Le 29 septembre 2021 à 21:09:45 :
Film nul, sans doute le plus surcôté des comédies fr
tu es fou c'est un des meilleurs
Commentaire supprimé à cause des mots probablement. Je tente le "spoil"
8ème Critique : HOTLINE MIAMI 2
L'affreux Docteur Cote de Porc
Vivre une expérience sous acide, au sein d'un Miami fictif souillé par le Crime et par des déferlements de violence te tente ? J'ai ce qu'il te faut.
Avant même que le canevas du jeu s'enclenche, un message à l'attention des joueurs les moins avertis s'affiche à l'écran «Ce jeu contient des scènes
Notre odyssée sanguinolente, débute dans la peau d'un obèse attifait d'un masque de Porc qui s'aventure dans une maison familiale, et dont le projet n'est autre que de massacrer pour le plaisir une famille toute entière.
Et c'est toute la trame qui va œuvrer dans ce sens. Chaque personnages jouables à sa propre histoire, ses propres codes, et l'ensemble fonctionne tel un puzzle scénaristique ou chaque parties s'agglomère entre elles à la manière d'un film de Tarantino. La narration n'est pas linéaire et les flash-back sont récurrents tout comme les allusions et références au 1er Opus. Si bien qu'il est impossible de tout comprendre d'une traite sans avoir au préalable confronté le joueur au Miami des années 80 de son aîné. Mais ce dédale tortueux (malgré le fait que les chapitres s'enchaînent trop brutalement et que l'histoire reste parfois trop brouillonne dans son explication) est clairement un aspect positif du jeu et les amoureux des films de mafia ou de l'univers la pègre y trouveront aisément leur compte.
La Guerre Froide prend le bouillon
Toute cette fresque à comme toile de fond : La Guerre froide. A l'instar de Tarantino (encore lui) qui s'est permis de réécrire l'histoire de la seconde guerre mondiale avec « Inglorious Basterd », les Développeurs Suédois de Dennaton Games font de même avec les deux anciennes superpuissances mondiales. Naviguant entre les années 80 et le début des années 90, la bande son du jeu résolument électro offre des sonorités faisant honneur à cette époque. Encensé par la critique et par ses laudateurs qui évoque cette OST comme l'une des meilleures SoundTrack de ces dernières années, il est difficile après écoute d'aller à l'encontre de l'avis général bien qu'il ne s'agisse pas de mon registre musical de prédilection. Du moins, si on écoute la cinquantaine de musiques présentent dans le jeu comme on écouterait un album Track by Track. In Game, c'est une toute autre histoire car ces sons frénétiques presque psychédéliques ont tendance à vite devenir un tintamarre ahurissants si on s'éternise dans un niveau. A tel point que baisser le volume de la TV devient une alternative presque obligatoire à moins d'y jouer l'esprit engourdit par l'opium.
Un Plaisir de jeu jubilatoire contrebalancé par des défauts trop persistants
D'un point de vue visuel, le jeu se contente de jouer les filiations avec son prédécesseur. Vue aérienne à la GTA version 2D, Couleurs d'alternance entre le criard (souvent) et le lugubre (parfois) et de façon très dépareillée entre chaque petites parcelles de niveaux. C'est un véritable feu d'artifice de couleurs flanqué d'un style à l'ancienne très marqué. Les aficionados du photoréalisme passez votre chemin, pour les adeptes du style vintage ce sera par contre un véritable plaisir, avec pour seul bémol et non des moindres, que le rendu est parfois presque illisible au point de passer à côté d'ennemis qui profiteront de l'offrande pour vous mettre une bastos entre vos deux yeux. Rageant surtout lorsqu'on est à la fin d'une phase de jeu difficile à appréhender.
L'Intelligence artificielle quant à elle ne suit aucune logique. A la fois terriblement stupide, lorsqu'il s'agit d'attirer un ennemi simplement en se montrant une fraction de seconde, elle est par contre paradoxalement trop réactive dans son exécution, si bien que vous finirez en charpie à la moindre ouverture. De nombreux petits bugs ainsi qu'un sentiment de répétitivité viendront également ternir un peu le tableau. S'il remplit son rôle de Shooter à la perfection, l'apport d'un peu de diversité dans ses quêtes n'aurait pas été de trop.
