'es gentil t'auras droit à un reste et un crachat ! >>https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/5/1611315651-thaisblasee.png
17 et 18
Chapitre 17
Vous vous effondrez par terre, réalisant progressivement ce qui vient de se produire.
Marie se lève, et vous tire par les poignets.
<< Je vais prendre une douche, t'en aurais besoin aussi, tu me rejoins ? >>
<< O-oui... J-J'arrive ! >>
Marie s'éclipse dans la salle de bains après avoir furtivement guetté depuis le haut de l'escalier si Berthine est, comme elle l'imagine, devant la télé.
C'est le cas, à priori pas de dérangement à l'horizon.
Vous sortez de la chambre et entrez avec Marie dans la salle de bain.
La pièce est assez spacieuse et moderne, vous vous arrêtez entre les deux éviers et une baignoire.
<< Hi hi ! Ça t'a plu ?! >>
Les gros seins de Marie suivent avec une courte latence ses sautillements sur place, elle est toute excitée, et sa culotte à rayures est cette fois bien humide.
<< … >>
<< C'est bon tu peux parler ! Je t'autorise mdr ! >>
<< … O-Oui ! … Carrément ouais ! >>
<< Trop bien ! C'est la première fois que je suce un gars. Après je me suis déjà entraînée à sucer des trucs mdr mais bref c'était pour le fun ! >>
Elle retire son débardeur, dévoilant sa forte poitrine, notamment du fait de son léger surpoids, celle-ci est mise en valeur par un beau soutien-gorge comportant le même motif que sa culotte.
Elle dé clipse son sou-tif, le laissant tomber au sol, puis de manière sensuelle retire sa culotte qu'elle vous jette au visage. Vous l'humez brièvement.
Cette fille vous procure quelque chose d'unique, à peine vidé vous avez déjà envie d'y retourner, son corps à présent nu vous donne envie de la tripoter, la sentir, l'embrasser, la lécher et la pénétrer.
Ce ne sont même pas des images de porno extrêmes qui vous viennent à l'esprit, simplement de jouir en elle et la faire jouir en retour dans un respect mutuel et avec affection.
Selon Célestin, c'est comme si la fellation avait remis à zéro ce qu'il pensait d'elle.
Pour l'heure, vous contemplez cette création de Dieu.
<< Hi hi ! Je te plais apparemment ! >>
<< O-oui b-b-baucoup >>
Peinez-vous à articuler. Cela l'amuse.
Marie se dirige vers la douche au fond de la pièce, en gardant la porte ouverte.
<< Tu viens ?! >>
Vous foncez rapidement vers elle avec la démarche d'un zombie.
La douche est étroite, même en étant chacun plaqués contre vos parois respectives, au moindre geste vous vous effleurez. Marie allume l'eau et tourne sur elle-même pour bien se mouiller.
Toujours contemplatif, quelque chose en vous vous pousse à l'attraper quand elle est de dos en lui agrippant les seins.
Elle rit après un petit cri de surprise.
Vous l'embrassez dans la nuque en frottant votre nouvelle érection contre son cul.
<< Attends ! Je me lave avant ! >>
Elle se défait de votre étreinte et saisit un savon liquide qu'elle presse de façon à se badigeonner tout le haut du corps. Vous la regardez en salivant littéralement.
Elle vous applique le savon de la même manière en retour.
Un bref moment d'attente s'en suit, et sans rien dire, vous avez saisi le fond de sa pensée.
Vous vous mettez à la savonner, d'abord ses cheveux que vous manipulez avec douceur, puis descendez autour de son cou, de ses bras, vous lui tenez ensuite les mains et vous arrêtez un moment pour la regarder dans les yeux.
<< … >>
Vous reprenez le lavage, son ventre, son dos, remontez à sa poitrine et palpez ses loches laitières plusieurs minutes de gestes ralentis. C'est magique.
Vous redescendez ensuite en glissant vos mains derrière elle sur ses fesses et ses cuisses, vous agenouillant pour la première fois volontairement, vous fixez le fruit défendu en continuant de frotter ses jambes.
Il semble si délicat, vous vous approchez.
Marie rigole et vous repousse du pied, vous plaquant assis au sol contre une paroi. Vous nettoyez donc ses pieds qu'elle vous tends un à un.
En vous relevant par la suite, Marie vous rends la pareille et commence par vos cheveux.
Cette sensation d'enlacement de votre tête entre ses bras, de son regard coquin et de sa poitrine proéminente vous excite davantage.
Elle poursuit sur vos épaules, vos bras, vos mains, revient sur votre buste sans oublier le dos.
Marie s'agenouille à son tour pour savonner le bas en commençant par vos jambes puis vos pieds, elle paraît très soumise dans cette position.
Elle ressaisit le produit pour en verser sur votre pénis, qu'elle nettoie lentement mais avec fermeté plusieurs minutes, c'est plus qu'agréable.
Il n'y a eu aucun échange de paroles lors de ces savonnages mutuels, hormis quelques timides gémissements de plaisir.
Marie remets l'eau.
Tous deux vous rincez, en vous regardant et en riant timidement, comme des enfants qui viendraient de commettre une bêtise.
TOC TOC TOC
Vous sortez de la douche avec précipitation et vous séchez à la hâte car Berthine toque à la porte.
<< Oh Marie çô vô ?! Tout va bien ?! Avec l'aut'con lô ! >>
<< Oui oui mamie ça va t'inquiète ! >>
Elle ramasse sa culotte usagée par terre et tente de l’insérer dans votre bouche alors que vous vous remettez à quatre pattes.
<< – Non pas ça s'il te plaît – >>
Suppliez-vous à voix basse.
<< Tu obéis esclave !! >>
Cri-t-elle.
Elle vous la place de force, avant de s'enrouler dans une serviette et de sortir.
Vous n'osez plus respirer par la bouche, et encore moins ravaler votre salive.
Certes assez dégradant, cet acte a permis de ne pas éveiller de soupçons chez Berthine, qui redescends l'escalier.
Vous vous dirigez vers la chambre à Marie.
Chapitre 18
Recrachant la culotte, vous foncez dans la chambre à Marie tout en vous relevant, elle jette sa serviette et s’étend sur son lit pour se rouler dans sa couverture. Ses pieds dépassent. Vous interprétez cela comme une brèche d'attaque envers cette gourgandine.
Alors vous vous abaissez à son niveau et lui attrapez les talons, de manière à la bloquer pour la chatouiller par des mordillements et des petites léchouilles.
Des rires se font entendre, ravivant votre trique, ce qui vous pousse à vous faufiler sous la couette.
En remontant son corps, vous vous mettez à le saisir, il est doux, et plutôt massif si on le compare au vôtre, c'est comme une grosse peluche qui gigoterait à chaque stimulis.
Vous êtes maintenant tête-à-tête, liés par l'étreinte des draps, vous reprenez ce que vous aviez entrepris sous la douche, à savoir la palpation de ses nichons.
Comme avec ses pieds, vous les humez et les embrassez.
Marie rigole toujours autant, et vous guide lentement le crâne vers son entre-jambes. Vous n'opposez aucune résistance, bisant son ventre en descendant, et arrivez face au fruit défendu.
Il est là, juste devant vous.
Sans vous poser plus de questions, et bien exercé désormais, vous ne vous contentez pas de timides coups de langues, mais plaquez votre bouche entière sur l'orifice que vous dévorez comme si c'était votre dernier repas.
La réaction de Marie est immédiate, ses cris de plaisir ont sur vous l'effet d'encouragements, vous passez vos mains derrière ses fesses pour une meilleure prise, vous léchez son sexe comme un chien son jouet, bavez et émettez des sons de délectation.
Sur les genoux hors du lit, ses jambes écartées entre vos bras, vous ne prêtez pas attention au goût, il n'y en a pas, ce qui compte c'est de l'entendre gémir et la sentir se tortillonner sur elle-même, tout en vous plaquant la tête plus fort contre elle.
Ce manège dure un temps que vous ne parvenez pas à estimer, qui ne cesse que lorsque Marie se crispe en couinant, une petite seconde de temps mort, un peu de cyprine, et c'est l'orgasme.
Vous lui rendez honneur pour tout à l'heure en la nettoyant, n'oubliant même pas la petite bise.
Rouges et transpirants, vous seriez bons pour reprendre un douche. Pour le moment, vous vous contentez de vous regarder, elle est assise sur le bord du lit, et vous toujours à genoux contre, lui tenant encore l'arrière-train.
Vous restez ainsi quelques minutes à vous fixer, souriants, sans échanger un mot.
<< … >>
<< … >>
<< … >>
<< Laisse-moi réaliser un de mes fantasmes ! >>
<< O-Ok ouais ! >>
Heureuse, Marie se lève et se dirige vers une petite armoire qui lui sert de table de chevet.
Vous ne saisissez pas l'idée.
<< Ce meuble, papy me l'avait percé pour faire passer le câble de ma lampe, regarde y a un trou là sur le côté et un autre sur le dessus, sauf que comme papy c'était un blédard, il a fait des perçages beaucoup trop gros. >>
<< D'accord. >>
<< Heureusement il est mort mdr ! >>
<< Ok ouais je vois ce que tu veux dire. >>
<< C'est vrai ?! T'as compris ce que je veux faire?! >>
<< Non. >>
Elle s'esclaffe, puis reprends.
<< Ben, moi je me mets dedans et toi tu glisses ton bistouri dans les trous, ils sont un peu mal placés je sais mais ça devrait aller je pense ! S'il te plaît dis oui ! Je veux trop essayer ! >>
<< Ouaip, faisons comme ça alors ! >>
<< Trop cool ! >>
Marie ouvre l'unique porte frontale et retire une couverture d'hiver qu'elle balance dans un coin.
<< Voilà ça ça jarte. Bon par contre je voudrais une petite mise en scène avant. >>
Vous l'écoutez.
<< Je vais m'habiller dans une de mes plus belles tenues pour sortir, après j'irai me maquiller, pis toi quand j'aurai fini, tu restes à poil comme t'es là, tu viens vers moi, tu me gifles à cause de ma tenue de salope, me tires par terre en m'insultant et me traînes jusqu'à ma cage. Tu pourras même m'enfermer y a une serrure hi hi ! >>
Elle constate que vous bandez sévère, cela l'amuse.
<< Voilà et après tu m'obliges à sucer c'est tout ! >>
<< C'est bon pour toi ?! >>
<< O-Ouais ouais ouais ! >>
<< Super alors en attendant que je me prépare, comme tu dois avoir faim, y a ma réserve sous le lit ! >>
C'est vrai que vous crevez la dalle, Marie se prépare ses vêtements et retourne dans la salle de bains pendant que vous fouillez sous le sommier.
Vous mettez la main sur un vibromasseur, vous souriez et le reposez, avant d'attraper une boîte, contenant toute sorte de friandises dont vous vous régalez.
Assis sur le lit de la jeune femme, un pied contre son oreiller et l'autre contre un doudou de licorne qui traîne, en bouffant des m&m's, lâchant un rot, vous savourez cet instant de gloire et patientez avant de la face fuck une fois qu'elle sera revenue.
