le smiley te rend encore plus suspect
[22:07:29] <shittaste>
tu réécouteras et apprécieras encore plus en sachant à chaque seconde celle qui va suivre et en la savourant encore plus ?
Ah bah pour réécouter ça t'inquiète pas, j'ai déjà réécouté des dizaines de fois la plupart de ses œuvres sachant qu'elles durent entre 1h et 3h
Ah ok....
Le très très triste feel quand tu as bientôt écouté toute la discographie d'Eliane Radigue et que tu trouveras jamais rien de mieux que ça, je ferais quoi de ma vie après putain...
[21:11:31] <Lighthalzen>
ufotable humilié (mais pas nouveau) https://my.mixtape.moe/muocox.webm
de la merde comme d'hab
If the original is meant to convey transcending mortality by embracing the afterlife with open arms, Myra and Jan's version is quiet acceptance; fond remembrance of the world left behind and melancholic acceptance of new beginnings. While Shinji has not literally died, he has in the metaphorical sense. During the scene in which the song plays, Shinji is leaving behind what has protected him: his defenses against pain, his solipsistic view of reality, his fear of love, his childish self-hatred, his escape - he is leaving his "dream" for his "reality." He is shedding the Shinji who ran away for a new, more vulnerable, more mature self. It's a Jesus Bleibet Meine Freud for a godless age, in which reality is all we have. It's cool how the imagery is reversed; Shinji leaves his ethereal "heaven" of escape for mortal and painful earth. It is not rapturously triumphant like Bach, but it is nevertheless uplifting- sober and sad, but beautiful, nevertheless. Just like reality.
Ma scène préférée et toi ?
Rin-Okumura (18 janvier 2017 à 16:51:44) a écrit:
des gens ont vu Yami Shibai ?
C'est sympa parce que c'est court et il y a quelques trouvailles visuelles assez intéressantes mais dans l'ensemble c'est très moyen
Certaines histoires sont inspirées de légendes urbaines japonaises, genre les fameuses histoires racontées pour faire peur. D'autres sont totalement inventées.