Cependant, le plaisir de jeu reste omniprésent grâce à un gameplay très efficace et à l'apport de quelques nouveautés dont de nouvelles armes, et masques qui rendront le jeu encore plus attractif. Ce titre se distingue alors comme un gros coup de poing métaphorique destiné à tous ceux qui pointe l'ultraviolence dans les jeux vidéos
Les + :
- Un scénario plaisant et digne d'un grand film de gangsters
- Le Fun indiscutable porté par un bon gameplay
- C'est rétro, c'est kitch, on adore
- Son Style visuel
- Le Level Design excellent
- Sa Rejouabilité (Avoir les A+, Editeur de niveaux, Difficulté Hardcore)
Les - :
- Trop répétitif, on aurait aimé (rien qu'un peu) de diversité
- Une bande son de qualité mais qui devient vite une torture si on est bloqué dans un niveau
- L'obligation de faire le 1er Opus pour ne manquer aucun détail
- la visée parfois aléatoire
- Quelques bugs ou le personnages reste bloqué dans une direction
- Un niveau de difficulté de base qui en rebutera plus d'un. Alors le mode Hardcore...
- Une fin qui pourrait décevoir
Ma Note : 14/20
Le 29 septembre 2021 à 19:12:12 :
Le 29 septembre 2021 à 19:11:41 :
Le 29 septembre 2021 à 19:05:40 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/35/3/1630497570-51ne3g7b.png Moi aussi je t'aime, ma vie serait tellement triste et vide sans toi...
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/15/6/1618688562-21.png
je le sais mon Khey. Je le sais.
Ca va finir en orgie tout ça je le sens bien ! Qui encule qui ? c'est la seule question à se poser désormais
Le 29 septembre 2021 à 19:05:40 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/35/3/1630497570-51ne3g7b.png
Commentaire supprimé à cause des mots probablement. Je tente le "spoil"
8ème Critique : HOTLINE MIAMI 2
L'affreux Docteur Cote de Porc
Vivre une expérience sous acide, au sein d'un Miami fictif souillé par le Crime et par des déferlements de violence te tente ? J'ai ce qu'il te faut.
Avant même que le canevas du jeu s'enclenche, un message à l'attention des joueurs les moins avertis s'affiche à l'écran «Ce jeu contient des scènes
Notre odyssée sanguinolente, débute dans la peau d'un obèse attifait d'un masque de Porc qui s'aventure dans une maison familiale, et dont le projet n'est autre que de massacrer pour le plaisir une famille toute entière.
Et c'est toute la trame qui va œuvrer dans ce sens. Chaque personnages jouables à sa propre histoire, ses propres codes, et l'ensemble fonctionne tel un puzzle scénaristique ou chaque parties s'agglomère entre elles à la manière d'un film de Tarantino. La narration n'est pas linéaire et les flash-back sont récurrents tout comme les allusions et références au 1er Opus. Si bien qu'il est impossible de tout comprendre d'une traite sans avoir au préalable confronté le joueur au Miami des années 80 de son aîné. Mais ce dédale tortueux (malgré le fait que les chapitres s'enchaînent trop brutalement et que l'histoire reste parfois trop brouillonne dans son explication) est clairement un aspect positif du jeu et les amoureux des films de mafia ou de l'univers la pègre y trouveront aisément leur compte.
La Guerre Froide prend le bouillon
Toute cette fresque à comme toile de fond : La Guerre froide. A l'instar de Tarantino (encore lui) qui s'est permis de réécrire l'histoire de la seconde guerre mondiale avec « Inglorious Basterd », les Développeurs Suédois de Dennaton Games font de même avec les deux anciennes superpuissances mondiales. Naviguant entre les années 80 et le début des années 90, la bande son du jeu résolument électro offre des sonorités faisant honneur à cette époque. Encensé par la critique et par ses laudateurs qui évoque cette OST comme l'une des meilleures SoundTrack de ces dernières années, il est difficile après écoute d'aller à l'encontre de l'avis général bien qu'il ne s'agisse pas de mon registre musical de prédilection. Du moins, si on écoute la cinquantaine de musiques présentent dans le jeu comme on écouterait un album Track by Track. In Game, c'est une toute autre histoire car ces sons frénétiques presque psychédéliques ont tendance à vite devenir un tintamarre ahurissants si on s'éternise dans un niveau. A tel point que baisser le volume de la TV devient une alternative presque obligatoire à moins d'y jouer l'esprit engourdit par l'opium.