<< Le respect ? Où ça ?! >>
Vous vous marrez tout seul, les mâles alphas n'ont plus rien à vous envier.
15 et 16
Chapitre 15
Vous retrouvez votre ancienne place ; sur les genoux à côté de la table. Marie s'installe et Berthine lui apporte son assiette, des pennes accompagnées d'une sauce aux multiples fromages visiblement.
<< Hé voilô l'plat du chef ! >>
Marie commence à manger et Berthine prends place à son tour, face à sa portion démesurée, elle mange directement dans la casserole après avoir vidé un demi sachet de gruyère râpé.
<< Mmmh ! J'aime bien quand tu fais cette sauce mamie ! >>
<< Ha ! C'est lô sauce où qu'on mets tous les fromages du frigo ! >>
Ça a l'air riche en calories, et pour Célestin manger un vrai repas chaud qui cale serait une bénédiction des Dieux à cet instant. Vous prenez l'initiative de quémander auprès de Marie.
<< Hé bah alors esclave, on a faim ?! Tu crois que tout t'est dû ?! >>
<< … >>
<< Coucouche panier esclave ! Va coucher ! >>
Vous rejoignez la paillasse au sol, le ventre gargouillant, criant famine.
Un bon quart d'heure s'écoule, Marie discute avec sa grand mère puis vient vers Célestin et lui dépose une assiette sous les yeux.
<< C'est moralement très difficile pour moi de nourrir mon agresseur. Tu as vraiment de la chance d'avoir été placé dans notre maison et d'être avec moi. >>
Elle achève sa remarque et celle-ci piétine le reste de pennes imbibées de sauce, qui dans un bruit visqueux s'étalent autour entre ses orteils.
<< Allez mange ! >>
La faim l'emporte sur la fierté, vous dévorez les pâtes tièdes en tâchant de ne pas trop prêter attention à son pied qu'elle laisse planté au milieu de l'assiette. Tant pis pour le goût.
<< Bien, maintenant tu montes dans ma chambre. >>
Marie s'éloigne après avoir essuyé son pieds plein de sauce sur votre couchette, elle ira ensuite terminer le travail dans votre gamelle.
Vous la suivez et remontez tous deux jusqu'à sa chambre.
La jeune fille dépose son sac récupéré à l'entrée devant son bureau de gameuse et éloigne sa chaise.
<< Ici ! C'est toi la nouvelle chaise ! >>
Vous obéissez tel un robot et vous installez à quatre pattes, parallèlement à la table.
Marie pose ses fesses habillées d'un simple mini short à peu près au centre de votre dos.
<< Mmmppffh ! >>
Vos genoux qui étaient déjà douloureux à force de s'appuyer dessus et des frottements sur le bitume sont maintenant soumis à rude épreuve, et l'importante pression sur les lombaires n'aide guère, vous tremblez.
<< Hé ho, je t'ai demandé de faire l'option siège vibrant ?! Je crois pas hein. >>
Vous essayez d'ignorer la douleur, rouge et le visage enflé, des fines larmes viennent y perler.
Marie n'est pas super stable et bouge fréquemment pour se tenir dans une meilleure posture.
Quelques minutes seulement suffisent à vous faire céder.
Marie se rattrape, et vous soufflez enfin.
<< Putain oh ! Tu me fais quoi là ?! >>
Vous pleurnichez et vous allongez pour vous soulager les vertèbres ainsi que vos genoux.
<< Ok donc même rester immobile tu sais pas faire, ok tu vas être ma penderie alors ! >>
Elle montre du doigt un espace inoccupé derrière sa chaise qu'elle remets en place. Vous y allez et elle vous guide vos mouvements. A genoux, le dos droit et les bras perpendiculaires au torse.
Marie ramasse ensuite des vêtements et linges divers qui jonchent le sol pour les déposer sur vos bras. Vous avez à présent une petite quinzaine de textiles divers sur vous.
Elle vous scrute un moment, puis retire son short qu'elle vous rajoute.
Désormais en culotte, elle se dandine un peu devant Célestin qu'elle nargue.
<< A défaut d'être un bon fauteuil tu feras peut-être une bonne penderie. >>
Elle allait se retourner pour retourner à son bureau quand un détail la fit s'interrompre.
Vous êtes en érection, pas à fond, mais c'est immanquable.
La vision de cette fille en tenue légère à pris le pas sur vos souffrances.
Marie fixe votre entrejambe et peine à trouver ses mots, elle bégaye un peu.
<< Hé t-t'arrêtes là, t-t'arrêtes de bander hein. >>
Un silence un peu gênant s'installe, s'en suit de Marie qui va s'asseoir l'air de rien.
Depuis votre place, la vue sur son gros cul cambré et ses dessous de pieds renforcent votre trique.
<< – Qu'est ce qu'elle est bonne bordel – >>
Chapitre 16
Cela fait maintenant quelques minutes que Marie est à son bureau, remuant frénétiquement ses pieds, elle semble stressée, vous ne décrochez pas le regard de ses fesses, sauf pour jeter un œil plus bas parfois, néanmoins, déconcentré, vous relâchez vos bras ce qui entraîne la chute de ce qu'il y avait dessus. Marie se retourne d'un coup et se lève.
Elle allait vous engueuler, sauf qu'au lieu de cela elle se contente de regarder avec insistance votre sexe qui grossit encore. Finalement, elle tente de dire quelque chose.
<< Hé c'est pas... C-C'est pas ce que t'es c-censé... censé faire l-là. >>
Peine-t-elle à articuler alors qu'elle n'a pas cessé de fixer votre verge.
C'est à ce moment que vous voulez changer le destin, vous sentant soudainement pris d'une confiance digne d'un mâle alpha, vous avez l'initiative de vous relever.
Vous êtes à présent debout face à Marie qui n'ose rien dire.
Un silence se crée, générant un malaise palpable.
Elle semble prendre conscience que vous êtes un être humain au même titre qu'elle.
Stoïque, votre regard se pose maintenant sur sa jolie culotte jaune à rayures roses, ou l'inverse, vous constatez qu'elle est maculée d'une petite tâche sombre à l'endroit ou se trouve son sexe.
Vous êtes en état de stupeur, et ressentez au fond de vous des instincts nouveaux de prédateur.
Déterminé, vous faites deux pas vers Marie qui inspire d'un coup, mais sans reculer, elle vous a regardé dans les yeux lors de votre approche mais reprends vite sa fixette sur votre entre-jambes.
Vous vous trouvez à moins d'un mètre l'un l'autre.
Face à elle vous êtes plus grand et la regardez donc de haut, de manière insolente.
Elle tremble un peu et après une bruyante respiration reprends la parole.
<< Euh je... E-Elle est q-quand même assez grosse... T-tu sais moi depuis que t'es là c'est plus pour r-rigoler ce que je fais hin... C-C'est la loi, m-moi je t'aime bien au fond j-je pense... D-D'ailleurs il m'avait fait rigoler ton message sur les chattes qui t’eni-t'enivrent en été... et voilà hin hin >>
Elle termine hâtivement sa phrase car elle constate que vous inclinez la tête sur la droite, en signe d'incompréhension. Son regard se pose ensuite successivement sur vos multiples bleus et égratignures. Il y en a beaucoup.
Elle reprends.
<< C-Ça va tu n'as pas trop mal ? T'as... pas grand chose... s-si ? >>
Finit-elle timidement et de façon presque inaudible.
<< … >>
<< T-tu sais je suis désolée pour ce qui t'arrive... Vraiment, c'est un peu démesuré tout ça juste pour un message sur un forum... >>
Marie rougit, elle a l'air sincère et sèche timidement ses yeux avant de fixer les vôtres.
Après une courte hésitation, elle passe ses mains derrière votre dos, et descends doucement, s'agenouillant et laissant glisser ses mains jusqu'à l'arrière de vos cuisses.
Sa tête se trouve maintenant sous votre pénis qui frôle ses cheveux et qui semble prêt à exploser de sang. Les rôles sont inversés.
Marie vous regarde et dit d'un ton sensuel, sans hésitation cette fois.
<< Oh mon pauvre, je suis tellement désolée on est allés trop loin >>
Elle renifle entre vos jambes et fait en sorte que votre sexe roule sur son visage d'ange.
<< Tu mérites pas ce qui t'arrive, je suis désolée, vraiment désolée c'est pas normal de t'infliger tout ça ! Tu mérites mieux ! Laisse-moi me faire pardonner ! >>
C'est elle qui pleurniche pour une fois, votre érection n'en est que meilleure.
Vous restez muet, impatient de ce qui va suivre.
Marie enlace vos jambes et commence à embrasser vos testicules.
<< Moua, moua, tellement, moua, tellement désolée esclave. Oh non ! Moua, c'est pas ce que je voulais dire pardon, moua, t'es pas un esclave, moua, moua >>
Continue-t-elle en baisant votre paquet et en poursuivant lentement sur le prolongement de votre verge.
<< … >>
<< Han ça m'excite trop ! >>
S'exclame-t-elle avec une voix de cochonne.
Elle sort ensuite sa langue et la glisse de vos couilles à votre prépuce ouvert, en suçotant avec grande délicatesse votre gland.
Elle y mets du cœur c'est indéniable, puis répète le mouvement plusieurs fois avant d'essayer de rentrer intégralement votre pénis dans sa bouche, non sans quelques gémissements.
Extase.
La sensation est encore mieux que lorsque vous aviez utilisé ses pieds hier soir.
En cocooning dans sa cavité buccale, sa langue vous massant le tronc, vous sentez le début de sa gorge et commencez spontanément à effectuer de petits va et viens, ce qui la fait haleter.
Vous placez vos mains derrière sa tête en lui caressant les cheveux.
Vous accélérez le rythme et gagnez en amplitude de geste, c'est tellement doux et chaud, enfin un peu de bonheur dans cette maison de merde pensez-vous.
Quelques secondes pendant lesquelles Marie vous polit la queue comme une pro, et vous sentez que ça va pas tarder à sortir, le plaisir est trop intense.
Vous lui secouez la tête, elle couine en intensifiant la succion et ça y est.
Marie s'arrête brusquement quand un torrent de foutre lui remplit la gueule, elle tremble telle une feuille mais à la manière d'un acteur porno, vous la plaquez contre votre bassin d'une main et en lui bouchant le nez de l'autre. Elle tousse, vous êtes encore en train de décharger.
<< BLBLBLBLBGRRBLLB MMPPFHBLBLBL ! >>
Elle finit par avaler, et entreprends même de bien vous nettoyer afin qu'aucune trace de son forfait ne subsiste. Une petite bise sur le gland pour finir.
<< Je t'aime. >>
Murmure-t-elle à voix basse.
<< eeeeeeeeee >>
En larmes, rouge de honte et surexcitée, Marie vous sourit et rit nerveusement.
<< J'ai trop kiffé ! >>
13 et 14
Chapitre 13
A peine quelques minutes pour reprendre votre souffle, pas plus car Berthine arrive.
<< Bon j't'explique. Faut tondre la plouze et récolter les tomates. Mais lô comme y a du soleil je vais m'faire une séance de bronzage pendant que que tu fais tout que qu'est-ce que je te dis ok ?! >>
Ça n'a pas l'air très difficile, peut-être enfin allez vous respirer un peu.
