... et ça va lui coûter cher.
Bonjour bonsoir mes très chers kheys
Bienvenue dans ma fic dédiées aux feet, ici, je vais tenter de raconter l'histoire d'une réalité alternative mettant en avant une société ou la femme est reine, plus que maintenant j'entends.
Je précise que je vais décrire ce qui me rends complètement zinzin, et si ça peut vous provoquer la gaule, ben tant mieux
Rien d'hors charte les modérateurs, pas d'images sexuelles ni d'insultes trop méchantes c'est promis
Je reposterai ma fic si elle venait à se faire 410. Et sinon vous la trouverez sur le forum Orbitum.
Chapitre 0
Préambule
------------------------------------------------ Petite mise en situation -------------------------------------------
Nous sommes à la veille des élections présidentielles, nous connaissons les candidats mais cela nous importe peu ici, avançons le temps jusqu'aux votes et nous nous retrouvons au second tour; Macron face à Pécresse, celle-ci l'emporte haut la main et contre les attentes des sondages.
Seulement, Valérie, pour l'aider à financer son parti et ses meetings, à fait appel à de très riches familles qui l'ont popularisée pour en arriver là, comme Macron mais en mieux, et en contrepartie tout naturellement celle-ci s'engage à orienter ses décisions politiques en fonction de l'approbation, où non, de ses contributeurs.
Ces prestigieuses familles investisseuses feront passer deux/trois lois sur l'imposition des ultra riches, comme on a l'habitude d'en voir. Mais avec elles, une nouvelle loi est introduite, et comme nous sommes en état d'urgence, celle-ci est validée sans la consultation des Français.
Nous sommes en guerre
C'est là dessus que je peux débuter mon récit, fictif malheureusement.
Le nouvel article de loi stipule :
<< Dorénavant, et dans la continuité de l'évolution du progrès au sein de notre pays, les hommes, coupables d'actes jugés odieux et inadmissibles envers la gente féminine, se verront l'obligation de verser dommages et intérêts aux individus concernées, de la nature dont celles-ci les réclameront. Cela ira des remboursements financiers aux travaux d’intérêts généraux visant à réparer le mal commis. Une compensation en nature pourra être demandée. >>
----------------------------------------------- Fin de la mise en situation ----------------------------------------
Vous êtes Célestin, desco, 23 ans, sur le forum à boucler
<< Ce cul/10 ? >> << Ayaa -1m80 nain >> << A seulement 19 ans je vais rouler dans ce gros gamos >>
Lorsque soudain, un topic d'une présumée kheyette apparaît dans la liste des sujets, vous cliquez et ne la croyez pas, car selon vous les kheyettes n'existent pas. Alors vous allez la mp pour lui demander une dédi feet, pour la science évidemment, afin de prouver ses dires.
LA FOTO !!!
Celle-ci s'offusque et refuse.
Vous lui envoyez donc le pavé de l'odeur des chattes qui vous enivre.
Elle signal gouv.
Vous êtes finito l'ami
A peine deux jours plus tard vous êtes convoqué au tribunal, la juge exige des explications que vous n'êtes pas en mesure de fournir ainsi qu'un dédommagement. Celui-ci sera exemplaire pour marquer la mise en place de la nouvelle loi que vous découvrez par cette occasion.
N'étant pas en capacité de payer, vous êtes contraint d'aller rendre des comptes autrement à la jeune fille que vous avez terriblement choquée.
Les compensations sexuelles ont été retenues, pour vous inculquer le respect d'autrui et vous rappeler votre situation de sexe faible dans cette nouvelle société. Vous êtes condamné à 14 jours d'esclavage au sein du foyer de la jeune Marie, victime de votre cyber-agression-virtuelle.
A ceux qui trouveront que je suis taré sachez que vous vous trompez, je suis parfaitement équilibré dans ma vie de tous les jours, vous ne me remarqueriez même pas si vous veniez à me croiser dans la rue.
J'évacue mes pensées obscènes et parasites en les notant dans un calpin, et quand j'en ai beaucoup j'écris une histoire, celle-ci m'a fait énormément de bien, c'est un véritable soulagement.
