Oui c'est vrai, pourquoi ? C'est pas comme si ça faisait des centaines d'années qu'on se vaccinait hein ?
Bon alors je récapitule pour les golems :
- se protéger du covid
- protéger les autres, ne pas les tuer en transmettant le virus, ne pas être un meurtrier
- participer à l'effort commun pour en finir une bonne fois pour toute, se montrer solidaire et soudé
- affirmer son soutiens à notre gouvernement qui traverse une période difficile, qu'on soit en accord ou non, ils ont besoin de notre soutiens pour aller mieux
- affirmer notre soutiens à la France, à notre très cher PASTEUR, génie français reconnu mondialement, probablement l'homme qui a sauvé le plus de gens sur cette planète
Ces mêmes vieux qui s'offusquaient des vieux quand ils étaient jeune
L'opax qui va devenir un vieux chieur
Redpill pour l'op
Le 28 novembre 2021 à 12:46:09 :
Possible qu'il y ait un second tour Marine / Zemmour
ptdr mais Marine est dans les CHOUX avec le Z, elle existe encore celle là ????
Le 28 novembre 2021 à 12:14:15 :
Zofzilog revient
François Hollande a tenu mercredi, à propos d'Eric Zemmour, à "faire la part des choses entre des poussées médiatiques (...) et la réalité de la France", et il a appelé les partis à installer le débat présidentiel sur "les sujets essentiels des Français".
Interrogé sur la montée du polémiste Eric Zemmour dans les sondages d'intentions de vote pour la présidentielle de 2022, l'ancien président a tenu à "faire la part des choses entre ce qui est des poussées médiatiques, des modes, hélas, qui ne sont pas forcément encouragées par les bons médias ou par les bonnes personnes, et ce qui est la réalité de la France".
"Il y a comme ça des pulsions qui arrivent dans des campagnes électorales, des traductions qui peuvent être conjoncturelles et qui ne sont pas forcément durables. Mais il y a le risque que les thèses extrémistes ou les thèses excessives soient finalement largement reproduites par d'autres et finissent par, si je puis dire, contaminer les propos politiques", a-t-il ajouté en marge d'une visite dans une exploitation maraichère à Saint-Martin-le-Beau (Indre-et-Loire).
Selon François Hollande la "bonne réponse" à Eric Zemmour consiste à "installer un débat politique sur les sujets essentiels des Français". "Et ça c'est le rôle des partis, le rôle des candidats d'imposer leurs thèmes et pas simplement être ou dans la dénonciation ou pire encore dans le suivisme".
Le chroniqueur Éric Zemmour raconte aussi, dans son nouveau livre à paraître mi-septembre, une partie d'un échange téléphonique avec Emmanuel Macron en mai 2020, après son agression à Paris.
Éric Zemmour sera-t-il candidat à la présidentielle de 2022? La question fait trembler les personnalités politiques de droite ces dernières semaines sur les plateaux de télévision. Si sa décision n'est officiellement pas encore prise, le chroniqueur s'apprête à sortir mi-septembre un nouvel ouvrage aux airs de livre de campagne, intitulé La France n'a pas dit son dernier mot.
Et dans les premiers extraits dévoilés ce jeudi par Le Figaro Magazine, Éric Zemmour n'épargne pas Emmanuel Macron. "Longtemps, j’ai pensé que Macron était un Sarkozy en moins vulgaire", écrit-il. "Pour la première fois, je comprends qu’il n’est qu’un Hollande en mieux vêtu."
"Il me dit: 'République', je lui dis 'France'"
Dans cet ouvrage, le polémiste revient également sur sa conversation téléphonique avec le président de la République, après son agression en pleine rue à Paris en mai 2020. À l'époque, Emmanuel Macron avait téléphoné à Éric Zemmour pendant environ 45 minutes pour lui faire part de son soutien.
Dans son livre, Éric Zemmour raconte qu'au cours de cet appel, les deux hommes s'adonnent à une joute verbale au sujet de la délinquance et de l'immigration: "Chacun avance ses arguments sans laisser à son interlocuteur le temps de reprendre son souffle", se souvient le journaliste. "Il me dit: 'République', je lui dis 'France'. Il me dit 'Minorité de racailles', je lui dis: 'Soutenue par une majorité, qu’elle aide à vivre et qu’elle soumet par son alliance avec la loi de l’islam'".
Selon Éric Zemmour, Emmanuel Macron aurait ensuite lancé au polémiste: "Au fait, votre plan, faites-moi une note". "Je fais mine de ne pas comprendre. Quel plan?", lui demande alors Éric Zemmour au cours de cet échange. Ce à quoi Emmanuel Macron aurait "enchaîné, amusé de (l)’avoir bousculé: 'Mais voyons, votre plan sur l’immigration, mon secrétariat vous contactera'".
La rivale d’Emmanuel Macron a dégringolé de dix points depuis juin, une première en neuf ans. « Marine a abandonné ses positions fortifiées et Eric occupe le terrain qu’elle a quitté », accuse le cofondateur du Front national, exclu du parti en 2015 et hostile depuis toujours à la dédiabolisation opérée par sa fille. Après les régionales, en juin, il appelait le Rassemblement national (RN) à retrouver sa « virilité ». A travers lui, c’est tout le vieux « Front » qui doute. Et qui regarde vers l’arc zemmourien, qui va de l’ancien RPR à la frange traditionaliste du RN. Dans les fédérations, les défections se sont déjà multipliées.
