Messages de LE_ROI_DU_CACA

Up.
Je vous vois les ghost faut poster un peu soyez pas timides...
Up.
Je vous préviens pour un sujet aussi passionant j'ai la nuit devant moi, alors je vais up jusqu'au topic rouge s'il le faut.
Up.
Mangeprout, je viens de lire ton ode au pipi, au caca et au prout, j'espère bien-sûr leur union éternel, en tout cas sache que tu m'intéresse de plus en plus. Tes textes sont pour moi une douce mélopée dont même Apollon serait jaloux.
Je devrais prendre exemple sur toi...
Succulenthttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/02/4/1578571772-sah-kojima.jpg
Si on parle de merde je suis la les copains :hap:
Toast de caca

Le 16 octobre 2021 à 02:34:26 :
Et c'etait bien? :(

IL FAUT MANGER LE CACAAAAAAAA !!!!!!!!!!https://image.noelshack.com/fichiers/2021/41/6/1634346904-36450-full.png

Le 16 octobre 2021 à 02:52:39 :
svp je suis seul

Je veux être ton ami scatophile, on pourra parler de caca en dégustant ma diarrhée surgeléehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/41/6/1634346737-78622206-vector-illustration-de-bande-dessinee-d-un-personnage-de-caca-heureuse.jpg

Vous croyez en dieu ?
16/10/2021 03:05

Je ne crois qu'en un seul dieu. Le dieu du caca !

Le roi du caca

Un beau jour le roi du caca,
Sur son beau trône blanc lâcha,
Un énorme et nauséabond caca.

Ses preux chevaliers l'observant faire la commission,
Furent abasourdis par tant de passion,
Si bien qu'ils en oublièrent leur mission.

Mécontent mais compréhensif,
Par leur regard admiratif,
Le roi quémanda son sujet le plus vif.

Eh oui, il s'agissait bien de Perceval,
Célèbre dans tout le royaume pour sa noblesse anale,
Qui pourtant avait connu les hémorroïdes du mal.

"Perceval, mon fidèle servant,
Dont l'odeur anale ferait bander Satan
À toi et tes hommes, qui curieusement
Avez omis votre objectif si important,
Je vous condamne au châtiment."

Croyant la sentence terrible,
Le noble Perceval, tout fébrile,
Rétorqua en espérant si possible,
Que sa punition soit des moins horribles.

"Pardonnez-nous, Ô altesse anale,
Mais de grâce, ne nous faites point de mal,
Nous étions tout éblouis depuis notre piédestal,
Par votre divine crotte si peu banale."

À ces mots, l'incontournable roi des étrons,
Rassura aussitôt le chevalier qui se sentait si con,
Et lui quémanda ainsi, en se levant de son trône d'un bond,
De lui lécher bien goulument son gros fion.

Car s'il y a bien une chose qui ne saurait être refusée,
Et que personne ne saurait y résister,
C'est de nettoyer l'anus du roi de la diarrhée,
Dont on conte le goût semblable à l'ambroisie des divinités.

Y a-t-il une morale à cette histoire ?
Peut-être ou non, allez donc savoir,
Mais s'il y a quelque chose qu'elle nous fait savoir,
C'est d'apprécier et considérer son caca comme un produit de terroir.

Notre propre terroir.

Le 16 octobre 2021 à 02:45:15 :
Je vais avoir du mal à donner des détails mais c'est une meuf qui fait que courir mais en restant figé avec une technique d'animation qui consiste à faire bouger un personnage sans qu'il avance vraiment.

Tu peux nous donner l'année de l'ending ou au moins nous dire s'il est récent ou vieux ?

4ème caca du jour
16/10/2021 02:56

Le 16 octobre 2021 à 02:51:47 :
Mange du riz :ok:

Non il faut manger du caca !! DU CACAAAAAAA !!!!!!https://image.noelshack.com/fichiers/2021/41/6/1634345806-36450-full.png

4ème caca du jour
16/10/2021 02:51

Le roi du caca

Un beau jour le roi du caca,
Sur son beau trône blanc lâcha,
Un énorme et nauséabond caca.

Ses preux chevaliers l'observant faire la commission,
Furent abasourdis par tant de passion,
Si bien qu'ils en oublièrent leur mission.

Mécontent mais compréhensif,
Par leur regard admiratif,
Le roi quémanda son sujet le plus vif.