Me croira qui voudra
Chapitre 7 et fin :
Chloé retombe à côté du water closed, elle a le vertige et est complètement déconnectée de son environnement, rouge de honte mais aussi car elle s'est retrouvée tête en bas, elle revoit l'homme en costard du début revenir. Il la tire par les chevilles et l'extrait jusqu'à la cour d'où elle est venue.
Les émirs sont là, heureux et rient entre eux, quand ils décident de lui saisir chacun une main et de la conduire à un enclos dans lequel un dromadaire affaibli est avachi.
Elle peine énormément à marcher, et ne parvient pas à se tenir droite.
Devant le box, l'animal est malade cela ne fait aucun doute, en effet celui-ci n'a pas l'air en forme, il n'a aucune énergie et patauge dans une flaque brunâtre hétérogène très odorante, un mélange d'urine, de diarrhée, de sueur et même de sperme au vu de son sexe qui y baigne et autour duquel un fluide translucide est visible.
Chloé est écœurée, l'odeur est infecte pour ne rien arranger.
L'un des deux Arabes la lâche et sort un biberon, il s'abaisse devant la flaque et y remplit son récipient qu'il s'empresse de revisser. S'en suit une précipitation jusqu'à la voiture du chauffeur.
Ils s'installent à l'arrière, la voiture démarre en direction de l'aéroport.
Chloé est assise sur les genoux d'un des hommes, elle souffre de cette position qui fait pression sur ses orifices malmenés, tandis que l'autre secoue le biberon avant de lui insérer de force en bouche.
Le goût est atroce.
On dirait des câpres fermentées dans du vinaigre, en plus visqueux, et sans les intérêts nutritionnels.
Elle commence à vomir mais celui qui la tient l'en empêche.
Les émirs éclatent de rire quand Chloé se retrouve à nouveau en larmes, ils l'oblige à avaler, et se permettent de temps à autre d'enfoncer le biberon dans son sexe à nu, pour lui replacer dans la bouche, et ainsi de suite, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus une seule goutte.
Ils arrivent à l'aéroport, un avion attends Chloé, sommairement revêtue d'un draps ample, elle voyagera sans encombre en se déplaçant comme une possédée jusqu'à son domicile.
Il ne se sera écoulé que moins de deux jours depuis son départ.
La réaction de ses parents ne fut pas à la hauteur de ce qu'elle envisageait, ils lui en veulent d'être partie ainsi sans prévenir et sans donner de nouvelles.
Pour eux, inébranlables dans leurs convictions que leur fille est une traînée, il est clair qu'elle est allé s'amuser en boîte de nuit en y laissant sa virginité, faisant à présent peser la honte sur la famille Leberger. Un sacrilège pour cette famille de haute lignée.
Des tensions naissent.
Elle ne sera plus jamais la même, et n'osera avouer à quiconque son affreuse aventure.
Chloé se renfermera sur elle-même, prenant du poids et négligeant désormais son physique qui se dépérit. Toujours aucune ambition, ses proches, lassés de son comportement défaitiste et son attitude négative, ils finiront par la rejeter hors du domicile qui la vu grandir.
Elle errera, des jours durant, dans les ruelles sombres des bas quartiers, refusant l'aumône, jusqu'à subir les séquelles de son horrible journée à Dubaï, entraînant des effets secondaires graves telles que diverses infections.
Sans le sou, et surtout sans motivation à vivre cette vie, Chloé se privera de soins et de nourriture en laissant ses diverses maladies progresser, pour finir par succomber, peu de temps plus tard, dans l'indifférence et l'oubli...
Chapitre 6 :
Le second homme revient, elle ne l'avait pas vu partir. Il lui saisit le poignet la tire jusqu'à une salle de bain, dans laquelle il la laisse seule en refermant la porte derrière elle.
Chloé ne comprends pas la situation, elle se dirige vers un évier pour se nettoyer mais l'eau n'y coule pas. Elle renifle et semble anéantie.
La porte s'ouvre, c'est le second émir, qui referme à clef après lui, il accourt vers les toilettes et se déshabille intégralement.
Chloé hurle et se remets à pleurer, demande à rentrer à la maison et supplie qu'on la laisse tranquille.
L'émir ne lui accorde pas la moindre attention et défèque dans un orchestre de flatulences dégoûtantes et puantes à mourir qui résonnent dans l'étroite pièce sans fenêtres.