Bien décidé à s’exprimer « jusqu’au moment où [il finira] dans la caisse en bois », Jean-Marie Le Pen projette, soudain : « Si Eric est le candidat du camp national le mieux placé, bien sûr, je le soutiendrai. » Un virage de bord. Jusqu’à présent, il défendait Marine Le Pen et grognait contre la division du camp nationaliste, comparant, cet été, Zemmour aux trublions, voire aux « vedettes du spectacle ». « Va-t-il savoir encaisser ? C’est pas si évident que ça, et moi j’en sais quelque chose parce que j’ai commencé à 0,74 % », relève le finaliste d’avril 2002.
Bruno Le Maire reparle de la réforme des retraites depuis le Campus 2021 de LaREM
"Je pense que nous sommes tous d'accord, d'un bout à l'autre de la majorité, pour dire qu'une réforme des retraites est nécessaire", répète ce samedi Bruno Le Maire, interroge devant notre caméra depuis Avignon, où se déroulent ce week-end le Campus 2021 de La République en marche (LaREM).
Reste à savoir quand, une telle réforme pourra être mise en chantier, alors que la présidentielle approche et qu'elle pèse chaque jour un peu plus sur les débats. "C'est le président de la République, et lui seul, qui peut le décider", balaye le ministre de l'Économie.
Àsix mois de la présidentielle, la droite n’a toujours pas choisi son candidat. Pis, la voilà reléguée, médiatiquement, à suivre Éric Zemmour et à se positionner par rapport aux déclarations du polémiste. Les Républicains semblent pris en tenaille entre Emmanuel Macron, qui a capté une partie de leur électorat, et le bloc Zemmour-Le Pen. Ancien ministre de l’Intérieur, président de l’Assemblée nationale et du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré regarde ce combat présidentiel avec distance, mais non sans intérêt et inquiétude. L’ami de Jacques Chirac déplore un manque de vision de candidats. Éloigné de la vie politique active, Jean-Louis Debré investit la scène en présentant un spectacle, Ces femmes qui ont réveillé la France, avec Valérie Bochenek, au théâtre de la Gaîté et les librairies avec Quand les politiques nous faisaient rire (édition Bouquins). Entretien.
Le Point : Comment jugez-vous la bataille pour la présidentielle dans votre ancienne famille politique ?
Jean-Louis Debré : D’abord, une précision, j’ai quitté la vie politique depuis 14 ans. Je regarde, j’observe, mais je ne participe plus. Quand on regarde l’Histoire, il y a eu très peu de moments où la société politique dans son ensemble n’a pas fait émerger de grands personnages. Clemenceau, Poincaré, de Gaulle, Mitterrand, Giscard, Chirac, Sarkozy structuraient leur camp et il y avait d’autres personnages qui les accompagnaient (Barre, Mauroy). Aujourd’hui, ni à droite ni à gauche n’émerge une personnalité. Ce qui est extrêmement dangereux pour la société. Nous sommes dans une époque où les idéologies ont disparu. Avant, la notion de droite et de gauche évoquait quelque chose ; aujourd’hui, personne ne sait plus ce que c’est. Avant, les présidents étaient élus sur une espérance, peu importe qu’elle soit réalisée ou pas : la France moderne de Giscard, les 110 propositions de Mitterrand, la fracture sociale de Chirac… Personne en 2021 n’est capable d’offrir de l’espoir. Enfin, la présidentielle est désormais le moment pour des personnalités de se faire repérer : pour certains candidats, il ne s’agit pas d’être élu, mais de montrer qu’on existe. Soit pour régler un conflit local, soit pour prendre date pour des fonctions futures. Si on ajoute que le président sortant n’a pas su créer de l’empathie avec le peuple, le panorama est très ouvert…
… et très indécis !
Oui, surtout qu’on ne connaît pas encore tous les candidats. Et les personnes qui sont actuellement en lice, soit déclarées ou non, ne sont pas certaines d’obtenir leurs 500 signatures. Ce n’est pas une épreuve facile, surtout depuis que les noms des parrains sont publics. Nous sommes dans le tour de chauffe. Pour être élu, aujourd’hui, il faut essayer de créer des alliances, mais cela semble impossible, car il y a une tension entre les différents partis.
À LIRE AUSSIPrimaire des Républicains : qui veut gagner des millions ?
La droite abandonne la primaire pour un congrès. N’est-ce pas un retour en arrière et un aveu de faiblesse, par rapport à la primaire de 2016 ?
On sait depuis toujours que les primaires sont une absurdité – en 2017, ceux qui les ont gagnées n’ont pas gagné les élections. Dans ce système médiatique qui est le nôtre, vous demandez à des candidats d’une même famille de se déchirer à la télévision. Comment voulez-vous dire après aux électeurs : « Nous sommes tous ensemble ! » Le problème n’est pas la primaire, mais l’absence de personnage faisant l’unanimité. Aucun président de parti n’a la légitimité et l’autorité pour y aller ou imposer son choix.
À LIRE AUSSIPrésidentielle – LR : la primaire est morte, vive le congrès !
Comment expliquez-vous qu’en cinq ans d’opposition, Les Républicains n’aient pas un projet avec des idées précises et nouvelles à présenter aux Français ?