Eh oui, il s'agissait bien de Perceval,
Célèbre dans tout le royaume pour sa noblesse anale,
Qui pourtant avait connu les hémorroïdes du mal.

"Perceval, mon fidèle servant,
Dont l'odeur anale ferait bander Satan
À toi et tes hommes, qui curieusement
Avez omis votre objectif si important,
Je vous condamne au châtiment."

Croyant la sentence terrible,
Le noble Perceval, tout fébrile,
Rétorqua en espérant si possible,
Que sa punition soit des moins horribles.

"Pardonnez-nous, Ô altesse anale,
Mais de grâce, ne nous faites point de mal,
Nous étions tout éblouis depuis notre piédestal,
Par votre divine crotte si peu banale."

À ces mots, l'incontournable roi des étrons,
Rassura aussitôt le chevalier qui se sentait si con,
Et lui quémanda ainsi, en se levant de son trône d'un bond,
De lui lécher bien goulument son gros fion.

Car s'il y a bien une chose qui ne saurait être refusée,
Et que personne ne saurait y résister,
C'est de nettoyer l'anus du roi de la diarrhée,
Dont on conte le goût semblable à l'ambroisie des divinités.

Y a-t-il une morale à cette histoire ?
Peut-être ou non, allez donc savoir,
Mais s'il y a quelque chose qu'elle nous fait savoir,
C'est d'apprécier et considérer son caca comme un produit de terroir.

Notre propre terroir.

Le roi du caca

Un beau jour le roi du caca,
Sur son beau trône blanc lâcha,
Un énorme et nauséabond caca.

Ses preux chevaliers l'observant faire la commission,
Furent abasourdis par tant de passion,
Si bien qu'ils en oublièrent leur mission.

Mécontent mais compréhensif,
Par leur regard admiratif,
Le roi quémanda son sujet le plus vif.

Eh oui, il s'agissait bien de Perceval,
Célèbre dans tout le royaume pour sa noblesse anale,
Qui pourtant avait connu les hémorroïdes du mal.

"Perceval, mon fidèle servant,
Dont l'odeur anale ferait bander Satan
À toi et tes hommes, qui curieusement
Avez omis votre objectif si important,
Je vous condamne au châtiment."

Croyant la sentence terrible,
Le noble Perceval, tout fébrile,
Rétorqua en espérant si possible,
Que sa punition soit des moins horribles.

"Pardonnez-nous, Ô altesse anale,
Mais de grâce, ne nous faites point de mal,
Nous étions tout éblouis depuis notre piédestal,
Par votre divine crotte si peu banale."

À ces mots, l'incontournable roi des étrons,
Rassura aussitôt le chevalier qui se sentait si con,
Et lui quémanda ainsi, en se levant de son trône d'un bond,
De lui lécher bien goulument son gros fion.

Car s'il y a bien une chose qui ne saurait être refusée,
Et que personne ne saurait y résister,
C'est de nettoyer l'anus du roi de la diarrhée,
Dont on conte le goût semblable à l'ambroisie des divinités.

Y a-t-il une morale à cette histoire ?
Peut-être ou non, allez donc savoir,
Mais s'il y a quelque chose qu'elle nous fait savoir,
C'est d'apprécier et considérer son caca comme un produit de terroir.

Notre propre terroir.

Le roi du caca

Un beau jour le roi du caca,
Sur son beau trône blanc lâcha,
Un énorme et nauséabond caca.

Ses preux chevaliers l'observant faire la commission,
Furent abasourdis par tant de passion,
Si bien qu'ils en oublièrent leur mission.

Mécontent mais compréhensif,
Par leur regard admiratif,
Le roi quémanda son sujet le plus vif.

Eh oui, il s'agissait bien de Perceval,
Célèbre dans tout le royaume pour sa noblesse anale,
Qui pourtant avait connu les hémorroïdes du mal.

"Perceval, mon fidèle servant,
Dont l'odeur anale ferait bander Satan
À toi et tes hommes, qui curieusement
Avez omis votre objectif si important,
Je vous condamne au châtiment."

Croyant la sentence terrible,
Le noble Perceval, tout fébrile,
Rétorqua en espérant si possible,
Que sa punition soit des moins horribles.

"Pardonnez-nous, Ô altesse anale,
Mais de grâce, ne nous faites point de mal,
Nous étions tout éblouis depuis notre piédestal,
Par votre divine crotte si peu banale."