Il semble se badigeonner le sexe d'une substance rougeâtre avec un sourire aux lèvres.
Le spectacle durera une dizaine de minutes.
La jeune femme est assise dans un coin à l'opposé, silencieuse malgré une respiration saccadée.
L'homme se relève enfin, se retourne pour contempler avec admiration son étron, puis fonce vers Chloé qui s'époumone à nouveau de plus belle pour lui plonger, tête la première, dans la cuvette.
Il lui arrache sa culotte et la pénètre sauvagement dans l'arrière boutique en lui agrippant le fessier, lui assenant de violentes fessées, elle crie d'effroi en s’apercevant qu'elle est comme brûlée à chaque va et vient.
C'est en fait une sauce pimentée très relevé que l'homme s'est appliqué, alternant les deux orifices qui s'offrent à lui, il passe de l'un à l'autre régulièrement, semblant jubiler des cris de douleur de Chloé qui ressent chaque pénétration comme si on lui insérait une bûche enlacée de ronces.
Le visage dans les excréments, et notamment sa chevelure qui baigne dans le fond des toilettes, en mettant des coups avec son front à l'étron flottant lors de chaque impulsion, Chloé ne semble même plus sensible à la douleur de l'acte et l'horreur de la scène à laquelle elle participe.
Suite à un moment d'absence, elle est subitement ramenée à la réalité quand elle l'entend l'homme pousser des cris de joie en ressentant une fois encore celui-ci se vider en elle.
Il la lâche et s'en va, fier de son acte, en lui administrant une dernière petite claque.
Chapitre 5 :
Les deux hommes s'amusent de la scène, Chloé tente de se repositionner afin de pouvoir les regarder mais se prends une fessée, la faisant gémir.
Soudain, l'homme qui la maintient au sol l'attrape par les aisselles et passe le corps de la jeune femme sous sa robe humectée de sueur sous laquelle il est nu et partiellement en érection.
Tétanisée, dans l'incompréhension la plus totale, elle ne comprends pas ce qui lui arrive ni pourquoi, mais elle n'a pas le temps de penser bien longtemps car l'homme lui saisit la tête et la frotte sous son entrejambe moite ou son pénis glisse frénétiquement sur le parfait visage de Chloé. Après un laps de temps qui semble durer des heures, l’émir place ses pouces aux extrémités de la bouche de la jeune fille pour la forcer à ouvrir et y insérer son pénis biscornu. L'odeur était déjà atroce, maintenant Chloé semble proche de faire un malaise, mais l'homme l'agite violemment dans tous les sens pour obliger la fellation. Chloé bave, pleure, gémit, tente de résister mais rien n'y fait elle ne peut pas lutter. A genoux, elle voit son sanctuaire sacré que représente son corps être violé par cet inconnu répugnant, elle comprends enfin qu'elle ne rencontrera pas Younès vu sur les photos, et réalise qu'elle a été flouée comme une enfant qu'elle est encore.
L'homme ralentit ses mouvements avant de la plaquer d'un coup sec contre ses testicules.
Il jouit avec exaltation.
L' Arabe se vide lentement dans la délicate cavité buccale de la somptueuse vierge aux cheveux dorés qui tremble, forcée d'avaler le fluide au goût immonde.
Croyant son supplice terminé, Chloé reprends ses esprits mais constate que l'homme ne se retire qu'à moitié, il la tient d'une main derrière la tête et l'autre sous le menton de sorte à la tenir en place et droite. Elle ne saisit pas et tente une manœuvre désespérée ; amadouer le quinquagénaire en lui caressant à contre cœur doucement le bout du gland avec sa langue.
Quelques secondes s'écoulent, un nouveau liquide sort de la verge, cette fois c'est de l'urée, elle en est certaine, elle se fait uriner dans la bouche et tente à nouveau de se relever. Elle échoue.
Elle finit par tousser, l'homme se retire finalement et finit de lui pisser au visage, Chloé tente de reprendre son souffle par terre, non sans difficulté.
Sanglotante, en état de choc, le regard vide, elle tente de fixer le monstre qui lui a asséné ce supplice en train de s'écarter en riant. Elle peine à se redresser, tremble comme une feuille et grelotte, ses larmes ruissellent son visage, qui n'a jamais été aussi terne et dépité.