Mais qu’est-ce que pense la gauche ? C’est la même chose ! Qui, aujourd’hui, peut prévoir demain ? Il y a deux ans, personne n’imaginait la pandémie. Toutes les certitudes du passé ont été bousculées. Le « en même temps » a tout cassé, de manière inquiétante. Ce qui permet aux extrêmes de monter. Il y a une idée porteuse et émergente qui pourrait structurer le débat : l’écologie. Sauf que les écologistes sont en train de la casser. Ils sont dans l’intolérance, l’incompréhension et la division.
Il n'y a aucun nom, ni aucune date dessus. Je n'en ai pas parlé au propriétaire parce qu'il est injoignable, et je ne peux pas contacter le (ou les) ancien(s) locataire(s) sans passer par lui... Si quelqu'un pouvait m'apporter un début de réponse quant à ce qu'il y a dans ce carnet, je lui en serais très reconnaissant.
Voici la retranscription de ce qui s'y trouve :
"Aujourd'hui, je suis descendu à la cave pour la première fois depuis que j'habite ici. Je voulais y amener mon vieux meuble-télé. Il n'est pas abîmé, mais j'en ai trouvé un qui me plaît mieux, alors j'ai voulu le descendre, des fois que je puisse le revendre ou le donner à quelqu'un.
En arrivant dans la cave, malgré le fait que la lumière soit très faible, j'ai trouvé mon box assez vite parce qu'il porte le numéro de mon appartement. Il était au fond du couloir, face à moi (pas comme les autres qui étaient disposés face à face, sur les côtés).
Juste avant d'ouvrir la porte, je me suis rendu compte qu'il y avait comme un ronflement qui venait de l'intérieur. J'ai attendu pendant au moins dix minutes, avant que ça s'arrête. À ce moment-là, j'ai regardé entre les planches de la porte, et j'ai vu quelque chose se déplacer à quatre pattes dans la largeur du box. Comme ses yeux reflétaient la lumière, j'ai pu voir que ça regardait vers moi. Ça respirait fort aussi, comme si ça avait la gorge prise.
Au bout d'un moment qui m'a paru long, c'est arrivé vers moi en rampant très rapidement, ça a collé sa tête à la porte, au niveau de la mienne, et ça m'a reniflé. Son haleine puait le rat mort, l'urine, et la terre humide. Je suis remonté chez moi à la vitesse de l'éclair. Je ne sais pas ce que c'est, mais ça me terrifie... Pourtant, j'ai tellement envie de savoir."
"Je n'arrive pas à arrêter d'y penser. Aujourd'hui, je suis redescendu à la cave avec une lampe-torche, pour essayer de voir un peu mieux cette chose à travers les planches de la porte. Quand je suis arrivé, j'ai regardé un premier coup sans la lampe. La chose était en boule, collée au milieu du mur du fond, et avait l'air de dormir. Ensuite, j'ai allumé la lampe et je l'ai collée contre la porte, à un endroit où les planches se séparent.
Je n'ai pu la voir qu'une ou deux secondes, avant qu'elle n'aille se réfugier dans un coin d'ombre, en rampant et en poussant un grognement. Une partie de la lumière lui était arrivée en plein dans les yeux et l'avait réveillée d'un coup.
Cette chose ressemble à une femme, vieille et desséchée. Sa peau est grise et craquelée, et elle est horriblement maigre, on dirait un cadavre ! J'ai même cru voir ses côtes et les os de ses coudes dépasser... Les ongles de ses mains sont noirs et cassés, pas étonnant vu qu'elle rampe en s'agrippant au sol et en poussant sur ses pieds. Mais le pire, ça reste son visage : son crâne est parsemé de touffes de cheveux longs et blancs, extrêmement fins. Tout le quart avant du côté droit de sa tête est dépourvu de peau. On voit son os dépasser, entouré par des bords de chair noire pourrie. Ses yeux n'ont pas de paupières, et ne sont que deux grosses billes noires luisantes, bien trop grosses, enfoncées dans son crâne. Elle n'a pas de nez non plus, pourtant la forme du trou qu'elle a à la place laisse penser qu'il devrait y en avoir un.
Et sa bouche... Mon Dieu, sa bouche ! Elle n'a pas de lèvres, et à peine quelques grosses dents cassées, jaunes ou noires, et très espacées. Certaines sont carrées, d'autres pointues, mais pas naturellement : comme si elle les avait cassées pour les rendre comme ça. En plus, elles ne sont pas du tout alignées.
Ses gencives sont rouge sombre et enflées, comme couvertes de tumeurs, et elles suintent d'un liquide à l'air poisseux, jaune sombre-vert, qui a l'air d'avoir fait comme une croûte à la base de ses dents.
L'expression sur son visage est une expression de colère, comme un prédateur qui s'apprêterait à attaquer... Cette chose a l'air dangereuse, je ne sais pas quoi faire ! De toute manière, qui me croira si j'en parle ?"
Mais qu’est-ce que pense la gauche ? C’est la même chose ! Qui, aujourd’hui, peut prévoir demain ? Il y a deux ans, personne n’imaginait la pandémie. Toutes les certitudes du passé ont été bousculées. Le « en même temps » a tout cassé, de manière inquiétante. Ce qui permet aux extrêmes de monter. Il y a une idée porteuse et émergente qui pourrait structurer le débat : l’écologie. Sauf que les écologistes sont en train de la casser. Ils sont dans l’intolérance, l’incompréhension et la division.
Au bout d'un moment, j'ai fini par venir, et je suis sorti d'elle. Elle est restée dos au sol, respirant d'un souffle sifflant, et faisant de gros gargouillis avec sa gorge. C'était magique !"