Un Plaisir de jeu jubilatoire contrebalancé par des défauts trop persistants
D'un point de vue visuel, le jeu se contente de jouer les filiations avec son prédécesseur. Vue aérienne à la GTA version 2D, Couleurs d'alternance entre le criard (souvent) et le lugubre (parfois) et de façon très dépareillée entre chaque petites parcelles de niveaux. C'est un véritable feu d'artifice de couleurs flanqué d'un style à l'ancienne très marqué. Les aficionados du photoréalisme passez votre chemin, pour les adeptes du style vintage ce sera par contre un véritable plaisir, avec pour seul bémol et non des moindres, que le rendu est parfois presque illisible au point de passer à côté d'ennemis qui profiteront de l'offrande pour vous mettre une bastos entre vos deux yeux. Rageant surtout lorsqu'on est à la fin d'une phase de jeu difficile à appréhender.
L'Intelligence artificielle quant à elle ne suit aucune logique. A la fois terriblement stupide, lorsqu'il s'agit d'attirer un ennemi simplement en se montrant une fraction de seconde, elle est par contre paradoxalement trop réactive dans son exécution, si bien que vous finirez en charpie à la moindre ouverture. De nombreux petits bugs ainsi qu'un sentiment de répétitivité viendront également ternir un peu le tableau. S'il remplit son rôle de Shooter à la perfection, l'apport d'un peu de diversité dans ses quêtes n'aurait pas été de trop.
Cependant, le plaisir de jeu reste omniprésent grâce à un gameplay très efficace et à l'apport de quelques nouveautés dont de nouvelles armes, et masques qui rendront le jeu encore plus attractif. Ce titre se distingue alors comme un gros coup de poing métaphorique destiné à tous ceux qui pointe l'ultraviolence dans les jeux vidéos
Les + :
- Un scénario plaisant et digne d'un grand film de gangsters
- Le Fun indiscutable porté par un bon gameplay
- C'est rétro, c'est kitch, on adore
- Son Style visuel
- Le Level Design excellent
- Sa Rejouabilité (Avoir les A+, Editeur de niveaux, Difficulté Hardcore)
Les - :
- Trop répétitif, on aurait aimé (rien qu'un peu) de diversité
- Une bande son de qualité mais qui devient vite une torture si on est bloqué dans un niveau
- L'obligation de faire le 1er Opus pour ne manquer aucun détail
- la visée parfois aléatoire
- Quelques bugs ou le personnages reste bloqué dans une direction
- Un niveau de difficulté de base qui en rebutera plus d'un. Alors le mode Hardcore...
- Une fin qui pourrait décevoir
Ma Note : 14/20
Commentaire supprimé à cause des mots probablement. Je tente le "spoil"
8ème Critique : HOTLINE MIAMI 2
L'affreux Docteur Cote de Porc
Vivre une expérience sous acide, au sein d'un Miami fictif souillé par le Crime et par des déferlements de violence te tente ? J'ai ce qu'il te faut.
Avant même que le canevas du jeu s'enclenche, un message à l'attention des joueurs les moins avertis s'affiche à l'écran «Ce jeu contient des scènes
Notre odyssée sanguinolente, débute dans la peau d'un obèse attifait d'un masque de Porc qui s'aventure dans une maison familiale, et dont le projet n'est autre que de massacrer pour le plaisir une famille toute entière. Cette tuerie de masse se terminera par
Et c'est toute la trame qui va œuvrer dans ce sens. Chaque personnages jouables à sa propre histoire, ses propres codes, et l'ensemble fonctionne tel un puzzle scénaristique ou chaque parties s'agglomère entre elles à la manière d'un film de Tarantino. La narration n'est pas linéaire et les flash-back sont récurrents tout comme les allusions et références au 1er Opus. Si bien qu'il est impossible de tout comprendre d'une traite sans avoir au préalable confronté le joueur au Miami des années 80 de son aîné. Mais ce dédale tortueux (malgré le fait que les chapitres s'enchaînent trop brutalement et que l'histoire reste parfois trop brouillonne dans son explication) est clairement un aspect positif du jeu et les amoureux des films de mafia ou de l'univers la pègre y trouveront aisément leur compte.