Vous secouez la tête en avant comme un attardé en signe d'approbation, et suivez Berthine dans le jardin derrière la maison.
Il fait un temps magnifique, le soleil commence à taper fort, la parcelle y est entièrement exposée.
<< Allez mô j'm'allonge ici et tô tu tonds la plouze ! >>
Berthine déploie une serviette et s'allonge à plat ventre dessus. Elle est en maillot de bain et ressemble à un marshmallow discount tant il est complexe de discerner chaque partie de son corps distinctement l'une de l'autre.
Vous patientez, immobile.
Sans outils ? Pensez-vous.
<< Avec tes mains lô ! Boulet lui c'est pô possible ! >>
Bon, très bien, un peu bizarre mais vous avez vu pire.
Vous commencez donc à arracher des touffes d'herbes, c'est pas spécialement compliqué, juste pénible du fait de la position accroupie.
Un pet gras brise le silence.
PROOOOOOOT
C'est Berthine.
<< Ha ! Cui-lô il mets tout l'monde d'accord ! Ha ha ! >>
Elle raconte de la merde pensez-vous, cependant, à bonne distance de son cul difforme, vous échappez à l'odeur, c'est toujours ça de moins.
Les minutes défilent, vous mourrez de chaud, les petites blessures accumulées jusqu'ici semblent s'intensifier et la position que vous avez pour tirer sur les touffes de gazon vous provoque des crampes. Par ailleurs vous n'avez pas beaucoup avancé, mais les endroits où l'herbe était la plus haute ont bien réduit, espérons que cela convienne à sa majesté.
La peau de Berthine est d'un rouge vif, elle semble être en train de prendre un coup de soleil.
<< – Dans ta gueule Magalie – >>
Chuchotez-vous.
Comme par télépathie, Berthine tourne la tête vers vous, qui à ce moment êtes en train de lutter contre des fourmis qui vous grimpent dessus.
<< Ho l'comique viens lô une fois pour voir ! >>
Vous vous rapprochez lentement.
Elle vous jette un tube de crème solaire.
<< J'ai oublié de mettre la crème putain lô ! Mets moi lô crème sur l'dos plus vite lô ! >>
Bon allez, pensez-vous, vous avez déjà fait pire que ça.
Vous versez de la crème sur le dos aspect jambon de Berthine, il est maculé de tâches diverses et parsemé des plis de bourrelets. Quelques longs poils blancs par endroit rendent l'ensemble d'autant plus dégoûtant, vous avez une érection négative, surtout en constatant qu'elle brille déjà de sueur.
<< Et t'oublies pô d'passer entre les bourrelets hein parce que j'aime bien ! >>
Vous tartinez le dos de Berthine comme celle-ci ses tartines, donc grossièrement et vite fait, mais cela semble lui convenir. Anecdote qui amuse Célestin ; cette femme aurait physiquement le volume pour l'engloutir quatre fois.
Si passer sur les parties de son dos n'est pas si désagréable que ça, insérer la main entre ses bourrelets suintant est une autre histoire, il y fait chaud, et la ressortir n'est pas aisée si une forte dose de crème n'a pas été appliquée.
Berthine se crispe et contracte son sphincter.
PROOOOOOOT
Cette fois ça commence à devenir humiliant et sale, l'inévitable odeur putride réchauffe encore l'atmosphère et vous prends aux bronches, un nouveau sentiment de vertige suivi d'une remontée gastrique vous envahit.
Soudainement, Berthine écarte un peu les jambes.
<< Mets tô derrière mô ! >>
Après une seconde d'hésitation vous vous exécutez, craignant le pire.
<< Masse-mô les cuissots j'aime bien ! >>
Vous insistez donc sur l'arrière de ses cuisses, ils sont mous et bardés de cellulite.
A genoux et penché entre ses jambes, cette position vous place à une distance dangereuse de son énorme cul.
<< – Pourvu qu'elle pète pas à nouveau – >>
La scène est déjà humiliante telle quelle, et ce que vous redoutiez se produit.
C'est un balai incessant de flatulences de sonorités et d'intensités variables, mais toujours odorantes, largement amplifiées par la chaleur ambiante qui mieux est.
Ce cauchemar durera plus de deux heures, jusqu'à ce que Berthine daigne à vouloir se lever.
<< Ah merde j'ai pô préparer le repas du midi, y a la louloute qui va rentrer du lycée lô ! >>
<< – Sauvé bordel – >>
Pour l'instant, car Marie ne va pas tarder à rentrer à la maison.
Chapitre 14
Berthine retourne à la maison en direction de la cuisine, itinéraire qu'elle connaît par cœur.
Vous restez dehors, et profitez de cette éphémère interlude pour vous laver dans la mare, ou du moins vous y rafraîchir. Vous récupérez un peu, cela vous remets les idées en place.
Sur le dos, à moitié immergé, vous avez un éclair de lucidité sur la situation.
<< Bordel mais comment j'en suis arrivé là ? Hier encore j'étais un jeune asocial puceau tout à fait normal. En moins de 24h j'ai léché des pieds, récuré des peaux mortes de grany, avalé des saletés collées aux pieds d'une femme ayant l'âge de ma mère, mordillé les pieds d'une jeune fille des heures durant, mangé de la nourriture écrasée par une vieille obèse, humé des pets immondes, lustré et massé le fion d'une grand-mère et cetera, le tout en me comportant comme un véritable esclave sexuel. Putain mais pourquoi je suis là ? >>
Dites-vous calmement en pleurnichant. Cela vous fait presque bizarre d'entendre à nouveau votre voix. Vous avez peu parlé depuis que vous êtes ici.
Pas le temps de niaiser, vous entendez Marie rentrer.
Vous ne discernez pas bien l'échange verbal entre elle et Berthine, vous entreprenez de sortir de l'eau et d'aller voir.
A ce moment Marie déboule dans le jardin et vous remarque.
<< Ah ben tranquille la vie toi ?! Au soleil dans notre mare peinard, ça va la vie ?! >>
<< … >>
<< C'est pas la peine de me regarder comme ça. >>
<< … >>
Elle se dirige vers la balançoire et s'y assoit.
Vêtue d'un mini short, d'un débardeur et de sa paire de ballerines, elle commence à se balancer légèrement.
<< Viens ici ! >>
Vous lance-t-elle en claquant des doigts.
Vous obéissez, cette fille vous donne la trique malgré la honte qu'elle vous procure.
Face à elle, sur quatre pattes, vous la regardez, attendant la suite.
<< Aujourd'hui à l'amphi c'était super, on a parlé de déconstruction des genres et du grand remplacement à venir, en vrai trop hâte, en plus le prof il est super craquant je le kiffe. Avec Cindy on a tchatché et genre on adore son concept de relation. Le mec il laisse sa femme vivre une autre histoire d'amour avec un autre gars, c'est trop une preuve de confiance, la gars il est conscient que le corps de sa femme lui appartient pas, et il a pas basé son couple sur la fidélité mais sur la confiance. Ça c'est un homme qui porte ses couilles, pas comme toi esclave de merde qui me demande une photo de mes feet ! >>
Vous n'avez que moyennement suivi le monologue de Marie, ça la fâche.
<< Oh connard je te parle ! >>
<< … >>
<< Si ça t'intéresse pas j'ai un autre truc pour toi. >>
<< Dans l'amphi il faisait grave chaud, Cindy a retiré ses chaussures mais moi je les ai gardées exprès pour toi. Cinq heures assise à transpirer dans mes vieilles ballerines, j'avais l'impression de patauger par moment. Pis après marcher jusqu'au bus et revenir ici depuis l'arrêt je te dis pas. Non je te dis rien j'en sais rien en fait, c'est toi qui va me dire, couché esclave ! >>
Scindé entre excitation et tremblements, vous vous allongez lentement sur le dos sous la balançoire.
Marie approche ses pieds de cotre visage, il y a déjà une odeur assez importante.
<< Enlève mes chaussures. >>
Vous retirez non sans peine une première ballerine qui accroche à son pied et découvrez qu'il n'a pas de chaussette, vous recevez des fines particules en l'extrayant.
Sitôt retiré, Marie vient le plaquer contre votre bouche en vous pinçant le nez avec ses orteils.
<< T'aimes bien mes pieds hein ?! Tu les aimes là ?! Elle te plaît la photo ?! >>
C'est humide et poisseux, l'odeur est considérable, la bouche bloquée vous inspirez intensément par le nez entre ses orteils pour reprendre votre souffle. Vous voulez hurler mais impossible, elle s'appuie sur votre visage.
<< Sors ta langue ! >>
<< Mmmmphh ! >>
<< Tu te tais et tu sors ta langue !! >>
Vous ne parvenez pas à obéir, c'est trop.
Marie se recule en prenant plus fort appui sur votre nez, elle retire son autre ballerine en bloquant le talon contre vos hanches et vous assène un coup dans les testicules.
Puis un autre, et encore un autre.
La position, l'odeur, la sueur, les coups, vous vous remettez à pleurer.
<< Je m'en fous que tu pleures, lèche ! Avale la bonne transpiration ! Mmmh c'est bon ça ! >>
Elle reprends ses coups dans les bijoux de famille, plus fort cette fois.
<< Mmmphhh !! >>
La douleur vous fait émettre un petit cri, elle profite de ce moment pour insérer le bout de son pied au fond de votre cavité buccale, qui de cette façon est contrainte d'avaler la salive gorgée de sueur.
<< Ah ben voilà ça c'est bien, tu aimes ? Hi hi hi ! >>
Le goût est très salé et âcre. Vos forces vous abandonnent, vous finissez par vous détendre un peu malgré vous et la laissez tortillonner ses orteils dans votre bouche. L'humiliation est totale.
<< Voilà gentil toutou qui nettoie bien les orteils ! Sors la langue maintenant. >>
Vous obéissez cette fois.
<< Tu vas être mon paillasson officiel, grâce à toi mes pieds seront toujours propres ! >>
Elle fait à présent glisser ses pieds de haut en bas sur toute la longueur de votre langue, chauds, leur texture est tendre en surface et ils sentent toujours aussi forts.
<< Là tu es mon paillasson, et cette après-midi tu seras ma chaise ! >>
Dit-elle fièrement, amusée de la situation comme à son habitude.
Quelques minutes se déroulent ainsi. Vous souffrez en silence, avec une légère trique à laquelle elle ne prête pas attention.
La scène est interrompue par Berthine qui l'appelle de la cuisine.
<< Ohé Marie tu viens manger lô ?! >>
<< Oui mamie j'arrive ! >>
Marie reprends ses chaussures à la main et courent à l'intérieur.
<< Hop viens l'esclave, si t'es gentil t'auras droit à un reste et un crachat ! >>10 à 12
Chapitre 10
Oh non pas Berthine pensez-vous. Bon au moins elle n'a plus de peaux mortes c'est déjà ça.
Arrivé à la cuisine, Berthine se prépare moult tartines de pâté. Samantha récupère des clefs sur un guéridon, ainsi que son portable, et se regarde une dernière fois dans la glace.