Chapitre 4 :
Chloé fait bon voyage, de nuit, elle dormira dans l'avion pour arriver à l'aube, passablement surprise de la vitesse à laquelle se déroule cette première rencontre, mais, de nature impatiente, tant mieux se dit-elle.
Après plusieurs heures de vol, téléphone éteint pour ne pas être dérangée, elle arrive dans ce pays aussi riche que chaud, quitte l'avion, et aperçoit sous l'appareil un chauffeur adossé à une belle berline de luxe, il lui fait signe de le rejoindre.
Elle va à lui, l'homme ouvre la portière arrière en la saluant, puis monte à l'avant.
Il parle un français approximatif, il a l'air gentil, cela la rassure, elle discute avec le conducteur pendant le trajet de son excitation quant à l'idée de rencontrer son bien aimé, l'homme marque un court silence et la regarde depuis le rétroviseur en arborant un sourire narquois, elle n'y prête pas plus attention.
Ils arrivent devant une grande propriété, traversent un portail magnifique pour ensuite se garer dans une cour circulaire faisant face à l'entrée principale de la demeure. L'homme sort de la voiture et accourt ouvrir à Chloé, qui est sortie d'elle-même, et qui observe avec splendeur la beauté des lieux. Sa stupéfaction est de courte durée, car l'homme lui prends la main pour la mener à l'intérieur et la guider dans une chambre. Celle-ci est grande, lumineuse, moderne, colorée er jouxte une salle d'eau accessible en passant sous une arche en pierre, Chloé est sous le charme.
Elle n'a pas remarqué que l'homme qui l'a conduit ici est parti, c'est une autre personne qui vient à elle, un grand gaillard en costard avec une oreillette, il lui indique ou sont les sanitaires et le dressing, et qu'elle a deux heures pour se préparer impeccablement avant d'aller rencontrer son chéri dont il semble ne pas connaître le nom.
Ne comprenant pas pourquoi son prince n'est pas venu l'accueillir directement, elle hésite à s’exécuter avant de songer à l'idée qu'il est peut-être simplement timide et qu'il fait la même chose qu'elle en ce moment même, et puis, il pourrait s'agir d'une coutume locale, alors autant ne pas les froisser et suivre les instructions qu'elle a reçues. Chloé prends donc une douche, elle a du matériel pour se faire belle, et ne faillira pas à cette tâche, elle sera néanmoins surprise de constater que sa valise n'a pas été apportée et que le dressing qu 'évoquait l'homme en costard, n'était constitué que de tenues très légères. Chloé remet ça sur le compte de coutumes locales.
Elle sélectionne un ensemble avec jarretelles de couleur noire, contrastant avec sa peau claire, il s'agit de lingerie mettant merveilleusement en valeur ses somptueuses formes.
Sans doute va-t-on la couvrir plus tard d'une ample robe se dit-elle innocemment.
Elle se dirige vers la porte par laquelle elle est entrée, toque, le garde ouvre et l'oriente dans une direction.
En tenue légère ; bikini, jarretelles et collants, toute vêtue de noir, elle arpente les somptueux couloirs généreusement décorés jusqu'à parvenir à deux hommes plutôt âgés discutant en dishdash blanches, savates, et portant un keffieh, l'accoutrement traditionnel des émirs Arabes.
Les deux hommes discutant en un dialecte arabe se ressemblent, ils sont assez petits, plutôt laids, clairement en surpoids et semblent avoir une hygiène douteuse au vu de la transpiration tâchant leurs amples robes et l'odeur qui s'en émane, elle est écœurée et fronce les sourcils.
Un court instant presque gênant se déroule.
Face à eux, renvoyant une fois encore son image de pureté absolue, semblant venir d'un autre monde, Chloé est tellement belle et soignée que c'en est à se demander ce qu'elle fabrique ici.
Elle pense que ce sont des domestiques chargés de lui restituer le reste de sa tenue afin de la compléter.