La Guerre Froide prend le bouillon
Toute cette fresque à comme toile de fond : La Guerre froide. A l'instar de Tarantino (encore lui) qui s'est permis de réécrire l'histoire de la seconde guerre mondiale avec « Inglorious Basterd », les Développeurs Suédois de Dennaton Games font de même avec les deux anciennes superpuissances mondiales. Naviguant entre les années 80 et le début des années 90, la bande son du jeu résolument électro offre des sonorités faisant honneur à cette époque. Encensé par la critique et par ses laudateurs qui évoque cette OST comme l'une des meilleures SoundTrack de ces dernières années, il est difficile après écoute d'aller à l'encontre de l'avis général bien qu'il ne s'agisse pas de mon registre musical de prédilection. Du moins, si on écoute la cinquantaine de musiques présentent dans le jeu comme on écouterait un album Track by Track. In Game, c'est une toute autre histoire car ces sons frénétiques presque psychédéliques ont tendance à vite devenir un tintamarre ahurissants si on s'éternise dans un niveau. A tel point que baisser le volume de la TV devient une alternative presque obligatoire à moins d'y jouer l'esprit engourdit par l'opium.
Un Plaisir de jeu jubilatoire contrebalancé par des défauts trop persistants
D'un point de vue visuel, le jeu se contente de jouer les filiations avec son prédécesseur. Vue aérienne à la GTA version 2D, Couleurs d'alternance entre le criard (souvent) et le lugubre (parfois) et de façon très dépareillée entre chaque petites parcelles de niveaux. C'est un véritable feu d'artifice de couleurs flanqué d'un style à l'ancienne très marqué. Les aficionados du photoréalisme passez votre chemin, pour les adeptes du style vintage ce sera par contre un véritable plaisir, avec pour seul bémol et non des moindres, que le rendu est parfois presque illisible au point de passer à côté d'ennemis qui profiteront de l'offrande pour vous mettre une bastos entre vos deux yeux. Rageant surtout lorsqu'on est à la fin d'une phase de jeu difficile à appréhender.
L'Intelligence artificielle quant à elle ne suit aucune logique. A la fois terriblement stupide, lorsqu'il s'agit d'attirer un ennemi simplement en se montrant une fraction de seconde, elle est par contre paradoxalement trop réactive dans son exécution, si bien que vous finirez en charpie à la moindre ouverture. De nombreux petits bugs ainsi qu'un sentiment de répétitivité viendront également ternir un peu le tableau. S'il remplit son rôle de Shooter à la perfection, l'apport d'un peu de diversité dans ses quêtes n'aurait pas été de trop.
Cependant, le plaisir de jeu reste omniprésent grâce à un gameplay très efficace et à l'apport de quelques nouveautés dont de nouvelles armes, et masques qui rendront le jeu encore plus attractif. Ce titre se distingue alors comme un gros coup de poing métaphorique destiné à tous ceux qui pointe l'ultraviolence dans les jeux vidéos
Les + :
- Un scénario plaisant et digne d'un grand film de gangsters
- Le Fun indiscutable porté par un bon gameplay
- C'est rétro, c'est kitch, on adore
- Son Style visuel
- Le Level Design excellent
- Sa Rejouabilité (Avoir les A+, Editeur de niveaux, Difficulté Hardcore)
Les - :
- Trop répétitif, on aurait aimé (rien qu'un peu) de diversité
- Une bande son de qualité mais qui devient vite une torture si on est bloqué dans un niveau
- L'obligation de faire le 1er Opus pour ne manquer aucun détail
- la visée parfois aléatoire
- Quelques bugs ou le personnages reste bloqué dans une direction
- Un niveau de difficulté de base qui en rebutera plus d'un. Alors le mode Hardcore...