A ce moment vous remarquez que c'est vraiment une très belle femme, vous l'aviez déjà vu hier, mais là il y a un charme supplémentaire que vous contemplez. Dommage qu'elle soit si méchante avec vous.
Pas le temps de rêvasser plus longtemps, vous avez gêné sa progression vers la sortie et, tendue comme elle est, vous a fait comprendre votre erreur en vous marchant sur les doigts, suivi d'un rapide coup de pied dans les couilles.
Cela a a eu pour effet de faire resurgir la douleur de la veille, vous gémissez, elle s'adresse à vous.
<< Je ne veux pas t'entendre. Tu étais dans le chemin alors tu écrases. Ce soir on mettra au clair cette histoire d'odeur dans la chambre, j'en ai pas fini avec toi. >>
<< … >>
<< Maman tu lui laisses pas de répit aujourd'hui, je te fais confiance. >>
<< Oh t'inquiète pô ma louloute, j'vais te l'faire bosser le ptit malin ! >>
Samantha salue sa famille et s'en va.
Vous avez faim, votre vision se pose sur Berthine s'empiffrant de tartines dont le nappage est aussi épais que la tranche de pain. Celle-ci a sorti un magazine de mode qu'elle feuillette en critiquant les modèles. Elle vous répugne, d'autant qu'elle fait du bruit en se gavant.
Quelqu'un descend des escaliers, c'est Marie, qui salue sa grand-mère.
Vous n'y prêtez pas attention, jusqu'à ce que Marie reprenne la parole.
<< Esclave va chercher mes chaussures à côté de mon lit immédiatement ! >>
Ordonne-t-elle. Vous remontez les escaliers en vitesse chercher les chaussures, une paire de ballerines un peu usées, que vous attrapez avec les dents.
Elles sentent mauvais, une des pires odeurs depuis que vous êtes arrivé dans ce foyer.
Le cuir chaud couplé à la transpiration est un mélange horrible.
<< --Pourvu qu'on ne me donne rien à faire avec ça-- >>
Chuchotez-vous.
Vous vous hâtez de redescendre rapporter à Marie son dû, qu'elle enfile en s'appuyant sur votre dos.
<< … >>
<< Tu vas voir quand je rentre à midi sale esclave profiteur de merde ! J'aurai toute l'aprem pour te bolosser. >>
Marie prends un goûter pour manger dans le bus et fait un bisou à sa mamie avant de filer.
Berthine termine ses tartines et en a gardée une pour vous, qu'elle jette par terre avant de l'écrabouiller avec son gros pied nu.
<< Tiens ! T'es pô à la cantine lô ! >>
Vous regardez ce qui reste après son passage. C'est peu ragoutant, le pain blanc est relativement préservé mais le pâté se retrouve étalé au sol et sous le pied Berthine.
<< Allez à table lô ! Ha ha ! >>
Vous mourrez de faim alors vous attrapez la tartine avec vos dents en prenant garde à ne pas trop toucher le sol.
<< Lèches tu nettoies lô, on va pas laisser le sol comme çô ! >>
Vous regardez Berthine, avec des yeux tristes et fatigués, sans agir.
Elle saisit son magazine qu'elle roule et s'apprête à vous frapper avec.
Aussitôt vous obéissez, tant pis pour l'hygiène, vous léchez le sol pour récupérer le pâté.
<< Ben voilà quand tu veux, maintenant mon pied lô. >>
Elle vous tends son pieds que vous nettoyez vite fait de quelques rapides coups de langue.
Vous recevez quand même un coup de magazine roulé.
<< Cui lô c'est cadeau d'la maison ! Ha ! >>
Aïe, contre une oreille, elle siffle un instant et devient chaude.
<< Bon, aujourd'hui sacré programme lô, on va jardiner un peu. Mais d'abord tu vas venir avec mô pour faire ta balade lô! >>
Berthine récupère la laisse et vous la passe autour du coup, comme lors de la première fois, l'autre extrémité est reliée à une de ses chevilles.
Honte en perspective, être promené par cette grosse dreameuse va être un nouveau cap dont vous vous seriez bien passé.
Chapitre 11
<< Allez c'est darty mon kiki ! >>
Berthine enfile ses vieilles espadrilles et vous sortez ensemble pour une petite balade dans le quartier. Chance pour Célestin, c'est un village assez peu fréquenté, surtout à cette heure.
Il y a moins d'un mètre de corde sur cette laisse, cela vous oblige à suivre son rythme en maintenant la tête baissée.
<< On va aller voir Gertrude, mon amie lô, elle habite pas loin. >>
Dehors, il fait un temps clair, le ciel est dégagé et la température avoisine déjà les 30°.
Mais, étant nu, vous n'avez pas froid, cependant, vous n'aviez jamais imaginé à quel point il est douloureux de se déplacer sur le bitume du trottoir en étant à quatre pattes.
<< Pipi ? >>
Vous avez besoin d'uriner alors vous acquiescez, levez une jambe et pissez contre une clôture.
A peine le temps de finir que Berthine repart, et vous avec.
Quelques rares passants et automobilistes vous regardent, même si la plupart ont l'air choqués, d'autres semblent s'amuser de la scène. Un type en bagnole vous à filmé, à ce moment Berthine à fièrement déposé un pied sur votre nuque, vous obligeant à vous incliner.
Votre arbre généalogique est souillé, plus jamais il ne pourra y avoir de mâles alphas parmi vos descendants si un jour vous en avez.
La balade se poursuit.
Vous arrivez après une dizaine de minutes et une sale crampe à la nuque devant une petite maison assez moche d'un vert pâle de très mauvais goût.
<< Ho Gertrude ! T'es lô une fois ? >>
<< Hein ?? C'est qui ? Hein ?! >>
<< Hey ma bouboule c'est mô ! >>
<< Hein ?! Ah oui ! Viens en terrasse ! >>
Les deux cachalots hurlent pour se comprendre, vous n'entendez que des beuglements.
Vous pénétrez dans la propriété et vous dirigez vers un coin terrasse eco+, dotée d'un set de chaises en taule et d'une table en métal bon marché.
La décoration des lieux est à chier.
<< Holà qu'est ce que tu m'apportes là hein !? >>
<< Ah oui c'est eul con de l'internet, celui qui a critiqué ma ptiote lô >>
<< Ah vilain ! >>
S'adressant à vous.
<< Tu l'as puni ? >>
<< Il a quatorze jours de punitions la juge a dit lô, et ce matin c'est à mô de le garder ! >>
<< Hein ?! D'accord, je peux lui péter dessus ?! >>
Non non non non non pensez-vous. Votre rythme cardiaque s'accélère brutalement.
Dis non Berthine pitié.
<< Oh bô oué fais tô plaisir hein ! >>
<< Allez l'esclave lô on se prépare à se faire péter dans le visage lô ! >>
<< Ah super, depuis le temps que je rêve de faire ça ! >>
Berthine et Gertrude vous force à vous allonger sur le petit bout de pelouse du jardin.
Gertrude lève rapidement sa robe et galère à retirer sa culotte.
Vous êtes tétanisé par ce que vous voyez, vous avez envie d'hurler mais impossible, les mots ne parviennent pas jusqu'à votre bouche.
Chapitre 12
<< Bon je me lance hein ?! >>
C'est le cas de le dire, Gertrude se laisse pratiquement tomber sur votre visage.
Votre tête est coincée entre les deux gigantesques parois que représentent ses énormes fesses. Celles-ci sont d'une part humides et d'autre part très molles, vous allez rapidement manquer d'air.
Il fait instantanément très chaud là dessous et l'odeur est déjà infecte.
A peine conscient de ce qui se passe, un gargouillis comparable à ceux que vous entendiez sur le ventre à Berthine vous ramène dans le réel.
Vous allez passer un sale moment.
<< On va te punir vilain garçon hein ?! >>
<< T'es bien lô dessous ? Ha ha ! >>
Berthine est à côté et rit en voyant son amie se balancer d'avant en arrière comme pour actionner la pompe d'un vieux robinet. Un gargouillis semblant provenir du fin fond des enfers se fait entendre.
<< – Bordel c'est comme ça que je meurs ? – >>
Chuchotez-vous tant bien que mal.
Les frottements répétés de Gertrude vous font vous rapprocher de son anus. Celui-ci se trouve entre votre nez qui est bouché de par le pincement des fesses et votre bouche que vous gardez grande ouverte, ce pour aspirer le peu d'air à votre disposition.
Les balancements cessent soudainement. Gertrude se fige.
PROOOOOOOT
<< … >>
C'est affreux.
Célestin vient de se ramasser au visage une bourrasque chaude et sans filtre, accompagnée de très fins grumeaux en plein dans la bouche. L'odeur malgré le nez bouché est abominable, cette fois c'est un mélange de transpiration, de merde et de vieille, un des pires combos possible.
<< Deuxième fournée ! >>
PROOOOOOOT
Le manque d'air et le traumatisme font leurs effet, vous êtes pris de spasmes.
Gertrude se relève péniblement.
Vous haletez, votre vision est trouble, une sensation de vertige vous gagne.
Vous reprenez vos esprits, ne sachant pas si vous devez être content ou pas d'avoir survécu.
<< Bon allez je te laisse mô louloute ! C'était rigolo mais faut pas me l'tuer lô ! >>
<< Ça marche hein !? Je pense qu'il a compris la leçon ! >>
La laisse vous est repassée, les deux amies se saluent et c'est reparti.
Complètement sonné, vous ne voyez pas le temps passé sur le trajet du retour, seule la douleur des déplacements sur le macadam et celles de votre nuque vous rappellent que vous n'êtes pas en train de rêver.
Vous revenez à la maison, et êtes détaché.
<< C'était une belle balade hein ?! Ha ha ha ! >>
Vous ne répondez pas.
<< Oah elle est gentille la Gertrude, c'est une rigolote ha ha ! Pô comme tô ! >>
Vous regagnez votre couchette.
Vous puez littéralement la merde et n'avez pas osé ravalé votre salive depuis que vous êtes parti de chez Gertrude.
Vous vous mettez en boule sur la paillasse qui vous sert de lit afin de ne pas avoir de parties du corps qui dépasse.
Berthine vous parle depuis la cuisine alors qu'elle se prépare une collation bien méritée.
<< T'endors pô on a jardinage après ! Je termine çô et on y vô ! >>
7 à 9
Chapitre 7
Pieds nus, son indiscutable obésité se ressent sur le carrelage, lequel garde une trace humide après chaque pas de Berthine. Elle récupère sa bassine qu'elle remplit d'eau qu'elle agrémente de bicarbonate de soude, et l'emmène dans le salon.
Vous restez sans voie, présageant le pire, immobilisé dans la cuisine.
Elle beugle depuis son fauteuil.
<< Viens lô !! >>
Vous arrivez timidement, ses pieds baignent dans le récipient d'eau salée, elle allume la télé pour regarder télé achat. Elle vous fait signe de venir vous asseoir sur le canapé, la place juste à côté de son fauteuil. Le cul sur un accoudoir du canapé, votre tête repose maintenant sur la graisse ventrale de Berthine, subissant les gonflements de sa respiration poussive et les gargouillis abyssaux de son estomac.