"Les gens de l'immeuble se posent des questions sur moi... Il est temps de rejoindre ma petite chose chérie dans la cave. Je m'arrangerai pour sortir de temps en temps, parce qu'il faut bien se nourrir. Là au moins, ils ne viendront jamais me chercher !
Je ne vais pas détruire mes notes. Je vais me contenter de les cacher quelque part dans mon appartement. Notre histoire est trop belle pour être effacée ! Et qui sait... Peut-être qu'un jour quelqu'un lira ces lignes et comprendra ce qu'est le vrai amour ?"
Une fois que ce message sera terminé, j'amènerai ce carnet à la police. Pas question que je descende seul à la cave ! Il n'empêche que je ne comprends pas ce que j'ai lu, et que j'aimerais recueillir des avis, des idées... N'importe quoi... Pitié...
Bien décidé à s’exprimer « jusqu’au moment où [il finira] dans la caisse en bois », Jean-Marie Le Pen projette, soudain : « Si Eric est le candidat du camp national le mieux placé, bien sûr, je le soutiendrai. » Un virage de bord. Jusqu’à présent, il défendait Marine Le Pen et grognait contre la division du camp nationaliste, comparant, cet été, Zemmour aux trublions, voire aux « vedettes du spectacle ». « Va-t-il savoir encaisser ? C’est pas si évident que ça, et moi j’en sais quelque chose parce que j’ai commencé à 0,74 % », relève le finaliste d’avril 2002.
Bruno Le Maire reparle de la réforme des retraites depuis le Campus 2021 de LaREM
"Je pense que nous sommes tous d'accord, d'un bout à l'autre de la majorité, pour dire qu'une réforme des retraites est nécessaire", répète ce samedi Bruno Le Maire, interroge devant notre caméra depuis Avignon, où se déroulent ce week-end le Campus 2021 de La République en marche (LaREM).
Reste à savoir quand, une telle réforme pourra être mise en chantier, alors que la présidentielle approche et qu'elle pèse chaque jour un peu plus sur les débats. "C'est le président de la République, et lui seul, qui peut le décider", balaye le ministre de l'Économie.
Àsix mois de la présidentielle, la droite n’a toujours pas choisi son candidat. Pis, la voilà reléguée, médiatiquement, à suivre Éric Zemmour et à se positionner par rapport aux déclarations du polémiste. Les Républicains semblent pris en tenaille entre Emmanuel Macron, qui a capté une partie de leur électorat, et le bloc Zemmour-Le Pen. Ancien ministre de l’Intérieur, président de l’Assemblée nationale et du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré regarde ce combat présidentiel avec distance, mais non sans intérêt et inquiétude. L’ami de Jacques Chirac déplore un manque de vision de candidats. Éloigné de la vie politique active, Jean-Louis Debré investit la scène en présentant un spectacle, Ces femmes qui ont réveillé la France, avec Valérie Bochenek, au théâtre de la Gaîté et les librairies avec Quand les politiques nous faisaient rire (édition Bouquins). Entretien.
Le Point : Comment jugez-vous la bataille pour la présidentielle dans votre ancienne famille politique ?
Jean-Louis Debré : D’abord, une précision, j’ai quitté la vie politique depuis 14 ans. Je regarde, j’observe, mais je ne participe plus. Quand on regarde l’Histoire, il y a eu très peu de moments où la société politique dans son ensemble n’a pas fait émerger de grands personnages. Clemenceau, Poincaré, de Gaulle, Mitterrand, Giscard, Chirac, Sarkozy structuraient leur camp et il y avait d’autres personnages qui les accompagnaient (Barre, Mauroy). Aujourd’hui, ni à droite ni à gauche n’émerge une personnalité. Ce qui est extrêmement dangereux pour la société. Nous sommes dans une époque où les idéologies ont disparu. Avant, la notion de droite et de gauche évoquait quelque chose ; aujourd’hui, personne ne sait plus ce que c’est. Avant, les présidents étaient élus sur une espérance, peu importe qu’elle soit réalisée ou pas : la France moderne de Giscard, les 110 propositions de Mitterrand, la fracture sociale de Chirac… Personne en 2021 n’est capable d’offrir de l’espoir. Enfin, la présidentielle est désormais le moment pour des personnalités de se faire repérer : pour certains candidats, il ne s’agit pas d’être élu, mais de montrer qu’on existe. Soit pour régler un conflit local, soit pour prendre date pour des fonctions futures. Si on ajoute que le président sortant n’a pas su créer de l’empathie avec le peuple, le panorama est très ouvert…
… et très indécis !
Oui, surtout qu’on ne connaît pas encore tous les candidats. Et les personnes qui sont actuellement en lice, soit déclarées ou non, ne sont pas certaines d’obtenir leurs 500 signatures. Ce n’est pas une épreuve facile, surtout depuis que les noms des parrains sont publics. Nous sommes dans le tour de chauffe. Pour être élu, aujourd’hui, il faut essayer de créer des alliances, mais cela semble impossible, car il y a une tension entre les différents partis.
À LIRE AUSSIPrimaire des Républicains : qui veut gagner des millions ?
La droite abandonne la primaire pour un congrès. N’est-ce pas un retour en arrière et un aveu de faiblesse, par rapport à la primaire de 2016 ?