- Une fin qui pourrait décevoir
Ma Note : 14/20
Commentaire supprimé à cause des mots probablement. Je tente le "spoil"
8ème Critique : HOTLINE MIAMI 2
L'affreux Docteur Cote de Porc
Vivre une expérience sous acide, au sein d'un Miami fictif souillé par le Crime et par des déferlements de violence te tente ? J'ai ce qu'il te faut.
Avant même que le canevas du jeu s'enclenche, un message à l'attention des joueurs les moins avertis s'affiche à l'écran «Ce jeu contient des scènes
Notre odyssée sanguinolente, débute dans la peau d'un obèse attifait d'un masque de Porc qui s'aventure dans une maison familiale, et dont le projet n'est autre que de massacrer pour le plaisir une famille toute entière. Cette tuerie de masse se terminera par
Et c'est toute la trame qui va œuvrer dans ce sens. Chaque personnages jouables à sa propre histoire, ses propres codes, et l'ensemble fonctionne tel un puzzle scénaristique ou chaque parties s'agglomère entre elles à la manière d'un film de Tarantino. La narration n'est pas linéaire et les flash-back sont récurrents tout comme les allusions et références au 1er Opus. Si bien qu'il est impossible de tout comprendre d'une traite sans avoir au préalable confronté le joueur au Miami des années 80 de son aîné. Mais ce dédale tortueux (malgré le fait que les chapitres s'enchaînent trop brutalement et que l'histoire reste parfois trop brouillonne dans son explication) est clairement un aspect positif du jeu et les amoureux des films de mafia ou de l'univers la pègre y trouveront aisément leur compte.
La Guerre Froide prend le bouillon
Toute cette fresque à comme toile de fond : La Guerre froide. A l'instar de Tarantino (encore lui) qui s'est permis de réécrire l'histoire de la seconde guerre mondiale avec « Inglorious Basterd », les Développeurs Suédois de Dennaton Games font de même avec les deux anciennes superpuissances mondiales. Naviguant entre les années 80 et le début des années 90, la bande son du jeu résolument électro offre des sonorités faisant honneur à cette époque. Encensé par la critique et par ses laudateurs qui évoque cette OST comme l'une des meilleures SoundTrack de ces dernières années, il est difficile après écoute d'aller à l'encontre de l'avis général bien qu'il ne s'agisse pas de mon registre musical de prédilection. Du moins, si on écoute la cinquantaine de musiques présentent dans le jeu comme on écouterait un album Track by Track. In Game, c'est une toute autre histoire car ces sons frénétiques presque psychédéliques ont tendance à vite devenir un tintamarre ahurissants si on s'éternise dans un niveau. A tel point que baisser le volume de la TV devient une alternative presque obligatoire à moins d'y jouer l'esprit engourdit par l'opium.
Un Plaisir de jeu jubilatoire contrebalancé par des défauts trop persistants
D'un point de vue visuel, le jeu se contente de jouer les filiations avec son prédécesseur. Vue aérienne à la GTA version 2D, Couleurs d'alternance entre le criard (souvent) et le lugubre (parfois) et de façon très dépareillée entre chaque petites parcelles de niveaux. C'est un véritable feu d'artifice de couleurs flanqué d'un style à l'ancienne très marqué. Les aficionados du photoréalisme passez votre chemin, pour les adeptes du style vintage ce sera par contre un véritable plaisir, avec pour seul bémol et non des moindres, que le rendu est parfois presque illisible au point de passer à côté d'ennemis qui profiteront de l'offrande pour vous mettre une bastos entre vos deux yeux. Rageant surtout lorsqu'on est à la fin d'une phase de jeu difficile à appréhender.
L'Intelligence artificielle quant à elle ne suit aucune logique. A la fois terriblement stupide, lorsqu'il s'agit d'attirer un ennemi simplement en se montrant une fraction de seconde, elle est par contre paradoxalement trop réactive dans son exécution, si bien que vous finirez en charpie à la moindre ouverture. De nombreux petits bugs ainsi qu'un sentiment de répétitivité viendront également ternir un peu le tableau. S'il remplit son rôle de Shooter à la perfection, l'apport d'un peu de diversité dans ses quêtes n'aurait pas été de trop.