Dans cette position peu confortable, Berthine vous caresse la tête et s'exprime en attrapant un gâteau sur sa table adaptée.
<< T'es un enfoiré tô. Tu crois que tu peux insulter les gens sur internet comme çô ? Bah non encore heureux lô. Démocratie cômême. On fait pas ce qu'on veut lô. >>
<< … >>
Un gargouillis plus fort que ceux entendus précédemment l'interrompt dans son monologue, suivi d'un petit silence et enfin d'un énorme pet gras qui peine à s'extraire du monstre.
PROOOOOOOT
<< Ha cui lô il a fait de la place ! >>
<< … >>
Vous ne pouvez pas vous relever, elle vous tient, impossible également d'ouvrir la bouche tant elle vous plaque contre son bide, tant pis faudra supporter l'odeur qui semble vous brûler intérieurement.
<< Bon allez, c'est pô tout de rigoler, maintenant faut bosser, hop couché ! >>
Elle vous pousse par terre, vous vous faites un peu mal contre la table basse , l'autre coude cette fois, et en plus mettez une main dans la bassine qui paraît huileuse au toucher.
Berthine évacue ses deux énormes petons de l'eau et vous demande de vous pencher au dessus pour voir un truc. Vous obéissez.
<< Paf ! Ha ha ha ! J'tô eu ! >>
Berthine a sauvagement rabattus ses pieds pendant que vous étiez penché au dessus de la bassine, vous immergeant plusieurs secondes et fait boire la tasse par la même occasion. Vous ressortez votre tête en toussant et en pleurant une fois encore de cette scène et du bicarbonate qui vous attaque les yeux.
Berthine pousse ensuite le récipient et vous demande de vous allonger par terre sur le dos.
Elle vous jette ensuite une râpe à peaux mortes et braille.
<< Allez lô on frotte ! Ça va pô s'nettoyer tout seul lô !! On frotte on frotte ! >>
Vous frottez non sans difficulté les pieds démesurés et déformés de Berthine en gémissant car vous êtes arrosé de ses croûtes que vous arrachez.
<< Ta gueule lô putain ! >>
<< … >>
Dans le noir, simplement éclairé par le téléviseur et dans l'ambiance du présentateur mettant en vente un super aspirateur comme vous n'en avez jamais vu auparavant, vous brossez les dessous de pieds bien odorants de Berthine.
Jamais vous n'avez été autant humilié, même vos pires moments de votre scolarité sont une partie de plaisir à côté de ce supplice. Vous qui vous moquiez allègrement des Magalax et du french dream, vous voilà dans une situation fort cocasse.
Des morceaux de peaux mortes vous retombent sur le visage et dans la bouche. Vous êtes convaincus d'en avoir avalé quelques uns et cela vous rends malade rien qu'à l'idée d'y penser.
Un bon quart d'heure s'écoule.
<< Allez c'est bon fini lô, casse tô dégage ! >>
Vous vous relevez et quittez le salon, vous avez l'impression d'être dans un cauchemar, une dystopie qui malgré le fait qu'elle regroupe vos fantasmes, vous donne l'impression d'être une grosse merde.
Vous toussotez et crachez deux/trois bouts de peau, vous préférez ne pas y penser.
<< Tu vas te laver dans la flaque dehors lô et tu files voir Marie !! >>
Vous obéissez, ouvrez la porte en vous appuyant dessus et en restant sur les genoux.
Il fait nuit, vous plongez dans la mare, vous permettant de décompresser un instant.
Mais pas trop, hop hop hop, Marie attends et n'est pas patiente, on se dépêche. Séchage en se roulant dans l'herbe.
Vous revenez à la maison un peu mouillé et foncez vers la chambre à Marie.
Chapitre 8
Vous montez l'escalier sombre et étroit en direction de la chambre à Marie.
Une fois devant la porte, vous entendez de la musique kpop, vous ouvrez et voyez un éclairage rose d'ambiance. Marie quant à elle, est allongée sur son lit, elle a pris sa douche et une bonne odeur de parfum inonde l'atmosphère. Elle est sur son téléphone et simplement vêtue d'un ample t-shirt et d'une culotte en dentelle blanche. Ses pieds impeccable dépassent du lit.
Vous refermez la porte et Marie coupe la musique puis vous regarde.
<< T'as été long putain qu'est ce que t'as foutu ?! >>
<< … >>
Un peu de douceur pour vous, Célestin puceau, une jolie femme en petite culotte sur son lit dans un cadre idéal. Vous avez une légère érection.
Marie vous examine depuis son lit.
<< Hé pas d'érection ! T'es pas là pour passer un bon moment ! >>
Vous baissez la tête, paradoxalement vous bandez davantage.
<< Si je te vois essayer de te masturber je vais le dire à maman. T'es prévenu. >>
Vous ne réagissez pas, devinant la sentence. Un silence s'installe.
<< Je veux que cette nuit, toute la nuit, tu me mordilles les pieds parce que j'aime trop ça >>
<< … >>
<< Pas la peine de chouiner, tu viens me mordiller les pieds et c'est tout, tu fais ce que je dis. Point. Ah et t'as pas intérêt à t'arrêter sans que je te le demande, sinon pareil je vais voir maman. >>
Vous vous avancez près du lit, Marie se retourne à plat ventre, laissant apparaître un boule imposant mais de bonne facture, arrondi et mi-ferme, joliment mis en valeur dans cette posture.
Ses pieds vous font face, à dix centimètres de votre bouche.
Elle pianote sur son téléphone.
Vous vous exécutez et commencez à attraper son talon avec vos dents.
Elle gémit doucement.
Vous poursuivez, en ouvrant grand la bouche pour la refermer sur sa voûte plantaire.
Vous répétez l'acte, plusieurs fois, Marie semble y prendre du plaisir.
Vous descende jusqu'aux orteils que vous mordillez un par un.
Malgré la douche, une odeur de transpiration persiste, légère mais bien présente.
<< Hi hi hi mets quelques coups de langues aussi et embrasse les ! >>
Vous suivez cette nouvelle directive.
Marie gémit plus intensément, elle apprécie particulièrement quand vous faites un passage avec la langue avant de revenir en mordillant plusieurs fois là ou vous êtes passés, suivi d'une bise sur un orteil.
Il vous arrive de suçoter un orteil parfois, et le mordre ensuite, ce qui l'amuse.
Vous continuez ainsi plusieurs heures sans trop fatiguer, vous constatez que Marie a fini par s'endormir, la lumière a été diminuée et la musique coupée.
Vous jetez un œil à son arrière-train volumineux et votre trique qui s'était stabilisée revient à la charge, ses pieds dorénavant impeccables et luisants n'aide pas à apaiser votre verge, au contraire.
Il règne un silence de cathédrale, les seuls bruits sont ceux de votre respiration et celle de Marie. Vous décidez de vous redresser un peu pour vous tenir accroupi tout en léchant ses pieds, cette fois réellement avec passion.
Par crainte de la réveiller et d'avoir de sérieux problèmes, vous tentez de vous contenir en vous masturbant avec délicatesse, par des petits mouvements ralentis.
L’érection est trop forte, vous devez accélérer, et à ce moment vous avez une idée.
Vous vous redressez encore un peu, cette position vous procure un bien fou car elle vous étire et cela fait un moment que vous n'aviez plus été debout ou presque.
Votre pénis serait si confortablement installé si vous le placiez entre ses pieds joints et maintenant bien luisants.
Vous mettez en pratique vos pensées et pour accentuer le plaisir vous tenez les pieds de Marie de manière à ce que ceux-ci enveloppent mieux votre verge.
C'est magique, vous avez la sensation d'être sur un nuage, votre sexe est tel un nourrisson dormant dans son berceau.
Vous effectuez à présent des légers va et vient, la sensation est extrême.
Votre mouvement doit être très précis pour ne pas éjaculer d'une traite sauvagement.
Vous êtes au summum de l'excitation, vous accélérez encore le rythme et cette fois c'est trop.
Un geyser de sperme bouillant se déverse sur les pieds parfaits de Marie, vous avez l'impression d'être dans un autre monde l'espace d'un instant.
C'est trop bon, vous tremblez, en avez les larmes, vous vous sentez puissant.
Vous restez debout une petite minute dans la même position, contemplant la scène et revenant à la réalité gentiment.
Il faut absolument arranger ça vous-dites-vous.
Vous choppez un linge sous son lit, ça ressemble à une serviette, vous distinguez mal, ça fera l'affaire, vous vous essuyez d'abord la queue, puis ses pieds sur lesquels vous vous êtes allègrement vengés. Le crime parfait. Nul n'en saura jamais rien.
Ça fonctionne, Marie dort toujours, et vous n'êtes plus puceau pensez-vous.
Quand vous rentrerez chez vous, vous vous empresserez de rédiger un topic << J'ai juté sur une 10/10 et toi ? >>.
Vous resongez à l'idée de vous enfuir, mais en fait comprenez que ce serait vain car vous êtes ici par l'action de la justice. Partir ne ferait qu'empirer les choses.
Pour l'heure, c'est une véritable fierté que d'avoir défendu son honneur
Chapitre 9
Au petit matin...
Vous avez dormi à même le sol, heureusement pour vous sur un tapis épais et poilu, qui pue un peu mais qu'importe, vous n'êtes plus à ça près.
Une musique kpop comme la veille vous tire des bras de Morphée, c'est le réveil de Marie, eh oui car on est mercredi, il y a cours aujourd'hui.
La jeune femme se lève en grinchant et vous regarde.
<< T'as vraiment la belle vie toi, tu insultes sur internet et maintenant tranquille tu vas pas en cours, on va rétablir l'équilibre ce soir je te garantis, t'es pas au club med. >>
Ayaa elle ne s'est rendue compte de rien pensez-vous. En plus elle semble avoir oubliée qu'elle vous avait demandée de mordiller ses pieds toute la nuit, encore une victoire pour Célestin.
Sa mère l'appelle depuis le rez de chaussée.
<< Marie tu te lèves ma chérie ! >>
<< Oui maman je suis déjà debout ! >>
Marie quitte la chambre dans sa petite tenue qui vous fait encore baver.
Vous la suivez.
<< Ah nan tu te casses maintenant je me prépare. >>
Vous ne pouvez pas la rejoindre dans la salle de bain, donc vous décidez de retourner dans sa chambre en espérant être tranquille.
L'espoir fait vivre.
Quelqu'un monte les escaliers, c'est Samantha, qui rentre dans la chambre à Marie et vous voit, allongé sur le dos comme un ivrogne à terre, et en demi-gaule.
Vous vous attendiez à vous faire engueuler mais Samantha se contente de renifler autour d'elle.
<< Ça sent le sperme. >>
<< … >>
Marie n'a pas entendu, elle s'est enfermée dans la salle de bain avec sa musique et le sèche-cheveux.
Cette solide milf 8/10 vous fixe du regard, telle une prédatrice face à sa proie sur laquelle elle est prête à se jeter. Elle a l'air énervée.
<< Ça pue le sperme !! >>
Cri-elle en se rapprochant. Vous vous redressez sur quatre pattes.