On sait depuis toujours que les primaires sont une absurdité – en 2017, ceux qui les ont gagnées n’ont pas gagné les élections. Dans ce système médiatique qui est le nôtre, vous demandez à des candidats d’une même famille de se déchirer à la télévision. Comment voulez-vous dire après aux électeurs : « Nous sommes tous ensemble ! » Le problème n’est pas la primaire, mais l’absence de personnage faisant l’unanimité. Aucun président de parti n’a la légitimité et l’autorité pour y aller ou imposer son choix.
À LIRE AUSSIPrésidentielle – LR : la primaire est morte, vive le congrès !
Comment expliquez-vous qu’en cinq ans d’opposition, Les Républicains n’aient pas un projet avec des idées précises et nouvelles à présenter aux Français ?
Au bout d'un moment, j'ai fini par venir, et je suis sorti d'elle. Elle est restée dos au sol, respirant d'un souffle sifflant, et faisant de gros gargouillis avec sa gorge. C'était magique !"
"Les gens de l'immeuble se posent des questions sur moi... Il est temps de rejoindre ma petite chose chérie dans la cave. Je m'arrangerai pour sortir de temps en temps, parce qu'il faut bien se nourrir. Là au moins, ils ne viendront jamais me chercher !
Je ne vais pas détruire mes notes. Je vais me contenter de les cacher quelque part dans mon appartement. Notre histoire est trop belle pour être effacée ! Et qui sait... Peut-être qu'un jour quelqu'un lira ces lignes et comprendra ce qu'est le vrai amour ?"
Une fois que ce message sera terminé, j'amènerai ce carnet à la police. Pas question que je descende seul à la cave ! Il n'empêche que je ne comprends pas ce que j'ai lu, et que j'aimerais recueillir des avis, des idées... N'importe quoi... Pitié...
Àsix mois de la présidentielle, la droite n’a toujours pas choisi son candidat. Pis, la voilà reléguée, médiatiquement, à suivre Éric Zemmour et à se positionner par rapport aux déclarations du polémiste. Les Républicains semblent pris en tenaille entre Emmanuel Macron, qui a capté une partie de leur électorat, et le bloc Zemmour-Le Pen. Ancien ministre de l’Intérieur, président de l’Assemblée nationale et du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré regarde ce combat présidentiel avec distance, mais non sans intérêt et inquiétude. L’ami de Jacques Chirac déplore un manque de vision de candidats. Éloigné de la vie politique active, Jean-Louis Debré investit la scène en présentant un spectacle, Ces femmes qui ont réveillé la France, avec Valérie Bochenek, au théâtre de la Gaîté et les librairies avec Quand les politiques nous faisaient rire (édition Bouquins). Entretien.
Le Point : Comment jugez-vous la bataille pour la présidentielle dans votre ancienne famille politique ?
Jean-Louis Debré : D’abord, une précision, j’ai quitté la vie politique depuis 14 ans. Je regarde, j’observe, mais je ne participe plus. Quand on regarde l’Histoire, il y a eu très peu de moments où la société politique dans son ensemble n’a pas fait émerger de grands personnages. Clemenceau, Poincaré, de Gaulle, Mitterrand, Giscard, Chirac, Sarkozy structuraient leur camp et il y avait d’autres personnages qui les accompagnaient (Barre, Mauroy). Aujourd’hui, ni à droite ni à gauche n’émerge une personnalité. Ce qui est extrêmement dangereux pour la société. Nous sommes dans une époque où les idéologies ont disparu. Avant, la notion de droite et de gauche évoquait quelque chose ; aujourd’hui, personne ne sait plus ce que c’est. Avant, les présidents étaient élus sur une espérance, peu importe qu’elle soit réalisée ou pas : la France moderne de Giscard, les 110 propositions de Mitterrand, la fracture sociale de Chirac… Personne en 2021 n’est capable d’offrir de l’espoir. Enfin, la présidentielle est désormais le moment pour des personnalités de se faire repérer : pour certains candidats, il ne s’agit pas d’être élu, mais de montrer qu’on existe. Soit pour régler un conflit local, soit pour prendre date pour des fonctions futures. Si on ajoute que le président sortant n’a pas su créer de l’empathie avec le peuple, le panorama est très ouvert…
… et très indécis !
Oui, surtout qu’on ne connaît pas encore tous les candidats. Et les personnes qui sont actuellement en lice, soit déclarées ou non, ne sont pas certaines d’obtenir leurs 500 signatures. Ce n’est pas une épreuve facile, surtout depuis que les noms des parrains sont publics. Nous sommes dans le tour de chauffe. Pour être élu, aujourd’hui, il faut essayer de créer des alliances, mais cela semble impossible, car il y a une tension entre les différents partis.
À LIRE AUSSIPrimaire des Républicains : qui veut gagner des millions ?
La droite abandonne la primaire pour un congrès. N’est-ce pas un retour en arrière et un aveu de faiblesse, par rapport à la primaire de 2016 ?
On sait depuis toujours que les primaires sont une absurdité – en 2017, ceux qui les ont gagnées n’ont pas gagné les élections. Dans ce système médiatique qui est le nôtre, vous demandez à des candidats d’une même famille de se déchirer à la télévision. Comment voulez-vous dire après aux électeurs : « Nous sommes tous ensemble ! » Le problème n’est pas la primaire, mais l’absence de personnage faisant l’unanimité. Aucun président de parti n’a la légitimité et l’autorité pour y aller ou imposer son choix.
À LIRE AUSSIPrésidentielle – LR : la primaire est morte, vive le congrès !
