Messages de ZeIoft

[21:04:57] <PrScienceInfuse>

Le 14 janvier 2017 à 20:09:21 Minmay a écrit :
oui c'est possible après c'est une quête un peu expérimental par-delà les catégories traditionnelles du bonheur mais bon
entre être malheureux parce que notre vie nous convient pas et être malheureux parce qu'on a une névrose, un vide intérieur, qui rend tout fade et nous empêcher d'être passionné par quoi que ce soit, y'a un gouffre

comme la meuf du 18cm, lapetitefée qui a trouvé son bonheur dans les papeteries et les fournitures scolaires, c'est comme une petite mort quelque part.https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366648-risitas115.png

ptain j'avais même pas vu que t'avais posthttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/36/1473263674-jesus5.pnghttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/36/1473263674-jesus5.png

lol c'est sur discogs ça ?
Non et non :hap:

Tiens shittaste

http://f.angiva.re/Amkw8
http://f.angiva.re/qcVYd

Grenoble aujourd'hui sans filtre, c'est pas une très belle ville mais on voit bien que la pollution se voit pas de manière abusé comme sur la photo que t'avais mis

Lil Uzi Vert :oui:

[19:51:30] <Minmay>
http://www.senscritique.com/bd/Les_Fleurs_du_Mal/critique/62946370 j'ai ri à mes commentaires sous cette critique

j'espère que la mienne aura de bons retours http://www.senscritique.com/bd/Les_Fleurs_du_Mal/critique/115304196
(inb4 4 dislikes de lurkers)

elle est cool la critique, ça ne fait pas que résumer, ça dépeint bien l'ambiance et les thèmes du manga, j'aime bien...
après même si ça peut être intéressant les critiques, je suis vraiment pas un jean-critique :rire: analyser l'art :non2: rapport intime :ok:

J'avais regardé un court métrage sur Arte sur le sujet, très tard le soir, après une cuite, pendant que tout le monde dormait, c'était même pas chez moi :hap:, et ça m'avait marqué j'avais kiffé la façon dont il avait représenté la maladie mentale en redessinant par dessus les séquences filmées

Feels bad je le retrouverais sûrement jamais, et je saurais jamais si c'est + le contexte qui a fait que ça m'a marqué ou le court métrage en lui même

oui light

[20:09:21] <Minmay>
oui c'est possible après c'est une quête un peu expérimental par-delà les catégories traditionnelles du bonheur mais bon
entre être malheureux parce que notre vie nous convient pas et être malheureux parce qu'on a une névrose, un vide intérieur, qui rend tout fade et nous empêcher d'être passionné par quoi que ce soit, y'a un gouffre

Oui, je suis pas capable de concevoir le deuxième cas donc c'est pour ça que je ne peux pas vraiment me prononcer sur la question :hap:

Je mets 10 à tous les mangas dont j'aime les intentions en fait :hap: et je note pas les autres, j'ai même pas les notes affichés sur ma manga list (pour le peu que j'ai lu t'façon... ça servirait à rien)

[19:45:31] <_shiroyasha_>
Boku wa mari au même niveau qu'aku no hana ?

Nan clairement pas, le début de Boku wa mari est ouf, quelques autres scènes sont ouf, le reste osef, la fin sympa quand même mais osef l'histoire est pourrie en fait...

[19:44:23] <Minmay>
ZeIoft à la base je t'ai parlé de ça seulement pour dire que je pensais que certaines personnes ne seraient jamais heureuses à cause d'une condition psychologique voire clinique, en réaction à ta discussion sur l'AAS :rire:

C'était donc ça ! Cela dit je pense que même une personne qui a un problème mental clinique peut quand même être heureux... mais je me trompe peut-être, trop compliqué comme discussion ça