À ces mots, l'incontournable roi des étrons,
Rassura aussitôt le chevalier qui se sentait si con,
Et lui quémanda ainsi, en se levant de son trône d'un bond,
De lui lécher bien goulument son gros fion.

Car s'il y a bien une chose qui ne saurait être refusée,
Et que personne ne saurait y résister,
C'est de nettoyer l'anus du roi de la diarrhée,
Dont on conte le goût semblable à l'ambroisie des divinités.

Y a-t-il une morale à cette histoire ?
Peut-être ou non, allez donc savoir,
Mais s'il y a quelque chose qu'elle nous fait savoir,
C'est d'apprécier et considérer son caca comme un produit de terroir.

Notre propre terroir.

Le roi du caca

Un beau jour le roi du caca,
Sur son beau trône blanc lâcha,
Un énorme et nauséabond caca.

Ses preux chevaliers l'observant faire la commission,
Furent abasourdis par tant de passion,
Si bien qu'ils en oublièrent leur mission.

Mécontent mais compréhensif,
Par leur regard admiratif,
Le roi quémanda son sujet le plus vif.

Eh oui, il s'agissait bien de Perceval,
Célèbre dans tout le royaume pour sa noblesse anale,
Qui pourtant avait connu les hémorroïdes du mal.

"Perceval, mon fidèle servant,
Dont l'odeur anale ferait bander Satan
À toi et tes hommes, qui curieusement
Avez omis votre objectif si important,
Je vous condamne au châtiment."

Croyant la sentence terrible,
Le noble Perceval, tout fébrile,
Rétorqua en espérant si possible,
Que sa punition soit des moins horribles.

"Pardonnez-nous, Ô altesse anale,
Mais de grâce, ne nous faites point de mal,
Nous étions tout éblouis depuis notre piédestal,
Par votre divine crotte si peu banale."

À ces mots, l'incontournable roi des étrons,
Rassura aussitôt le chevalier qui se sentait si con,
Et lui quémanda ainsi, en se levant de son trône d'un bond,
De lui lécher bien goulument son gros fion.

Car s'il y a bien une chose qui ne saurait être refusée,
Et que personne ne saurait y résister,
C'est de nettoyer l'anus du roi de la diarrhée,
Dont on conte le goût semblable à l'ambroisie des divinités.

Y a-t-il une morale à cette histoire ?
Peut-être ou non, allez donc savoir,
Mais s'il y a quelque chose qu'elle nous fait savoir,
C'est d'apprécier et considérer son caca comme un produit de terroir.

Notre propre terroir.

Le roi du caca

Un beau jour le roi du caca,
Sur son beau trône blanc lâcha,
Un énorme et nauséabond caca.

Ses preux chevaliers l'observant faire la commission,
Furent abasourdis par tant de passion,
Si bien qu'ils en oublièrent leur mission.

Mécontent mais compréhensif,
Par leur regard admiratif,
Le roi quémanda son sujet le plus vif.

Eh oui, il s'agissait bien de Perceval,
Célèbre dans tout le royaume pour sa noblesse anale,
Qui pourtant avait connu les hémorroïdes du mal.

"Perceval, mon fidèle servant,
Dont l'odeur anale ferait bander Satan
À toi et tes hommes, qui curieusement
Avez omis votre objectif si important,
Je vous condamne au châtiment."

Croyant la sentence terrible,
Le noble Perceval, tout fébrile,
Rétorqua en espérant si possible,
Que sa punition soit des moins horribles.

"Pardonnez-nous, Ô altesse anale,
Mais de grâce, ne nous faites point de mal,
Nous étions tout éblouis depuis notre piédestal,
Par votre divine crotte si peu banale."

À ces mots, l'incontournable roi des étrons,
Rassura aussitôt le chevalier qui se sentait si con,
Et lui quémanda ainsi, en se levant de son trône d'un bond,
De lui lécher bien goulument son gros fion.

Car s'il y a bien une chose qui ne saurait être refusée,
Et que personne ne saurait y résister,
C'est de nettoyer l'anus du roi de la diarrhée,
Dont on conte le goût semblable à l'ambroisie des divinités.

Y a-t-il une morale à cette histoire ?
Peut-être ou non, allez donc savoir,
Mais s'il y a quelque chose qu'elle nous fait savoir,
C'est d'apprécier et considérer son caca comme un produit de terroir.

Notre propre terroir.