Comment expliquez-vous qu’en cinq ans d’opposition, Les Républicains n’aient pas un projet avec des idées précises et nouvelles à présenter aux Français ?
Mais qu’est-ce que pense la gauche ? C’est la même chose ! Qui, aujourd’hui, peut prévoir demain ? Il y a deux ans, personne n’imaginait la pandémie. Toutes les certitudes du passé ont été bousculées. Le « en même temps » a tout cassé, de manière inquiétante. Ce qui permet aux extrêmes de monter. Il y a une idée porteuse et émergente qui pourrait structurer le débat : l’écologie. Sauf que les écologistes sont en train de la casser. Ils sont dans l’intolérance, l’incompréhension et la division.
Dans l’hypothèse d’une candidature Macron, l’ancien ministre de l’économie, en net recul, est crédité de 11% (-5,5) d’intentions de vote, derrière Alain Juppé (33%, +7), Marine Le Pen (26%, –2) et Jean-Luc Mélenchon (12%, +2). Emmanuel Macron devancerait cependant François Hollande, crédité de seulement 9% (=). L’ancien ministre (14%, –4,5) résisterait à peine mieux face à Nicolas Sarkozy (20%, +1) candidat de la droite. Dans cette hypothèse, Marine Le Pen sortirait en tête, avec 25% (-0,5) d’intentions de vote. Jean-Luc Mélenchon (12%, +1) et François Bayrou (10%, +3) devanceraient également François Hollande (9,5%, +0,5%).
Arnaud Montebourg, crédité de 9% à 10% d’intentions de vote selon les configurations, se situerait très loin du duo de tête, Marine Le Pen pour le FN et Alain Juppé ou Nicolas Sarkozy pour la droite.
Le chômage en tête des préoccupations
Au second tour, Alain Juppé (68%, +2) l’emporterait largement face à Marine Le Pen (32%, –2). Nicolas Sarkozy (58%, +2) s’imposerait également, mais un peu moins nettement, face à la candidate du FN (42%, –2). Le chômage (89%) arrive en tête des sujets qui pèsent le plus dans les intentions de vote, devant la sécurité (86%), la menace terroriste (82%), l’immigration (79%), la crise des migrants (78%), la laïcité (74%) et la loi Travail (72%).
François Hollande a tenu mercredi, à propos d'Eric Zemmour, à "faire la part des choses entre des poussées médiatiques (...) et la réalité de la France", et il a appelé les partis à installer le débat présidentiel sur "les sujets essentiels des Français".
Interrogé sur la montée du polémiste Eric Zemmour dans les sondages d'intentions de vote pour la présidentielle de 2022, l'ancien président a tenu à "faire la part des choses entre ce qui est des poussées médiatiques, des modes, hélas, qui ne sont pas forcément encouragées par les bons médias ou par les bonnes personnes, et ce qui est la réalité de la France".
"Il y a comme ça des pulsions qui arrivent dans des campagnes électorales, des traductions qui peuvent être conjoncturelles et qui ne sont pas forcément durables. Mais il y a le risque que les thèses extrémistes ou les thèses excessives soient finalement largement reproduites par d'autres et finissent par, si je puis dire, contaminer les propos politiques", a-t-il ajouté en marge d'une visite dans une exploitation maraichère à Saint-Martin-le-Beau (Indre-et-Loire).
Selon François Hollande la "bonne réponse" à Eric Zemmour consiste à "installer un débat politique sur les sujets essentiels des Français". "Et ça c'est le rôle des partis, le rôle des candidats d'imposer leurs thèmes et pas simplement être ou dans la dénonciation ou pire encore dans le suivisme".
Le chroniqueur Éric Zemmour raconte aussi, dans son nouveau livre à paraître mi-septembre, une partie d'un échange téléphonique avec Emmanuel Macron en mai 2020, après son agression à Paris.
Éric Zemmour sera-t-il candidat à la présidentielle de 2022? La question fait trembler les personnalités politiques de droite ces dernières semaines sur les plateaux de télévision. Si sa décision n'est officiellement pas encore prise, le chroniqueur s'apprête à sortir mi-septembre un nouvel ouvrage aux airs de livre de campagne, intitulé La France n'a pas dit son dernier mot.
Et dans les premiers extraits dévoilés ce jeudi par Le Figaro Magazine, Éric Zemmour n'épargne pas Emmanuel Macron. "Longtemps, j’ai pensé que Macron était un Sarkozy en moins vulgaire", écrit-il. "Pour la première fois, je comprends qu’il n’est qu’un Hollande en mieux vêtu."
"Il me dit: 'République', je lui dis 'France'"
Dans cet ouvrage, le polémiste revient également sur sa conversation téléphonique avec le président de la République, après son agression en pleine rue à Paris en mai 2020. À l'époque, Emmanuel Macron avait téléphoné à Éric Zemmour pendant environ 45 minutes pour lui faire part de son soutien.
Dans son livre, Éric Zemmour raconte qu'au cours de cet appel, les deux hommes s'adonnent à une joute verbale au sujet de la délinquance et de l'immigration: "Chacun avance ses arguments sans laisser à son interlocuteur le temps de reprendre son souffle", se souvient le journaliste. "Il me dit: 'République', je lui dis 'France'. Il me dit 'Minorité de racailles', je lui dis: 'Soutenue par une majorité, qu’elle aide à vivre et qu’elle soumet par son alliance avec la loi de l’islam'".