S'accroupissant face à vous, Samantha passe une main sous votre menton et vous lève la tête, vous obligeant à la regarder dans les yeux.
<< Je suis très sérieuse. Est-ce que cette nuit tu as osé te masturber dans la chambre de ma fille ? >>
<< … >>
Tétanisé, vous ne pouvez pas avouer mais ne parvenez pas non plus à mentir.
<< Réponds petite merde ! Est-ce que tu t'es permis, alors même que tu es sous procédure pénale, de te masturber dans la chambre de ma fille, au sein de ma demeure ?! >>
<< … >>
Vous êtes en mesure de hocher la tête pour exprimer la négation.
Samantha vous fixe toujours, et un bref silence se crée.
<< J'espère bien, j'espère pour toi. >>
Chapitres 4 à 6
Chapitre 4
Vous hésitez un peu devant ce spectacle ; Marie secoue ses pieds devant vous en riant tout en vous regardant, semblant toujours aussi fière de la situation.
Vous commencez à attraper ses pieds pour les masser quand celle-ci vous coupe et vous dit :
<< Nan ! Moi je veux pas la même chose. Je veux que tu me les nettoies. >>
Petit silence gênant.
Vous guettez les alentours pour chercher de quoi elle parle.
<< Avec ta langue bouffon. >>
<< Oh non je peux pas f... >>
Schlaa ! Samantha à attrapé un chausse-pieds derrière le canapé et vous a asséné un violent coup qui a résonné dans la pièce. Cela a eu l'effet d'un coup de fouet au niveau de l'arrière de votre épaule, qui vous brûle désormais. Vous avez mal.
Vous commencez doucement à pleurer, c'en est trop pour vous.
<< Tut ! Nan ! Pas de ça ! >>
Dit-elle en brandissant le chausse-pieds.
<< Lèche les pieds ! Plus vite que ça ! >>
<< Allez lèche. >>
Vous approchez lentement votre tête des pieds moites à Marie. Votre visage est maintenant collé à ses pieds, par capillarité avec la moiteur, l'odeur est assez forte, vous respirez en essayant de l'ignorer. Vous sortez votre langue qui vient à peine effleurer la voûte de Marie.
<< Mieux que ça hein ! >>
Marie vous attrape le nez entre ses orteils.
<< Renifle fort et sors la langue ! >>
<< Ha ha ! On l'entends plus trop lô ! >>
Vous inspirez profondément car vous avez la sensation de suffoquer, cette fois l'odeur est trop forte et vous fait un peu vriller. Votre langue est entièrement sortie et est écrasée entre son pied et votre menton. Vous bavez du fait que vous pleurez. En avalant votre salive pour la première fois dans cette posture, vous découvrez le goût immonde de la sueur mêlée à de la poussière ruisseler dans votre gorge, c'est immonde, surtout que Marie frotte votre langue en cherchant à loger ses orteils dans votre cavité buccale. Ce qu'elle parvient à faire.
<< Suce les orteils un à un esclave ! Je veux sentir ta langue passer entre. >>
Vous exécutez, en tâchant de penser à autre chose.
Samantha se lève et quitte la pièce.
<< Maintenant lèche mes pieds sur toute leur longueur ! >>
Elle repose ses pieds sur la table et vous vous avancez pour les lécher.
Les premiers passages sont difficiles du fait des gros morceaux de crasse, cela vous fait postillonner et Berthine vous engueule. Vous passez votre langue des talons aux orteils en gémissant parfois, sous la contemplation de Marie qui sourit à pleines dents et halète de rires.
D'une autre pièce, Samantha appelle Marie.
<< Marie ! Tu me l'envoies une minute s'il te plaît ?! >>
Chapitre 5
<< Oui maman ! Allez dégage, file ! Zou ! Fshhh! >>
Vous vous retirez, et à quatre pattes toujours, quittez le salon en quête de trouver la mère.
Samantha n'est pas loin, de l'autre côté de la pièce, dehors sur ce qui s'apparente à une terrasse carrelée d'ardoises. Elle fume, adossée à un mur, pieds nus car elle ne s'est pas rechaussée.
<< Viens ici. Au pied. >>
Vous venez ici, aux pieds.
Elle s'abaisse à votre niveau, vous soufflant de la fumée au visage, vous toussez, elle rit.
<< Tu fumes ? >>
Vous faites non de la tête.
<< C'est bien. Fait AAA. >>
Vous ouvrez la bouche, elle crache dedans.
<< Avale. >>
Vous baissez la tête en gloussant, c'est visqueux et ça a un goût de cigarette.
Au moment ou vous avez la tête penchée en avant, elle dépose un pied sur l'arrière de votre crâne pour le ramener à son autre pied.
<< Sombre merde. Là t'es à ta place. >>
Elle change de position pour s'asseoir sur une chaise longue à côté d'elle, frotte un peu ses pieds par terre et vous les tends.
Surprise, ils sont tous sales, elle a marché un peu dehors en plus et cela se voit.
<< Lèche, tu restes là jusqu'à ce qu'ils soient impeccables. >>
Dit-elle d'un ton calme mais ferme.
Vous vous remettez à pleurer, plus fort qu'avant.
<< Pitié madame je peux pas... >>
Samantha se redresse immédiatement et vous coupe. Elle décroche un bâton d'un pot en terre pour guider les plantations de tomates et vous fouette l'arrière-train avec à plusieurs reprises.
<< Tu comprends pas quand on te parle toi ! Couché ! >>
Vous laissez échapper quelques cris de douleurs avant de vous allonger.
<< Debout! >>
Vous vous relevez sur les genoux. Elle semble blasée de vous.
<< Écarte les jambes, j'en ai marre maintenant. Et penche toi en avant, sur les coudes. >>
Vous obéissez, cette position vous fait tendre les fesses, et vous la voyez passer derrière.
Après un court instant vous recevez un transcendant coup de bâton venant vous fouetter les testicules. La douleur est intense et immédiate, vous hurlez, mais pas longtemps car elle s’assoit sur votre dos en vous tenant d'une main la gorge, obligeant à maintenir la tête levée et de l'autre la bouche, vous empêchant de crier.
<< Bon, on peut reprendre ou je continue ?! Tu vas lécher les pieds jusqu'à ce qu'ils soient impeccable ?! >>
<< Réponds esclave ! >>
Vous hochez la tête comme vous le pouvez en signe d'acceptation.
<< Bien, bon chien ! >>
Elle se rassoit, en tendant ses pieds.
<< Tu crois quand même pas que je vais les maintenir comme ça ? Tiens-les, réfléchis ! >>
Cette fois vous avez compris la leçon. Vous passez votre langue sur toute la surface de ses pieds, tant pis pour la poussière, le coup aux testicules a trop fait mal pour ne serait-ce qu'imaginer en recevoir un autre. Alors vous obéissez, le goût est ignoble évidemment, et petit à petit les pieds reprennent un aspect propre.
Quelques instants s'écoulent.
Vous reculez, passablement fier du boulot bien fait, vous toussez en repensant à toute la merde que vous avez avalé en l'espace d'une après-midi.
<< Voilà quand tu veux t'y arrives. Va chercher mes tongs à l'entrée. >>
Vous rentrez et regagnez l'entrée, attrapez les tongs à Samantha avec les dents avant de faire demi-tour. Vous jetez un œil à la cuisine en passant, Berthine est à nouveau en train de se faire à bouffer, elle se découpe des blocs de fromage qu'elle enroule dans de la mortadelle.
Elle vous a vu.
<< Il veut quo lui lô ?! >>
Vous la fixez avec des yeux doux, espérant implorer sa pitié pour que, peut-être, elle mette un terme à cette histoire.
Samantha arrive, l'air agacée.
<< Je t'ai demandé mes tongs je crois. J'ai dû me relever et me resalir les pieds. Je m'en fiche je vais me les laver dans ta gamelle. Pas d'eau propre pour les esclaves qui n'obéissent pas. >>
Marie arrive dans la cuisine au même moment.
<< Ah ouais c'est une bonne idée ça maman, on pourrait faire comme dans les piscines, un bassin pour éviter de salir quand on rentre, sauf que là on utiliserait sa gamelle. >>
<< Ben oui on va pas se priver. >>
Elle ramène la gamelle près de l'entrée et se frotte les pieds dans le fond de votre réservoir d'eau qui devient trouble. Marie fait de même, saturant davantage la bassine.
Vous rapportez à Samantha ses tongs, qui les enfile et vérifie le vernis d'un de ses ongles d'orteils en posant son pied directement contre votre visage.
<< Mamie tu devrais essayer l'esclave c'est marrant mdr >>
<< Je voulais me faire un bain de pieds ce soir pour m'décoller des peaux mortes lô, j'peux essayer ma foi >>
Chapitre 6
Vous restez planté là au milieu de ce beau monde, redoutant la soirée qui débute.
Marie remonte dans sa chambre, toujours pieds nus, Berthine récupère une grande bassine avant de quitter la pièce et Samantha se lave les mains avant de préparer le dîner.
Vous la regardez craintivement, vous ressentez la nécessite d'uriner.
Vous vous approchez en couinant.
<< Qu'est ce qu'il y a ? Pipi ? ! >>
Vous acquiescez. Elle vous attrape une mèche de cheveux en vous maintenant par terre et ensemble vous vous dirigez dans le jardin.
Le jardin derrière la maison est longée d'une haie épaisse et haute, il y a une petite marre au milieu à côté de laquelle se tient un arbre de taille moyenne, une balançoire ancienne et le sol est recouvert de pelouse inégalement répartie.
Vous allez derrière l'arbre en vous dissimulant du mieux que vous pouvez et faites vos besoins en respectant la procédure demandée. En urinant vous constatez que vous êtes en demie-molle.
Par ailleurs, vous constatez que la haie encadrant la parcelle de jardin est épaisse, et vous devinez un mur derrière, ce ne serait pas une bonne idée de tenter une évasion par ici.
Vous regardez la mare, elle a l'air propre, vous vous jetez dedans pour vous y laver, notamment le visage et votre bouche qui a été souillée comme jamais elle ne l'a autant été auparavant. L'eau n'est clairement pas potable en revanche, hors de question d'en boire.
Vous sortez de l'eau et vous hâtez de rejoindre le domicile, la nuit tombe doucement, mais vous n'avez pas froid, nous sommes en été et il fait bon.
<< C'est bien il s'est nettoyé tout seul comme un grand ! >>
Vous arborez un léger sourire.
<< Ta place maintenant, coucouche panier ! >>
Vous regagnez votre couchette au salon, qui est en fait visible aussi depuis la cuisine et l'entrée du fait de l'espace important de cette grande pièce ouverte.
Vous vous allongez sur le dos, genoux pliés, bras le long du corps et patientez en attendant la sweet en vous disant que vous n'êtes pas ready.
Comme vous avez raison.
Vous fermez les yeux un moment et êtes réveillé par une pression sur vos testicules encore douloureuses, c'est Marie qui pose doucement son pied sur votre paquet en pinçant votre pénis avec ses orteils.