Cependant, le plaisir de jeu reste omniprésent grâce à un gameplay très efficace et à l'apport de quelques nouveautés dont de nouvelles armes, et masques qui rendront le jeu encore plus attractif. Ce titre se distingue alors comme un gros coup de poing métaphorique destiné à tous ceux qui pointe l'ultraviolence dans les jeux vidéos
Les + :
- Un scénario plaisant et digne d'un grand film de gangsters
- Le Fun indiscutable porté par un bon gameplay
- C'est rétro, c'est kitch, on adore
- Son Style visuel
- Le Level Design excellent
- Sa Rejouabilité (Avoir les A+, Editeur de niveaux, Difficulté Hardcore)
Les - :
- Trop répétitif, on aurait aimé (rien qu'un peu) de diversité
- Une bande son de qualité mais qui devient vite une torture si on est bloqué dans un niveau
- L'obligation de faire le 1er Opus pour ne manquer aucun détail
- la visée parfois aléatoire
- Quelques bugs ou le personnages reste bloqué dans une direction
- Un niveau de difficulté de base qui en rebutera plus d'un. Alors le mode Hardcore...
- Une fin qui pourrait décevoir
Ma Note : 14/20
Topic fermé. Ma dernière (et meilleure) critique ne passe pas à cause de mots qui dérangent sur le Forum visiblement.
Tant pis je vais écouter mon VDD et créer un blog kheyou
3ème fois qu'elle saute donc je la remet
8ème Critique : HOTLINE MIAMI 2
L'affreux Docteur Cote de Porc
Vivre une expérience sous acide, au sein d'un Miami fictif souillé par le Crime et par des déferlements de violence te tente ? J'ai ce qu'il te faut.
Avant même que le canevas du jeu s'enclenche, un message à l'attention des joueurs les moins avertis s'affiche à l'écran «Ce jeu contient des scènes d'agressions sexuelles, souhaitez vous passer ces scènes ? » Un message on ne peut plus explicite qui va se confirmer dès la première séquence de jeu.
Notre odyssée sanguinolente, débute dans la peau d'un obèse attifait d'un masque de Porc qui s'aventure dans une maison familiale, et dont le projet n'est autre que de massacrer pour le plaisir une famille toute entière. Cette tuerie de masse se terminera par le viol de la seule survivante de ce bain de sang. Mais cela s'avère finalement n'être qu'une mise en scène. Le Goret en question n'est autre qu'un acteur de film à l'eau de rose, lassé de jouer les Don Juan, et désireux d'incarner la personnification du mal incarné dans un Slasher. Sauf que … Nouvel ascenseur émotionnel, le passage suivant montre qu'il s'agit bel et bien d'un tueur en série atteint d'un trouble dissociatif de l'identité.
Et c'est toute la trame qui va œuvrer dans ce sens. Chaque personnages jouables à sa propre histoire, ses propres codes, et l'ensemble fonctionne tel un puzzle scénaristique ou chaque parties s'agglomère entre elles à la manière d'un film de Tarantino. La narration n'est pas linéaire et les flash-back sont récurrents tout comme les allusions et références au 1er Opus. Si bien qu'il est impossible de tout comprendre d'une traite sans avoir au préalable confronté le joueur au Miami des années 80 de son aîné. Mais ce dédale tortueux (malgré le fait que les chapitres s'enchaînent trop brutalement et que l'histoire reste parfois trop brouillonne dans son explication) est clairement un aspect positif du jeu et les amoureux des films de mafia ou de l'univers la pègre y trouveront aisément leur compte.
La Guerre Froide prend le bouillon
Toute cette fresque à comme toile de fond : La Guerre froide. A l'instar de Tarantino (encore lui) qui s'est permis de réécrire l'histoire de la seconde guerre mondiale avec « Inglorious Basterd », les Développeurs Suédois de Dennaton Games font de même avec les deux anciennes superpuissances mondiales. Naviguant entre les années 80 et le début des années 90, la bande son du jeu résolument électro offre des sonorités faisant honneur à cette époque. Encensé par la critique et par ses laudateurs qui évoque cette OST comme l'une des meilleures SoundTrack de ces dernières années, il est difficile après écoute d'aller à l'encontre de l'avis général bien qu'il ne s'agisse pas de mon registre musical de prédilection. Du moins, si on écoute la cinquantaine de musiques présentent dans le jeu comme on écouterait un album Track by Track. In Game, c'est une toute autre histoire car ces sons frénétiques presque psychédéliques ont tendance à vite devenir un tintamarre ahurissants si on s'éternise dans un niveau. A tel point que baisser le volume de la TV devient une alternative presque obligatoire à moins d'y jouer l'esprit engourdit par l'opium.