T'es qui anaiogie ?
Je met ma main à couper qu'il a changé d'avis en cours de route
Exactement la même chose que Boku wa mari putain... <img src=(">
Oui en effet, d'ailleurs ça m'était sorti de la tête maisquand j'étais arrivé à la fin du manga avec ce dernier chapitre, j'étais arrivé à la même conclusion que toi en fait. Mais vu qu'avant je voyais pas où l'auteur voulait aller, bah y'a que ce dernier chapitre qui m'a marqué, là où toute la seconde partie m'a semblé oubliable du coup...
Bonne piqure de rappel ça aussi

Mais on retrouve exactement le même problème dans Boku wa Mari, l'auteur qui abandonne beaucoup des superbes idées esthétiques qui donnaient vraiment une atmosphère unique à son oeuvre (comme Aku no Hana) pour raconter vraiment son histoire, qui au final fait tout à sens, mais qui (me) déçoit car on (je) s'attend à retrouver cette atmosphère dans la conclusion, ce qui n'est pas du tout le cas :-(

C'est pour ça aussi qu'au final on comprend tout à fait pourquoi ça n'a pas gêné Nagahama de finir son anime en plein milieu du manga en se contentant juste d'adapter la fin en de brèves séquences accélérés qui vont jusqu'à la scène du festival... Humblement, il a dû se dire quelque chose comme "Ca y est, j'ai adapté ce que j'avais à adapter, j'ai mis ma patte artistique sur ce qui m'a touché dans le manga, le reste n'a pas d'importance pour moi car il n'est plus de ma sensibilité."
Putain feels vraiment good, j'arrive enfin à mettre un sens sur la fin de l'anime qui n'est pas juste "c'est un teasing de la s2 lol" (Évidemment que ce n'est pas le cas...)
S'il avait pu, peut-être qu'il serait allé jusqu'au festival, mais ça m'aurait vraiment étonné qu'il aille plus loin, ça collerait tellement pas avec le style qu'il a donné à l'anime.

Ah oui je vois, c'est là où le manga m'a peut être un peu perdu là où pour toi il a pris tout son sens.
Pour moi c'est vraiment l'histoire de jeunes perdus, sans repère, mais pas fous, que ce soit Nakamura ou Kasuga.
Vu que de toute manière, à cet âge, il arrive très souvent d'être fou, pas fou cliniquement, mais fou aux yeux de la société.
Et donc toute la première partie du manga consiste à suivre les personnages dans toute la folie qu'est l'adolescence.
C'est ce côté là qui est embrassé dans l'anime aussi, qui arrive vraiment à trouver là où réside la beauté dans tous ces actes qui sont purement immatures et futiles. Ce combat de l'adolescence contre le monde adulte qu'ils sont incapables de comprendre et qu'ils ne veulent pas comprendre.
Il y a quelque chose de très symbolique dans "l'autre côté de la montagne" dont ils parlent tout le temps au début du manga. Et c'est vrai qu'au final, une fois qu'ils quittent cette ville qui représente tout le malaise de leur adolescence, leurs chemins se séparent.
Mais je trouve ça triste de réduire ça à de la folie clinique, je ne sais pas si c'est que l'auteur voulait dire aussi, mais en te lisant je trouve que ça fait sens en effet, et je n'avais pas pensé à aborder l'histoire sous cet aspect. Je suis resté sur le thème de l'adolescence sans repère qui essaye de s'en trouver par tous les moyens pour donner un sens au monde.
Ta vision est plus pragmatique et du coup peut être plus proche de ce que voulait dire l'auteur, mais je préfère la version purement poétique de l'anime, qui ne cherche pas tant à trouver du sens et une finalité qui pourrait servir de morale.

Au final, ça montre bien nos différences de perception des œuvres, la tienne est plus proche du scénario et c'est pour ça que tu as préféré la seconde partie du manga... c'est beau ce genre de discussions :cute:

Mais non, tu sais très bien que tu l'as surtout écrit pour toi :ok:
Wow, un beau pavé César
Trop bien la conclusion, gloire à Otomo
J'ai RIEN compris à ce qu'il s'est passé dans le 8 de Robot Carnival :rire: Mais y'avait des techniques d'animations stylés.