<< Debout là dedans ! Mais c'est qu'il bande en plus ce salopard ! >>
<< Oh ne t'en fais pas, on va lui passer l'envie bien vite ! >>
Vous vous redressez et rejoignez la cuisine, une bonne odeur s'en émane.
Elles s’assoient toutes les trois à table et, naturellement sélectionné, il n'y a pas de quatrième chaise.
Vous les regardez manger ce qui ressemble à un minestrone, accompagnée d'une double ration de charcuterie pour Berthine, qui vous en jette une tranche. Vous avez faim et vous ruez dessus, au diable le fait qu'elle soit tombée par terre. Cela ne vous suffit pas, vous venez quémander.
<< Tu attends ! >>
<< Tu tends la main il te prends le bras lui, pô croyable cui lô ! >>
Elles terminent de manger en se racontant leur journée, vous patientez en silence à genoux.
A la fin du repas, Samantha vide tous les restes des assiettes dans un petit tupperware avant de cracher dedans et de vous le jeter.
<< Moi aussi je veux cracher hihi ! >>
Marie ajoute sa pierre à l'édifice, vous pouvez déguster votre plat.
Vous mangez vite le peu de nourriture restante et avez soif, direction la gamelle que vous retrouvez très trouble. Vous buvez ce que vous qualifiez de jus de vestiaire en essayant d'éviter les grosses particules de poussières.
<< Je vais prendre ma douche et chiller dans ma chambre, mamie quand t'auras fini avec l'esclave tu me le rends ? J'en aurai besoin. >>
<< Oui mon boutchou bien sûr mais faudra le laver avant. >>
<< Allez moi j'ai encore du travail ce soir, ne me dérangez pas. Bonne nuit ma petite chérie et bonne nuit maman. >>
<< Bonne nuit Samantha ! >>
Samantha s'éclipse. Marie la suit et au passage s’essuie un pied dans vos cheveux en rigolant.
Berthine vous regarde et se lève.
<< Tu vas venir un peu avec moê !! Hein ?! >>
Chapitres 1 à 3
Chapitre 1
Vous voilà escorté par la gendarmerie jusqu'au domicile qui sera votre prison au cours des deux prochaines semaines, vous avez le droit de garder le silence et de faire ce qu'on vous dit
C'est une maison assez spacieuse, avec deux jardins, un petit devant et un grand derrière, pas de vis-à-vis, et dans laquelle vivent en fait trois personnes, Marie évidemment, mais aussi sa mère et sa grand mère
Marie est une jeune femme de 25 ans, en surpoids léger mais plutôt gentille, elle vit ici le temps de terminer ses études avant de prendre son envol. C'est une geekette hihi, un peu renfermée sur elle-même elle a des fantasmes un peu tordus que vous découvrirez.
Samantha, sa mère, 45 ans, est divorcée et lassée des hommes, elle les haït au plus profond de son âme. Plusieurs fois trompée, les hommes c'est fini pour elle. Samantha se concentre sur son travail de directrice des ressources humaines, elle sait identifier les gens et les recadrer. Froide, autoritaire et protectrice envers sa famille, votre présence en sa demeure lui déplaît et vous en subirez les conséquences.
Et enfin il y a Berthine, 60 ans passés, grand mère de Marie, veuve, retraitée anticipée, son mari est décédé de son obésité morbide, c'est un miracle qu'elle soit encore en vie, mais pas pour Céléstin.
C'est une vieille aigrie, elle incarne le dream à la française, se sachant périmée et un peu honteuse de vivre chez sa fille du fait de ses faibles revenus, elle est antipathique au possible et déteste au moins autant que sa fille les hommes qui ont bien profité d'elle lors de ses beaux jours qui sont désormais lointains.
Un gendarme décrit la manière dont se déroulera votre séjour, suite à la demande de la famille ; Vous êtes à présent l'équivalent d'un animal de compagnie. Vos papiers sont confisqués et confiés au juge, ils seront restitués au terme de la sanction pénale.
La procédure est donc la suivante ;
Vous devrez être intégralement nu, à quatre pattes ou sur le dos, tenus en laisse si besoin, vous alimenter par l'intermédiaire de gamelles et suivre les ordres de vos maîtresses, oui car la loi s'étends au foyer entier, pas de chance comme dirait l'autre.
Tout manquement à la procédure pourra entraîner des châtiments corporels infligés par les propriétaires du détenu ainsi qu'une prolongation de la durée de la peine.
C'est Marie qui vient vous accueillir, elle traverse le petit bout de jardin recouvert de pelouse qui sépare la maison de la route en étant pieds nus.
Elle sourit en vous voyant
Vous vous déshabillez honteusement et vous mettez à quatre pattes, les gendarmes s'en vont, et Marie vous passe une laisse autour du cou qu'elle sert en riant. Elle vous promène comme un toutou. N'en revenant pas, 100 % puceau, vous n'êtes pas excité de la scène qui vous perturbe.
Ce passage était un peu douloureux pour vos cervicales et relativement humiliant, visiblement Marie n'est absolument pas gênée de la situation et semble même s'en être satisfaite.
Une fois à l'intérieur de la maison, il fait à peine moins chaud que dehors. Nous sommes en plein été, il est aux alentours de 17h et Samantha ne devrait plus trop tarder à rentrer de son travail.
Une vieille dame obèse végète, c'est Berthine, allongée devant la télévision du grand salon et regarde une émission de merde. Une odeur putride semble provenir de cette dame, vous pouvez la sentir depuis l'entrée à plusieurs mètres.
Les deux semaines vont être longues vous-dites-vous
Chapitre 2
Marie vous fait monter dans sa chambre. Toujours en laisse derrière elle.
Un petit escalier en bois sombre et étroit, plutôt poussiéreux, permets d'y accéder, sa chambre est au bout du couloir, étroite également et un peu en bordel.
Marie va s'asseoir à son bureau de gameuse et vous fait vous tenir à genoux à côté d'elle.
Elle s'adresse à vous :
<< Tu fais moins le malin là hein ? C'est une photo de mes pieds que tu m'as demandé ? Ben te voi... >>
Vous l'interrompez.
<< Mais nan c'est... >>
Elle vous décroche une sévère gifle.
Elle reprends.
<< Je rêve tu m’interromps ?! Ho t'as pas compris ? Pendant deux semaines tu fermes ta gueule ! Et t'obéis, à moi, à maman et à mamie aussi. T'es un enfoiré d’agresseur pervers d'internet et tu vas payer, je te jure tu vas pas oublier ton séjour ! >>
Vous gémissez en effectuant un signe d'acceptation de la tête, en repensant à la juge 2/10 qui vous placera en taule en cas de refus d'application de sentence.
Elle sourit et se moque de vous en vous caressant la tête, puis se tourne pour attraper un large bonnet qu'elle vous enfonce sur le crâne de manière à vous priver de votre vue.
Marie vous fait rester à quatre pattes, nu à ses pieds et encagoulé, vous l'entendez jouer.
Cette scène est passablement déstabilisante, vous voilà rabaissé tel un animal dans un lieu que vous ne connaissez pas, auprès d'une inconnue à qui vous avez envoyé un message random sur le 18-25. Vous vous demandez comment on en est arrivé là et établissez un bilan de votre vie à ce moment T. Vos ancêtres auraient honte, comme votre famille d'ailleurs, quoiqu’ils ne sont plus à ça près finalement.
Pas le temps de divaguer plus que ça, il y a du bruit au rez-de-chaussé, la porte d'entrée s'ouvre puis se claque dans un bruit sourd.
<< Ah c'est maman ! >>
Marie s'empresse de descendre, vous êtes contraint de la suivre.
A quatre pattes en aveugle dans l'escalier, vous loupez une marche, votre main ripe et vous vous égratignez le coude dans un juron que vous gardez pour vous.
Une fois en bas, Marie salut sa mère qui a l'air, à sa voix, d'avoir passée une journée difficile. Cependant, rapidement leur discussion s'oriente à votre sujet, la mère demande ce que c'est que ça, si c'est l'ordure humaine que devait rapporter le procès. Marie acquiesce et on vous retire le bonnet du visage.
Temps mort, vous voilà nu et à genoux devant une fille de votre âge et une femme qui pourrait être votre mère. Votre rythme cardiaque s'accélère, l'opprobre vous gagne.
<< Forcément il ne fallait pas s'attendre à un Dieu Grec >>
<< En plus le gars il ose m'interrompre, j'lui explique comment ça va se passer et il me coupe la parole, il est fou, non seulement il me cyber-agresse et en plus il se permets de m'interrompre, c'est trop un fou maman on est d'accord qu'il à pas à faire ça ? >>
<< Mais je comprends pas... >>
Rebelote, énorme gifle en travers la gueule. Douloureuse, de la mère cette fois.
<< Tu vois maman ?! Il écoute pas ! >>
<< Je vois ça. On va t'inculquer le respect jeune homme, t'es pas à la foire ici ! Le juge a fixé 14 jours pendant lesquels tu es à nous et on fait ce qu'on veut de toi, t'as compris ? >>
<< … >>
Vous vous en reprenez une, sur l'autre joue.
<< Réponds ! >>
<< Oui m'dame >>
Vous en reprenez encore une autre.
<< Je t'ai pas autorisé à parler, tu fais oui de la tête ! >>
Vous vous exécutez.
<< Bien, tu vois quand tu veux. >>
<< Je vais quand même pas plier devant un petit con de jeune, manquerait plus que ça >>
Vous tentez de cacher le fait que vous tremblez. Vos joues sont rouges et quelques larmes y perlent, allez plus que 13 jours et 23 heures pensez-vous.
Chapitre 3
Le boucan à l'entrée par Samantha qui hurle a réveillé Berthine, qui dans un soupir, un pet et une insulte se lève péniblement de son fauteuil. Elle rejoint le seuil de l'entrée en saluant sa fille puis vous regarde.
<< Oh c'est quo que ço ? C'est eul con de l'internet ? Le gars qui insulte ma ptite fille chérie lô ? >>
<< Oui ils l'ont livré tout à l'heure mais tu dormais je voulais pas te réveiller >>
<< Ha ! T'es un amour. Il a vraiment une sole guéle n'empêche lô ! >>
<< Grave mdr >>
Berthine s'éloigne vers, sans grande surprise, ce qui semble être la cuisine.
Samantha vous fixe, Marie est à côté, le sourire aux lèvres et se dandine.
<< On va regarder un peu la télé ? >>
<< Oui ! Je me mets à côté de toi sur le canapé >>
<< Oui c'est bien comme ça on laisse le fauteuil électrique à mamie, c'est mieux pour elle >>
Votre laisse à été retirée une fois parvenu au salon, il y a une couchette au sol, Marie vous fait signe du doigt de l'utiliser.
<< Allez couché le chien ! >>
Samantha vous rejoint avec une gamelle d'eau qu'elle dépose à côté de vous.
<< Voilà tu es bien là, à ta place. Si tu renverses tu vas m'entendre par contre >>
Vous mourrez de soif, vous n'avez pas bu depuis le passage chez la juge, soit plus de six heures alors vous vous jetez sur la gamelle en tâchant d'imiter la manière d'un chien pour éviter les coups.