Au moment ou elle s'apprête à leur adresser la parole, l'un d'eux s'approche avec ce qui s'apparente à un collier et lui enlace au tour du cou avec peu de tact. Celui-ci est relié à une chaîne qu'il masquait derrière son dos, et dès l'instant ou Chloé fut en laisse, il la tira vers le bas pour la forcer à se mettre à quatre pattes. La petite fille fébrile tente de résister mais impossible, malgré leur physique plus que moyen, elle n'a pas la force de répliquer et plie. Elle tente de crier mais le collier la sert, l'en empêchant et l'étouffant partiellement. L'homme place ensuite un pied sur la chaîne, bloquant la tête de Chloé à une vingtaine de centimètres du sol et des pieds odorants des Dubaïotes qu'elle entends rire de son humiliante position.
Chapitre 3 :
Le jour se lève, Chloé a décrété qu'elle n'irait pas en cours aujourd'hui, simulant un mal de tête, sa mère cède à son caprice et la laisse se reposer. A peine sa mère a-t-elle quittée sa chambre que la jeune femme à la chevelure d'or se rue sur son ordinateur pour voir si son annonce a eu le succès escompté.
Ses yeux s'écarquillent, elle n'en attendait pas tant, il y a une multitude de réponses, sa messagerie est pleine à craquer, elle ne sait par où commencer et se décourage peu à peu. Elle patiente un instant, puis se lance, déterminée à trouver l'élu de son cœur qui se cache dans ce fouillis, elle a la journée devant elle pour cela de toute manière.
Elle parcourt les réponses depuis plus d'une heure, rien ne lui corresponds, elle est d'ailleurs effarée de constater a quel point certains, pas si rares que ça, peuvent être grossier ou vulgaire, mais qu'importe, elle a un objectif en tête, elle poursuit donc sa quête, jusqu'à, enfin, trouver quelqu'un qui se démarque radicalement de la masse.
Il s'agit d'un jeune homme prénommé Younès, un peu plus âgé qu'elle, d'origine arabe, il lui plaît beaucoup sur ses photos, et petit plus, il semble aussi provenir d'une famille largement aisée financièrement au vu de ses photos, sa description l'amuse car elle s'y reconnaît.
Sans plus attendre, elle contacte ce mystérieux potentiel futur amant, qui lui répondra curieusement assez rapidement. Ils chattent un peu, d'abord des banalités, mais très vite les échanges deviennent sérieux et presque érotiques, l'homme a tout pour lui plaire, elle ressent une émotion nouvelle, comme une attirance profonde envers lui et le besoin de le découvrir.
C'est peut-être ça l'amour pense-t-elle en riant et en masquant sa bouche.
Elle s'aperçoit que cela fait presque trois heures qu 'elle discute avec lui, c'est la femme de ménage qui l'interrompt, pour lui proposer de manger un peu, que cela lui ferait grand bien.
Quelle sotte pense Chloé, qui ne daignera lui répondre qu'une glaçante négation avant de se replonger à son écran.
Younès n'est pas en France, il est à Dubaï, cela la refroidit aussitôt, cependant il la rassure en lui expliquant qu'en jet privé ce n'est pas si loin. Chloé hésite, elle rêve d'aventure, elle rêve de découvrir le monde, elle s'embête à mourir ici, elle sent qu'elle est sur le point de prendre une décision importante, une décision qui va à l'encontre de sa stricte éducation.
Cela l'angoisse, mais l'excite également, Younès lui propose d'organiser sa venue le lendemain et à ses frais, il la réceptionnerait à l'aéroport.
Dans l'adrénaline elle accepte presque immédiatement et part se préparer. Elle compte amener ses plus belles tenues de soirées, son maquillage et même un peu de lingerie fine...
Contactant un taxi, Chloé quitte sa demeure dans la discrétion la plus totale.
Chapitre 2 :
Seulement, en dépit de son inquantifiable potentiel de séduction attirant n'importe quel regard, tant celui des hommes qui l'envient, que celui des femmes qui la jalousent, il est évident que cette seule qualité ne pourrait suffire à l'orienter dans sa vie future. Tourmentée, Chloé se mets donc en tête de rechercher une activité qui pourrait lui correspondre, une activité qui lui permettrait d'accepter son excessive coquetterie et ses autres défauts.
Il est à noter que Chloé est vierge, elle n'a d'ailleurs jamais eu de relation quelle qu'elle soit, ses parents l'en ont toujours détournée et maternée telle une enfant.