Un Plaisir de jeu jubilatoire contrebalancé par des défauts trop persistants
D'un point de vue visuel, le jeu se contente de jouer les filiations avec son prédécesseur. Vue aérienne à la GTA version 2D, Couleurs d'alternance entre le criard (souvent) et le lugubre (parfois) et de façon très dépareillée entre chaque petites parcelles de niveaux. C'est un véritable feu d'artifice de couleurs flanqué d'un style à l'ancienne très marqué. Les aficionados du photoréalisme passez votre chemin, pour les adeptes du style vintage ce sera par contre un véritable plaisir, avec pour seul bémol et non des moindres, que le rendu est parfois presque illisible au point de passer à côté d'ennemis qui profiteront de l'offrande pour vous mettre une bastos entre vos deux yeux. Rageant surtout lorsqu'on est à la fin d'une phase de jeu difficile à appréhender.
L'Intelligence artificielle quant à elle ne suit aucune logique. A la fois terriblement stupide, lorsqu'il s'agit d'attirer un ennemi simplement en se montrant une fraction de seconde, elle est par contre paradoxalement trop réactive dans son exécution, si bien que vous finirez en charpie à la moindre ouverture. De nombreux petits bugs ainsi qu'un sentiment de répétitivité viendront également ternir un peu le tableau. S'il remplit son rôle de Shooter à la perfection, l'apport d'un peu de diversité dans ses quêtes n'aurait pas été de trop.
Cependant, le plaisir de jeu reste omniprésent grâce à un gameplay très efficace et à l'apport de quelques nouveautés dont de nouvelles armes, et masques qui rendront le jeu encore plus attractif. Ce titre se distingue alors comme un gros coup de poing métaphorique destiné à tous ceux qui pointe l'ultraviolence dans les jeux vidéos
Les + :
- Un scénario plaisant et digne d'un grand film de gangsters
- Le Fun indiscutable porté par un bon gameplay
- C'est rétro, c'est kitch, on adore
- Son Style visuel
- Le Level Design excellent
- Sa Rejouabilité (Avoir les A+, Editeur de niveaux, Difficulté Hardcore)
Les - :
- Trop répétitif, on aurait aimé (rien qu'un peu) de diversité
- Une bande son de qualité mais qui devient vite une torture si on est bloqué dans un niveau
- L'obligation de faire le 1er Opus pour ne manquer aucun détail
- la visée parfois aléatoire
- Quelques bugs ou le personnages reste bloqué dans une direction
- Un niveau de difficulté de base qui en rebutera plus d'un. Alors le mode Hardcore...
- Une fin qui pourrait décevoir
Ma Note : 14/20
C'est pas 20 mais 44 euros finalement. Putain je suis totalement à l'Ouest en ce moment
C'est 20 euros pour échanger le billet ... mais je souhaite pas l'échanger donc 44 euros.
J'en ai marre de moi
Le 29 septembre 2021 à 13:39:49 :
Le 29 septembre 2021 à 13:35:40 :
Le 29 septembre 2021 à 13:34:30 :
PCR c'est bonhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png oui mais c'est que 72 Heures je crois ? je devais rester quelques jours
Tu n'es pas con, tu es totalement incapable de te prendre en main.
Tu sais, des pharmacies il y en a dans toute la France.
ah peut être, mais ça n'empêche que je suis con quand même
Le 29 septembre 2021 à 13:36:18 :
tu es comme Pierre richard
j'ai toujours était illogique et extrêmement teubé pour certains trucs ce qui contraste avec mon Q.I plutôt élevé bizarrement.
Mais parfois je suis le roi des cons à tel point qu'il est difficile de rivaliser avec moi en terme de Mongolite Aigue
Je mérite ce qui m'arrive , zéro excuse
Le 29 septembre 2021 à 13:34:30 :
PCR c'est bonhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
oui mais c'est que 72 Heures je crois ? je devais rester quelques jours