Selon Éric Zemmour, Emmanuel Macron aurait ensuite lancé au polémiste: "Au fait, votre plan, faites-moi une note". "Je fais mine de ne pas comprendre. Quel plan?", lui demande alors Éric Zemmour au cours de cet échange. Ce à quoi Emmanuel Macron aurait "enchaîné, amusé de (l)’avoir bousculé: 'Mais voyons, votre plan sur l’immigration, mon secrétariat vous contactera'".
La rivale d’Emmanuel Macron a dégringolé de dix points depuis juin, une première en neuf ans. « Marine a abandonné ses positions fortifiées et Eric occupe le terrain qu’elle a quitté », accuse le cofondateur du Front national, exclu du parti en 2015 et hostile depuis toujours à la dédiabolisation opérée par sa fille. Après les régionales, en juin, il appelait le Rassemblement national (RN) à retrouver sa « virilité ». A travers lui, c’est tout le vieux « Front » qui doute. Et qui regarde vers l’arc zemmourien, qui va de l’ancien RPR à la frange traditionaliste du RN. Dans les fédérations, les défections se sont déjà multipliées.
Je lui ai donc descendu une entrecôte que j'avais dans le frigo. Je me suis dit qu'elle la préférerait crue, et j'ai eu raison ! Dorénavant, je vais lui apporter à manger tous les jours, comme ça elle ne manquera de rien. Et au moins, comme elle n'a pas l'air de déféquer (ou peut-être qu'elle est scatophage ?), je n'aurai pas à nettoyer !"
"Tout se passe bien avec ma petite chose, elle mange correctement, et elle a l'air en forme ! Le seul problème, c'est cette connasse de voisine : elle parle de moi aux autres locataires, mais comme ils doivent la croire à moitié folle, personne ne la prend au sérieux. C'est dingue ce qu'elle peut m'énerver avec son air accusateur, et la peau de son cou qui tremblote quand elle parle. J'ai envie de la cogner ! Et j'aime pas la façon dont elle me regarde. Je ne sais pas qui elle croit impressionner, cette espèce de vieille connasse !"
"J'ai discuté avec un voisin aujourd'hui, très sympa ! On a parlé de la vieille du premier. Il m'a raconté, avec un air amusé, qu'elle disait à tout le monde que je gardais quelque chose dans ma cave. Mais il m'a rassuré en m'expliquant que ce n'était qu'une vieille commère à moitié folle, qui ne cherchait qu'à se rendre intéressante, et que de toute façon personne ne l'écoutait vraiment (sur ce point-là, j'avais vu juste). Il a aussi dit que de toute manière je pouvais aussi bien héberger un troll là-dedans, que ça faisait des années que personne n'y descendait plus. Je lui ai quand même inventé l'excuse comme quoi je faisais des travaux de rénovation chez moi, et que j'entreposais les pots de colle et de peinture en bas, parce que je ne supportais pas l'odeur, histoire de ne pas éveiller le moindre soupçon..."
"Ma chose et moi commençons à être vraiment liés. Maintenant, quand je descends, elle vient se coller à moi, elle me caresse... Elle essaye même de m'embrasser le cou, mais forcément elle n'y arrive pas, comme elle n'a pas de lèvres...
Aujourd'hui, je lui ai rendu ses caresses. J'ai touché sa poitrine, elle était rêche et tombante. Pourtant, je crois qu'elle a aimé ça. Moi, par contre, je suis certain que j'ai aimé ça."
"Elle mérite mieux que de la viande morte ! Aujourd'hui, j'ai attrapé le chat de la vieille connasse du premier, pendant qu'il était sur sa fenêtre, et je lui ai apporté. Elle a poussé des grognements de joie et des raclements de gorge en le voyant. Elle l'a mangé jusqu'au dernier morceau, elle n'a laissé que son squelette.
Quand elle a eu fini, elle m'a sauté dessus, et m'a pris dans ses bras, comme pour me remercier ! Je crois qu'il est temps de faire passer notre relation à l'étape supérieure..."
"Ça fait quelques jours que j'attrape des animaux dans la rue pour lui donner (des chats errants, des chiens mal surveillés...). À chaque fois elle est heureuse de manger de la bonne viande encore palpitante et saignante. Pourtant, je voudrais lui offrir quelque chose de vraiment spécial..."
"La soirée d'hier a été magnifique ! En rentrant chez moi, j'ai vu une mère qui cherchait quelque chose dans le compartiment de sa poussette. Comme elle n'avait plus les yeux sur son bébé, j'ai saisi l'occasion : j'ai pris le mioche, et j'ai couru le plus vite possible jusqu'à mon immeuble. Je l'ai entendue appeler aux secours derrière moi, mais j'étais déjà hors de sa vue. Elle n'a même pas pu me voir en fait, parce que juste après avoir pris le gosse, j'ai tourné derrière un immeuble.
Par contre, ce petit con n'arrêtait pas de gueuler ! En plus, il était vraiment moche, avec sa gueule de bouledogue, sa grosse tête, et la morve qui lui coulait du nez. Du coup, je l'ai frappé en plein visage pour le faire taire. Ça a marché ! Il avait le visage enflé et violet, il saignait même un peu, mais il a fermé sa grande gueule ! En même temps, il avait l'air à moitié inconscient...
Mais bon, passons. Je l'ai apporté à ma petite chose, elle a adoré ! Elle a même tenu à partager son repas avec moi ! Maintenant, je suis sûr qu'elle m'aime !"
