Le 01 novembre 2021 à 19:25:52 :
tu vas crever la dalle en assimilant beaucoup de calorie nonobstantnaturelle est la sélection
skinny fat tu va devenir
Frites de papates douces BIO
Ca vous donne envie hein ?
Quand la BCE imprime de l'argent, plutôt que de la donner à des gouvernements, il faut en donner directement aux citoyens, et enfin ils commenceront à comprendre que le pouvoir d'achat c'est l'augmentation de l'offre, qui ne passe par par "gnn gnn créer plus d'emplois" ou "gnn gnn créer des taxes" mais par la robotisation et l'innovation technologique
ahi ce desco qui croit que la bce marche comme la fed
1. La Grèce, n’ayant plus les moyens de financer ses déficits, arrête de rembourser ses créanciers, de servir une partie de ses retraites, de payer une partie de ses fonctionnaires. Toutes les banques lui ayant prêtées et toutes les entreprises qui lui vendent des armes et autres produits de première nécessité subissent des pertes. La Grèce ne sort pas alors pour autant de la zone euro : aucun traité ne l’y contraint, ni même ne le rend possible ; de plus, nul ne peut forcer les Grecs à convertir les euros qu’ils détiennent en une drachme de moindre valeur.
2. Pour renflouer ce pays, l’Eurozone refuse alors d’utiliser les maigres ressources du Fonds de Stabilisation Européen, et de créer des eurobonds (qui n’ont de sens qu’avec une fiscalité européenne, pour les rembourser, et un contrôle européen des déficits des budgets nationaux, pour éviter d’en faire un mauvais usage).
3. Faute d’instruments financiers européens suffisants, les autres pays de l’Union abandonnent la Grèce à son sort.
4. Les marchés, c’est-à-dire pour l’essentiel les préteurs d’Asie et du Moyen-Orient, s’inquiètent de cet abandon et font payer de plus en plus cher leurs capitaux au Portugal, à l’Espagne, à l’Italie.
5. La crise s’étend à la France, quand on réalise que sa situation financière n’est même pas aussi bonne que celle de l’Italie (dont le budget, hors service de la dette, est en excédent, à la différence de celui de la France), et quand on mesure que ses banques et compagnies d’assurances portent une large part de la dette publique des pays périphériques et détiennent encore massivement des actifs toxiques, sans valeur aujourd’hui.
6. Pour éviter l’effondrement de ces banques, on cherche des actionnaires, privés ou publics. En vain : il faut trouver, pour les seules banques françaises, l’équivalent de 7% du PIB.
7. En panique, la Banque Centrale Européenne consent alors un financement massif à ces banques, réglant une nouvelle fois un problème de solvabilité en fournissant de la liquidité.
8. Horrifiée de ce laxisme, l’Allemagne sort alors de l’euro et crée un « euro+ », selon un plan déjà bien préparé qui, selon une banque suisse, coute à chaque citoyen allemand entre 6 et 8000 euros la 1ère année, puis 3500 à 4500 annuels.
9. L’explosion de l’Euro révèle alors aux marchés que les banques anglo-saxonnes ne vont pas mieux, parce qu’elles ne se sont pas débarrassées, elles non plus, de leurs produits toxiques et parce que la bulle immobilière n’est plus là pour faire illusion.
10. C’est alors l’effondrement du système financier occidental, une grande dépression, un chômage généralisé, et à terme, la remise en cause, même, de la démocratie.
https://www.attali.com/finance/se-preparer-au-pire-pour-leviter/
Le 28 octobre 2021 à 19:26:02 :
C’est bien elle récite un cours de L1 économieAttendons qu’elle passe en L2
arguments pour contester ses dires ?
https://www.tiktok.com/@lapaixsurvous/video/7020002725505125637
Et oui les chofa, au delà de votre petite jalousie digne d'un eleve de ce1, les aides sociales ne sont rien de plus qu'une subvention qu'on donne aux entreprises pour booster l'investissement et creer des emplois
Le 28 octobre 2021 à 05:27:40 :
A lui seul le canard du sud ouest et toutes ses variantes engrosse la moitié des arts culinaires mondiaux calmez vous les petits pieds anti-français
La cuisine c'est culturel, le low