C'est pas du tout pratique de boire ainsi mais vous n'osez pas attraper le récipient à l'aide de vos mains comme un bol, sachant pertinemment ce qui adviendrait.
Vous jetez un rapide coup d’œil à la pièce, une télévision fait face à un canapé deux places, dans lequel sont assises Samantha, et ses longues jambes croisées en talons noirs, reposant sur une table basse, et Marie, recroquevillée en boule, appuyée contre le buste de sa maman sous une couverture en laine, seule sa tête dépasse.
Un imposant fauteuil dans lequel Berthine est revenue s'asseoir jouxte le canapé. Berthine semble être vêtue chaudement et en ballerines, bien visibles étant donné que le fauteuil lui relève les jambes. Elle mange bruyamment des gâteaux.
Vous buvez environ un tiers de votre gamelle, et vous entendez Samantha s'étirer en expirant et remuant ses pieds. Vous la regardez, vos regards se croisent, un sourire narquois se dessine sur son visage, elle claque des doigts et vous somme de venir devant elle.
<< Esclave ! Viens ici ! >>
Vous vous approchez, tête baissée.
<< Déchausse-moi. >>
Vous la fixez, l'air désemparé.
<< Retire mes chaussures, ou je me lève te corriger ! >>
Vous obéissez. C'est votre fantasme mais pour autant, le fait d'être confronté à la situation réelle vous plonge dans un état mêlant stupéfaction, excitation, honte et crainte.
Marie rigole doucement en regardant sa mère, et vous entendez Berthine se plaindre de la jeunesse actuelle qui ne sait pas suivre de simples directives.
Les hauts talons noirs de Samantha se retirent facilement et laissent apparaître deux beaux pieds à peine fripés par le temps. Une subtile odeur, à peine perceptible, de cuir chaud et de transpiration se dégage. Vous reposez les chaussures par terre et regardez à nouveau Samantha.
<< Masse-les ! Et plus vite que ça, allez ! >>
Après quelques secondes d'hésitation, vous saisissez un pied et commencez à le tâter.
<< Nan mais, les deux en même temps, quel empoté ! Et mets-y du cœur. >>
Vous attrapez le second pied et tentez au mieux de les masser en insistant avec les pouces sur la voûte plantaire, le tout en fixant ses orteils qu'elle remue à une vingtaine de centimètres de votre visage. Samantha ferme doucement les yeux et se détends visiblement, vous continuez, toujours tête baissée.
Cela fait à peine quelques minutes que vous êtes assis à vous occuper de ses pieds, que vous commencez déjà à trouver la position douloureuse et ressentez un début de crampe aux mains.
Vous diminuez le rythme, ce qui alerte Samantha.
<< Hé ! Hého ! Tu fais quoi là ? Je t'ai demandé de ralentir ?? Il ne me semble pas. >>
Vous revenez au rythme initial, en prenant votre mal en patience, quand Marie demande à sa mère.
<< Je peux essayer maman ? >>
<< Oh ! Oui oui vas-y je t'en prie, il est à toi après tout. >>
Samantha vous pousse d'un petit coup de pied au menton sur le côté, pour vous orienter vers ceux de sa fille qui les ressort de sous la couverture, avant de les poser à même la table.
Ce n'est pas la même chose tout à coup, les pieds un peu plus boudinés de Marie sont sales, il faut dire qu'ils sont nus au moins depuis que vous êtes arrivé. Elle a marché dehors et dans la maison, cela se voit, ils sont brunis, et, pour couronner l'ensemble, ils sont moites, c'est qu'elle devait avoir chaud là dessous. Sans être insoutenable, l'odeur est présente, ça sent le vestiaire.
Repost c'est pas grave on a l'habitude
Bonjour bonsoir mes très chers kheys
Je vais vous raconter l'histoire de Célestin dans une réalité alternative, dans laquelle une nouvelle loi est votée et stipule :
<< Dorénavant, et dans la continuité de l'évolution du progrès au sein de notre pays, les hommes, coupables d'actes jugés odieux et inadmissibles envers la gente féminine, se verront l'obligation de verser dommages et intérêts aux individus concernées, de la nature dont celles-ci les réclameront. Cela ira des remboursements financiers aux travaux d’intérêts généraux visant à réparer le mal commis. Une compensation en nature pourra être demandée. >>
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Vous êtes Célestin, desco, 23 ans, sur le forum à boucler
<< Ce cul/10 ? >> << Ayaa -1m80 nain >> << A seulement 19 ans je vais rouler dans ce gros gamos >>
Lorsque soudain, un topic d'une présumée kheyette apparaît dans la liste des sujets, vous cliquez et ne la croyez pas, car selon vous les kheyettes n'existent pas. Alors vous allez la mp pour lui demander une dédi feet, pour la science évidemment, afin de prouver ses dires.
LA FOTO !!!
Celle-ci s'offusque et refuse.
Vous lui envoyez donc le pavé de l'odeur des chattes qui vous enivre.
Elle signal gouv.
Vous êtes finito l'ami
A peine deux jours plus tard vous êtes convoqué au tribunal, la juge exige des explications que vous n'êtes pas en mesure de fournir ainsi qu'un dédommagement. Celui-ci sera exemplaire pour marquer la mise en place de la nouvelle loi que vous découvrez par cette occasion.
N'étant pas en capacité de payer, vous êtes contraint d'aller rendre des comptes autrement à la jeune fille que vous avez terriblement choquée.
Les compensations sexuelles ont été retenues, pour vous inculquer le respect d'autrui et vous rappeler votre situation de sexe faible dans cette société. Vous êtes condamné à 14 jours d'esclavage au sein du foyer de la jeune Marie, victime de votre cyber-agression-virtuelle.
Chapitre 18
Recrachant la culotte, vous foncez dans la chambre à Marie tout en vous relevant, elle jette sa serviette et s’étend sur son lit pour se rouler dans sa couverture. Ses pieds dépassent. Vous interprétez cela comme une brèche d'attaque envers cette gourgandine.
Alors vous vous abaissez à son niveau et lui attrapez les talons, de manière à la bloquer pour la chatouiller par des mordillements et des petites léchouilles.
Des rires se font entendre, ravivant votre trique, ce qui vous pousse à vous faufiler sous la couette.
En remontant son corps, vous vous mettez à le saisir, il est doux, et plutôt massif si on le compare au vôtre, c'est comme une grosse peluche qui gigoterait à chaque stimulis.
Vous êtes maintenant tête-à-tête, liés par l'étreinte des draps, vous reprenez ce que vous aviez entrepris sous la douche, à savoir la palpation de ses nichons.
Comme avec ses pieds, vous les humez et les embrassez.
Marie rigole toujours autant, et vous guide lentement le crâne vers son entre-jambes. Vous n'opposez aucune résistance, bisant son ventre en descendant, et arrivez face au fruit défendu.
Il est là, juste devant vous.
Sans vous poser plus de questions, et bien exercé désormais, vous ne vous contentez pas de timides coups de langues, mais plaquez votre bouche entière sur l'orifice que vous dévorez comme si c'était votre dernier repas.
La réaction de Marie est immédiate, ses cris de plaisir ont sur vous l'effet d'encouragements, vous passez vos mains derrière ses fesses pour une meilleure prise, vous léchez son sexe comme un chien son jouet, bavez et émettez des sons de délectation.
Sur les genoux hors du lit, ses jambes écartées entre vos bras, vous ne prêtez pas attention au goût, il n'y en a pas, ce qui compte c'est de l'entendre gémir et la sentir se tortillonner sur elle-même, tout en vous plaquant la tête plus fort contre elle.
Ce manège dure un temps que vous ne parvenez pas à estimer, qui ne cesse que lorsque Marie se crispe en couinant, une petite seconde de temps mort, un peu de cyprine, et c'est l'orgasme.
Vous lui rendez honneur pour tout à l'heure en la nettoyant, n'oubliant même pas la petite bise.
Rouges et transpirants, vous seriez bons pour reprendre un douche. Pour le moment, vous vous contentez de vous regarder, elle est assise sur le bord du lit, et vous toujours à genoux contre, lui tenant encore l'arrière-train.
Vous restez ainsi quelques minutes à vous fixer, souriants, sans échanger un mot.
<< … >>
<< … >>
<< … >>
<< Laisse-moi réaliser un de mes fantasmes ! >>
<< O-Ok ouais ! >>
Heureuse, Marie se lève et se dirige vers une petite armoire qui lui sert de table de chevet.
Vous ne saisissez pas l'idée.
<< Ce meuble, papy me l'avait percé pour faire passer le câble de ma lampe, regarde y a un trou là sur le côté et un autre sur le dessus, sauf que comme papy c'était un blédard, il a fait des perçages beaucoup trop gros. >>
<< D'accord. >>
<< Heureusement il est mort mdr ! >>
<< Ok ouais je vois ce que tu veux dire. >>
<< C'est vrai ?! T'as compris ce que je veux faire?! >>
<< Non. >>
Elle s'esclaffe, puis reprends.
<< Ben, moi je me mets dedans et toi tu glisses ton bistouri dans les trous, ils sont un peu mal placés je sais mais ça devrait aller je pense ! S'il te plaît dis oui ! Je veux trop essayer ! >>
<< Ouaip, faisons comme ça alors ! >>
<< Trop cool ! >>
Marie ouvre l'unique porte frontale et retire une couverture d'hiver qu'elle balance dans un coin.
<< Voilà ça ça jarte. Bon par contre je voudrais une petite mise en scène avant. >>
Vous l'écoutez.
<< Je vais m'habiller dans une de mes plus belles tenues pour sortir, après j'irai me maquiller, pis toi quand j'aurai fini, tu restes à poil comme t'es là, tu viens vers moi, tu me gifles à cause de ma tenue de salope, me tires par terre en m'insultant et me traînes jusqu'à ma cage. Tu pourras même m'enfermer y a une serrure hi hi ! >>
Elle constate que vous bandez sévère, cela l'amuse.
<< Voilà et après tu m'obliges à sucer c'est tout ! >>
<< C'est bon pour toi ?! >>
<< O-Ouais ouais ouais ! >>
<< Super alors en attendant que je me prépare, comme tu dois avoir faim, y a ma réserve sous le lit ! >>
C'est vrai que vous crevez la dalle, Marie se prépare ses vêtements et retourne dans la salle de bains pendant que vous fouillez sous le sommier.
Vous mettez la main sur un vibromasseur, vous souriez et le reposez, avant d'attraper une boîte, contenant toute sorte de friandises dont vous vous régalez.
Assis sur le lit de la jeune femme, un pied contre son oreiller et l'autre contre un doudou de licorne qui traîne, en bouffant des m&m's, lâchant un rot, vous savourez cet instant de gloire et patientez avant de la face fuck une fois qu'elle sera revenue.
<< Le respect ? Où ça ?! >>
Vous vous marrez tout seul, les mâles alphas n'ont plus rien à vous envier.
Le 07 mars 2022 à 23:54:44 :
Je le dis encore une fois pour up, c'est une excelente fic
Merci
Le 08 mars 2022 à 15:28:33 :
On veut du CBT HARDCORE BORDEL (">
C'est prévu, patience
En attendant :