Elle s'interroge sur l'idée même d'une relation, cela parasite ses pensées, c'est plus fort qu'elle, elle ne cesse d'imaginer à quoi pourrait ressembler sa vie auprès d'un beau jeune homme. Dans son lycée privé, les garçons sont séparés des filles, ce n'est donc pas non plus là bas qu'elle risque de trouver quelqu'un, d'autant que ses parents l'emmènent et la cherchent depuis toujours, restreignant davantage ses possibles ouvertures.
Chloé déprime, elle détourne ses yeux de l'écran de son ordinateur pour admirer sa spacieuse chambre, elle a tout le luxe qu'une fille de son âge rêverait d'avoir, et la possibilité de lancer sa vie dans la voie qu'elle souhaite grâce à des contacts hauts placés dans multiples secteurs au sein de sa famille aimante qui la pistonnerait.
Qu'importe tout cela, sa seule motivation dans l'instant est de rencontrer quelqu'un, et pas n'importe qui ; un prince charmant, comme dans les disneys qu'elle apprécie tant.
Chloé est alors prise d'une idée saugrenue, créer une petite annonce sur une page internet fréquentée et prévue à cet effet, dans laquelle elle se mettrait en avant, une petite biographie accompagnée de quelques belles photos. Cela aurait selon elle une visibilité nationale qui permettrait à son prince charmant qu'elle n'a pas encore trouvé de la repérer et venir jusqu'à elle. Elle apprécie cette idée, somme toute peu commune, et mets donc à exécution son plan sur le champs.
L'annonce est en ligne.
En cette soirée, il se fait tard, Chloé s'étend sur son large lit à baldaquins, satisfaite et parfaitement épilée, en rêvant de son futur amoureux...
Bon le topoc à sauté alors je le recrée
Chapitre 1 :
Notre histoire débute dans un quartier huppé dans le centre ville de Paris, Monsieur et Madame Leberger élèvent ensemble la jeune Chloé, tout juste la vingtaine, en cursus général dans un lycée privé, sans réelle ambition professionnelle pour le moment. Monsieur Leberger à suivi un long parcours en médecine pour devenir l'ophtalmologue renommé qu'il est aujourd'hui, quant à sa femme, elle est avocate pour le compte d'une grande entreprise controversée. La famille vit très confortablement dans un immense appartement au dernier étage d'un immeuble rénové intégralement, avec vue dégagée, terrasse, cour intérieure, jacuzzi, etc. La totale.
Face à ses exemplaires géniteurs, Chloé se sent insignifiante, elle n'a jamais manqué d'affection ni encore moins de confort matériel, mais désormais son entourage lui fait comprendre que son absence d'objectifs quant à son avenir devient problématique. Elle a déjà tenté différents postes au sein d'entreprises appartenant à sa famille, sans succès. Même des emplois que l'on pourrait qualifier de « planques » n'ont pas su l'intéresser et l'émerveiller. En fait, Chloé n'est pas efficace ; elle est distraite, introvertie au possible, maladroite, d'une naïveté infantile, et son besoin incessant d'aller s'admirer dans une glace pour vérifier si son maquillage est toujours impeccable ne l'aide pas à maintenir sa fonction comme elle le devrait.
Oui car, si il y a bien une chose qui ne fait absolument pas défaut à la jeune femme, c'est sa beauté fatale, Chloé possède un visage félin, se caractérisant par un petit menton triangulaire, le nez fin légèrement pointu, des yeux gris foncés en amande rendant son regard à la fois profond et sensuel, une bouche dotée de lèvres roses et pulpeuses. Sa chevelure parfaitement lissée lui tombant jusqu'à la poitrine est quant à elle d'un blond tellement clair que ses extrémités semblent presque blanches. Sa peau est par ailleurs très claire et ne comporte aucune impureté disgracieuse visible. Sa silhouette est élancée et fine, en effet, sans être particulièrement grande, Chloé dispose de formes plutôt généreuses et bien placées qu'elle sait mettre en valeur quand elle le souhaite, en restant parfaitement raisonnable évidemment, elle est trop attachée aux enseignement de ses parents concernant l'élégance et la retenue dont doit faire preuve une jeune femme de sa caste.
Cette combinaison de traits, couplés à son hygiène de vie impeccable, lui donne des allures d'ange tombé du ciel à l'apparence si pure qu'elle semble irréelle.