"J'ai attrapé la vieille du premier dans la matinée, j'ai réussi à l'assommer. Là, elle est dans ma cuisine, un torchon en boule dans la bouche, pour pas qu'elle gueule si jamais elle se réveille, et du fil de fer serré en bas des épaules et en haut des cuisses. Ça va lui couper le sang dans les membres, et ça la rendra plus facile à mâcher. Car ce soir, j'offre à ma petite chose chérie le repas de sa vie !"
"C'était vraiment la plus belle nuit de ma vie. J'ai descendu la vieille vers 23h00, et on a commencé à manger. Ma petite chose avait l'air ravie ! En plus, pendant qu'on attaquait les intestins (et juste après avoir eu fini les deux bras et une jambe), la vieille est revenue à elle. En se voyant dans l'état où elle était, elle a essayé de crier, et elle s'est mise à sangloter. Ça m'a bien fait rire, et ça a plu à ma petite chose !
Comme elle devenait agaçante, au bout d'un moment on a décidé de lui ouvrir le crâne pour s'en partager le contenu. On se regardait droit dans les yeux en mangeant. Et finalement, arriva ce qui arriva... Je l'ai allongée sur le dos, et j'ai baissé mon pantalon pour lui faire l'amour.
J'avais mal en la pénétrant, ça accrochait et ça me coupait. Pourtant je ne pouvais pas m'arrêter, même alors que c'était difficile ! Elle tortillait ses membres en poussant des cris et des grognements inhumains, sa tête se balançait de gauche à droite, et sa langue - un grand morceau de chair noire - semblait bouger indépendamment en sortant de sa bouche.
"Je n'arrête pas de penser à cette chose. Je retourne son image dans ma tête, et je l'imagine vivant dans ce box, mangeant les insectes qui passent à sa portée, et attrapant un rat de temps en temps. J'imagine ses dents entrant dans la chair du rongeur, la pression faisant éclater les tumeurs de ses gencives, et laissant échapper le liquide jaune-vert dans un petit craquement. Puis je vois ses dents tirer les entrailles du petit animal de son ventre, alors qu'il est encore vivant, se tortillant de douleur et de peur, et couinant comme un jouet en caoutchouc. Plus j'y pense, et plus je trouve à cette chose quelque chose de noble, de beau même."
"Ça fait plusieurs jours que je passe quotidiennement au moins une fois par la cave. Je tapote contre la porte, pour faire savoir à la chose que je suis là, et je m'assois en tailleur, le dos et la tête collés à la porte. Au début elle se méfiait, sûrement à cause du coup de la lampe, mais petit à petit elle s'est mise à s'approcher de plus en plus de la porte, pour finalement se mettre à me renifler. Hier, elle a même passé ses doigts entre les planches pour me toucher les épaules et les cheveux. Je crois qu'elle commence à s'habituer à moi. À vrai dire, même moi je m'habitue à elle. Et au final, son haleine n'est pas si dérangeante que ça."
"Je le savais ! Elle s'est habituée à moi, et ça fait même plusieurs jours que quand j'arrive, je l'entends venir à la porte pendant que je traverse la cave. Elle sait que c'est moi, elle a même l'air heureuse de me voir ! Maintenant, elle passe à chaque fois ses doigts entre les planches pour me toucher. Elle essaye même de passer son regard pour me voir ! En réponse, je touche ses doigts, comme ça elle sait que je suis en confiance. Je crois que je pourrais bientôt essayer d'entrer !"
"Je l'ai fait ! Aujourd'hui, j'ai ouvert la porte, et je suis rentré dans le box. J'ai bien sûr fait attention de bien refermer derrière moi. Je me suis mis en tailleur, au bout de la pièce. Ce n'était pas très confortable parce qu'il y avait plein de petits os au sol, sûrement les vieux repas de la chose...
Elle a rampé vers moi, puis elle s'est accroupie juste en face de moi. Elle a passé un bon moment à me renifler, mais elle a fini par toucher mon visage - comme un aveugle qui chercherait à se représenter quelqu'un - ce qui est bizarre parce que ses yeux brillent dans le noir. Ça voudrait dire qu'elle peut voir dans l'obscurité, normalement... Néanmoins, je l'ai laissée faire, et tout s'est bien passé."
"La voisine du premier m'espionne ! Aujourd'hui, en descendant l'escalier, elle a ouvert sa porte pile quand je suis passé devant chez elle. Elle m'a dit que ça suffisait, que tous les jours elle m'entendait descendre à la cave, et elle m'a demandé ce que je pouvais bien y fabriquer... Je lui ai répondu de s'occuper de son gros cul flasque, et de laisser les gens utiles à la société vivre comme ils le voulaient. Elle a tellement été choquée qu'elle est rentrée chez elle, et a verrouillé sa porte... Espèce de vieille pute ! J'ai aucun compte à lui rendre, non mais !!"
"Hier, ma pauvre petite chose avait l'air très mal en point. Je ne savais pas ce qu'elle avait... Elle était adossée au mur du fond, les bras le long du corps, quand je suis arrivé. Elle poussait comme des cris de douleur. J'ai essayé de comprendre ce qui n'allait pas. Elle n'avait pourtant pas l'air blessée, ou quoi que ce soit... En tout cas, elle a dû comprendre que je cherchais à l'aider puisqu'elle a fini par me regarder, et elle m'a montré sa bouche ouverte du doigt. J'ai tout de suite compris qu'elle avait faim.